Date de publication : 2019-02-26
Code postal : 93330

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Informer et former dès l'école primaire les enfants sur ce que sont les contributions, sur leur utilisation, le devoir de chaque citoyen (toute personne physique ou juridique) de contribuer au fonctionnement de la société. Informer de manière personnalisée, chiffres à l'appui, chaque citoyen de l'ensemble des aides perçues au long de sa vie, depuis sa vie intra-utérine jusqu'à son décès.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Contribution obligatoire progressive dès le 1er Euro gagné (par le travail ou les aides sociales) pour tous (particuliers, entreprises, associations, groupes, holdings, etc.) partant du principe que nul ne peut bénéficier des apports de la vie dans notre société sans contribuer. Baisse drastique des impôts indirects (TVA) sur tout ce qui fait la vie quotidienne (logement, alimentation eau potable comprise, hygiène personnelle, produits ménagers, habillement, santé, énergies propres, transports en commun, téléphonie, etc.) et ceux qui seraient maintenus parfaitement signalés sur chaque facture. Augmenter la polyvalence des fonctionnaires installés dans des cités administratives réunissant l'ensemble des services locaux et nationaux, accessibles par Internet mais avec un langage simple et non le jargon d'ingénieur informaticien ou de l'administration qui est souvent aussi abscons que le jargon juridique. Instaurer les 3 jours de carence pour arrêt maladie dans la fonction publique. Présenter à chacun et chaque fois le coût généré par la demande d'information, de document formulée auprès de l'administration. Encadrer les salaires de la fonction publique nationale, territoriale et hospitalière. Pour responsabiliser chaque citoyen, informer du coût réel de fonctionnement de la République française, à travers l'ensemble de ses composantes, depuis le Palais de la Présidence jusqu'à la commune, les contributions de la France au budget de l'Union Européenne, y compris les Armées et les divers services de police et de douane, le réseau de distribution de la Banque de France. De même pour l'ensemble des services proposés: maternité, éducation publique et privée conventionnée, apprentissage, formation continue, Universités, transport en commun, réseau routier, les aéroports, les ports, le courrier, l'électricité, l'eau potable, la téléphonie, le réseau de traitement des ordures ménagères, du traitement des eaux usées, la Sécurité Sociale, le réseau des hôpitaux publics et privés conventionnés, le service parcours santé et la gestion de la Carte Vitale, etc.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

La TVA sur tout ce qui fait le quotidien (logement, alimentation eau potable comprise, hygiène personnelle, produits ménagers, habillement, santé, énergies propres, transports en commun, téléphonie, etc.) sans quoi il n'y a pas de vie digne dans la France d'aujourd'hui.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Toute personne physique ou morale, du fait d'être installée sur le territoire de la République française, doit contribuer à proportion de ses ressources à la vie collective: santé, chômage, retraite et infrastructures du pays, sans quoi nul ne peut étudier, travailler, vivre sa vieillesse et mourir dignement.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

L'attribution des aides sociales doit être simplifié et chaque citoyens doit être informé des éventuelles aides sociales auxquelles il pourrait prétendre. Mais les aides sociales, et la retraite ne saurait être considérée comme une aide sociale, ne peuvent pas être conçues pour maintenir un train de vie antérieur au moment où l'aide sociale est devenue impérative. Un suivi régulier et très fréquent de la situation de chacun allocataire est à établir comme par exemple pour les résidents en logement social, les mères célibataires, les agriculteurs, les demandeurs d'emploi, etc. Pour ce qu'il en est de l'éducation, seule la scolarité obligatoire doit être gratuite, au-delà, les entreprises doivent contribuer à financer la formation de leur future force de travail sans avoir pour autant la main-mise sur l'ensemble des programmes de formation, seuls les plus démunis devraient recevoir des aides qui leur permettent de vivre dignement leur temps de formation professionnelle ou universitaire

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Pour les handicapés; pour les personnes seules sans travail ou retraitées; pour les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et leurs accompagnant; pour les sans-abris qui désirent se réinsérer

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Pour toute transformation qui soumette l'action publique à obligation de résultat dans des délais raisonnables. Par exemple l'éducation nationale, les transports publics, l'accueil du quatrième âge, l'accueil et la formation des handicapés, la lutte contre les fraudes de toute espèce

