Indiquer chaque année quel est le poids de la dépense publique p/r au PIB et donner le classement de la France p/r aux autres pays comparables (ex : OCDE). Cela dit indiquer le poids des prélèvements obligatoires p/r au PIB et donner le classement de la France p/r aux autres pays comparables (ex : OCDE). . L'écart entre ces deux taux donne le poids de l'endettement annuel : donner également le classement de la France p/r aux autres pays comparables (ex : OCDE). Avec ces trois grands indicateurs on a ainsi une situation sur les actions à mener pour réduire la dépense publique : faire baisser la dette en réduisant les dépenses financées par celle-ci si le lien emploi/ressource est connu. Si tel n'est pas le cas identifier les dépenses à baisser ( ex : doublons administratifs, simplification de l'organisation territoriale car il y a trop d'échelons, réforme de l'organisation des fonctions publiques pour les rendre plus mobiles flexibles et agiles. Statut de la fonction publique à réserver aux fonctions régaliennes Réforme de l'assurance chômage des intermittents du spectacle. Fin de l'Aide Médicale d'Etat ......) Indiquer aussi chaque année la répartition de la dépense publique selon les grandes fonctions ( enseignement; défense; sécurité intérieure; justice; dette; culture; industrie; agriculture; aménagement du territoire; dépenses sociales contributives; dépenses sociales non contributives; ....) Pour les dépenses sociales contributives ( retraite; maladie et AT; famille; chômage; dépendance) mettre en regard les différentes ressources correspondantes (cotisations sociales; csg; crds; autres prélèvements sociaux affectés) pour identifier s'Il y a déséquilibre et prendre les mesures ad hoc de réduction de celui-ci. Faire de même avec les dépenses non contributives (RMI/RSA; CMU;AME; APL; ......) ainsi on saura qui paye quoi et ce qu'il faut faire pour réduire la dépense.
Dans un 1er temps que tout le monde paye l'IRPP car qu'est ce que l'IRPP si 55% des foyers fiscaux ne le payent pas? Ceux-ci n'ont pas de revenus ? N'y a t-il pas détournement de cet impôt pour en faire un pseudo impôt sur la fortune quand en plus on sait qu'à l'intérieur des 45% de foyers qui payent cet impôt 10% de ceux-ci en payent 70% ? A quoi rime cette concentration ? A démoraliser les gens ayant des postes à responsabilité ? N'y a t-il pas ici une injustice flagrante organisée par l'état? Comment peut-on créer un lien de citoyenneté et un consentement à l'impôt quand on exonère à tours de bras certains foyers de plus en plus d'impôts (IRPP; Taxe habitation; CSG et autres prélèvements sociaux ....) et qu'à l'opposé les 25% les plus aisés doivent payer la quasi totalité de ceux-ci ? La solidarité ne fonctionne t-elle qu'à sens unique : tout est gratuit pour certains et les autres doivent payer x fois le prix du service public? Si la situation actuelle perdure il y aura de plus en plus de dislocation du lien social et d'irresponsabilité dans ce pays.
Dans un premier temps tous les impôts qui financent des dépenses non contributives et non régaliennes. Dans un second temps tous les impôts nous permettant de ramener le poids des prélèvements obligatoires dans la moyenne européenne ou de l'OCDE.
Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Revoir les conditions d'attribution des aides non contributives (RMI, RSA, CMU, ...)
Voir ci-dessus
La dépendance pour mieux couvrir les dépenses de soins liées à l'état des personnes et qui aujourd'hui restent à charge (part de l'APA non couverte par les Conseils Départementaux). En revanche ne pas faire financer publiquement la prise en charge du loyer qui s'assimile à de la dépense hôtelière (logement; ménage; restauration) et qui lui relève de la dépense personnelle sinon il y a un risque de dérive inflationniste comme pour les mutuelles avec les lunettes. De plus les écarts de loyers varient énormément selon les zones (rurale; mixte; urbaine ) selon l'ancienneté de l'établissement et le statut de ce dernier ( public; privé à but lucratif; privé à but non lucratif) le choix de l'établissement relève donc d'un choix personnel : il ne serait pas normal de faire financer publiquement des loyers de plus de 3000 € quand d'autres se contenteraient de moins de 1800 €
Education; Défense; Sécurité Intérieure; Justice.
Trop d'impôts fustigent les consommateurs alors qu'aucun autre moyen n'est mis à disposition par les industriels et en plus ceux-ci restent incités à continuer à produire des produits générant obligatoirement des taxes au bénéfice de l'ETAT : exemple les voitures et les seuils d'émissions de CO2 ou de NOX. Pourquoi ne pas frapper les constructeurs au portefeuille, y compris s'il y a importation, s'ils continuent à produire de tels véhicules ? Idem pour les fabricants de produits sucrés, salés ou trop gras, ceux du tabac et ceux produisant des alcools.
