Des débats et contrôles parlementaires permanents sur le budget, la collecte de l'impôt et son utilisation
-Tout le monde doit payer quelque chose (IRPP) sinon on déresponsabilise le citoyen. L’IRPP qui concerne moins de 50 % des foyers est il un impôt juste, un impôt citoyen ? - Globaliser les aides de façon a avoir une vision objective des revenus de chacun après perception des aides. Pour moi c'est la seule mesure objective et non démagogique pour ceux qui se plaignent d'aides trop faibles et ceux qui pensent que les aides sont trop élevées.
- Supprimer la redevance TV. Pourquoi payer une TV publique (la 2 et la 3) qui a les mêmes programmes que la TV privée (course à l'audience avec des "novellas" à la française). - Supprimer les niches fiscales : Complexes, illisibles, génératrices de rumeur, performances économiques douteuses. Avec la suppression des niches, on aura des secteurs mis en difficulté mais cela mérite que l’on prenne le risque. Montrer que l’on n’est pas entre les mains de quelques lobbys.
Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Pas d'aides sans contrepartie, Une conditionnalité à chaque allocation : - Allocations chômages : Recherche vérifiable de travail pour une part et travaux d’intérêt général (comment verser une allocation alors qu’il n’y a pas un minimum de travail en contrepartie) - Allocations familiales, allocations parents isolés : obligation de soins matériels et d’accompagnement éducatif de l’enfant Ces conditionnalités peuvent s’accompagner d’une augmentation des aides selon la qualité de la contrepartie.
SDF, Sorties de prison, migrants sur une courte période. Ce sont les cas les plus lourds qui nécessitent un accompagnement long.
Pour les investissements publics dont l'environnement, les infrastructures pour le développement des activités, Un cadre général favorable mais pas ciblé sur telle ou telle activité (La fibre, le transport sont des soutiens à toute activité). Trop ciblé on crée des entreprises shootées aux aides.
Les domaines pour lesquels on a pas besoin d'augmenter les impôts : - Pas pour la culture :Les plus consommateurs de cultures sont les CSP plus. Ils peuvent payer : Ne pas augmenter les impôts pour le patrimoine, la culture, les arts jouer sur l'augmentation des tarifs, le soutien du mécénat, le loto du patrimoine. - Pas pour la santé ni pour l'éducation : dans ces domaines ce ne sont pas les moyens qui manquent (budgets énormes) mais une bonne vision et une bonne gestion. Ne pas rejeter l'augmentation des moyens dans ces secteurs mais jamais sans évolution en contrepartie de la part des acteurs. Les soignants se présentent comme des martyrs ce qui cache beaucoup d'intérêts catégoriels.
- Les maires pour la proximité - Et tous les autres élus car je vote à toutes les élections et je pense choisir librement loin de la pression de 300 000 manifestants.
Non
Au travers du paritarisme et du CESER, ils ont des lieux d’expression.
- Arrêter le décalage entre les programmes électoraux et la réalité du pouvoir. Nos gouvernements ont peu de marges de manœuvre - Pour plus de réalisme et pouvoir se faire une opinion : à toute proposition électorale un chapitre sur le comment et les moyens financiers nécessaires pour juger la proposition. Sans réalisme on construit sur le sable.
Une bonne chose
Une bonne chose pour augmente le nombre d'acteurs.
- Proportionnelle dans toutes les instances élues sauf le parlement ( l'élection présidentielle qui précède à toutes les formes d'un référendum populaire)
Oui
Réduire pour les régions et les départements
Vote obligatoire
Non
Contre : sans choix assumé, il n’y a pas de démocratie représentative. C’est trop facile de se cacher derrière un vote blanc pour dire que l’on est pas responsable de ce qui se passe
Des consultations variées sur les projets qui nous impactent directement : Référendum locaux, sondages, consultation sur internet. Chaque jour on devrait pouvoir donner son avis sur ce qui nous concerne - Pas d'accord avec des référendums pour ou contre le président. cela on le fait tout les 5 ans et c'est suffisant. Par contre pour des sujets comme : ou est que l'on installe la nouvelle classe? quel trajet pour les bus? l'installation d'une unité de production d'énergie ? etc... cela est ouvert à une démocratie participative. Et que ceux qui ne participent pas se taisent à jamais comme pour les bans du mariage.
Oui
A condition de poser plusieurs questions de type QCM, c’est le seul moyen d’éviter le référendum plébiscite et le remplacer par un référendum participatif.