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faudrait que la France ou même les Régions puissent, au moins en partie, s'endetter auprès de ses citoyens ou des citoyens européens et non seulement auprès d'institutions financières internationales

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Conseillers municipaux, maire, député et délégués syndicaux, les associations des parents d'élèves, l'association paroissiale car ce sont toutes des personnes que je connais.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

pour une représentation au plus près du citoyen et ces organisations sont un apprentissage irremplaçable de la vie en collectivité et une excellente préparation à prendre plus tard des responsabilités politiques locales puis peut-être nationales.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Que les élus cessent de mentir durant les campagnes électorales, qu'ils disent le vrai des situations à démêler,. S'ils avaient le réel souci du service à la collectivité, ils n'auraient pas tant à se préoccuper de leur sort personnel car ils seraient réélus. De même, chaque citoyen doit savoir ce que coute réellement le poste qu'occupe chaque élu , y compris les indemnités, son droit à protection et à protection de leur famille, les droits à retraite, les fonds spéciaux, etc. Ce qui leur est demandé, ce n'est pas d'être expert en tout, mais de présenter au citoyens une feuille de route non mensongère et qu'ils s'y tiennent.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Dans tous les domaines, le turnover excessif est une mauvaise chose mais une fois que le poste a été tenu un temps raisonnable avec succès, il faut évoluer, et celui qui est mauvais doit céder la place.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Dans les communes, ceux qui ont été battus devraient obligatoirement intégrer un comité qui doublerait en quelque sorte le conseil municipal, sans voix au chapitre, afin d'observer ce qui se passe et comment cela se passe. Ce serait aussi une école de formation. De plus, personne ne pourrait mentir aussi facilement sur les objectifs de ceci ou cela

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Il faut apurer les conseillers à chaque niveau du millefeuille et surtout que les services administratifs des uns ne doublent pas ceux des autres car ce sont des niches à places pour les amis ou à achat de votes

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Trop peu de participation sans que les non votants s'abstiennent ensuite de critiquer ce qui se fait, d'exiger ceci ou cela alors que leur non participation à l'élection est leur affirmation que la chose collective leur importe nullement. Vote obligatoire avec sanction pécuniaire dissuasive pour les non votants

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Non

12. Si oui, de quelle manière ?

None

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Si l'élu ou le collectif élu a présenté des projets réalistes, exempts de tout mensonge, il ne doit pas y avoir de problème. Quand se présente un imprévu (sauf sécurité d'État), éviter de travailler en catimini, informer, s'informer, élargir le plus possible le champ des conseillers, présenter les solutions aux citoyens affectés par ce qui sera décidé, mais au final la décision appartient à l'élu ou au collectif élu.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Il faut d'abord informer avec simplicité et clarté de qui sera fait avec l'argent public. La très large majorité des citoyens ne sont pas des experts dans le fonctionnement de l'État, mais ils sente instantanément le mensonge, la duperie et la roublardise. Si ce qui est fait n'est pas entaché de ces malveillance, chacun le perçoit. Si les choses sont ainsi présentées et réalisées, ce sont les opposants qui n'auront d'autre recours que de mentir, duper et être roublard, à ceux en poste de le démontrer par les intérêts cachés que défendent les opposants

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Rôle de leaders à l'écoute des territoires, non pas de loin, mais au plus prêt pour se forger une opinion la plus claire possible de ce qu'attend le territoire sans pour autant oublier toute perspective d'avenir qu'il est en devoir de concevoir

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

En terminer avec un clergé payé par l'État en Alsace Supprimer les jours féries liés à une religion Faire respecter sans exception les lois de la République par les fidèles et les représentants de toutes les religions Chaque dignitaire d'une religion doit, comme les fonctionnaires de la fonction publique, prêter serment devant les tribunaux et faire allégeance à la République française Mettre fin à toute manifestation religieuse hors l'enceinte des lieux de culte pour toutes les religions, y compris chrétiennes, comme par exemple les processions ou encore les messes en plein air (ce qui n'est pas les cas d'un stade par exemple), En principe les religieux n'ont à s'exprimer qu'au sein de la communauté de leurs fidèles, mais s'ils doivent s'exprimer publiquement sur un sujet de société, ce doit toujours se faire dans le respect des lois de la République, être destiné à l'ensemble des citoyens et non aux seuls fidèles de la religion en question, ne jamais susciter la division Le choix de devenir dignitaire d'un religion implique une mise à part, une séparation de la chose publique, l'affirmation d'une idéologie souvent incompatible avec la marche du siècle. Le dignitaire ne peut jamais entrer en conflit avec la société au sein de laquelle lui et ses fidèles vivent. À eux de se mettre en conformité non à la société.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Par l'éducation obligatoire aux valeurs et lois de la République et de l'Union Européenne, dès le plus jeune âge et pour tous ceux qui violent ces valeurs et lois. Il en est de même pour l'ensemble des immigrants qui décident demeurer en France

