Sur chaque document de versements d'allocations, précisez à partir de quel type d'impôt encaissé l'allocation a été versée. Joindre à l'envoi des documents de déclaration d'impôts sur le revenu, une feuille détaillée de l'emploi de cet impôt l'année précédente. Pas seulement un camembert avec des pourcentages.
Avoir une réelle volonté politique de faire payer l'impôt à tous les évadés fiscaux, à ceux qui pratiquent l'optimisation fiscale.
Ce n'est pas le problème. Il n'y a pas à choisir. Les impôts baisseront tous en même temps quand tous les évadés fiscaux ou ceux qui pratiquent l'optimisation fiscale paieront la part qu'ils doivent au pays. Système des vases communicants. Plus d'argent rentré moins à payer pour les citoyens pauvres et moyens qui doivent actuellement payer la part de ces profiteurs.
Ce n'est toujours pas le problème. Arrêtez de culpabiliser les citoyens de base. Justice fiscale d'abord.
Toujours pas le problème. Commencez par faire payer les plus hauts revenus qui échappent à 'impôt.
Dans le domaine de l'éducation et de l'emploi.
Pour aucun. Ce n'est toujours pas le problème. Je ferai plus d'efforts pour mon pays quand les plus riches en feront aussi. Mais s'ils en font, vous n'aurez plus à demander au citoyen de base pour quoi il serait prêt à payer plus d'impôt.
Vos questions sont inutiles. Le seul problème est celui de la Justice Fiscale. C'est un pognon de dingue qui manque à la France par évasion fiscale, optimisation, niches, etc... Le problème est là et uniquement là. Déjà en 2014, dans son livre "Qui a peu du Petit Méchant Juge" Monsieur Marc Trévidic écrivait : "Les Petits Cochons ne croient plus que les riches paient plus d'impôts que les pauvres. Entre les délocalisations, l'optimisation fiscale, les fraudes en tout genre, ils savent maintenant que la situation est identique à celle d'avant la nuit du 4 Août 1789.". Nous y sommes. Ne pas nous brandir l'épouvantail de la fuite des investisseurs. C'est un public plus large qui échappe à l'impôt (artistes, footballeurs dont les profits sont alimentés par les billets de spectacles et autres produits dérivés achetés par les français plus que moyens). Et pourquoi pas créer un impôt sur la citoyenneté française, comme cela existe aux USA. Tout citoyen français où qu'il vive sur la planète, paie un impôt à son pays. Ce serait déjà une belle somme qui rentrerait.
Même plus le maire qui se laisse aussi aller aux dépenses somptuaires, difficile à comprendre quand tant de concitoyens souffrent et qu'ils se plaignent eux-mêmes d'une baisse des dotations de l'Etat.
Oui
Aux associations humanitaires, d'aide aux devoirs des élèves de primaire et des collégiens, aux sports, aux arts, liées à l'emploi (ce qui comprend les organisations syndicales qui sont des associations). A une époque où l'on trouve les pouvoirs de décision trop éloignés, elles sont toutes autour de nous, dans chaque commune, permettent ainsi du lien social, de l'aide et des découvertes. Elles concourent toutes à valoriser, élever, partager et rompre avec la solitude et l'isolement
Que les élus montrent l'exemple d'abord. Si les citoyens ont le sentiment que les représentants qu'ils ont choisis oeuvrent pour le bien commun, tout ira bien. Qu'à chaque fois qu'ils mettent en place un projet qu'ils gardent à l'esprit qu'il va être financé par l'impôt prélevé sur chaque concitoyen (enfin pas tout à fait, pas sur les plus riches, raison de plus pour faire attention car sinon il faudra encore plus pressurer les pauvres et les classes moyennes). Quand ils font une dépense, qu'ils se posent la question : est-ce que je sers bien l'intérêt général, est-ce que la dépense est vraiment nécessaire, est ce que c'est le prix juste.
Une bonne chose
Que chacun fasse bien son travail, ce pourquoi, il a été élu. Multiplier les mandats, c'est plus la recherche d'une rente de situation, la valorisation d'un ego. Tout ce que les citoyens exècrent dans le moment. Plusieurs mandats, c'est un travail fait à moitié dans chacun.
