Il ne faut pas informer les citoyens, il faut qu'ils participent. Seul un changement de Constitution pourra leur donner l'envie de s'intéresser massivement aux chiffres du budget.
Retour de l'impôt sur la fortune, il nous faut de plus forts impôts sur le patrimoine économique, immobilier comme mobilier. Faire rentrer dans les caisses de l'Etat l'argent de l'évasion fiscale (50 à 100 milliards d'€) qui à lui seul justifie notre déficit, ainsi que supprimer le CICE pour les grandes entreprises, augmenter les impôts sur les bénéfices (diminués de 25 milliards depuis 10 ans), récupérer la fraude aux cotisations sociales (-6 à -25 milliards d'€) et plafonner la part de dividendes dans les bénéfices, récupérer les 600 milliards possédés par les 50 personnes les plus riches de France ! On leur laisse 2 millions, pour être gentils !
Les impôts indirects : La TVA est un impôt inégal, dégressif, bien plus payé par les plus pauvres que les plus riches, tous les économistes le savent, puisque les plus pauvres n'ont pas d'épargne et sont obligés de tout dépenser. La TVA pour les produits de première nécessité, notamment, doit être tout simplement supprimée, et celle sur les produits de luxe augmentée, sauf à passer par d'autres impôts pour compenser.
Augmenter les impôts|Augmenter les impôts sur les plus riches, et récupérer les 6 à 25 milliards d'€ de fraude aux cotisations sociales !
Il faut étendre les conditions d'attribution des aides sociales. Salaire à vie, version de l'économiste Bernard Friot !
Santé ! Emploi ! Sans écarter les populations immigrées ! AME pour tous, sans condition !
Santé, enseignement, social, logement, et renforcement du nombre d'inspecteur des impôts et du travail !
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En des représentants qui seraient élus par un mode de scrutin plus représentatif et qui seraient contrôlés en permanence par les citoyens
Oui
Le poids des ONG sociales et environnementales doit peser beaucoup plus que les lobbys économiques dans le dialogue avec les représentants. Les syndicats doivent être plus entendus, mais il n'est pas admissible de considérer que le résultats de négociations forcées et déséquilibrées en période de crise entre syndicats
Une refondation de la Constitution (et du modèle économique). En général, on considère la légitimité d'une Constitution démocratique sur la base de : - La représentativité des décisionnaires ; - L'efficacité dans la prise de décision et leur application. Or, aujourd'hui : - nos élus ne sont pas représentatifs (scrutins non proportionnels, poussant au "vote utile" par essence non représentatif, non contrôle sur la durée des élus et des décisions, poids des lobbys, etc.). - l'application des décisions est inefficace du fait de l'opposition des citoyens (du fait de la faible représentativité des décisionnaires) et des secteurs économiques (du fait du poids des lobbys alimenté par la faiblesse de l’État et de l'idéal de service public). Par conséquent, il nous faut un autre système. A ma connaissance, l'un des seuls systèmes qui permette de favoriser totalement la représentativité (et donc l'acceptation sociale des décisions) tout en gardant une efficacité pratique est la suivante, avec une modification : - des modalités de scrutin d'élection : *Au jugement majoritaire (tel qu'imaginé par les 2 chercheurs français du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Michel Balinski et Rida Laraki1 pour les élus uniques (président de la république, maire, président d'assemblée, etc.). *A la proportionnelle intégrale via scrutin de liste pour les assemblées délibérantes. MAIS ATTENTION : il s'agirait d'une démocratie liquide, par un système de délégation et non de représentation, et l'élection permettrait de siéger, mais ne donne pas le "poids du vote". Ce poids, initialement donné aux élus de la liste pour lequel nous avons voté équitablement, pourrait être modifié en cours de mandat et à tout moment (via une page internet dédiée, comme cela se déroule via le système X-Road dans les institutions estoniennes, bien plus avancées que nous en la matière) : on pourrait ainsi déplacer notre "poids" à un ou plusieurs autres membres, selon des thèmes ou non, etc. - des modalités de scrutin de vote : Le vote se fait au jugement majoritaire, avec la possibilité de proposer plusieurs versions de chaque loi (prenant ainsi en compte l'opposition et l'assemblée délibérante en général). Le vote des élus se ferait non pas avec un ratio 1 élu = 1 voix mais 1 délégation = 1 voix : les élus populaires auront donc plus de poids que les élus détestés, en toute logique. Enfin, suite au vote de l'assemblée, il serait permis dans un certain délai de substituer son vote à celui de son délégué au cas où celui-ci ne nous convient pas, permettant ainsi de pousser la logique de la délégation jusqu'au bout : si un élu nous a trompé, il serait ainsi possible d'outrepasser cette tromperie.
