Faire un bilan annuel des comptes de l'état; faire intervenir des fonctionnaires d'état et non des hommes politiques. Ces agents au service des Français pourrait parler en détail et de façon objective, des orientations budgétaires prises par le gouvernement.
Partager. Taxer plus les grandes richesses pour donner aux pauvres. Toute morale (religieuse ou philosophique) mènerait à une telle conclusion. La morale ne semble guère être l'apanage de notre temps... Peut-être est-il temps de la remettre au centre du débat. Afin de répondre à cette attente sociale, il serait peut-être nécessaire de changer de représentants, voire de système politique. En effet, le système fait que nos représentant défendent les intérêts de personnes très riches et complétement déconnectées du monde réel.
Il faut changer du tout au tout les moyens d'offrir des recettes à l'état. Les citoyens ont assez payé à la place des multinationales et des grandes richesses. Pourtant ce sont les citoyens qui sont les plus touchés par les changements provoqués par plus d'un siècle de système économique moribond.
Taxer les transactions boursières, taxer les grandes fortunes, taxer les 10% qui gagnent plus que tous les autres réunis.
Les exonérations fiscales, les plans de financement sans contrepartie s'adressant aux grandes entreprises (CICE) et autres boucliers fiscaux destinés à faire plaisir aux grandes fortunes et aux actionnaires. Ne pas les mettre en prison pour crime contre l'environnement devrait suffire.
La protection sociale doit augmenter pour tous et dans tous les domaines. Avec les 80 milliards d'évasion fiscale annuels, cela devrait être suffisant pour un paquet de mesures sociales, radicales et audacieuses, qui redonneraient un coup de neuf à votre karma et un vent de fraicheur dans notre régime politique en décomposition.
L'écologie. Une Taxe sur le Coût Environnemental de Production. Cette taxe devrait être payée en partie par les fabricants (70%) afin de les inciter à rechercher des moyens de production respectant davantage l'environnement. Cette taxe pourrait prendre en compte la durabilité d'un objet, afin de lutter efficacement contre l'obsolescence programmée.
Il faut changer du tout au tout les moyens d'offrir des recettes à l'état. Les citoyens ont assez payé à la place des multinationales et des grandes richesses. Pourtant ce sont les citoyens qui sont les plus touchés par les changements provoqués par plus d'un siècle de système économique moribond.
Le monde associatif et le monde scientifique représentent le mieux les citoyens dans la société. En effet, ils luttent au quotidien pour rendre le monde meilleur (plus d'humanisme, de compréhension et d'écologie) et pour une plus grande connaissance du monde (pour savoir où on va, il faut savoir où on est). Ces deux cercles sont les seuls à lutter activement contre le désastre écologique qui nous guette.
Oui
Dans le processus législatif, associations, syndicats et ONG pourraient participer activement à la rédaction des projets de loi et autres décrets. Les lobbies industriels l'ont fait et le font encore. Remplaçons-les par ceux qui veulent vraiment agir pour le bien commun. Pour les besoins de tous et non pour l'avidité de quelques uns.
Stopper la professionnalisation de la politique. Mandat unique, tirage au sort des représentants de l'état, support et aide des scientifiques dans le processus décisionnel.
Une bonne chose
Un représentant doit se consacrer pleinement à un et un seul mandat. Cela devrait lui permettre de réaliser un travail de recherche et de synthèse des connaissances pour chaque sujet ou décision qu'il est amené à traiter. Là et seulement là, il peut décider en connaissance de cause. Pour le moment, cela n'a pas l'air de fonctionner ainsi.
Rendre le pouvoir décisionnel apolitique: il devrait être scientifique et sociologique. Les politiques jouent avec les sentiments des administrés au détriment de la fraternité. Ils devraient s'attacher à régler les problèmes importants qui freinent l'égalité et la liberté de tous. La pollution, l'agriculture toxique, le problème des transports, de l'exploitation des ressources naturelles et le problème qui est à la base de tout: l'avidité amorale de quelques uns (qui se manifeste à travers l'évasion fiscale - 80 milliards d'euros par an).