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Former les citoyens au fonctionnement de notre société et surtout ne pas les laisser dans l'ignorance car alors se construit un monde fantasmatique. Chacun doit apprendre le millefeuilles administratif, à quoi sert chaque feuille, tout ce qu'il doit à la société et tout ce qu'il a reçu de la société et couté à la depuis sa vie intra-utérine jusqu'au moment de sa mort bet de sépulture

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Le respect de chacun, la tolérance, la sureté des personnes, la sécurité des biens, le vivre ensemble

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Formation dès la maternelle, veiller aux dérives nées dans la famille et les corriger, expliciter clairement lors des embauches la manière de servir attendue par l'entreprise, de même dans les clubs et associations, chaque dérive doit être justement sanctionnée sans la moindre exception tout au long de l'existence

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Contrairement à ce qu'espère un part importante de la population, ce qui peut être valorisé ce n'est pas l'engagement ponctuel mais sur la longue durée, ainsi pourrait être mis en place un système de valorisation similaire à celui qui permet à un travailleur de valider ses acquis professionnels. Bien sûr, pour cette opération, l'engagement doit s'effectuer au sein d'un organisme déclaré, authentifié, légal, qui devrait, suivant une procédure déterminée, assurer un suivi régulier des actions et comportements du citoyen engagé.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les insultes, les heurts, les petites brutalités, le terrorisme quotidien, l'irrespect, le bruit, qui souvent ne sont que le fruit de personnes qui veulent voir ce que sont capables de supporter ceux qui sont ainsi agressés Éduquer, éduquer encore, y compris les parents, les éducateurs, les professeurs ou comme les responsables d'ateliers démissionnaires.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Ne pas laisser les actes d'incivilité dénoncés et prouvés impunis, comme par des heures de travail civique touchant particulièrement le domaine où l'incivilité a été commise.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

D'abord ne pas commettre soi-même d'incivilité Faire que nos actes correspondent à ce que nous enseignons à nos enfants Dénoncer avec preuve les actes d'incivilités subis Porter plus d'attention à nos voisins de vie, au travail, dans les déplacements, dans les commerces

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

contre les juifs dans les transports, les centres commerciaux et même au travail contre les personnes âgées diminuées physiquement, contre les jeunes filles d'origine nord africaine

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Éduquer, éduquer encore, et ne pas laisser ces actes impunis

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Volontaire dans un panel de possibilités qui offre formation et ouverture vers le monde du travail

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

L'immigration ne me semble pas un problème, ce qui pose problème c'est le manque d'accueil, de formation à notre langue et à notre civilisation, aux devoirs à remplir pour appartenir à notre société, la manque d'accompagnement à l'intégration

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Seule un politique commune à toute l'Union Européenne semble pouvoir répondre à ce phénomène qui n'en est qu'à ses tout débuts. Il faudra que l'Union Européenne fasse savoir dans tous les pays d'origine des immigrants en nombre qu'elle ne peut plus recevoir de main d'oeuvre non formée, non spécialisée car elle dispose déjà parmi ses ressortissants des millions de personnes non formée qu'elle ne peut utiliser. Mais ce discours doit être doublée d'une chasse aux employeurs de main-d'oeuvre clandestine

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

L'intelligence artificielle éloigne chaque jour les personnes non formées du monde du travail. Ceci doit être su et diffusé auprès des populations de notre pays et des pays d'émigration. On peut tenter de contribuer au développement de ces pays mais l'histoire a prouvé que dès que le niveau de vie commence à augmenter dans un pays du tiers ou quart monde, immédiatement ceux qui sont formés, au lieu de travailler au développement de leur pays, souhaitent immigrer dans un pays développé dans l'espoir d'améliorer considérablement sinon leur sort, celui de leurs enfants. Pour l'heure, le problème ne semble pas avoir de solution tant que les taux de fécondité des pays d'origine de immigration ne diminuera pas très sensiblement.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

