D'instinct, j'aurais tendance à dire « à mon député ». Je reste très partagé sur la neutralité du personnel politique des communes et des départements. Par expérience, je constate la prévalence d'intérêts locaux, voire personnels, qui ont peu à voir avec l'intérêt général. Maintenant dire que le député c'est mieux, je n'irai pas jusque-là mais au moins, il aurait plus facile de prendre la distance nécessaire pour voter des lois dans l'intérêt général
Oui
Des associations de citoyens, dotés (les citoyens) d'une capacité à analyser, évaluer, faire des contre-propositions qui ne soient pas des sempiternels cahiers de réclamations et de doléances !
Créer des instances d'évaluation et de contrôle des politiques publiques, tout simplement. Les députés, de par leur fonction, sont censés contrôler l'exécutif. À part le « croustillant » rapport de la Cour des Comptes, qui fait la une de la presse à sensation, on n’entend pas beaucoup parler des autres actions d’évaluation de nos élus… un exemple : on nous dit que la suppression de l'ISF, remplacé par je sais plus quoi, va être bénéfique pour l'économie du pays. Et que cela sera évalué. Il me semble qu'associer des citoyens un peu comme on le fait actuellement avec le grand débat conférerait une légitimité à ce rapport d'évaluation que l'on attend avec impatience. "ce" rapport, et tous les autres !
Je ne sais pas
Il faut être clair sur le sujet. Le cumul de mandat des élus, du point de vue des fonctions, cela peut être utile pour éviter que nos députés se retrouvent hors-sol. En revanche, le cumul de rémunérations pose un gros problème, surtout quand une partie des citoyens de France ont du mal à boucler leurs fins de mois, et n'ont aucune possibilité, le cas échéant, d'avoir un deuxième boulot !
Il faut conserver une force majoritaire à l'assemblée. On pourrait imaginer, alors, une proportionnelle à hauteur de 40 %. C'est aux spécialistes de faire des propositions. Mais il est clair qu'il est important que les différentes sensibilités soient représentées au sein de l'hémicycle.
Oui
A-t-on vraiment besoin d'avoir trois strates territoriales : communes, départements, régions ? On se pose la question quand on voit le nombre répétitif de démarches qu'il faut faire de ça et de là, comme dans bien d'autres administrations, d'ailleurs.
C'est un avis très personnel, mais je pense que le vote devrait être obligatoire.
Oui
Si le vote est obligatoire, alors oui, il faut prendre en compte le vote blanc. Comme une expression citoyenne « non spécifique ». mais il faudrait être très clair sur les significations d'un vote blanc : un vote blanc ne doit pas être un vote contre, mais un vote qui signifie "je ne sais pas quoi/qui choisir"»
Sans aller forcément jusqu'à des référendums, outils à manipuler avec énormément de précautions, pourquoi ne pas faire systématiquement des opérations comme celle-ci, à savoir des grands débats, tous les six mois, sur des thématiques qui engagent le "collectif" de la France.
Oui
Peut-être revoir légèrement à la baisse le nombre de citoyens qui doivent signer la demande d'un tel référendum. mais pas trop !
Je reprends une proposition faite plus haut : des associations de citoyens « cortiqués », pour évaluer les politiques publiques.
Être le lieu où se créent ces associations de citoyens pour le contrôle des politiques publiques, qui peuvent alors être également des forces de proposition dans des cadres déterminés par les gouvernements, en fonction des ressources financières de l'État.
Oui
les deux sont ils nécessaires ??
Passer des contrats moraux, éventuellement entériné par une loi-cadre, avec les représentants des différentes religions, comme la loi de 1905 en a jeté les bases.
L'éducation, et seulement l'éducation. Pas seulement éducation à l'école, mais aussi dans les familles. Ça, par contre, c'est de l'utopie.
Le service civique est une bonne idée. À généraliser et à mieux faire connaître. Le retour à la conscription à l’armée… franchement, pas d'accord ! (Expérience phobique personnelle !)
Le respect intergénérationnel, le refus du racisme, de la discrimination et du rejet systématique de l'autre. Pour accompagner cela, enseigner, dès l'école, la pensée positive et l’art et la manière de rester optimiste. par ailleurs, surveiller le signes avant coureurs de la perte d'estime de soi.
Vaste question ! Écoutons ce que les professionnels ont à nous dire, ils ont sûrement de bonnes idées.
Puisque, dès la troisième, on propose des stages d'observation aux élèves dans des entreprises, il faudrait imaginer, aussi, ce genre de stage d'observation dans toutes les organisations publiques ou privées qui s'occupent « de la personne »,( aide humanitaire, santé, handicap etc).
La façon de conduire… parce que ce sont des agressions permanentes et quotidiennes que nous connaissons tous. Le respect des biens publics (Tags, déchets, nuisances…). Pour lutter contre ces incivilités ? À part s'armer de courage pour faire face à ce type de comportement, hormis les verbalisations sur les gens pris en flagrant délit, je reste sec sur cette question.