Non
None
Reconnaître le vote blanc comme valide permettrait de faire adhérer tous les citoyens qui se sentent non représentés. En cas de vote blanc majoritaire, l'élection est déclarée comme nulle. Rendre le vote obligatoire parait une bonne idée, mais cela va à l'encontre de la liberté des individus. Les citoyens devraient être associer à des processus décisionnels locaux et nationaux via des référendums.
Oui
Reconnaître le vote blanc comme valide permettrait de faire adhérer tous les citoyens qui se sentent non représentés. En cas de vote blanc majoritaire, l'élection est déclarée comme nulle.
Tirer au sort des citoyens pour un mandat. Réaliser des groupes de travail sous la direction de scientifiques et d'associations pour assurer un processus décisionnel de qualité et objectif d'un point de vue idéologique.
Oui
Sous forme de référendum d'initiative citoyenne, pour des sujets touchant à des projets de société. La condition à respecter est de réaliser une campagne d'information scientifique (objective) pour informer au mieux tous les citoyens des dernières recherches et des réels enjeux pour chaque consultation.
Respecter les avis des citoyens exprimés lors des consultations locales (Sivens, contournement de Strasbourg, consultations préfectorales fictives). Cela dit, les collectivités et l'état sont au service de tous, pour la liberté, l'égalité et la fraternité. Les débats autour de la bonne utilisation de l'argent public peuvent parfois devenir des débats idéologiques rétrogrades visant à diviser la population (au sujet des aides sociales, par exemple, ou des débats autour de la religion) tandis que les grandes fortunes et les actionnaires s'enrichissent sans se poser moralement de questions. 80 milliards d'euros d'évasion fiscale par an, à minima. Tout est dit.
Ils doivent faire preuve d'impartialité, d'objectivité, de justesse et de transparence dans leurs processus décisionnels. Afin de prendre des mesures les plus justes possibles, il faut nécessairement s'appuyer sur la science et non sur l'économie de marché (même les sciences économiques mettent en évidence les limites du système économique élitiste qui dirige le monde - dans le gouffre- actuellement).
Oui
Mandat unique, tirage au sort de citoyens ou de professeurs d'université ou de grandes écoles pour présider les institutions. La politique ne doit être un métier, mais redevenir "la vie de la cité".
Créer des établissement interconfessionnels destinés aux représentants des différentes religions pour les faire se rencontrer, dialoguer et adopter une politique commune en terme de sensibilisation de leurs fidèles. Respecter toutes les religions et tolérer qu'elles s'expriment dans le respect de la laïcité sans créer de polémiques fallacieuses. Le modèle des USA semble plus tolérant à bien des égards au niveau des religions (enfin, jusqu'à il y a peu)... A voir.
Informer plus précisément les citoyens et surtout les enfants au sujet des différentes religions. Réaliser des sorties scolaires, des rencontres avec des représentants de différentes religions en même temps. Connaître mieux chaque religion. La connaissance est mère de toute chose. Les citoyens devraient pourtant savoir que toutes ces religions défendent la même cause: la vie. Leur but est le même, unir l'humanité sous un même étendard. Les frictions s'expliquent par des luttes de pouvoir et par la volonté d'avoir raison par rapport à l'autre. Mais si tous ont tort, aucun n'a raison. Un dans tout, tous dans un.
S'appuyer sur les avancées technologiques pour diminuer le temps de travail et offrir plus de temps libre aux citoyens. Ils pourraient consacrer plus de temps à la vie associative et citoyenne, ou à la réflexion, ce qui dynamiserait la vie en société.
La politesse, l'altruisme, le partage, la solidarité, le respect de la nature, la désobéissance civile pour défendre des intérêts privés (soutenus par les politiques) au détriment du bien commun.
