Au plan international, j'ai confiance au Président de la République élu par les Français. Au plan national, j'ai confiance en mon député, si il est de mon bord politique (à ce jour LREM). Au plan local, j'ai confiance au conseiller municipal pour lequel j'ai voté. En synthèse, le processus électoral doit rester le garant de la représentation et de la confiance.
Oui
Les associations et organisations syndicales ont chacune un domaine de compétence et un périmètre d'intervention qui peut être délimité Celles ci doivent donc être consultées (avis consultatif) lors des définitions des politiques publiques du domaine dont elles sont compétentes. Ces avis consultatifs sont publiées dans un "JO Avis consultatifs" auprès des concitoyens en même temps que les lois qui traduisent ces politiques.
Deux réponses bien différenciées : 1. dans le processus de rédaction des lois, y intégrer les avis consultatifs des associations et organisations syndicales. 2. dans le processus de contrôle de l'efficacité de ces lois (ie des resultats), y affecter totalement les moyens du Sénat et du CESE (transformation de leurs missions) et publier chaque trimestre un "JO Bilans des lois"
Une bonne chose
le travail parlementaire est une lourde tache et nécessite un temps plein. Il ne dispense pas de développer un réseau de "capteurs" opérationnels à tous les niveaux de la société.
Apporter à l'Assemblée Nationale une dose de proportionnelle de l'ordre de 30% afin que ces sensibilités puissent exister. Conserver le système majoritaire pour garder la stabilité du Gouvernement.
Non
On conserve le système des élections régionales, départementales et locales mais les rôles évoluent. La région conserve son pouvoir exécutif et le département perd ce pouvoir exécutif. Il devient le pouvoir de contrôle et d'évaluation des politiques locales. L'évaluation des régions est faite par l'Assemblée d'Evaluation Nationale (fusion Sénat + CESE).
La participation est en baisse régulière ce qui traduit un malaise démocratique : il doit être pris en compte. La participation aux élections devrait être génératrice d'une baisse d’impôt pour chaque niveau (ex: baisse d’impôt local pour une élection municipale, baisse d’impôt national pour une élection présidentielle, etc ...).
Oui
Cette prise en compte ne doit pas changer le mode de calcul des parts de chaque candidat (vote candidat sur exprimés). Ce vote blanc est comptabilisé et exprimé en % : vote blanc sur votants)
Plusieurs évolutions sont nécessaires : 1. pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations durant un élection = les faire participer à la rédaction du programme électoral. 2. pour mieux associer les citoyens à la décision publique après l’élection = créer une assemblée (nationale, par région, par métropole, ...) formée de représentants des corps intermédiaires pour donner leur avis sur ces politiques publiques en débat. 3. pour une démocratie plus participative, impliquer les concitoyens dans les assemblées ou processus d'évaluation de l'efficacité (ou pas) des politiques publiques en transformant la mission du Sénat (+ CESE) en un organe de surveillance et contrôle.
Oui
Faciliter le déclenchement selon le périmètre de ce RIP : si périmètre national, déclenchement reconduit comme actuellement, si régional, déclenchement plus souple, si local, déclenchement très souple.
Deux réponses : 1. Passer par des corps intermédiaires = Les associations et organisations syndicales ont chacune un domaine de compétence et un périmètre d'intervention qui peut être délimité Celles ci doivent donc être consultées (avis consultatif) lors des définitions des politiques publiques du domaine dont elles sont compétentes. Ces avis consultatifs sont publiées dans un "JO Avis consultatifs" auprès des concitoyens en meme temps que les lois qui traduisent ces politiques. 2. Passer par le RIP : si périmètre national, déclenchement reconduit comme actuellement, si régional, déclenchement plus souple, si local, déclenchement très souple.
Le rôle du Sénat et le Conseil économique, social et environnemental doit etre transformé en une mission de contrôle de l'efficacité des politiques publiques et en mission de communication sur ces analyses auprès de nos concitoyens. Le Sénat doit perdre son rôle dans la conception des politiques publiques.