A une époque où chacun veut faire entendre sa petite voix, une dose de proportionnelle serait judicieuse. Mais attention, une petite. Pas question de retomber dans les errements des IIIème et IVème républiques. Le pays deviendrait ingouvernable. Il l'est déjà assez comme ça. L'idée de Monsieur JOSPIN n'était pas mauvaise.
Oui
Le découpage administratif de la France est d'un autre temps : Communes, Intercommunalités, Cantons, Départements, Régions. Avec leurs assemblées : Maison de l'Agglomération (c'est comme cela qu'on l'appelle par ici pour l'intercommunalité), Conseil Départemental, Conseil Régional. Mon dieu, que de mandats à financer alors qu'on cherche de l'argent partout et que nous sommes surendettés. Il y a de quoi faire des économies. Donc, continuer le regroupement des très petites communes (fédération de leurs moyens pour survivre et engager des projets qu'elles ne pourraient pas faire seules), maintenir l'intercommunalité (les citoyens sont à la recherche de proximité et les communes sont souvent interdépendantes en matière d'emploi, de transports en commun et pourquoi pas les rebaptiser Pays de la ville qui les draine. Un retour en arrière pour une fois mais les français ont besoin de racines). Et ces nouveaux pays seraient en lien avec la Région. Le découpage de ces dernières est récent. Leurs missions biens définies. Elles font un travail essentiel (TER, Prises en charge des lycées et collèges, de la formation professionnelle, des aides, etc). J'oubliais les arrondissements ! judiciaires et administratifs qui ne se superposent pas forcément. Il y a peut-être moyen aussi de les améliorer ? les supprimer ? pas compétente. A nos élus d'y réfléchir.
C'est stupéfiant de voir le faible taux de participation aux élections et ensuite de voir tout le monde dans la rue pour exprimer son mécontentement. Donc, donner une envie de politique aux citoyens, toujours en donnant l'exemple d'être au service d'un mandat donné. Trop d'affaires, de scandales dénoncés, très médiatisés, qui amènent à la conclusion rapide "tous pourris", ce qui n'est pas vrai mais le ver est dans le fruit, il faut l'en extirper. Pareil pour la Cour des Comptes qui met au jour tous les ans des abus. Nous sommes des spectateurs ahuris de ses conclusions.. Qu'est-ce qui est fait ensuite pour mettre fin à tous ces dérapages ?
Oui
Voter blanc est un signe très fort. Il exprime une envie forte de participer à la vie démocratique du pays. C'est choisir en connaissance de cause de ne pas partir en week-end pour aller déposer une enveloppe vite dans une urne un Dimanche. Rien à voir avec l'abstention qui peut avoir de multiples causes, et en premier lieu un désintérêt. Alors oui, il faut prendre en compte le vote blanc. En fonction de son importance, l'élu prendrait la mesure de son élection, qu'il a été élu par défaut, ce qui le ramènerait à plus d'humilité et garderait ce vote blanc à l'esprit dans l'application de sa politique. Et si le vote blanc atteint 50 % ou plus, recommencer les élections.
Vous en posez de ces questions. Vous avez des grandes écoles pour y réfléchir. L'ENA pas exemple ou Sciences-Po.
Non
J'ai répondu non, mais je m'exprime quand même. Qui sait véritablement comment il se déclenche, mise à part quelques spécialistes ? Et quid encore de tout l'argent à dépenser pour l'organiser. Pareil pour les autres référendums. A chaque fois, c'est un coût énorme pour l'organisation. On ne peut pas en faire à tour de bras.
Déjà que les élus gardent à l'esprit que l'argent public dont ils disposent c'est celui ponctionné sur chaque français (encore une fois pas tout à fait, pas sur les plus riches), donc à chaque élu, chacun à son niveau de se poser la question quand il le dépense. On nous demande de gérer notre foyer "en bon père de famille", qu'ils fassent la même chose, à plus grande échelle bien sûr. Au niveau local, que le maire interroge tous ses concitoyens quand il met en place un projet exceptionnel pour un coût exorbitant. Là le référendum local s'impose.