- D'abord plus d'informations économiques. : Qui connait le prix d'une classe supplémentaire, d'un dédoublement ? Le coût du maintien d'un service à l’hôpital ? - Qu'il y ait plus de budgets décentralisés, dans le cadre d'une enveloppe, on doit pouvoir discuter de sa meilleure utilisation. - Le décentralisation doit s'accompagner du transfert des fonctionnaires aux échelons décentralisés (enseignants, pole emploi...)
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Oui
- Fusionner CESER et Sénat - Plutôt que de créer des comités divers et variés se contenter de créer des commissions sénatoriales auxquelles ont peu associés d'autres acteurs pour leur compétence. Mais rester dans le cadre d'une assemblée représentative sénat ou assemblée nationale avec des élus qui ont plus de légitimité que moi même qui n'ai jamais eu à passer devant les électeurs. - Le parlement doit continuer à faire la loi mais aussi doit développer son rôle de contrôle de l’application des lois y compris la loi des finances. C’est trop facile de voter des lois et s’en laver les mains pour leur mise en oeuvre et leur évaluation.
Appliquer la constitution, les lois actuelles ni plus ni moins. Tout le reste c’est donner trop d’importance à la religion qui est très souvent un paravent pour des idées très troubles.
les enseignants ne doivent pas craindre les débats à l’école mais je comprend leur réticence dans le climat actuel ou la suspicion remplace la confiance.
L'engagement citoyen ne peut venir qu'avec notre compréhension du monde et une bonne intégration dans la société et le travail. Il faut offrir à chacun la possibilité, au cours de sa vie, d'une ou deux années sabbatiques pour étudier et changer de qualification.
L'engagement citoyen n'est possible que si l'on banni la violence du débat. L’ordre n’est pas une option c’est la condition pour progresser. Je ne me sent pas en sécurité dans un pays ou des gilets jaunes s'autorisent à contrôler nos déplacements, nous obligent à porter un gilet jaune (à quand l'étoile). Toute avancée obtenue par la violence devrait être inconstitutionnelle. Sinon ou est la reconnaissance pour celui qui ne se livre pas à la violence. Pas de critique sans propositions - Pas de propositions sans chiffrage - Pas de chiffrage sans proposition de financement (impôts, contribution volontaire, …) - Pas de nouveaux financements publics sans l’accord des élus
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Le plus insupportable bloquer un rond point pour entraver la libre circulation des personnes. Je ne veux être l’otage de personne
Interdire les blocages. Les autoriser c’est une prime à la violence
Une vie citoyenne, se forcer le soir de sortir de chez soi pour participer à la vie de la société. C'est une hygiène personnelle mais qui peut être encouragée par des débats ou des initiative citoyennes proche de chez nous. (Atelier d'orientation scolaire et professionnelle, soutien scolaire, alphabétisation).
Les discriminations au faciès. Nous autres français, nous avons un gros problème pour considérer les africains. C’est un effort de tous les jours lutter contre les stéréotypes que nous avons et que l’extrême droite fait passer pour de la culture.
Prendre conscience des mécanismes du racisme et comment les stéréotypes nous manipulent inconsciemment. Question d'éducation.
Oui
Une conditionnalité à chaque allocation : - Allocations chômages : Recherche vérifiable de travail pour une part et travaux d’intérêt général (comment verser une allocation alors qu’il n’y a pas un minimum de travail en contrepartie) - Allocations familiales, allocation parents isolés : obligation de soins matériels et d’accompagnement éducatif de l’enfant Ces conditionnalités peuvent s’accompagner d’une augmentation des aides selon la qualité de la contrepartie.
Faciliter l’accueil des étudiants étrangers
Oui aux quotas mais pas selon les origines géographiques plutôt selon les qualifications et l’apport à l’économie
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Ne pas laisser les gens sans statut. Admis ou refoulé. Si admis un permis de séjour immédiat pour qu’ils puissent travailler et s’insérer tout de suite
300 000 gilets jaunes ils ne sont pas la France de 40 à 50 M d’adultes. Comment fait on pour qu’une minorité ne nous dicte pas leur façon de voir. Pour que vive une "personne = une voix". La démocratie tout simplement. Pour moi les violences et les blocages sont des freins à la démocratie
- Des évaluations avant toute chose .- Plus d’embauches sous le statut de fonctionnaire seulement des embauches dans le cadre général public privé- Le droit du travail doit s’appliquer de la même manière dans le public et le privé (un seul droit du travail) - Ne pas confondre services publics et emploi publics. Le service peut être rendu par d'autres organismes sous contrat. ce qui peut contribuer à apporter à l’administration des savoirs faire qui lui manquent. - Une fonction publique pléthorique dans le Backstage et insuffisante dans le contact avec l'administré (qui est en général le plus compliqué)
Oui
Le logement, l'emploi, l'autonomie des académies sur l'organisation de leurs établissements, l'enseignement supérieur, La culture. Nouvelles missions ne veut pas dire hors cadre, mais plutôt la capacité à adapter des directives générales au contexte local.