Oui
On conserve le processus électoral pour le Sénat. Son rôle est totalement centré sur le contrôle des politiques publiques. Pour le CESE, on ajoute au processus de désignation actuel une part de citoyens tirés au sort (puis volontaires) et le CESE est fusionné avec le Sénat dans une nouvelle institution qui devient Assemblée d'Evaluation Nationale.
Rappeler ces principes à l'école primaire, puis en collège puis en lycée puis en Université. Instituer une journée de la laïcité dans chaque établissement d'enseignement public et privée illustrée par une rencontre entre élèves et représentants des religions + libre penseurs avec pour thème "comment vivez vous la laïcité en France ?".
Rappeler ces valeurs intangibles de la République à l'école primaire, puis en collège puis en lycée puis en Université. Rappeler aux parents des élèves le respect par tous de ces valeurs à l'école primaire, puis en collège, puis en lycée puis en Université.
Au plan local = A partir des conseils citoyens (à étendre sur tout le territoire), faire parler chaque participant sur sa vie quotidienne : les réussites et les échecs. A partir de ce constat, élaborer de manière collective, les pistes de solution. Au plan départemental = l'assemblée départementale s'ouvre à une part de citoyens tirés au sort (puis volontaires) pour évaluer les politiques locales (métropoles et communes). Au plan national = même principe, l'Assemblée d'Evaluation Nationale intègre des citoyens tirés au sort (puis volontaires).
Les trois comportements civiques : 1. la politesse, 2. la fraternité, 3. le courage La politesse est une valeur cardinale qui reconnait l'autre. La fraternité c'est aider l'autre, le courage c'est lutter contre les injustices, les mafias, les passes droits, les prédicateurs de haine, ... Chacun doit pouvoir développer, dans sa famille, dans son parcours scolaire, dans son activité professionnelle ces trois comportements tout au long de sa vie.
Ces comportements doivent se retrouver chez tous celles et ceux qui sont en position de pouvoir : les élus, les chefs d'entreprise, les présidents d'associations, les responsables syndicaux, ... L'exemplarité des élites est un point essentiel de la transmission de ces valeurs.
Plusieurs actions possibles : 1. valoriser l'engagement citoyen à l'école primaire, collège et lycée au travers de "héros" du quotidien tirés de notre histoire nationale, régionale et locale. Le travail au travers des noms de rues dans chaque commune peut être une piste intéressante. 2. Mener une politique Qualité (au sens ISO 9001) au sein des administrations et des pouvoirs publics avec le principe clé : j'écoute le client et je sais gérer les incidents déclarés par ces clients.
Les incivilités les plus pénibles sont celles subies dans les transports publics ou dans la rue sur les passages piétons, dues en général à des jeunes gens ou à des automobilistes indélicats. Pour lutter contre les incivilités dans les transports publics, le système des amendes est très dissuasif. Il doit être renforcé. Pour les passages piétons, il faudrait un moyen technique qui flashe tout véhicule qui force le passage alors qu'un piéton est en train de traverser. En complément, une campagne de communication basé sur l'humour pour ridiculiser (mettre la honte) à celles et ceux qui se rendent coupable d'incivilité.
Renforcer le système des amendes et de contrôle dans les transports publics. Equiper les passages piétons de caméras pour pister les automobilistes qui se croient tout permis. Réaliser chaque année une campagne de communication basé sur l'humour pour ridiculiser (mettre la honte) à celles et ceux qui se rendent coupable d'incivilité.