Une bonne chose
Le rôle du parlementaire demande un travail à temps plein, comme le démontre certains parlementaires se démenant mais n'ayant pourtant pas assez de temps pour eux, alors qu'ils n'ont pas d'autre mandat. Si la seule critique à y opposer est qu'il ne seraient pas assez "sur le terrain", c'est bien le contraire : il n'y a pas besoin de mandat pour être sur le terrain, seule la volonté de l'élu le permet. Il peut représenter et suivre des citoyens, des élus locaux, cela pourrait même être institutionnalisé.
Voir ma réponse à "Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?" : - Proportionnelle intégrale, - Jugement majoritaire, - Démocratie liquide.
Non
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La participation des citoyens est en baisse car ils déséspèrent de la politique, ne se sentent pas représentés par les élections et ne veulent pas supporter ces grands messes truqués par des modalités de scrutin ridiculement illogiques. Pour leur redonner foi, il faut plus de représentativité et plus de contrôle. Ainsi, voir ma réponse à "Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?" : - Proportionnelle intégrale, - Jugement majoritaire, - Démocratie liquide.
Oui
Dans un système comme le notre, en élaborant un quorum. Dans le système tel que je le propose, il a moins lieu d'être puisque les citoyens peuvent accorder leur voix à des centaines de personnes différentes (au Parlement), leur donnant ainsi un très important choix. Cependant, si aucun d'entre eux ne leur convient, le vote blanc correspond à l'étiquette "à rejeter" dans le mode de scrutin au jugement majoritaire, qui permet, si tous les candidats y sont, de refaire une élection. En cours de mandat, ils pourraient aussi choisir de ne PAS attribuer leur voix, ce qui serait susceptible de rendre la prise des représentants plus difficile puisqu'il leur faudra une majorité plus importante par simple effet mathématique.
Voir ma réponse à "Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?" : - Proportionnelle intégrale, - Jugement majoritaire, - Démocratie liquide. Il ne faut pas une démocratie participative, avec des représentants qui écoutent de temps à autre les citoyens, mais une démocratie liquide dans laquelle des délégués représentent les citoyens constamment.
Oui
Un seuil de consultation égal au seuil suisse.
Voir ma réponse à "Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?" : - Proportionnelle intégrale, - Jugement majoritaire, - Démocratie liquide. Le budget participatif, bien qu'il s'agisse de miettes, serait un bon début.
Il ne faut pas une démocratie participative, avec des représentants qui écoutent de temps à autre les citoyens, mais une démocratie liquide dans laquelle des délégués représentent les citoyens constamment. Le rôle des assemblées doit donc être modifié en conséquence. Voir ma réponse à "Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?"
Oui
Voir ma réponse à "Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?"
Peu de choses. La loi de 1905 est assez correcte. Par contre, les élus doivent se garder de tout communautarisme. Et là, je parle du communautarisme catholique. Les femmes devraient avoir le droit de s'habiller comme elles l'entendent, voile ou pas. Si le voile leur est imposé, il faut les protéger. Mais si elles ont souhaité le porter, c'est leur droit tout autant qu'une autre femme voulant mettre un short, un jeen, ou un mec en costard ou en surfeur.
En faisant en sorte que la République soit elle-même cohérente avec ses valeurs : liberté, égalité, fraternité, démocratie, laïcité, ne doivent pas être des vains mots utilisés seulement lors des allocutions, ils doivent servir tous les jours et fonder toutes les décisions.