La qualité de 'accueil, de la formation à notre langue et à notre civilisation, l'enseignement des devoirs à remplir pour appartenir à notre société, un accompagnement à l'intégration similaire à celui que l'on accorde à nos enfants.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Depuis plus de 40 ans, le principe qui stimule nos politiques est l'enrichissement des investisseurs au détriment de la main d'oeuvre. Si le paradigme n'est pas inverti, c'est à dire que si la prise de risque ne retourne pas comme auparavant du côté des investisseurs toute tentative pour établir une société paisible sera vain. S'il le choix politique n'est pas fait d'orienter progressivement la majorité du fruit du travail verts la majorité des personnes qu'est la main d'oeuvre, nous allons à la catastrophe. Chacun se mettra à n'accomplir que le strict nécessaire, en appliquant scrupuleusement toutes les procédures (grève du zèle), et toute notre belle mécanique sera bloquée. Associez à cela une consommation réduite au strict nécessaire puisque la main d'oeuvre y est réduite, et tout notre système économique s'effondre. Il n'est plus temps de se payer: « nous sommes en train de vivre plusieurs bouleversements inédits : le capitalisme ultralibéral et financier trop souvent guidé par le court terme et l’avidité de quelques-uns, va vers sa fin ; notre malaise dans la civilisation occidentale et la crise de notre rêve européen sont là »; il faut des actes fort, coûte que coûte.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Dès la maternelle former les enfants à l'anti gaspillage. Réorienter la consommation vers des produits de proximité chaque fois que possible. Ne plus importer de produits fabriqués sans une véritable prise en compte les dérèglements climatiques. Accélérer la rénovation des logements grâce à une contribution collective. Toute consommation d'énergie fossile (le nucléaire est également une énergie fossile) doit être taxée pour l'ensemble des consommateurs particuliers, professionnels et administrations, quel que soit le domaine d'activité. Le coût du transport de chaque produit doit être répercuté dans le prix de vente pour tous les produits et services, y compris le coût du transport de l'employé qui se rend à son travail puis retourne à son domicile. Toute personne morale ou juridique établie sur le territoire de la République française ne doit pouvoir se soustraire à ses obligations citoyennes.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Dérèglement des saisons; diminution de la production de mon jardin potager et mon verger; soins de dermatologie; augmentation des dépenses d'énergie pour chauffer et climatiser

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Tri des déchets; abandon de la voiture d'où marche et transport en commun; diminution drastique des déplacements; récupération des eaux usées non sales pour les WC; baisse du chauffage à une moyenne de 18,5º; ne plus consommer de fruits et légumes qui ne soient pas de saison; quasi non consommation de viande rouge et de poisson de haute mer; utilisation de produits ménagers et d'hygiène personnelle non toxiques pour l'environnement (plus coûteux); déconnexion des appareils électriques durant leur non utilisation.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

c'est déjà fait

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

faire cesser toute publicité qui ne soit purement informative; cesser de diffuser une représentation télévisuelle des français comme appartenant très majoritairement aux classes moyennes supérieurs alors que la majorité est pauvre, sans formation suffisante et donc sans futur

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le vélo|La marche

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Une contribution minime, unique et généralisée à l'ensemble de la population afin de rendre les transports en commun locaux (la Région) gratuits

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Organiser une association des pays volontaires entre lesquels seraient signés des traités commerciaux privilégiés afin d'en finir peu à peu avec des accords commerciaux auprès des moins disants écologiques

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Un effort majuscule doit être entrepris pour l'isolation thermique et phonique de tout logement social sur l'ensemble du territoire métropolitain et outre-mer. De même pour l'ensemble des établissements des administrations nationale et locale, des armées, des hôpitaux, des entreprises de droit public. Remplacer par des véhicules propres tout le parc automobile de toutes les administrations, tous les bus et bateaux qui assurent un service de transport public puis peu à peu de tout le parc des véhicules à moteur à explosion, privés, de transport humain et de marchandises.