En personne. Aujourd’hui l’impasse et les limites dans lesquelles nous nous trouvons nous obligent à trouver un nouveau rapport avec la planète, avec les animaux, les plantes et les humains, de mettre en place de nouvelles organisations de vie. C’est-à-dire, de penser autrement, de sortir des normes et des représentations actuelles. Créons un nouvel imaginaire puisque celui qui nous mène aujourd’hui est obsolète, trop destructeur, impropre à garantir la prospérité du futur. Dans ce cadre là, travaillons tous ensemble à partir des rapports d'experts, dont celui du GIEC.
Oui
Toutes organisations qui travaillent sur la transition écologique et sociale, dans un esprit humaniste et du respect du vivant. Avec un rôle d'accélérateur de la mise en place de ce nouveau paradigme, avec un volet de conscientisation et la participation des citoyens face à l'urgence de la situation.
De prendre conscience que nos façons de vivre, de se développer et de consommer, ne sont pas reproductibles à toute la planète habitée, et de plus, elles hypothèquent l’avenir des générations à venir. Nos façons de vivre ne sont pas adaptées aux ressources disponibles de notre planète. Ce qui induit une révolution de nos modes de production, de consommation et de pensée.
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Je pense qu'il faudrait mettre en place une culture de la démocratie participative et collaborative.
Comme en cas de situation de guerre, travailler ensemble (si possible) et vite, pour faire face à cette situation d’effondrement qui à commencée. Faut-il encore avoir la même analyse.
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Le chômage, les régressions sociales, le creusement des inégalités, impôts en augmentation, le réchauffement climatique, les pollutions, les pesticides, les perturbateurs endocriniens, l'extinction des espèces, l'épuisement des ressources, la spéculation, les paradis fiscaux... On vote pas, ou blanc, ou aux extrêmes, ou par défaut. Celui qui est élu est vite discrédité, et sa légitimité affaiblie. Mettez en place une culture de la démocratie participative et collaborative.
Oui
En les comptabilisant et si ceux-ci sont important, qu'il puissent avoir un poids sur le vote qui obtient la majorité, car celui-ci perd de sa crédibilité. A réfléchir.
Mettre en place des comités de citoyens tirés au sort (comme dans les tribunaux)pour émettre un avis décisionnaire . Mettre en place une culture de la démocratie participative et collaborative.
Oui
Qu'il soit plus facilement à déclencher.
Faire participer les citoyens, devenir co-acteur des décisions.
Je ne connais pas leurs rôles.
Oui
Nos territoires devraient être gérés par les citoyens qui y habitent, dans l'optique d'une transition écologique sociale et pour le bien commun.
A partir de l'école, d'enseigner ou de réfléchir sur le respect, la tolérance, le sens des religions.
Promouvoir la pratique de la méditation en relation avec des spécialistes, et pour les plus petits, favoriser la relaxation (Cohérence kid) Reconnue scientifiquement pour engendrer une nette amélioration de l’attention, de l’intelligence émotionnelle, des comportements prosociaux et une diminution des conflits. Mettre en place dans les écoles des formations à la communication non-violente. En proposer aux citoyens intéressés.
Nous sommes de la même essence que les plantes, les animaux et l'humus, tous issus du big-bang et de la poussière d'étoile. Vers quelle destinée allons-nous? Peut-on avancer vers ce qui élève l'humanité? Vers ce qui nous libère de toutes ces pulsions négatives (peurs, haines, discriminations, xénophobies, égoïsmes, stigmatisations, divisions, boucs émissaires, dominations, guerres…) qui émane de nous et qui nous mènent à la désolation ? Et si nous nous transformions ensemble pour aller vers une humanité réconciliée avec elle-même, en optant pour la bienveillance, la coopération, la solidarité, la fraternité, la générosité, la résilience et le respect du vivant ? La meilleure (r)évolution est celle qui commence déjà par soi-même. « Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde » comme disait Gandhi Les êtres humains sont capables du pire et du meilleur, si nous voulons « que le meilleur gagne » sachons donner le meilleur de nous-même. À chacun de faire sa part pour apporter cette transformation profonde que tous les humains ont tant besoin. Soyons créatifs, participatifs, imaginatifs. Redonnons de sens et du réenchantement à nos vies ; c’est possible, cela dépend de chacun de nous…
La prédominance de l'éthique et du bien commun. L’éthique pour donner confiance, dans un rapport de respect, d’équité, de transparence et d’honnêteté. Le bien commun est ce qui fait société. Les ressources de la terre (bien commun) que nous épuisons aujourd'hui, sont un patrimoine appartenant à l’humanité entière et à ses descendants.
Déjà d'avoir une cohérence. Nos sociétés sont basées sur la concurrence, sur l’exploitation des humains et de la nature. La concurrence crée un état de surenchère économique et technologique ou l’être humain et la nature sont sacrifiés au nom de la rentabilité. La compétitivité comme mode d’éducation et de relation entre les gens, produit des gagnants et des perdants, si ce n’est pas des oppresseurs et des opprimés. Stress, suicides, dépressions, burn out, perte de sens dans le travail, souffrance parfois d’une hiérarchie pesante et déshumanisée…CHANGEONS DE CAP ! Et si nous osions la coopération ?