Faire rentrer le Droit de l'environnement dans la loi, afin que l'état ne puisse plus être en mesure d'attaquer des citoyens avertis et de les empêcher de lutter contre un projet inconsidéré et menaçant la vie sur terre durant des siècles et même plus ( Stocamine en Alsace, Bure en Meuse...) D'autant plus qu'une fois encore, l'état protège ici des intérêt privés ou des intérêt d'état datant d'une autre ère.
L'engagement citoyen pourrait être récompensé par des baisses d’impôt, des passes culturels leurs permettant d'accéder gratuitement aux musées et autres lieux de culture.
Les rejets de déchets sur la voie publique ou dans la nature et l'agressivité des automobilistes (en particulier vis à vis des piétons et des cyclistes). L'éducation et le sensibilisation sont les seuls leviers pacifiques pour lutter contre ces problèmes.
Sanctionner beaucoup plus durement (et pénalement) ces incivilités.
Redonner une place importante à l'éducation civique dans les médias et les écoles. En effet, les adultes ne semblent pas plus sensibilisés que les jeunes à ce sujet. Ne jamais oublier cette phrase, présente dans de nombreuses philosophies, courants de pensées et religions, et symbole d'une utopique nation humaine: « Traite les autres comme tu voudrais être traité » ; « Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse ».
Les incivilités envers les femmes, les discriminations racistes et les restrictions abusives des libertés en vigueur actuellement.
Cesser de faire des médias des moyens de faire passer un message idéologique servant la société de consommation et l'individualisme. Sans ça, rien ne sera possible.
Non
None
Les étudiants et les réfugiés politiques ne devraient être soumis à aucune restriction (le tri des étudiants se faisant de toute façon sur dossier scolaire). Cependant, les politiques migratoires doivent toujours être soumises à contrôle, mais elles doivent respecter la liberté, l'égalité et la fraternité qui sont nos valeurs en temps que nation. Il est donc normal de revoir complétement le traitement des immigrés, en particulier la criminalisation des associations qui apportent un soutien moral et logistique aux personnes abandonnées totalement par l'état. Nous devons organiser l'accueil, même si il est temporaire, de tous les migrants. Créer des fermes d'accueil, pour encourager le lien social, le dialogue, le tout dans un cadre agroécologique permettant aux paysans du monde d'échanger sur leurs pratiques culturales en perdition (la majorité des migrants ne sont pas des avocats ou des militaires, ceux-ci trouvent du travail auprès des dirigeants autocrates -soutenu par les occidentaux- des pays de départ), par exemple. https://www.courrierinternational.com/article/vu-du-burkina-faso-avec-macron-la-france-protege-toujours-les-autocrates-africains?fbclid=IwAR3GNbUyF234TvMlskCbuFdANxaodK-K9mq7nVK_PhxqjN7_cj9ti4dJsRI
Définir des objectifs chiffrés est une honte d'un point de vue éthique. Nous ne sommes pas des biens de consommations soumis à quota. Nous sommes tous humains.
Cesser de soutenir des régimes autoritaires dans les pays pauvres, encourager l'autodétermination des peuples, cesser l'ingérence politique et économique dans nos anciennes colonies, et surtout, lutter activement contre le changement climatique, qui, si rien ne change, sera la cause majeur de migration ces prochaines décennies. Une action centrale pour lutter contre le réchauffement climatique et les migrations est d'encourager et de soutenir activement l'agriculture paysanne respectueuse de l'environnement (agroécologie, permaculture - ce que nous ne faisons déjà pas chez nous) dans les pays dits " du Sud".
La société (et l'état en particulier) tend à exercer une fonction répressive de normalisation et de contrôle social, visant à intégrer les individus à la course effrénée vers la consommation de masse. Alors que l'intégration devrait se limiter à offrir un cadre stable assurant des liens sociaux continus avec le nouvel arrivant. Ainsi, il pourrait trouver un rôle dans cette nouvelle société qui l'accueil, tout en étant sensibilisé aux valeurs spécifiques à celle-ci.