Vos questions relèvent de cours de droit administratif. A qui vous adressez-vous dans votre questionnaire ? Au citoyen lambda, j'en doute. Qui sait véritablement ce que fait le CESE à part les plus initiés de la société ?
Oui
Oui, pour le CESE. Pas spécialiste du dispositif. Faudrait-il reprendre ses études pour répondre à vos questions ? A partir des échos de connaissances qui y siègent, il semblerait effectivement qu'il y ait nécessité d'une grande réforme. Non, pour le Sénat. Longtemps pensé que cette Assemblée de vieux messieurs chenus était obsolète. Mais il a évolué, s'est rajeuni et féminisé. Le travail qu'il fait dans le moment mérite respect. Il a toute sa place pour garantir une bonne vie démocratique.
Toute la loi de 1905 et rien que la Loi de 1905. La modifier serait un aveu de faiblesse. Cela voudrait simplement dire que la République doit s'adapter aux religions. Or, c'est le contraire, c'est aux religions de s'adapter à la République.
En vivant nos valeurs républicaines, sans arrogance. Les appliquer et être exigeants sur la mise en oeuvre de celles-ci. C'est un exercice d'équilibriste difficile. Par exemple être ferme sur la scolarisation obligatoire dans notre République. La République s'occupe de tous ses enfants en contrepartie les parents ont des obligations. La scolarité sera obligatoire à partir de 3 ans à la rentrée 2019. C'est une bonne chose. Mais vérification à faire que tous les enfants de 3 ans et plus sont scolarisés y compris les enfants de parents en situation irrégulière. Ils sont sur le territoire. Il est de l'intérêt de la Nation de veiller à leur instruction. Rappeler que garçons et filles doivent être scolarisés. Il est impensable de lire dans la presse que dans une ville de France, sans la présence d'un lycée confessionnel, les filles ne seraient pas scolarisées. En France, hommes et femmes sont égaux. La scolarité est obligatoire jusqu'à l'âge de 16 ans. Vu le taux de chômage et la gravité de laisser dans l'oisiveté "mère de tous les vices" des jeunes de 16 ans, Il faudrait porter à 18 ans l'obligation de scolarité (garçons et filles). Que tous les adolescents entre 16 et 18 ans qui refusent ou n'ont pas le niveau pour suivre un cursus long, aient obligatoirement accès à une formation professionnelle (apprentissage, alternance, etc). S'ils n'en trouvent pas, dans l'attente, qu'ils soient obligatoirement inclus dans une structure de remise à niveau en français et mathématiques. Ce n'est jamais superflu et obligatoirement bénéfique pour leur avenir. Et vérification de l'assiduité et sanctions.
Peut-être déjà rendre hommage à tout ce tissu associatif qui oeuvre au quotidien.
D'abord se poser la question pourquoi les incivilités et l'irrespect progressent. Si l'on donne sa chance à chacun dans la société, le civisme suivra. Tout miser sur l'éducation, c'est elle qui nous permettra de sortir par le haut.
Toujours pareil. Mettre le paquet sur l'Education. C'est déjà commencé. Il faut continuer et amplifier. Pour cela, il faut de l'argent. Mais il y en aura bientôt lorsque l'on aura résolu le problème de la Justice Fiscale. C'est par l'éducation que l'on peut donner sa chance à tout le monde et ramener les citoyens vers l'emploi. Ne pas donner le sentiment aux gens d'avoir été laissés sur le bord du chemin. Il y aura dès lors moins de rancoeur et par ce fait moins d'incivilités.
Vous en demandez des choses !