Le salaire à vie, version Bernard Friot.
Les actions d'engagement citoyen, tant associatif qu'au quotidien, doivent être facilités. Notamment, les personnes voulant avoir un comportement de consommateur citoyen doivent être facilités par le renforcement des logos, la fin des "faux-logos", etc.
Formations à l'école pour les enfants. Sanction des adultes inciviques par des formations obligatoires, notamment pour la question environnementale et écologique.
Le service civique est une très bonne chose, bien qu'il soit parfois du sous-emploi. La mise en contact avec des associations dès le secondaire serait une excellente chose.
Le non-respect de l'écologie : emballages inutiles et non recyclable, haine des végétar(l)iens, non-respect des êtres vivants, non-tri des ordures, etc.
Améliorer les infrastructures de recyclage (poubelles, industrie du recyclage, etc.). Interdire les plastiques non-recyclables à 100% à venir sur le marché français.
Chacun doit faire des efforts de son côté (étant végan, je ne dirais pas le contraire), mais au niveau de la société en général qu'il faut agir.
Les discriminations faites aux femmes, notamment en matière de temps de travail domestique. J'y participe moi-même, mais il n'y a pas de quoi en être fier.
Changer de système économique. Le capitalisme effréné, en étant basé sur la recherche du profit, booste sans cesse notre esprit de compétition et de méfiance. Il nous faut au contraire un système basé sur l'intérêt général (=salaire à vie de Bernard Friot) qui pousse les acteurs vers plus de coopération. Ceci peut paraître très éloigné de la question, mais c'est simplement qu'on n'arrivera pas à grand chose si on ne s'attaque aux phénomènes structurels sous-tendant nos comportements.
Non
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Il est assez honteux que cette question ait été posé au vu de l'absence totale de lien avec le contexte national. La politique migratoire doit être ouverte et humaine. Point à la ligne.
NON.
Des sous pour les infrastructures d'accueil. La promotion de la solidarité par nos "élites" politiques comme par le modèle économique, qui doit passer d'un capitalisme qui pousse à l'opposition à un modèle de salaire à vie qui pousse, au contraire, à la recherche de l'intérêt général. La compétition entre pauvres doit cesser, et pour cela la compétition économique permanente le doit aussi.
Nous avons déjà des modalités d'intégration efficaces, il nous faut juste de l'argent pour les financer.
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Elle doit se simplifier en revenant au triptyque initial "commune"/"département"/"région", avec à la limite des fusions entre plusieurs communes et plusieurs départements, à leur demande et non de manière imposée.
Non
Il faut une certaine unité. Par contre, pour chaque mission transférée (dans le passé ou dans le futur), l’État doit respecter les collectivités et le service public en transmettant les fonds (TOUS les fonds, et ACTUALISES selon les évolutions) liés au service transféré.
Oui
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Il nous faut développer une "X-Road" à la française (référence au système estonien), qui nous permette de centraliser sur un site l'ensemble des démarches administratives des citoyens, et qui nous permette à terme de voter par carte à puce sur un terminal personnel (PC personnel) ou collectif (PC public). Cela nous permettra notamment d'améliorer à terme la démocratie en élaborant une Constitution de type "démocratie liquide", qui nécessite un accès constant au vote et donc à ce type de terminal.
Non
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Défenseur des droits, CNIL, legifrance.
Tous doivent évoluer vers le même sens, et pas un en particulier : renforcement des relations entre chaque service, synchronisation et accès commun sur un même site aux informations des citoyens, et inversement des citoyens aux services. Mais, en ce sens, les plus en retard sont la CAF et Pôle emploi.
Oui
Non
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Les passages insensés entre Sécurité sociale générale et étudiante, selon que j'étais étudiant, en service civique, puis à nouveau étudiant, puis en apprentissage, puis agent public. N'importe quoi.
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Oui
L'administration doit elle aussi avoir une information centralisée pour ses agents, afin que chacun puisse savoir comment agir d'une manière uniforme sur le territoire. Une sorte de Legifrance, mais pas que pour le droit, et plus appliqué, ou de "service-public.fr", mais en plus précis.
