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Pourquoi les politiques publiques de réduction de la pauvreté restent vaines dans les zones Françaises en difficultés ? Pour comprendre le sujet et notamment les enjeux du Grand Débat qui a eu lieu ce jour 03/02/2019 sur Trappes, j'invite à bien saisir le modèle conceptuel ci-dessous: 1 - Structure stratégique : a - Réseaux (maçonnique et autres) b - Partis politiques 2 - Fonctionnement (structure opérationnelle) local : a - Populations laissées pour compte, b - Acteurs sociaux (maires-associations apolitiques et politiques) 3 - Environnement : a - Communes voisines En clair il y a un fonctionnement local qui est phagocyté par des acteurs sociaux qui souvent utilisent les communes pauvres comme pied à terre avec juste une boite à lettre mais n'y habitent point. C'est le cas du Maire actuel de Trappes Guy Malandain et de son protégé Benoit Hamon qui avait été bombardé sur la commune par recommandation de feu Henri Emmanuelli. Ces acteurs sociaux ont au-delà de leur parti politique d'appartenance des liens indéfectibles notamment à travers les réseaux dont les loges maçonniques et autres. C'est ainsi que malgré la baisse des dotations financières aux communes avoisinantes, Trappes commune bien dotée continue à être la zone de profit des habitants des communes voisines où les populations disposent de relations solides auprès des acteurs sociaux de la ville. Toutes les dotations de la ville sont littéralement aspirées par les communes riches environnantes avec la complicité du Maire de la Ville. Pour s'en convaincre, si on ferme la N10 dans les deux sens et les routes départementales, l'activité sur Trappes s'arrête parce que tous les salariés exerçant sur la ville viennent d'ailleurs. Sur la ville dortoir de Trappes ne résident que des bénéficiaires des transferts sociaux. Ceci du fait des acteurs sociaux dont le Maire. Le Maire étant un opportuniste et un homme pluriel (socialiste, gauche modérée et membre des réseaux et autres lobbies) sert en priorité ses amis sur les dotations de la ville au lieu d'aider les populations à qui sont destinés les fonds alloués. Voilà en partie ce qui explique que Trappes et les communes de même configuration sociale soient victimes de la double peine : • Subtilisation frauduleuse par le Maire des emplois au profit de ses amis et sans état d'âme, • Relégation des habitants de la commune dans la pauvreté et à qui on affecte des aides sociales Trappes est une des communes les plus aidées par l'État Central, mais étant entendu que le maire fait du pantouflage, il saupoudre les pauvres populations en aides sociales et réserve les opportunités à ses amis et relations. Ceci au mépris de toutes les règles. Encore plus grave, c'est dans le financement des lieux de cultes et associations que le Maire de Trappes entretient sa clientèle politique. Cela n'est un secret pour personne. Sur Trappes des associations financées sur fonds publics pour assurer du soutien scolaire, alors que les membres sont eux-mêmes en situation d'échec scolaire ! Sur Trappes la commune pirate les projets des associations qu'elle finance et pilote ou fait piloter par sa clientèle politique. En l'occurrence le Maire de Trappes m'a invité à lui transmettre trois (3) de mes projets qu'il a gardé sous le coude en attendant soit pour s'en inspirer soit pour les pirater comme il est en coutumier. Pendant ce temps les pauvres populations laissées pour compte, vivotent entre les acteurs sociaux et pour davantage faire semblant qu'on s'occupe d'eux, elles sont conviées à un grand débat lequel je présume ne sert à rien. C'est ce qui explique également le phénomène Gilets Jaunes et les mouvements banlieues. Le pouvoir est détenu par les mêmes qui font du pantouflage. Quand ils ne sont pas du même parti ou syndicat, ils sont de même obédience maçonnique ou autres ! Face au clientélisme, au népotisme et au service camarades du Maire, de ses colistiers et suppôts, comment s'étonner dès lors que les politiques publiques de réduction de la pauvreté ne puissent atteindre les cibles ? M. Thiémoko DIAKITE 3, Allée des Ecrivains 78190 Trappes
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