Quelque part, je pense que la police de proximité avait, d'une certaine manière, une action préventive contre nombre de ces comportements. Si on ne veut pas appeler ça police, on pourrait appeler ces équipes des "médiateurs du quotidien". Mais, bien entendu, ça demande de l'argent…
Pour commencer, être exemplaire. Pour le reste, vu la violence intrinsèque de notre société, j'ai du mal à proposer une solution plutôt qu'une autre.
None
None
Oui
Bien que cela ait été décrié par de nombreuses personnes « de bonne ou de mauvaise foi », je pense, personnellement, qu'il faudrait obliger les allocataires de solidarité de donner du temps à des associations ou à des organismes, ce qui peut, peut-être, remplacer les contrats aidés… ? j'ai en mémoire une expérience tentée sur un territoire, dans une commune où toutes les aides ont été fusionnées, ont été transformées en salaire, en donnant un travail à la hauteur des compétences des récipiendaires de ces allocations. Et cela a marché. Cette expérience devrait être étendue.
Idéalement, il faudrait instaurer une migration par quotas, en fonction des métiers en souffrance. Nous n'avons pas les moyens d'accueillir toute la misère du monde, même si nous devons prendre notre part.
None
En premier lieu, il faut éviter que ces populations ne quittent leur pays d'origine. Pour cela, il faut des aides, mais qui ne passent en aucune manière par les gouvernements sur place: on voit où tout cela a conduit (népotisme, corruption, détournements financiers… !) Alors, pourquoi ne serait-ce pas l'Europe qui coordonnerait ces différents projets, qui amélioreraient les conditions de vie de ces populations, dans leur propre pays, et donneraient, à nombre d'entre eux, des possibilités d'accéder à des métiers qualifiés, à venir se former en Europe, puis à retourner chez eux pour exercer et partager leur savoir.
None
Je suis partisan de ce qu'on appelle le despotisme éclairé… « tout pour le peuple, rien par le peuple »…
L'Etat se désengage de plus en plus au motif de faire baisser la dépense publique. Il faudrait recentrer les dépenses de l'Etat vers la satisfaction des besoins des usagers, pas n'importe quel besoin s'entend, bien sûr. La dématérialisation permet de délocaliser une multitude de services et notamment en zones rurales. L'idée, ou le concept de "maison des services publics" est très porteuse de progrès dans ce domaine. Il serait judicieux de multiplier ces points, avec un ou deux agents, qui maîtrisent à la fois le droit général de l'administration, et les technologies d'internet. D'ailleurs, quand je serai à la retraite, je proposerai mes services à une association pour remplir ce genre de mission. Mais il est important de développer ces services avec les Maires. Les bus de services publics sont aussi une bonne idée... Mais ils ne sont pas visibles !! en tous cas dans ma contrée (Normandie, Pays d'Auge)
Non
En fait, que les collectivités territoriales s'acquittent avec professionnalisme des missions déjà inscrites dans la loi. Après, on aviserait.
Non
Santé, Police de proximité, justice
Je pense qu'il y en a assez pour le moment. MAis il faut les faire connaittre et avoir une organisation pour les gens qui ne maitrise pas ces outils, et ils sont encore nombreux !
Oui
Oui
de grandes amplitudes horaires et surtout en fin de journée, pour les gens qui travaillent et font souvent des km pour aller à leur travail. Leur permettre, les samedi et entre 17 et 22h, d'avoir accès à ces services est une suggestion à étudier. CE ne sera certainement pas rentable, économiquement, mais porteur auprès des populations.
Etat civil, cartes grises, impôts, Sécurité Sociale, Pôle emploi...
Former, les usagers, faire des ateliers, aider les gens qui sont paumés devant un écran et une souris... Et C O M M U N I Q U E R !!
Oui
Non
None
J'ai du mal à répondre parce que fonctionnaire moi-même, je ne me rends pas compte des difficultés. En même temps, il ne faut pas faire n'importe quoi, qui risquerait de mettre des tiers en danger. Mais là où se posent de sérieux problèmes, en matière par exemple de vente d'immeubles, de terrains, ou pour des questions de permis de construire, c'est le doute qui se faufile quand on vous demande des documents manifestement superflus, pour, en fait, vous évincer d'un projet parce que le "politique" a son candidat. Et c'est trop fréquent.
Oui
oui, MAIS... sous contrôle pour assurer la neutralité du service public. Et, par dessus tout, rendre ce métier attractif, par delà cette foutue sécurité de l'emploi. Il faut reconnaitre les agents de valeur et les gratifier. Avec les restrictions budgétaires imposées aux administration, on assiste à des nivellement par le bas. Le fonctionnaire qui fait juste ses 35h, et tacheronne comme un robot monte aussi vite en grade que celles et ceux qui se donnent à fond dans leur travail.
Oui
Valoriser les agents qui avancent et font progresser les service au public.