Afin de garantir l'adhésion de tous, il faut garantir l'égalité de tous devant la loi, appliquer les mêmes règles aux citoyens qu'aux hommes et femmes politiques. Ce n'est pas le cas pour le moment. Bon nombre d'affaires récentes l'ont démontré.
Un état au service de ses citoyens Ne soyons pas dupes, la tendance actuelle est à la privatisation, aux coupes rases dans les budgets et dans les effectifs. Cette orientation basée sur une vision purement financière de l'organisation de la société coûtera cher. Au delà des conséquences dramatiques sur les personnes (individualisme généralisé, augmentation du stress, du mal-être au travail, importation des stress dans le milieu familial, comportement agressif lors des trajets), ne voir la société qu'à travers le prisme financier est une erreur de débutant. Les services publiques sont des services qui doivent être gratuits et accessibles à tous pour garantir l'égalité de toutes les personnes de notre nation. Faire le contraire, c'est jouer la carte de la division, exacerber les jalousies, les rancoeurs. Un hôpital n'a pas vocation à être rentable. Il doit permettre aux agents d'offrir un service de qualité pour soigner dans la dignité. L'état ne devrait pas être le tremplin qui permet aux grosses entreprises de remplacer les services publiques, ou de s'enrichir à leurs dépens. Certes, cela est moins cher pour l'état dans un premier temps, mais pas pour les citoyens... Et quand viendra le temps de revoir la délégation, l'état récupérera-t-il ses biens entretenus et en état de fonctionnement? Ou devra-t-il subventionner à nouveau l'entreprise qui reprendra le contrat? L'exemple des autoroutes est criant de vérité... (https://www.youtube.com/watch?v=B1QEdhGN8ag) D'ailleurs, un excellent article était paru dans la Gazette des communes il y a peu au sujet de la non rentabilité pour les collectivités d'avoir recours à la délégation de service publique. Plus généralement, un document du Fond Monétaire international de 2012 met en évidence l'impact négatif sur l'emploi et la croissance, des politiques (d'austérité et de libéralisation de l'économie et du marché du travail) menées en Grèce. Étrangement, son échos n'a pas beaucoup raisonné dans la presse. La seule question à poser serait-elle celle de la légitimité des gouvernants? Ceux-ci ne sont-ils pas devenus des recruteurs au service des multinationales et des grandes entreprises? Ils semblent tous empressés d'offrir de nouveaux moyens de s'enrichir à quelques groupes (aux bénéfices annuels toujours plus florissants) tout en leur garantissant un accès sécurisé aux niches fiscales (légales ou non). L'état devrait avoir pour rôle de garantir les besoins de tous (une vie décente dans la sécurité et surtout dans un environnement sain) à tous ses citoyens, tout en protégeant les besoins des générations futures. C'est la définition même du développement durable. Elle date de 1991. Pourtant, rien n'a été fait. Rien n'a changé. Ou plutôt, tout a empiré. Quand j'étais petit, je pensais que le monde que je verrai en grandissant serait une sorte de mixte parfait entre écologie, technologie et état providence. Le travail mécanisé nous permettrait à tous de nous consacrer à l'art, la musique, la famille, les proches et la réflexion (le capitalisme, à la base, se vantait de pouvoir offrir ce monde aux gens, soit dit en passant). J'avais 10 ans. Aujourd'hui, j'en ai 30. Et je déchante complètement. Tout ce que j'espère est que le monde changera avant que je n'ai un enfant. Parce que si ma génération ne change pas radicalement sa façon (et celle de ses grands frères et soeurs nourrit au néolibéralisme) de voir les sociétés humaines, leurs relations étroites les unes avec les autres, leur fonctionnement et leurs impacts sur l'environnement, il n'y aura plus rien à pleurer. Peut-être serait-il temps de changer de société, qu'en pensez-vous? Les dernières données scientifiques sont formelles. Oiseaux, insectes, fonte des glaces... Mais oui... Et si la solution est là: se baser sur toutes les recherches scientifiques pour construire les politiques actuelles. Aucune loi ou aucun décret ne pourrait être recevable sans argumentation scientifique solide et indépendante des lobbies industriels. Si toutes les décisions politiques devaient passer sous le prisme de la science pour pouvoir passer au parlement, cela ferait naturellement le tri... Et là, plus de débat à avoir sur le militantisme ou la politique. Des données, sont des données. Bisous les enfants, paix et fertilité!