De mettre en avant le capital humain et de réfléchir sur la perte d'autonomie de certains citoyens face à l'internet et l'administration.
Le manque d'humanité, l'ignorance, la violence sur laquelle est basée le système.
Changer le système. Aujourd’hui, trop de souffrances, trop de destructions, trop de violence. La situation est insupportable. Quel monde laisserons-nous à nos enfants ? Quels enfants laisserons-nous à la planète ? Les solutions existent, chacun de nous est un morceau du puzzle. La mutation est à faire sans tarder.
L'esprit de possession, de domination et d’exploitation dirige le monde et son avenir. Cet esprit aujourd’hui a pris beaucoup de force avec le pouvoir de l’argent, le pouvoir des techniques et des savoirs. Sur cette base de nombreuses lois ont été élaborées. La plupart de nos relations sociales et même familiales en sont imprégnées. Ces systèmes bien structurés toujours plus tentaculaires, ces nouveaux dragons que nous critiquons, que nous dénonçons parfois, ne sont souvent qu’une projection démesurée de nos propres attitudes de possession, de profit et de domination. Ces tendances étant à différents degrés, plus ou moins enracinées en nous, il est plus facile de critiquer, de dénoncer, de trouver parfois un bouc émissaire, que de changer soi-même. Il ne peut y avoir de changement global sans changement individuel. Notre système de société est orienté par la séduction des richesses et l’aveuglement des techniques, avec pour principe la compétition et la concurrence qui règlent nos sociétés. Tout ceci façonne l’ordre du monde qui cause tant d’injustices, de destructions, de souffrances et de misère. La transformation profonde personnelle permet de faire sa part pour apporter ce que tous les humains ont tant besoin. Sachons donner le meilleur de nous-même. "Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde" comme disait Gandhi
Le cloisonnement des différentes castes de la société.
Que notre démarche et nos actions aillent dans le bon sens. Il est temps de redécouvrir le « bon sens ». Les êtres humains sont capables du pire et du meilleur, si nous voulons « que le meilleur gagne » sachons donner le meilleur de nous-même. Fraternisons. À chacun de faire sa part pour apporter cette transformation profonde que tous les humains ont tant besoin. Soyons créatifs, participatifs, imaginatifs. Redonnons de sens et du réenchantement à nos vies ; c’est possible, cela dépend de chacun de nous…
Oui
En restaurant le capital humain, pour le revaloriser, l'intégrer à sa juste place dans une société plus bienveillante.
Je ne connais pas les détails de la politique migratoire de la France. Mais c'est en luttant contre les causes que ça sera efficace.
?
Que la lutte contre le réchauffement climatique soit une priorité absolue, car les réfugiés climatiques seront légions. Qu'une solidarité soit mise en place dans les pays en difficultés, pour éviter les réfugiés économiques. Travailler sur la paix pour éviter les guerres et les gens fuyant ces zones.
Apprendre la langue du pays. Accompagner ces personnes. Mettre en place un système de parrainage citoyen.
Le régime représentatif confisque la démocratie.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
une révolution de nos modes de production, de consommation et de pensée.
Oui
Des canicules de plus en plus chaudes et prolongées . Des perturbations météorologiques extrêmes aux répercutions désastreuses qui s’intensifient, comme les inondations dans l'Aude à l'automne dernier.
Oui
je me déplace en vélo pour les petits trajets, et en covoiturage ou train quand c'est possible pour les plus longs trajets. J'élimine les déplacements superflus. J'achète mon alimentation aux producteurs locaux et bio en priorité. j'utilise un producteur d'électricité sans charbon, sans pétrole et sans nucléaire. Je fait mon compost. Je porte un bon pull l'hiver dans ma maison pour économiser l'énergie.
De stopper l’obsolescence programmée, que les objets soit durables et réparables. De relocaliser l'économie, afin que l'argent de nos dépenses favorisent le territoire que nous habitons. ( Ces grandes enseignes exportent notre argent vers des ailleurs)
De mettre en place des avantages financiers sur nos productions permettant de favoriser des comportements plus vertueux, plus en accord avec la planète et ses ressources. De taxer progressivement tout ce qui met à mal et compromet l'avenir.
Oui
Tout d’abord l'isolation des bâtiments est primordiale pour économiser l'énergie et éviter les déperdition de chaleur.
Oui
Mettre en avant le bienfait des solutions, qui sont moins polluantes, économiques, bonnes pour la santé (vélo) etc...
Le vélo|Le covoiturage|Les transports en commun
Les organismes tels que l'Adème, les mairies, les conseils généraux, les association citoyennes.
Mettre en place des actions fortes en matière d'environnement pour que nos demandes soient crédibles. De regarder le futur : Nos façons de vivre, de se développer et de consommer, ne sont pas reproductibles à toute la planète habitée, et de plus, elles hypothèquent l’avenir des générations à venir. Nos façons de vivre ne sont pas adaptées aux ressources disponibles de notre planète. Environ 80% de celles-ci sont utilisées par seulement 20% des habitants de la terre. Les ressources de la terre ne sont-elles pas un patrimoine appartenant à l’humanité entière et à ses descendants ?
Favoriser l'économie circulaire, l'économie sociale et solidaire. De construire de petits systèmes résilients à l’échelle locale qui permettront de mieux endurer les chocs économiques, sociaux et écologiques à venir.
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