Intervenir vertement lorsque l'on est témoin d'une incivilité et dénoncer publiquement le comportement déviant de la personne incivil. Développer sur YouTube des tutoriels "les bonnes réponses aux incivils" pour expliquer les bonnes pratiques = "que faire quand vous êtes témoin ou victime de ... ? "
Plusieurs types de discriminations : vis à vis des jeunes filles, vis à vis des jeunes garçons homosexuels, vis à vis des personnes juives. Vis à vis des filles, elles sont en général dues à de jeunes garçons, lorsqu'elles ne répondent pas à leurs demandes (insulte classique : quelle pute) et, pour les jeunes gays, du fait des mêmes jeunes en raison de préjugés culturels rétrogrades et ultraconservateurs (insulte : sale Pd, enculé, agression physique), vis à vis des personnes juives, du fait des mêmes jeunes en raison du conflit israélo-palestinien (insultes et agression physique)
Avoir un système d'amende développé pour ces trois types de discriminations et bien diffusé. Donner la capacité à tout policier municipal de donner ces amendes à chaque cas constaté sur le terrain. En lieu et place de l'amende, choix serait donner de faire un stage de comportement (style stage pour rattraper des points Permis de conduire) pour se remettre en question sur son comportement discriminant. Faire une campagne de communication basée sur l'humour pour mettre la honte aux jeunes / moins jeunes qui ont ce type de comportement.
Oui
Une allocation est un droit et à chaque droit devrait correspondre un devoir. Ces allocations sont de types différentes (chômage, logement, énergie, ....) : une réflexion et un débat entre citoyens et pourvoyeurs de ces allocations devraient être menées afin de faire correspondre des devoirs à chacun de ces droits. En complément, un système bonus malus serait mis en place sur ces droits et devoirs afin de récompenser le vertueux et défavoriser celui qui ne fait pas d'effort.
La politique migratoire actuelle est très hypocrite (mais cela doit s'améliorer avec la nouvelle loi Collomb). On différencie bien asile (raison humanitaire ou politique) et immigration économique. Pour autant, le système ne fonctionne pas vraiment. Une grande confusion règne et favorise l'expression des extrêmes : LFI avec frontière ouverte et RN avec frontière fermée. Les critères sont pourtant bien posés : différencier de manière sure et humaine les deux types : asile et immigration économique.
Oui, le système de quota d'immigrés par profession est pertinent. Il doit faire l'objet d'une négociation par région, au plus près du terrain entre syndicats patronaux, organisations syndicales représentatives et Autorités préfectorales. Ensuite, la synthèse doit être discutée au Parlement. Cette négociation doit portée sur trois années glissantes et être révisée chaque année.
Il faut poursuivre la distinction très nette entre Asile et Immigration économique. Concernant l'Asile, mettre en débat au Parlement l'extension (ou pas) du droit d'asile aux réfugiés climatiques qui vont être de plus en plus nombreux avec le dérèglement climatique (montée des eaux, désertification, catastrophe climatique dans une région). Pour l'immigration économique, poursuivre le dialogue avec les pays d'origine de ces populations pour les fixer dans leur pays d'origine, grâce à des conférences internationales Union Africaine / Union Européenne.
Plusieurs points à mettre en priorité : 1. l'apprentissage de la langue française et des valeurs de notre démocratie, notamment l'égalité homme/femme, la laïcité, la liberté d'expression (dont le droit au blasphème), 2. un logement digne qui permet de tisser un lien social avec les différentes couches de la population française (privilégier l'intégration dans les régions - éviter totalement la région parisienne - éviter les grands ensembles ghetto), 3. un travail rémunéré en fonction de la profession, 4.le droit de vote aux élections locales pour toute personne qui paye ses impôts 5. l'expulsion immédiate en cas de crime et délit après avoir purger sa peine de prison (qui tiendra compte de l'expulsion).
Vous l'avez compris, je souhaite modifier sensiblement les processus de création et d'évaluation des politiques publiques afin de renforcer notre démocratie et l'implication des citoyens dans notre pays. Je reste à votre disposition pour tout Echange complémentaire ou précision sur ces propositions.