Non
None
Oui
Mais dès qu'on s'éloigne des grandes villes, plus de poste, de maison de santé, de transport en commun ou d'école primaire...
Aucune. C'est une fausse bonne idée: économiser sur le personnel = augmenter les coûts de gestion (erreurs des administrés et coût plus élevé des prestataires en délégation de service publique).
Non
None
80 milliards, c'est la fraude fiscale annuelle qui ne revient pas à l’État Français... Tout est dit.
Tout se dirige lentement vers la privatisation. C'est bien malheureux. Pas de positif chef.
La santé car c'est la base et peut-être la création d'un service publique des transports dans toute la France. Remplacer l'idéologie sociale de la voiture (quintessence de la vision individualiste de la société) par des lignes ferroviaires gratuites. En même temps, j'dis ça, j'dis rien hein!
Oui
Non
None
None
Oui
Conditionner les actions techniques de terrain à un comité scientifique (ou a des techniciens territoriaux) et non a une assemblée de politiciens.
Oui
Créer des comités techniques et scientifiques, constitués de professionnels, de techniciens et de scientifiques qui valideront ou non les actions à mettre en place sur le terrain. Conditionner l'accès à la fonction publique territoriale (ou d'état) à des diplômes techniques propre à chaque domaine de la fonction publique.
L'état a le devoir d'assurer la liberté, l'égalité et la fraternité pour tous ses citoyens et citoyennes. La vision technocratique, financière et capitaliste n'a pas sa place dans un monde juste.
None
None
Pôle Emploi devient une entreprise inhumaine, destinée à faire le tri entre les chômeurs, en radiant les moins débrouillards ou les moins virulent par le truchement de mécanismes honteux. Oui, proposer des emplois à 100 km de l'habitation du chômeur est une honte. Le radier parce qu'il refuse deux offres de la sorte encore plus. Les conditions d'accès aux indemnités chômage n'ont pas lieu d'être. Je travaille, je cotise. J'ai le droit à des allocations chômage vu que j'ai cotiser pour. Point. Pas de discussion à avoir. Au lieu de s'intéresser au pauvres qui fraudent, intéressons-nous aux riches qui fraudent, cela rapportera beaucoup, beaucoup plus.
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
La pollution de l'air nous touche quotidiennement. 50 000 personnes meurent chaque année en France des suites de l'exposition à la pollution atmosphérique. Les sécheresses estivales deviennent la norme. Les crues violentes également. Quant à la biodiversité, elle est niée ou méprisée. Pourtant, tout cela est profondément lié. Par exemple: la suppression des haies vives (bocage) dans les champs a conduit à une suppression de toute une faune qui permettait de limiter la prédation des cultures et donc de limiter l'apport de pesticides et de fongicides. Les haies étaient également le refuge, le lieu de vie de nombreux oiseaux et insectes bénéfiques à l'équilibre écologique des campagnes. Ces mêmes oiseaux et insectes en forte régression aujourd'hui... Les haies protègeaient également les cultures des vents et concourraient à l'infiltration des eaux de pluie. De plus, la taille annuelle de ces haies permettait d'enrichir les sols (apport de matière organique) et donc de limiter les intrants chimiques. Sans la haie, l'eau ruisselle le long des sillons de labour (champs de plus en plus grands, sillons dans le sens de la pente et non parallèles aux courbes de niveau comme cela devrait être le cas), sur la terre sans couvert végétal (couvrir les sols agricaux permettrait de séquestrer une gigantesque quantité de carbone atmosphérique - dommage que cela de soit pas la norme défendue par la FNSEA). L'eau emporte la partie fertile du sol en contrebas, dans la rivière, augmentant le débit du fleuve en aval.