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La sécurité sociale devrait rembourser à 100% ce qui est nécessaire, et à 0% ce qui ne l'est pas. Cet entre-deux est, soit incohérent avec la mission de service public qu'elle remplie, soit infantilisante pour les citoyens à qui on ne fait pas confiance et auxquels on impose donc cette sorte de "franchise".
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Pour parler plus spécifiquement des modalités de cette consultation, il est caractéristique que les choses soient faites de manière à ce que tout le monde parle "en silo", alors que le site aurait pu être arrangé comme un "semi-réseau social", où chacun pourrait donner son avis sur les propositions des autres, où les propositions seraient triées par sujet et pas par utilisateur. Cela a déjà été fait des dizaines de fois, ce n'est pas quelque chose d'incroyable, c'était le cas notamment pendant la campagne de B. Hamon, et on comprend aisément les raisons de pourquoi cela n'a pas été fait : si chacun parle dans son coin, il est plus facile d'interpréter le résultat du """"débat"""" comme M. Macron le voudra. Alors que, s'il s'agissait d'un réseau social avec vote et donc apparition de majorités, cela en aurait été tout autrement. J'ai donc participé à ce petit jeu, mais sans vraiment y croire.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Évidemment, le sujet est multi-factoriel, mais il demande une chose notamment : arrêter la course au productivisme. Nous avons suffisamment de ressources, il est temps de les répartir, et de ne faire de croissance qu'une croissance verte et rien d'autre. L'un de ces facteurs, cependant, est le suivant : Arrêter de pousser les gens à la consommation de produits de l'élevage, qui constituent à eux seuls 14,5% des émissions de gaz à effet de serre anthropiques, soit plus que le trafic routier, aérien et maritime réuni ! Une personne végétalienne émet par son alimentation 2,5x moins d'émissions de gaz à effet de serre ! (source : FAO). Si nous voulons atteindre les -75% d'émissions d'ici 2050, il nous faut annihiler ce poste d'émission, et pas simplement le réduire de quelques pourcentages, car les autres postes d'émission sont plus complexes à bouger. L'élevage est responsable de la grande majorité de la déforestation dans le monde (plus de 80% de celle de la forêt amazonienne) et occupe plus de 30% des terres émergées : en réduisant notre consommation, on pourrait réaffecter ces espaces pour d'autres choses, comme planter des forêts pour capter le carbone et donner un lieu de vie aux animaux qui n'en ont plus. Et non, ce n'est pas pas plus dangereux pour la santé que de consommer de la viande, des dizaines d'associations nationales de nutritionnistes, d'organismes d’État et de ministères de la Santé dans le monde le reconnaissent. Le reste n'est que lobbying. Le seul produit qu'on ne trouve pas en dehors des animaux est la vitamine B12, qu'on donne actuellement artificiellement aux animaux pour nous complémenter nous : on pourrait tout à fait complémenter les végétaux à la place, ou la manger directement, cela ne modifierait en rien notre métabolisme par rapport à la situation actuelle, mais réduirait drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre. De plus, l'alimentation carnée est moins chère. Bref, il faut arrêter d'alimenter les enfants en viande à la cantine, ou au moins réduire drastiquement la part de viande dans les cantines collectives afin que les personnes soient incitées à en manger moins de viande et ne soient plus poussées par la pression sociales. La viande et les autres produits d'élevage devraient être DEMANDES, et pas être automatiques. Ajoutons qu'il nous faudrait développer très fortement la permaculture, facteur de biodiversité et bien plus écologique que toutes les autres formes d'agronomie, conventionnelle comme bio "simple". Sur d'autres aspects, il faudrait mettre le paquet sur l'investissement dans les énergies d'avenir. Nous avons mobilisés des billions d'euros pour "réparer" les banques, utilisons plutôt ces emprunts à la banque centrale dans des vrais investissements d'avenir, comme l'isolation du bâti, la recherche technologique pour les énergies futures (hydrogène, etc.), le développement de l'éolien et des autres modes de production d'électricité, etc. Si l'UE le souhaite, ces prêts pourraient même l'être à taux 0.