Oui
Aucun, je suis peu consommateur de services publics. moins je les encontre mieux je me porte et j'économise du diesel
- Toutes les démarches doivent pouvoir être réalisées sur internet 24 h/24 et 7j/7 - La possibilité de poser des questions et répondre par mail avec la garantie d'avoir une réponse sous 24 h - Arrêter d'utiliser la poste (trop long, trop peu fiable) ou au moins laisser au choix Poste ou mail pour tous échanges avec l'administration
Non
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Toutes ces formes nouvelles sont intéressantes
- Les impôts pour l'espace personnel avec en général des réponse circonstanciées et la possibilité de paramétrer les modalités de règlement de l'impôt, - Pôle emploi pour le volet indemnisation. - Ces exemples montrent que l'on peut généraliser l'administration par internet et encore aller plus loin
- Pour moi se sont les entreprises de services publiques qui ont le plus besoin d'évoluer (La Poste, EDF, SNCF), Elles n'ont d'entreprise que le nom. - Les préfectures à part le rôle de représentant de l'état du préfet, je vois mal quels services elles rendent. Les sous préfectures seraient à supprimer, elles datent du temps des diligences. - La santé s’appuyant sur des maisons médicales avec un médecin de permanence 24h/24. Le problème des urgences serait partiellement résolu. Le rapport des médecins au service public est à réaffirmer. Ils ne peuvent pas émarger à la dépense publique (Nous payons tous la sécurité sociale qui garantie le paiement au médecin) sans qu’en retour les médecins n'assurent pas une couverture médicale permanente et sur tout le territoire.
Oui
Non
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Les enquêtes auprès des entreprises qui font doublons avec les déclarations obligatoire. Le Big data en utilisant les déclarations obligatoires des individus et entreprises suffiraient. Pour cela faire évoluer la loi informatique et liberté.
Oui
Oui pour plus d’autonomie, plus de capacité de prendre des décisions mais pas d’arbitraire. Ils doivent aussi pouvoir s'engager pour toutes les administrations qu'ils représentent dans le cadre d'un guichet unique
Oui
- Formation à l'accueil et l'accompagnement de l'administré (qui est d'abord quelqu'un qui essaie de comprendre avant d'être quelqu’un de pénible et malhonnête auquel beaucoup de fonctionnaires voudraient le réduire) - Formation à la connaissance de son administration et pas seulement du poste qu'il occupe ( Leur encadrement a tellement peur qu'ils se trompent qu'il ne leur est laissé que peu d'initiative) - Formation aux nouvelles technologies pour qu'il n'y ait pas de frein en interne sur la numérisation des services publiques - Formation à changer de métier (en entreprise on change de métier en passant par le chômage, dans la fonction publique ou l'on a la sécurité de l'emploi on doit au moins accepter en contrepartie de changer de poste et de métier)
- Laisser la possibilité de chaque échelon de s'adapter au contexte local. Le SMIG, les aides sociales fixés au niveau national n'a pas de sens quand un logement coûte 1500 € / mois à Paris et 300 € / mois dans un village isolé. - Toujours ramener les efforts financiers de l'état pour le territoire au nombre d’habitants. Un même montant de services public par personne quelque soit la partie du territoire. Un rural ne doit pas avoir plus de soutien qu’un banlieusard. Cela ne veut pas dire que l'on doit utiliser la manne de l'état pour les mêmes réalisations.
- Mobiliser son CPF pour une formation est très compliqué. J'espère que les OPCA et l'EN vont se retirer de la formation continue car ils ne font qu'ajouter lourdeur et inefficacité. - Si nous voulons répondre aux besoins de formation pour s'adapter à cette société qui change en permanence, il faudrait se doter d'un dispositif de formation tout au long de la vie (formation plus rémunération) permettant au cours de sa vie professionnelle de bénéficier de 1 ou 2 ans de formation lourde (changement de niveau V à IV, IV à III ....). On ne change pas le cours de sa vie professionnelle avec 150 h de formation étalée sur plusieurs années.