Pas de constat de petites incivilités, mais de grosses oui, comme tout le monde. (Casse de mobiliers urbains, de vitrines, etc...) Pour lutter contre, toujours la même chose. Education. Scolarité obligatoire jusqu'à 18 ans. Un individu formé, qui trouve du travail (et qui a une rémunération équitable pour le travail fourni) n'a plus envie de casser. Ne pas mettre sous les yeux des jeunes et moins jeunes qu'on a laissés sur le bord du chemin, dans des vitrines alléchantes des merveilles qu'ils ne pourront jamais se payer. La société est axée sur la consommation et l'affichage de celle-ci, mais on dit à certains : "tu regardes mais tu ne touches pas, c'est pas pour toi".
S'occuper du peuple pour qu'elles ne surviennent pas. Donc, encore éducation et emploi. Et maintenant, elles sont là les incivilités. Elles ont un coût. Et il faut quand même que chacun prenne conscience que c'est la collectivité qui paie. Plus on casse, plus il faut prélever d'impôts pour réparer. Donc, avec l'envoi de la déclaration d'impôts sur le revenu, mettre une feuille détaillée du coût des réparations de chaque poste saccagé l'année précédente. Faut pas rêver mais peut-être que quelques-uns y réfléchiraient.
Encore et toujours, avoir une éducation exigeante pour permettre à chacun de trouver sa place dans la société. Ne pas laisser croire que tout arrive facilement. Ne pas valoriser et afficher à la télévision des modèles de réussite hyperrémunératrices (d'où s'en suit évasion et optimisation fiscales) sur fond d'échec scolaire total et s'en vanter. Ce n'est pas la norme, mais l'exception. 9 fois sur 10 l'échec scolaire mène à l'impasse. On ne peut pas exiger de gens qui n'ont rien et pas d'espoir qu'ils soient hyper policés.
A deux reprises, témoin d'attitudes racistes de la part d'enfants de 5 ans, puis de 9 ans à l'égard d'une petite fille métisse du même âge. Tristesse.
Toujours la même chose : Education, encore et toujours.
Non
Ne stigmatisons pas encore plus ce qui n'ont rien. Bien sûr, il y a des profiteurs, "des pauvres qui déconnent" (l'expression n'est pas de moi). Il y en a toujours eu et il y en aura toujours. Chaque système d'aide a sa perversité. Et les très riches, ils ne "déconnent" pas peut-être. L'évasion fiscale et l'optimisation fiscales sont aussi la perversité d'un système.
Rien. Vous aurez beau mettre des critères vous n'empêcherez jamais des gens de prendre des bateaux pour venir là où on leur a dit que l'herbe était plus verte. Il faut rendre l'herbe verte chez eux. Aider véritablement leurs pays à développer leur économie, contenir leur démographie (bon pour la planète même si ce n'est pas eux qui polluent le plus), les aider à ouvrir des écoles chez eux. Quand un petit africain doit faire 14 kms à pied pour aller à l'école et en revenir, c'est certain qu'il n'y a pas d'assiduité. Et donc les aider à former leurs professeurs. Mailler leurs territoires d'écoles, le reste suivra.
Non. Pour les mêmes raisons que ci-dessus.
Votre question contredit un peu les deux précédentes. Vous avouez votre impuissance. Vous ne pouvez pas nous demander comment on peut contenir l'arrivée d'immigrés et nous dire en même temps que l'on n'a pas fini d'en voir arriver. Donc, toujours pareil, les aider chez eux pour qu'ils restent chez eux.
Toujours la même chose, éducation encore et toujours. Comme précédemment, affirmer nos valeurs républicaines sans arrogance mais exiger que tous les enfants de la République soient scolarisés. C'est par l'éducation que nous progresserons.
L'éducation est la base de tout. C'est en s'occupant des enfants, les citoyens de demain, que la société progressera.
Trop de strates administratives. Les français ont besoin de proximité. Donc continuer à favoriser le regroupement des très petites communes, garder l'intercommunalité et les régions. Trois instances complémentaires qui savent gérer les problèmes locaux.
Oui
Aucune idée très précise. Mais, à la Région. Elle en fait déjà beaucoup. En liaison directe avec ses intercommunalités, elle est au plus près du terrain pour toujours améliorer la vie de ses concitoyens.
Oui
Aucun.
