Une communication annuelle en direction de tous les citoyens, expliquant simplement les postes de recettes (impôt sur les revenus, TVA, etc) et les postes de dépenses et diffusée de différentes manières (présentation aux infos télé, organisation de réunions en région par le député local, etc...)
Cesser de faire du bricolage, et avoir enfin le courage de tout remettre à plat (bon courage !).... quelques exemples : une fiscalité plus juste implique que tout contribuable est traité de la même façon, et que certains n'ont pas plus de possibilités de frauder - les revenus des salariés sont transparents, il n'en est pas de même pour les autres catégories de contribuables. Contrôler les sociétés qui sont spécialisées dans "l'optimisation fiscale" - autrement dit dans l'évasion fiscale... Supprimer les niches fiscales. Entre autres.....
La TVA sur les produits de première nécessité pour redonner du pouvoir d'achat aux ménages qui ne bouclent pas les fins de mois
Dans l'immédiat, simplement dépenser mieux, gérer l'argent de l'état en "bon père de famille" selon la formule du droit civil, ce que l'état a quelque peu oublié... Par contre, si de nouveaux risques sont pris en charge, il faudra bien les financer par l'impôt. Il serait totalement inapproprié de reculer l'âge de la retraite, alors que des millions de jeunes sont sans emploi. Qui a dit partage du travail, déjà ?
C'est moins une question de conditions d'attribution que de contrôle, contrôle de la situation réelle du bénéficiaire (à l'attribution) et de son évolution
La protection de l'enfance, les personnes isolées, l'accès aux soins pour les personnes en difficulté (il est impensable de pas pouvoir se soigner correctement parce que l'on n'a pas d'argent) et l'accès au logement
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Sur l'ISF : la mise en place de cet impôt avait surtout une motivation psychologique, et le principal n'était pas, je pense, son efficacité. Néanmoins, il avait le mérite d'offrir des moyens financiers à des institutions culturelles ou à des associations diverses, sportives, humanitaires, culturelles qui voient leurs moyens diminuer de manière importante. Sa modification a eu pour objectif de développer l'investissement. Un bilan va être réalisé prochainement. C'est bien, mais a-t-on vraiment les moyens d'évaluer de manière fine si cela a fonctionné et comment ? Et quelles mesures seront mises en place à la suite de ce bilan ? Par exemple, il est certain que certains contribuables auront réellement joué le jeu, et auront investi (mais quel pourcentage de leur "non imposition" ?). Mais d'autres ne l'auront pas fait. Comme dans beaucoup de domaines, je pense qu'il faut être incitatif : ceux qui jouent le jeu continuent d'être exemptés, mais pour les autres, retour à une forte imposition. Il faut valoriser ceux qui sont honnêtes et favorisent notre développement ! Sur les GAFAM : OK, puisque des décisions ont été prises, espérons que cette action permettra une avancée au niveau européen. J'insisterai à nouveau sur l'optimisation fiscale qui entraîne un important manque à gagner : ce problème devrait être traité par l'Europe. Il faudrait également être offensif au niveau européen pour arriver à stopper les paradis fiscaux (au minimum les européens...).
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Déjà appliquer les décisions de l'accord de Paris.... ne pas se contenter de déclarations mais agir vraiment. Il faut mettre en place une politique incitative pour aider à modifier les comportements
Oui
Elle est pour le moment peu affectée, les modifications climatiques sont encore peu importantes au moins en France, mais les pluies violentes et les crues qui en découlent si elles ne sont pas plus fréquentes, sont de plus en plus violentes et de plus en plus destructrices
Oui
Economies d'énergie (pas de surchauffage), de consommation d'eau, utilisation régulière des transports en commun
Rien, car je pratique cela depuis longtemps. Mais par rapport aux modes de transports, habitant en ville, j'ai tous les transports en commun à disposition
sans objet
Non
None
Oui
sans objet
None
Je pense que ces propositions doivent venir des structures locales, mairies, communautés de communes, régions, etc, mais aussi des citoyens concernés qui peuvent s'organiser pour proposer des solutions alternatives et également d'actions mises en place en collaboration structures administratives/citoyens
D'abord, agir ! Ce n'est qu'en mettant en places des actions, puis des évaluations mettant en évidence un bilan positif que nous pourrons faire changer les européens et les reste du monde . Ne pas dire : "vous n'en faites pas assez", mais dire "regardez, nous l'avons fait, et ça marche !"
Sur la pollution : il est aussi urgent d'agir, car son coût sanitaire est important (et par contrecoup, son coût financier en remboursement de soins) Concernant l'agriculture : il est temps de favoriser davantage le développement d'une agriculture respectueuse de l'environnement - et de la santé des consommateurs - , en aidant davantage l'installations de nouvelles exploitations, mais aussi en aidant davantage à la conversion des exploitations (mesures incitatives). Et agir fermement au niveau européen en obtenant des modifications de la PAC : il faut cesser d'aider davantage les grosses exploitations et favoriser les petites (modifications des critères de superficie des exploitations). Ces mesures pourront permettre aux agriculteurs actuels de vivre correctement sans être endettés à outrance (assez des suicides !) et de créer de nouvelles exploitations (donc du travail). Maintenir des transports ferroviaires : évaluer le coût réel d'une fermeture de ligne par exemple. Il n'y a pas que le point strictement comptable : une ligne est déficitaire, on la supprime. Mais que deviennent ceux qui l'utilisaient ? Ils utilisent leur voiture, d'où impact environnemental, plus de pollution. Et de plus, ils ressentent un sentiment d'abandon de la part des pouvoirs publics, d'où tentation possible de se tourner vers l'extrémisme.... Et avant de décider de cette fermeture, il est nécessaire de proposer des solutions alternatives. Je pense que pour tous les thèmes, il faut revoir la méthode : ne plus penser en termes uniquement comptables, mais en termes de coût global, qui intègre coûts sociaux et environnementaux, envisager (avec les représentants locaux et les citoyens concernés) des solutions alternatives. Intervenir sur tous ces sujets en mode incitatif, et non plus punitif : quels avantages va-t-on dégager en mettant en place telle ou telle mesure ? Créations d'emplois, aides financières, aides à la gestion. Les pépinières d'entreprises ne doivent pas concerner que le numérique !
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