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- J'ai du actualiser 3 fois mon dossier de retraite (copie des fiches de salaires, certificat de travail avec tirage papier car les scans et les mails ne sont pas reconnus ) une première fois à 60 ans, une deuxième fois parce que j'ai changé de caisse de MSA et une 3ème fois pour AGIRC, ARCCO. C'est incompréhensible alors que mes employeurs ont toujours déclaré mon salaire pour régler les cotisations retraites. Les différents régimes se coulent eux mêmes car maintenant on a qu'un seul désir c'est qu'ils disparaissent suite à leur inefficacité administrative.
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Satisfaction, Pôle Emploi dispose d'un grand nombre de CV et j'ai toujours réussi à recruter jusqu’à Bac + V en publiant des offres chez eux.
- Insatisfactions des OPCA dans la prise en charge des formations : choix limité de formations acceptées, lourdeur du dossier, paiements aléatoires. C'est la limite du paritarisme, les employeurs comme les syndicats de salariés rajoutent chacun une couche pour rendre le dispositif inapplicable. - Imaginer un contrat de formation qui lierait accord du salarié et accord de l'employeur qui serait à la base de l'action de formation et non pas les OPCA.
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Aucun problème concret, perceptible
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Non
La difficulté avec les questions d'environnement c'est quelles sont peu perceptibles intuitivement. Si on s'appui sur notre intuition on dit des bêtises (un hiver neigeux et on conclu que la planète refroidie). Il faut s'appuyer sur la science pour en voir la réalité mais c'est pas facile à comprendre.
Oui
- Modifier mon alimentation - Mieux calculer mes déplacements - Des équipements maison plus sobres, plus durables
L'offre locale de transport collectif. Avec l'age je suis prêt à prendre le bus depuis chez moi, même pour les courses de proximité. Cela m'évitera de renverser un piéton.
La fiscalité écologique sur les comportements les plus antiécologiques reste le plus simple - La pression sur les entreprises pour qu'elles aient des produits et services respectueux de l'environnement - La pression fiscale peut rétablir la distorsion des coûts entre respectueux et non respectueux - Dommage qu'on ai patiné avec la taxe carburant au risque de discréditer l'idée pour plusieurs années. (Dans l'écologie, il n'y a que des coups à prendre tant le bénéfice des mesures est peu palpable)
Non
j'ai déjà une chaudière basse consommation mais j'aurai à la changer - Des aides oui, mais aussi la pression sur les fabricants pour un minimum de rendement énergétique de leur chaudière - Qu'il n'y ai pas une distorsion avec des prix plus attractifs pour les moins disant écologiques.
Oui
Qu'elles existent localement, qu'elles soient pratique et facilement accessible.,- Pour le vélo, un vrai réseau de desserte sur l'ensemble de l'agglomération et surtout de vraies pistes cyclables éloignées des voitures. Actuellement on se sent comme des cibles pour les automobilistes. - L'état a un rôle sur la législation et la fiscalité favorable à ces nouveaux modes de transports - Pour l'organisation et les investissements cela doit relever plus des communes et des échelons proches.
Les transports en commun|L'auto partage|Le transport à la demande
- Le marché avec la réalité des coûts. Comme ne plus subventionner le transport automobile - Faire contribuer les camions à l’entretien de routes - Concurrencer la SNCF pour le train sur les grandes lignes (Essayer de gagner du pouvoir d’achat par ce moyen), lutter contre la désaffection vis-à-vis du train par des tarifs attractifs. - Pour les transports urbains, tester la gratuité (dans les villes moyennes les transports en commun sont en place mais bien trop peu utilisés. Les coûts sont là autant en faire profiter le plus grand nombre. La contribution des utilisateurs est si partielle que la gratuité ne changerait rien dans l'équilibre économique du service. - Développer les solutions numériques (administration, formation, approvisionnement de la maison, télétravail) pour diminuer les déplacements
Soutenir les textes en faveur de l’environnement quelques soient le parti qui propose, Ne pas se laisser imposer des choix par les lobbys y compris nationaux
Face à des enjeux difficile à percevoir, la formation scientifique, économique de la population est nécessaire. L'image des ours blancs en dérive sur des bouts de banquise sont très insuffisants et peut être même nuisibles tant il s'éloigne de l'écologie quotidienne. Je préfère que l'on parle à mon intelligence qu'a ma sensibilité.
Votre message a bien été envoyé.