Les démarches courantes "standard" y sont. Pour les situations spécifiques (problèmes relatifs aux impôts lors d'un décès par exemple), le rendez-vous physique dans un service public reste indispensable et apporte une vraie solution.
Non
None
None
Pas vu de grands changements. L'accueil reste distant. Il faut toujours se contenir, mesurer ses propos, veiller à ne pas froisser, sensation que l'agent est sur la défensive. L'usager n'est pas un client. Peut-être Pôle-Emploi quand même, mais compte tenu de l'ampleur de leur tâche, il vaut toujours mieux compter sur soi-même pour tenter de retrouver un travail.
L'hôpital qui est devenu une machine à soigner pratiquant nombre d'examens inutiles à des personnes dont il n'y pas plus d'espoir de guérison. Une loi sur le droit de mourir dans la dignité serait la bienvenue. Cela soulagerait la souffrance du malade et de son entourage et permettrait aux soignants déjà débordés de se consacrer aux malades curables. L'Education Nationale. L'instruction de nos enfants est primordiale pour élever notre société. Donc, il serait bon de revaloriser la rémunération des enseignements. En contrepartie, tout le temps scolaire doit être passé devant les enfants. Les temps de formation doivent être pris sur leurs temps de congés. Sur 16 semaines de congés, il y a de la place pour caser des formations.
Oui
Non
None
En temps qu'accompagnant de malade. Offre par l'administration hospitalière de me faire rembourser mes frais de transports en véhicule personnel. Imprimé pointilleux à remplir. Mauvaise humeur de la secrétaire déjà surchargée de travail d'avoir à apposer un tampon. Déplacement à la CPAM ne voyant pas de remboursement arrivé. Explication qu'il n'y en aurait pas, la somme remboursable absorbée par le reste à charge dû par le malade sur les nombreux médicaments qui lui avaient été prescrits. Perte de temps et d'énergie pour beaucoup de monde !
Non
Difficile de répondre. Ils semblent tellement enfermés dans leur sphère. Je ne vois pas bien en quoi consisterait plus d'autonomie.
Oui
Que les concours de la Fonction Publique ne soient ouverts qu'après une expérience d'au moins deux ans dans le secteur privé. Le temps de se rendre compte ce que c'est que d'aller travailler sachant que l'on peut perdre son emploi du jour au lendemain, sans savoir dans quel délai l'on va en retrouver un autre, avec charges à payer quand même. La précarité est un drame de nos jours. Les bénéficiaires de la sécurité de l'emploi à vie relativiseraient peut-être leurs problèmes.
Comme dit plus haut. Laisser les prérogatives au trio communes, intercommunalités et régions qui connaissent bien leurs territoires.
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Pôle-Emploi. Il est déjà difficile de vivre une situation de chômage. L'institution rajoute du stress par l'envoi de ses lettres automatisées brandissant la menace de radiation ou radiant. Situations sauvées à deux reprises, pour moi-même, puis pour mon mari, en faisant intervenir des personnes connaissant des salariés de Pôle-Emploi, qui par accès direct à nos dossiers informatisés (même travaillant dans une autre agence que celle dont nous dépendons) rétablissent la situation en deux minutes. Forte pensée alors à tous ceux qui n'ont pas de relations et se retrouvent dans des galères.
Dialoguer avec cinq caisses de retraite. Que de travail ! Uniquement petites difficultés non insurmontables réglées seule par une attention et un suivi méticuleux des dossiers.
pas de problèmes particuliers.
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Il n'y a pas de hiérarchie à établir dans les problèmes environnementaux. Ils sont tous très importants.
On ne peut pas attendre des résultats extérieurs. L'état, les entreprises. Ces dernières(grandes ou petites) sont là pour faire du profit et répondre à un marché. Tant qu'elles auront un marché en face. Elles ne changeront pas. C'est aux citoyens, individuellement, de changer leurs comportements, au jour le jour, pour faire bouger les entreprises. C'est la théorie du colibri chère à Pierre Rabhi. Mais cela demande volonté, rigueur, persévérance.
