Rien. Il ne faut pas rêver. Entre ce qui sera dit ou écrit et la réalité il y aura toujours un monde de dissimulation.
RETABLIR l'ISF. Même si cela ne rapporte pas grand chose, c'est symboliquement primordial. La paix sociale est à ce prix. A qui veut-on faire croire que sa suppression fera rentrer en France les exilés fiscaux (entre parenthèses, bonjour le patriotisme !) ? Il me semble également que l'impôt sur les sociétés devrait être modulables en fonction des emplois créés ou supprimés. Les entreprises sont les grandes bénéficiaires de l'argent public. On ne leur demande rien en contrepartie. Il serait juste lorsqu'elles licencient ou mettent la clef sous la porte (surtout lorsqu'elles sont viables) qu'on leur demande de restituer une partie de la manne qu'elles ont engrangée aux frais du contribuable.
La CSG, si je ne m'abuse, était destinée à être temporaire ? Il serait peut-être temps que l'Etat clarifie la situation et cesse de tromper le citoyen. Il est certains domaines de la vie quotidienne où le taux de TVA est excessif. Pour les impôts courants (revenu, TH, TF) je ne vois pas comment on pourrait les baisser sans mettre en péril le budget branlant de l'Etat. Mais pour les taxes foncières et d'habitation, elles devraient être publiques, particulièrement dans les communes rurales. Cela éviterait les tarifications arbitraires car on constate souvent que les édiles qui fixent les taux ont la main très légère en ce qui les concerne, et beaucoup plus lourde pour les autres.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Il est indécent d'attribuer par exemple l'allocation de mère célibataire (ou parent unique) à des femmes mères de plusieurs enfants qui vivent en concubinage notoire. Je distribue des colis alimentaires à une centaine de familles de mon quartier et le cas est quasi général. C'est une véritable escroquerie aux fonds publics. Si les couples mariés étaient davantage aidés que ne le sont ces fausses mères célibataires, cette allocation de complaisance fondrait comme neige au soleil. Il m'apparaîtrait également juste que l'on demande aux bénéficiaires du RSA d'effectuer quelques heures de travaux d'intérêt général ne serait-ce que pour leur éviter de s'installer dans une oisiveté dont ils ont ensuite le plus grand mal à sortir.
Incontestablement l'assistance aux personnes âgées qui deviennent au fil du temps les plus vulnérables.
Pour l'aide au grand âge. Il est vrai que la vignette auto leur était destinée. On voit l'usage qu'en ont fait les gouvernements successifs et le crédit à accorder à leurs promesses !
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Au député de ma circonscription car il est proche des gens et à leur écoute.
Non
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Le lien n'est pas dénoué avec les élus qui détiennent un mandat local. C'est avec les édiles nationales qu'il y a divorce. L'électeur ne se sent plus ni écouté ni respecté. Par exemple lorsqu'en 2005 on lui confisque le résultat d'un referendum en faisant des pieds et des mains pour contrecarrer un résultat (à près de 55 %) qui n'allait pas dans le sens souhaité par les gouvernants, il ne faut pas venir pleurer sur le délitement de la démocratie et l'abstention aux scrutins suivants. La distorsion entre le train de vie de l'Etat et celui du citoyen est également source de rancoeur. Tout comme les mesures molles en matière d'environnement résultant d'un asservissement obséquieux aux lobbys de toutes sortes. Davantage de proximité avec le citoyen, une écoute moins condescendante et moins de certitudes arrogantes permettraient peut-être de s'acheminer vers une ébauche de réconciliation.
Une bonne chose
Un vieux proverbe dit qu'on ne peut être à la fois au four et au moulin. Etre maire est déjà suffisamment prenant sans qu'on y ajoute d'autres mandats. Le cumul favorise de plus la suzeraineté locale et amène certains à se conduire en véritables potentats de sous-préfectures.
C'est évident : une dose significative de proportionnelle, comme dans la plupart des pays.
Oui
Les Conseillers généraux et les Conseillers régionaux me semblent faire double-emploi. Il me semble que le même élu pourrait représenter son canton (peut-être en faudrait-il un peu moins) à la fois au département et à la région. Ce serait plus efficace et beaucoup plus économique.
J'ai toujours voté par devoir et avec de moins en moins de conviction. Aussi je comprends très bien que de plus en plus de citoyens décrochent et ne voient plus l'utilité de s'exprimer. Si l'on se réfère à 2005, cela ne sert effectivement à rien. Pour un referendum, poser les bonnes questions et tenir compte de leur avis est déjà la moindre des choses pour les motiver. Pour les autres scrutins, les élus se sont tellement tirés de balles dans le pied pour se décrédibiliser eux-mêmes qu'il leur appartient, et à eux-seuls, de combler l'abîme dans lequel ils se sont jetés en favorisant les intérêts particuliers au détriment du bien commun.
Oui
En le considérant comme un suffrage exprimé. Et en instaurant un pourcentage au-delà duquel l'élection est invalidée.
Le RIP serait déjà un premier pas vers une démocratie plus participative. Mais plus l'élu sera à l'écoute du citoyen, moins le RIP sera sollicité.
Oui
En cessant de se moquer du monde et en abaissant les conditions de déclenchement du RIP, celles de 2015 étant une atteinte de plus à la démocratie par ses conditions irréalisables.