Oui
On constate soi-même la diminution de la biodiversité. Et je vivrai, comme ceux de ma génération et les suivantes, les conséquences du changement climatique.
Oui
Je ne consomme plus de viande ni, plus globalement, de produits issus de l'élevage : je suis végan. Je consomme moins de produits de consommation (vêtements, multimedia), si possible en occasion. Je n'ai pas de voiture, je me déplace à pied, à vélo ou en transports collectifs. J'essaye de tendre vers un objectif "0 déchet", mais je n'en suis qu'au début du processus. Je compte changer de banque pour passer à une banque qui investisse uniquement dans les projets éthiques (Crédit Coopératif mais surtout La Nef, quand elle aura le compte courant). J'essaye d'inviter les décisionnaires de ma famille à changer de moyen de se chauffer (pellet) et d'avoir de l'électricité (Enercoop).
Le sentiment que cela compte, et donc des campagnes nationales poussant tout le monde à faire de même. Pour le véhicule, une meilleure adaptation des transports en commun et des rues au vélo, et leur protection contre le vol.
Arrêter de pousser les gens à la consommation de produits de l'élevage, qui constituent à eux seuls 14,5% des émissions de gaz à effet de serre anthropiques, soit plus que le trafic routier, aérien et maritime réuni ! Une personne végétalienne émet par son alimentation 2,5x moins d'émissions de gaz à effet de serre ! (source : FAO). L'élevage est responsable de la grande majorité de la déforestation dans le monde (plus de 80% de celle de la forêt amazonienne) et occupe plus de 30% des terres émergées : en réduisant notre consommation, on pourrait réaffecter ces espaces pour d'autres choses, comme planter des forêts pour capter le carbone et donner un lieu de vie aux animaux qui n'en ont plus. De plus, l'alimentation carnée est moins chère. Bref, il faut arrêter d'alimenter les enfants en viande à la cantine, ou au moins réduire drastiquement la part de viande dans les cantines collectives afin que les personnes soient incitées à en manger moins de viande et ne soient plus poussées par la pression sociales. La viande et les autres produits d'élevage devraient être DEMANDES, et pas être automatiques.
Oui
Subventionner pour que le bois à pellet ou les autres alternatives soient moins chères que les autres moyens de chauffage.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Le secteur public en priorité. Pour les trajets faible distance : Un investissement massif dans les transports en commun est nécessaire : bus, tram, trains, hyperloop. La voiture autonome est aussi une idée d'avenir, car elle permettrait, grâce à un réseau socialisé et commun à la population et non pas propriété de chacun individuellement, de réduire la quantité de véhicules par personne et d'optimiser les places dans chaque véhicules : on rentrerait ses trajets, quotidiens et ponctuels, et un algorithme nous affecterait un véhicule pour s'accorder à nos impératifs tout en nous faisant partager le véhicule avec d'autres personnes. Pour les longs trajets : Arrêtons avec l'avion, ultra-polluant, remplaçons le au plus vite par l'hyperloop, au moins pour les trajets nationaux et transcontinentaux : il n'est pas admissible qu'on mette un temps aussi important à traverser l'Europe en train, alors que l'hyperloop nous permettra d'aller plus vite que l'avion et de voyager en polluant beaucoup moins. L'avion pourrait se limiter aux traversées maritimes, à supposer qu'on ne développe pas des hyperloop marins.
Être cohérente dans ses actions, en arrêtant de prêcher des choses et de faire l'inverse. Notre voix n'a pas de poids notamment parce que nous passons pour des hypocrites, si nous faisions vraiment des efforts en arrêtant les grands projets inutiles et dangereux (Montagne d'or, Lyon-Turin et autres aéroports...), si nous faisions un réel bonus/malus carbone suffisant pour annihiler les industries polluantes et doper les industries écolos, les choses seraient différentes, d'autant que nous démontrerions l"intérêt économique d'une telle évolution.
Go végan !
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