De la présence sur le terrain et dans les zones rurales et les banlieues. Certes, c'est dispendieux. Mais voyons où l'on peut récupérer des fonds qui sont peut-être donnés ailleurs, sans retour pour nos citoyens.
non concerné
non concerné
non concerné
Coté + : tout est dématérialisé, ce qui permet de préparer son dossier chez soi avec tous les "papiers". Côté - : le site de la CNAV (assurance vieillesse) ne marche pas. Les réponses aux questions mettent des jours et des jours à nous parvenir, on a l'impression que les agents, de l'autre côté de l'écran, ne comprennent pas le contenu des questions et réponde selon un formatage qui n'a rien à voir avec la question. Deux mois de galère et toujours pas de réponse ! Enfin, mais là, ce n'est du service public, le site d'ALLIANZ qui gère ma retraite complémentaire est aux abonnés absents...
Avec la dématérialisation tout va bcp plus vite est c'est très bien
Demande d'aide technique à la MDPH du 14 : j'ai eu le temps de monter mon dossier avec toutes les pj. DU coup, réponse de principe.. même pas 15 jours après (bon, c'est un renouvellement mais quand même...)
non concerné
non concerné
non concerné
non concerné
non concerné
non concerné
La Santé : je suis directeur d'hôpital. Depuis qq années, nous rencontrons des difficultés monstres à recruter des médecins. Les chirurgiens vont dans le Privé, ou en CHU, les autres se concentre sur les grandes villes, sur Paris et l'AP-HP, et les hôpitaux de recours (pas les hôpitaux locaux, des centre hospitaliers de villes moyennes) sombrent dans la pénurie et le déficit de service à la population. De même, la désertification médicale des campagne devient une véritable catastrophe. LEs médecins qui partent à le retraite ne trouvent pas de remplaçants. Même en ville ! La population n'accèdent plus aux soins même basiques, sauf à venir envahir les Urgences Hospitalières qui n'en peuvent plus. Une solution, même si elle sera rejetée par les intéressés : une obligation de servir d'au moins 5 années dans le secteur public, dans les maisons de santé publiques, dans les dispensaires. Après tout, c'est avec les impôts des Français que ces personnes peuvent faire des études. Leur métier est, par la force des choses très lucratif. Ils (elles) peuvent bien rendre un minimum à l'Etat, ou plutôt à la nation, un peu de leur savoir faire professionnel pour le bénéfice des bassins de population sinistrés du point de vue médical. La réactivation des hôpitaux locaux est une bonne chose, mais ce sera des coquilles vides si on n'oblige pas les jeunes médecins à y venir, pour un temps court, précisons le. Alors, oui, il faudra être coercitif avec une CSP qui a toujours refusé la moindre contrainte au nom de la liberté de s'installer....
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Avant toute chose, une cohésion mondiale dans les actions, sinon ça ne sert à rien. Il faudrait un contrôle international et neutre des taxes carbone, et aider les pays qui en ont besoin à sortir des énergies carbonées (le solaire en Afrique par exemple !)
Oui
Beaucoup de chaleur, qui devient insupportable souvent. Perte de certains repères que l'on a par rapport à nos saisons. "on ne sait plus comment s'habiller". Les grands ou gros épisodes climatiques sapent le moral.
Oui
Pour commencer, j'ai choisi l’hybride pour me déplacer. j’évite le sur emballage, je trie mes déchets
Quand on est à la campagne « au milieu de nulle part » on est obligé de se déplacer en voiture. Idéalement, j'aimerais avoir les moyens d'avoir une voiture électrique pour le quotidien, un véhicule hybride quand j'envisage des déplacements plus conséquents
On en revient toujours au même argument : les moyens financiers.
Oui
Étant locataire, je n'ai pas « intérêt financier », immédiat en tout cas, à changer de mode de chauffage. Il faudrait des contrats entre propriétaires et locataires pour présenter un dossier commun à des financements d'aide au changement de mode de chauffage et l'isolation des maisons. Le problème, c'est que dès qu'on gagne correctement sa vie, nous n'avons plus droit à rien. CQFD
Non
C'est simple, des navettes beaucoup plus fréquentes. Mais ce serait très dispendieux pour la collectivité ! Donc, je ne crois pas trop à des solutions alternatives genre transports en commun. Quant au covoiturage, psychologiquement, c'est juste impossible pour moi.
None
None
Tout d'abord, il faudrait rompre les liens incestueux entre les pouvoirs politiques et des lobbys du charbon. Ou plutôt des énergies carbonées. Quand on regarde la Chine, elle prend bien conscience des problèmes de la planète. Et elle fait ce qu'elle peut pour sortir du tout carbone. Quand on regarde les États-Unis, ils mettent le paquet sur les énergies carbonées, pour "donner du travail aux Américains". Ce dont ils ne se rendent pas compte, c'est que lorsque la planète sera cramée, plus personne n'aura de travail ! C'est de l'inconscience folle.
None
Votre message a bien été envoyé.