L'organisation de l'Etat et des administrations en France manque cruellement d'agilité et d'amélioration continue pour rendre le bon service au moindre coût aux concitoyens. Elle doit évoluer sur deux plans : 1. la suppression (pour les nouveaux embauchés) du statut de fonctionnaire afin de gérer le personnel comme dans une entreprise classique (embauche, avancement, formation, licenciement) selon le code du travail actuel(à l'exception des fonctions régaliennes - armée, police, justice, douanes). 2. la mise en place généralisée d'une démarche Qualité de certification ISO 9001 afin de mettre en place une boucle d'amélioration permanente des processus de service
Oui
Tous les services publics relevant des missions sur la formation (scolaire, universitaire et permanente) et des missions sur l'emploi doivent être transférés au plus près du terrain c'est à dire des régions. Pour la formation, L'Etat gardera la définition des programmes et des contenus des examens. Pour l'emploi, Il conservera également la rédaction du Code du Travail.
Oui
None
L'accès aux services municipaux doit être numérisé complètement, quelque soit la commune, de manière identique dans chaque commune, avec un interface utilisateur similaire quelque soit la commune afin que l'usager puisse sans difficulté accéder à une commune ou à une autre.
Non
None
Ces nouvelles formes sont nécessaires.
la délivrance des passeports biométriques la délivrance des cartes grises (de progrès d'ergonomie restent à faire) les espaces personnels pour la retraite (sécurité sociale et complémentaire) le suivi des colis à la Poste
l'accès aux aides pour la transition écologique (beaucoup trop complexes à comprendre)
Oui
Non
None
J'ai eu un contrôle fiscal sur mon association de formation théâtrale (une seule salariée) et j'ai été redressé de 210 euros sur la non déclaration de l'abonnement de téléphone portable sur la fiche de paye (en tant que frais de mission). J'ai trouvé ce contrôle mesquin et injuste.
Oui
Le principe doit être la même que celui des commerciaux lors de la négociation de coûts avec des clients : les fonctionnaires ont (individuellement) une marge de manœuvre pour traiter le service qu'ils délivrent. Cette marge de manœuvre est donnée par la hiérarchie et est contrôlée à posteriori
Oui
Chaque fonctionnaire doit être formé à la délivrance de service par les processus, à la rédaction des processus, à l'analyse de performance et d'efficacité des processus, à la gestion des incidents, à l'amélioration continue des processus et enfin à l'écoute des usagers. En effet, chaque incident remonté par un usager doit faire l'objet d'une analyse des causes et des origines des causes afin d'être corrigé.
L'Etat peut s'améliorer en définissant un processus d'amélioration continue basé sur l'écoute des difficultés exprimées par nos territoires les plus en difficulté, au plus près du terrain. Tous les services publics doivent avoir la capacité de s'adapter aux contextes locaux du moment que le service est délivré conformément à la loi (objectifs atteints). L'écoute des difficultés doit être développée à tout le territoire national et être mémorisée dans un système de gestion des problèmes. Cette gestion des problèmes doit être dotée de moyens humains et techniques afin de proposer des solutions numériques ou organisationnelles aux hiérarchies responsables. La gestion des ressources humaines doit être celle d'une grande entreprise, en bannissant les silos, le népotisme et la caporalisme. La mobilité doit être promotionnée pour favoriser les regards croisés entre administrations.
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Un élément de satisfaction : le système informatique, via l'espace personnel, fonctionne très bien et est très ergonomique, pour un cas standard Une difficulté : le simple changement de date prévisionnelle de départ en retraite oblige l'usager à refaire complètement son dossier comme s'il n'avait jamais été connu du système informatique.
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Mon association cotise depuis plus de 15 ans à l'organisme Uniformation (cotisation obligatoire). Nous travaillons dans le secteur culturel (formation théâtrale). Pour autant, Uniformation n'a jamais proposé une seule formation culturelle dans ses programmes. Donc nous ne l'avons jamais utilisé. La récolte des fonds de formation permanente devrait être liée au compte personnel Formation de l'entreprise. Ainsi, lors d'un choix de formation pour un salarié de l'entreprise, ce fond serait versé à l'organisme choisi pour la formation en adéquation avec l'activité de l'entreprise.