Le RIP pourrait justement servir à cela.
Leur rôle est tellement assujetti au pouvoir central que leur marge de manoeuvre est faible. Je doute fort que notre monarchie républicaine soit disposée à leur donner plus de pouvoirs.
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La question ne se posait pas jusqu'à ce que l'Islam devienne omniprésent. La formation des ministres du culte des autres religions n'a jamais posé de problèmes. Mais il serait peut-être temps de se pencher sur celle des imams et sur leurs origines.
Ce sont des valeurs qui doivent être enseignées par la famille et l'école. Si l'Etat devait s'y substituer, c'est qu'il y aurait faillite de l'une et de l'autre.
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Oui
Il ne manque pas de travaux d'intérêt collectif qui pourraient être effectués en contrepartie de ces allocations.
L'immigration et la politique migratoire ne doivent pas être dissociées du travail. Il est incompréhensible de refuser l'accès au travail à ceux qui ne détiennent pas un titre de séjour. Cela alimente un cercle vicieux. Pas de titre, pas de travail et pas de travail donc pas de possibilité d'obtenir un titre de séjour.
Ce n'est pas au Parlement de fixer des objectifs. Tout immigré dénichant un emploi doit pouvoir rester sur le sol français. Tout immigré n'en trouvant pas au bout d'un certain temps doit être reconduit à la frontière. L'obtention d'un emploi doit conditionner le droit d'asile.
Le principe qui est utilisé en Suisse et aux Etats-Unis : en gros, tout immigré est accueilli et aidé durant une certaine période, en général un an. Au bout de cette période, soit il a déniché un emploi, soit il cherche encore. Une seconde période de six mois est accordée à celui qui est toujours en recherche. Les six mois écoulés, s'il n'a toujours rien trouvé, il est reconduit à la frontière. Trop souvent, la France est considérée comme un pays de cocagne en matière d'aide sociale. Nous n'en avons plus les moyens. Le contribuable demande grâce. L'assistanat automatique et perpétuel doit cesser. Accueillir l'immigré qui veut travailler, OUI. Celui qui n'aspire qu'au RSA et à la CMU, NON.
Les immigrés italiens, polonais, portugais, asiatiques se sont intégrés sans problèmes. Les arabes qui travaillent aussi. Seul le travail permet l'intégration. L'accès au travail doit être accordé à tous et l'installation sur le sol national doit lui être assujetti.
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TOUS sont cruciaux et méritent d'être traités.
STOP au tout-voiture. STOP aux transports de denrées alimentaires en provenance d'Asie ou d'Afrique comme si l'on n'était plus capable de produire en France. STOP aux pesticides et aux engrais chimiques qui empoisonnent nos sols en décimant insectes et oiseaux. Sommes-nous devenus un pays si indigent qu'il ne soit plus possible de trouver des pois gourmands qui ne proviennent pas du Kenya ou un réfrigérateur qui ne soit pas fabriqué hors-frontière ?
Oui
Augmentation sensible des températures, diminution des précipitations, récoltes précoces, disparition de la faune tous les jardiniers amateurs se rendent compte au quotidien des méfaits du réchauffement climatique. Sans parler de la nécessité d'installer des climatiseurs polluants et consommateurs d'énergie si l'on veut supporter les surchauffes estivales qui deviennent la norme.
Oui
Recyclage des déchets (ce qui me paraît bien mince par rapport au tonnage quotidien de CO2 dégagé dans l'atmosphère par les avions et tous les véhicules terrestres). Isolation des domiciles. Utilisation de produits Bio. ABANDON DE LA VOITURE non-indispensable puisque j'habite un centre-ville. A la campagne, renoncement au chauffage au bois.
L'économie engendrée par l'abandon de la voiture devrait suffire à tous les automobilistes, véritables vaches-à-lait de l'Etat, pour les inciter à franchir le pas.
J'ai déjà changé mes comportements sans rien demander à personne.
Oui
En ville, lorsqu'on habite une copropriété à chauffage collectif la marge de manoeuvre est limitée.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
Pour la bonne raison que j'ai renoncé à la voiture et que je m'en félicite.
Les transports en commun|Le transport à la demande|Le covoiturage
On ne peut tout demander à l'Etat. C'est à l'individu de cherches ses solutions. Exception faite pour les personnes âgées en zone rurale non desservies par les transports en commun à qui un service de transport à la demande devrait être systématiquement offert par le Conseil Général pour rallier le chef-lieu de canton et les services (ce qui existe dans certains départements mais pas partout).
Si la France était pionnière en la matière, cela se saurait. Elle a pour l'instant plutôt à s'inspirer d'autres pays (ceux du Nord de l'Europe, par exemple) plutôt que de faire partager son absence de choix et de politique efficace en la matière.
Une écotaxe s'impose pour les dizaines de milliers de poids lourds qui traversent la France au quotidien. J'habite près du sillon rhodanien qui devient invivable. Même chose dans la vallée de Chamonix. Il serait temps d'arrêter de se plier au lobby du transport routier. Le ferroutage doit également IMPERATIVEMENT être développé. Il est lamentable d'être aussi nul sur ce chapitre.
Votre message a bien été envoyé.