Oui
Tentée de répondre non car dans ma vie quotidienne - heureuse privilégiée - le changement climatique ne se perçoit pas vraiment. Il faut plus chaud l'été, pas de quoi s'en plaindre. Mais, tous les ans à la sortie de l'hiver, nous constatons l'attaque du trait de côte qui menace la route côtière et donc la nécessité d'enrocher les plages.
Oui
J'applique la théorie du colibri. C'est un effort quotidien du lever au coucher chaque jour de l'année.Tri très sélectif. Recherche de solutions durables pour ne pas remplir la poubelle. Attention particulière au non gaspillage : de l'eau, de l'éclairage, du chauffage. Aucun gaspillage alimentaire. Voiture incontournable en province. Maîtrise de son utilisation (ne pas multiplier les sorties, mais les optimiser en vérifiant tout ce que je peux faire dans une seule sortie. Retarder un achat et attendre une sortie globale en voiture pour le faire. Ne pas chercher à me rapprocher du point zéro de mon rendez-vous. Mais seulement m'en approcher, en terminant les 50, 100 ou 150 mètres à pied, voire plus) à pied et bien sûr faire tous mes déplacements en coeur de bourg à pied. Quel ascétisme ! Mais n'étant pas parfaite, il me reste encore à avoir le courage d'aller à la plage en vélo ou en bus. Les outils sont là, à moi de les utiliser. Quel travail !
Arrêtons de se focaliser sur le chauffage. Je fais déjà tout ce que je peux. Bon système de chauffage maîtrisé. Vu le coût de l'énergie il est impossible de faire autrement. Nécessité fait loi.
Je n'attends aucune aide extérieure pour changer mon comportement.
Oui
Rien. Il y a toujours plus performant en mode de chauffage. On ne peut pas constamment changer son mode de chauffage. Et il faudrait avoir l'assurance d'opter pour du matériel fiable. Trop de produits bas de gamme inondent le marché.
Oui
Avec la meilleure volonté du monde, dès lors que l'on est éloigné d'une quinzaine de kilomètres d'une ville moyenne, les offres de services publics et commerciales étant dispersées l'on ne peut totalement s'exonérer du véhicule individuel. Déjà il faudrait une rotation plus fréquentes des bus. Un toutes les 25 ou 30 minutes, ce n'est pas suffisant.
Les transports en commun|Le vélo
L'Etat, les régions pour la réouverture des petites gares. L'intercommunalité pour amplifier le réseau de bus et augmenter les rotations, même si la nôtre est engagée dans cette recherche. Actuellement, toutes les rotations sont dirigées vers la ville moyenne la plus proche. Donc, accentuer les liaisons entre les communes qui l'entourent. Il faudrait un maillage serré de tout le territoire de transports en commun.
Avant de crier Cocorico, essayons de réussir le défi de la transition écologique chez nous. Il est loin d'être gagné. Les pays d'Europe du Nord ne nous ont pas attendu pour faire de l'écologie. Et que pesons-nous face aux USA ou à la Chine qui construit actuellement plus de soixante dix aéroports pour accueillir de très gros porteurs, débauche à prix d'or des pilotes sur toute la planète, y compris en France. Avant de les convaincre.... Le problème est monstrueux.
Sur la globalité du problème quasi impossible à résoudre en gardant un modèle d'économie libérale. Ecologie et économie libérale sont deux termes antinomiques. Notre société est schizophrène. On ne peut pas nous demander d'être vertueux écologiquement et nous demander de consommer à outrance. On ne peut pas en même temps nous inciter à aller travailler en vélo et nous offrir d'aller à la plage en Thaïlande en prenant quatre avions. On ne peut pas en même temps nous demander de trier nos déchets, de les limiter et nous offrir d'acheter une machine à café avec 100 capsules gratuites à recycler. Le meilleur déchet est celui que l'on ne produit pas. On ne peut pas en même temps nous demander de laisser notre voiture au garage et nous offrir de faire une croisière sur un somptueux HLM flottant. Un sentiment d'inutilité de tout ce que je fais au quotidien.
Votre message a bien été envoyé.