Agir. Agir réellement. Le constat est connu, et ancien. Pourtant, le système énergivore et consumériste qui régie notre civilisation humaine refuse de voir la réalité en face. Il faudrait tout d'abord que les décideurs politiques prennent conscience de l'importance de cet enjeux. Soit l'humanité y répondra, soit elle disparaitra.
Oui
La pollution de l'air en zone urbaine est notable et cause des irritations des voies respiratoires. Les légumes du potager survivent difficilement aux climats estivaux. Les crues emportent les sols fertiles bourrés de pesticides dans les fleuves. Au printemps, les oiseaux sont de plus en plus rares à chanter. Les abeilles de moins en moins présentent autour du melon en été...
Oui
Je discute avec tous mes amis et connaissances pour les sensibiliser à l'importance de réagir ensemble et maintenant à l'urgence environnementale. Je ne prends que très rarement la voiture et me déplace majoritairement à pieds. Je ne regarde plus la télévision, j'écoute la radio. Je consomme des produits issus de l'agriculture biologique (ou paysanne raisonnée). Je limite ma consommation de viande à une à deux fois par semaine au grand maximum. Je trie mes déchets pour qu'ils rentrent dans des filières de recyclage. Je n'achète pas beaucoup d'habits et préfère prospecter dans les armoires familiales de mes parents ou de mes grands-parents.
La législation: une législation basée sur le droit des générations futures à jouir d'un environnement au moins en aussi bon état que celui dans lequel nous l'avons trouvé. Ou une législation défendant les droits de l'environnement. Car sans environnement stable et équilibré (importance de la biodiversité), nous disparaitrons.
Si la loi oblige les gens à avoir un comportement civique et respectueux de la nature et de l'environnement, cela incitera tout le monde à changer de comportement.
Oui
Le chauffage collectif.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
Les transports en commun|Le vélo|La marche à pieds. Il faut absolument en finir avec l'idéologie sociale de la voiture (quintessence de l'individualisme dressé en idéologie par le système capitaliste). Il faut redessiner les villes, repenser l'organisation géographique des cités et favoriser les transports en commun pour redonner à notre société une dimension humaine. Là où l'humain peut aller à pieds.
La législation doit obliger les citoyens à changer radicalement de mode de vie. L'état doit faire voter des lois malgré les réticences de ses soutiens financiers et idéologiques. Les collectivités territoriales doivent mettre en place des actions audacieuses et radicales avec le soutien financier de l'état. Les citoyens doivent prendre conscience de la nécessité d'agir rapidement pour garantir un environnement viable à leurs enfants.
Arrêter l'hypocrisie et commencer à agir. La France fait partie des pays hypocrites. La consommation de produits chimiques dans les campagnes en est la plus criante preuve.
Les entreprises qui se sont gavées de bénéfices durant un siècle de consommation de masse doivent répondre de leurs actes. Il est de leur responsabilité, en tant que dirigeants de la doctrine économique encore en vigueur aujourd'hui, de payer pour réparer les torts causés. Elles doivent reconnaître les crimes contre l'humanité qu'elles ont commis en vendant des produits polluants (de la conception des biens de consommations à la vente de produits toxiques en passant par l'obsolescence programmée), en faisant pression sur les gouvernements du monde entier pour satisfaire leur avidité (lobbies), en faussant les recherches et les processus d'homologation de leurs produits et en manipulant l'opinion publique à travers les médias de masse. Les dirigeants politiques doivent en prendre actes et réfléchir aux conséquences de leur complicité ou de leur inaction. Et ils doivent également être tenu pour responsable de la situation. Ils doivent se remettre profondément en cause. Et agir. En tant qu'être humain. En tant que fils de la terre. Et faire preuve de la morale humaniste et universelle qui a émergé durant le bref épisodes de "Lumières", mais qui a disparue sous les cohortes de bureaucrates avides de pouvoir.
Votre message a bien été envoyé.