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L'organisation de l'Etat et des administrations en France manque cruellement d'agilité et d'amélioration continue pour rendre le bon service au moindre coût aux concitoyens. Elle doit évoluer sur deux plans : 1. la suppression (pour les nouveaux embauchés) du statut de fonctionnaire afin de gérer le personnel comme dans une entreprise classique (embauche, avancement, formation, licenciement) selon le code du travail actuel(à l'exception des fonctions régaliennes - armée, police, justice, douanes). 2. la mise en place généralisée d'une démarche Qualité de certification ISO 9001 afin de mettre en place une boucle d'amélioration permanente des processus de service
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Trois éléments de réponse : 1. Exprimer une volonté européenne forte par les chefs d’état de l’UE (ceux qui veulent y participer), 2. Apporter une solution de financement via une banque d’investissement européenne Pacte Climat (à créer) dont les fonds proviendraient de la Banque Centrale Européenne (prêt sans intérêt, non remboursable), 3. Mettre en œuvre un plan de Projets dans chaque pays visant à respecter l’accord de la COP21. Ces projets sont financés par la Banque Pacte Climat et suivi par le Conseil Européen. L’indicateur de résultat est le taux de CO2 rejeté par l’UE.
Oui
Ma vie quotidienne est touchée sur plusieurs plans : 1. Le dérèglement de la météo locale est perceptible avec de brusques changements sans rapport avec la saison, 2. Les migrations d’oiseaux ont considérablement diminuées depuis plusieurs année, notamment les hirondelles, 3. La crise des Gilets Jaunes est une vraie calamité pour le pays. Son facteur déclencheur a été la taxation des carburants, issue des mesures de lutte contre le CO2. 4. L’information sur les impacts de ce changement sont quasi permanentes dans les médias et sont très anxiogènes sur notre futur sur la planète, notamment les théories de catastrophe imminentes (2030) menaçant notre civilisation industrielle actuelle,
Oui
Plusieurs actions : 1. Installation en 2008 d’une pompe à chaleur en relève de ma chaudière au fioul. Depuis cette installation, je ne consomme plus de fioul pour me chauffer (moins de CO2), 2. Installation de panneaux solaires photo voltaïques en 2012 pour produire de l’électricité et la vendre à EDF (contribution au mix énergétique), 3. Isolation de ma maison sur plusieurs années (fenêtres et combles) pour réduire ma consommation énergétique, 4. Installation en 2016 de panneaux solaires à double fonctionnalité : chauffe eau solaire et production d’électricité en autoconsommation pour réduire ma consommation d’énergie EDF (d’origine donc essentiellement nucléaire), 5. Tri de mes déchets (verre, papier, plastique) et mise en place d’un compost dans mon jardin (utilisation des déchets organiques) 6. Réalisation d’un potager pour produire des légumes en printemps / été (auto consommation des produits locaux) en 2016. 7. Courses de la vie quotidienne dans des magasins ou chaines bio (production locale / bio, moins de produits additionnels, moins d’emballage) 8. Changement de deux véhicules diesel et passage à des moteurs essence CRITAIR 1 en 2016. 9. Conduite personnelle à Vitesse réduite à 115 kmh sur autoroute, depuis 2016.
Le changement de comportement vient de plusieurs origines selon les personnes : ce peut être la perspective d’une économie, ou la volonté d’agir pour une cause (ici l’écologie), ou le pas de coté (je suis différent de la masse des autres). En conséquence, ce qui pourrait me faire changer, ce sont : 1. Des crédits d’impots sur les investissements écologiques (pompe à chaleur, isolation, véhicule propre, panneaux solaires, panneaux photovoltaïques, passage à l’agriculture bio, ….) 2. La promotion des bonnes pratiques Écologique de toute nature par des campagnes de comm avec de l’humour, qui mettent la honte à ceux qui polluent sans vergogne
Les solutions les plus simples : supprimer tous les emballages plastiques superflus des produits courants issus de l’industrie alimentaire, supprimer toutes les bouteilles en plastique pour les liquides de la vie courante issus de l’industrie alimentaire (eau, huile, vin, vinaigre, produits lessiviels et autres), supprimer tous les sacs plastiques dans tous les magasins et étals de marché, développement de pistes cyclables continues (sans interruption) dans toutes les villes (plus de 10 000 habitants). Les solutions les plus supportables au plan financier : passage de la vitesse à 115 kmh sur autoroute, interdiction de rouler en ville (plus de 10 000 habitants) pour les véhicules supérieurs à CRITAIR 3, taxation essence et diesel identique, développement de transports en commun propre (métro, tramway, bus électrique) dans toutes les villes (plus de 10 000 habitants), crédit d’impôt à l’isolation des immeubles et maisons, installation obligatoire de panneaux solaires (eau chaude) et de panneaux photovoltaïques sur tous les toits au sud d’une ligne Lyon – Nantes avec crédit d’impôts sur l’investissement
Non
Je suis déjà équipé d’une pompe à chaleur, je fabrique mon eau chaude par panneau solaire et je produis de l’électricité en complément pour cette eau chaude.
Oui
J’habite Toulon où depuis plus de dix ans, les autorités municipales (le maire est Hubert FALCO) tergiversent sur la création d’un tramway à grande capacité et font tout pour ne pas lancer le projet. Cette non décision est inadmissible : elle pénalise les habitants, le développement des activités économiques et l’attractivité de l’agglomération. Ce qui pourrait m’aider dans mes déplacements quotidiens serait que les autorités municipales soient sommées, par une autorité administrative, de réaliser le projet de tramway dans un délai contraint et atteignable. Une autre aide viendrait du développement de pistes cyclables dans l’ensemble du territoire de la commune de Toulon, sans interruption – faire du bout en bout. En effet, à ce jour, les pistes existantes sont des morceaux de rues sans continuité ni logique. Ces pistes ne sont pas utilisables. C’est totalement surréaliste. C’est uniquement fait pour pouvoir compter le nombre de mètres de pistes et faire de la communication.
Les transports en commun|Le vélo
C’est la responsabilité de la commune. Les autorités municipales doivent définir une politique de mobilité locale en fonction des besoins des habitants et réaliser, par lot et dans le temps, les projets de mise en oeuvre pour subvenir à ces besoins. Les projets doivent être mis en débat avec les assemblées citoyennes de la ville avant réalisation pour en valider les objectifs opérationnels, le délai, le budget et les fournisseurs choisis.
Plusieurs points, dans l’ordre d’importance décroissante : 1. La France doit être exemplaire vis-à-vis des autres pays donc appliquer vraiment l’accord COP21 qu’elle a organisé et le démontrer en interne (en France) par les résultats obtenus. C’est le minimum syndical. Sans cela, elle ne sera pas crédible pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international. 2. La France peut alors faire connaitre ses propres trajectoires en montrant les résultats obtenus et à venir. 3. Seulement alors, elle peut proposer sa coopération, ses compétences, ses entreprises spécialisées pour mettre en œuvre ses solutions au niveau européen et international et au passage industrialiser / améliorer les dites solutions.
Ce thème de la transition écologique est un point majeur des 50 prochaines années. En même temps, c’était un point faible du programme d’Emmanuel Macron. Le recrutement de Nicolas Hulot a permis, un temps, de rattraper cette faiblesse en l’inscrivant, en tant que Ministre d’Etat, dans les priorités du Gouvernement. Hélas, on connait la fin de l’histoire. Ce débat doit être l’occasion de remettre ce thème dans une priorité en phase avec les enjeux européens et mondiaux définis dans la COP21.
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