Il faudrait fusionner les régions et les départements (ces derniers disparaissant) et faire de même avec les intercommunalités et les communes (ou fusionner les communes).
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Tous ceux qui se sont engagés dans une démarche de dématérialisation rendant ainsi l'information beaucoup plus accessible pour les citoyens tout en facilitant les démarches et en faisant gagner du temps. Cette démarche s'inscrit pleinement dans le développement durable.
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Oui
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Oui
Par des délégations de pouvoirs et d'engagements; en accroissant les possibilités de mobilité entre administrations publiques
Oui
Le statut de fonctionnaire me semble un peu désuet (hormis pour les fonctions régaliennes : défense; police; justice) et ne plus correspondre à notre époque. Cela ressemble à un carcan qui n'offre pas la souplesse qu'ont actuellement les personnes du privée de pouvoir changer de poste à l'intérieur d'une grande entreprise. Le recrutement sur concours est aussi suranné : là aussi il faut rapprocher le public du privé en fonction des compétences, comportements et pas seulement de la formation diplômante initiale
Déjà en regroupant certains échelons pour facilité la prise de décision et gagner en temps. Après il faut déployer le haut débit prioritairement vers ces territoires (pour freiner la désertification avec les nouveaux modes de travail) ce qui rapprochera numériquement parlant ces citoyens des administrations. Pour les personnes qui ne sont pas à l'aise avec les outils numériques : proposer des formations gratuites pour les familiariser avec ces nouveaux moyens de communication et/ou implanter des maisons du service public au niveau intercommunal
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Satisfaction du site AMELI de la CPAM pour les démarches et le suivi des remboursements. Idem avec la complémentaire santé.
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Changer les modes de production (agricoles, industriels) notamment en agissant sur les énergies utilisées. Ce changement doit également s'appliquer aux transports ( y compris aérien et maritime) et aux modes de chauffage dès lors que ceux-ci utilisent des énergies carbonées. Un grand plan d'isolation des bâtiments anciens ( habitations, industriels, commerciaux, tertiaires ) ou ne répondant pas aux nouvelles normes devrait être engagé : des priorités sont néanmoins à fixer.
Oui
On en ressent de plus en plus les effets à travers ce que l'on peut constater (érosion du littoral, baisse de la biodiversité) et à travers les contraintes de plus en plus marquées qui s'appliquent à la population (limitation de circulation; fiscalité de plus en plus pénalisante) ce qui aboutit à remettre en cause certaines libertés (déplacements ; baisse du pouvoir d'achat ) ce qui relativise de plus en plus ou remet en cause certains progrès obtenus par le passé d'où un sentiment que l'avenir est de plus en plus sombre : manque d'épanouissement personnel et limites de plus en plus présentes et nombreuses.
Oui
Tri des déchets; utilisation des transports en commun pour aller travailler; marche à pied pour aller en centre ville dans la mesure du possible; baisse du chauffage; utilisation de lampes économiques; éteindre les lumières dès qu'on quitte une pièce; ne pas laisser l'eau couler inutilement; limitation des produits phytosanitaires; ne pas fumer; pas de vaisselle en plastique
Obliger les copropriétés (et les villes) à installer des bornes de recharges rapides électriques afin de permettre dans un premier la généralisation des véhicules hybrides rechargeables (pour les longues distances) et par la suite des véhicules 100% électriques (aujourd'hui appropriés pour les déplacements quotidiens). Fournir aussi une offre de véhicules à hydrogène avec des stations de recharges dans chaque station services (avec hydrogène produit à partir d'énergies renouvelable).
Faire en sorte que les industriels ne mettent plus sur le marché des produits polluants ce qui entrainerait par les économies d'échelle une baisse du cout de ces nouveaux produits. Aujourd'hui le consommateur est soit pénalisé financièrement par le coût d'achat du nouveau produit, soit surtaxé (bonus écologique; taxe carbone via les fluides utilisés ) s'il achète un produit moins vertueux mais qui répond mieux à ses besoins immédiats. Le consommateur final est trop souvent considéré comme une vache à lait : il paye la nouveauté mais il surpaye aussi des produits ou technologies largement amortie ce qui ne facilite pas la transition écologique
Oui
En copropriété avec chauffage individuel ===> mettre aux nouvelles normes énergétiques les bâtiments pour qu'ils soient à énergie positive :où on produit plus d'énergie qu'on en consomme
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Les sociétés de transports (SNCF, RATP, VEOLIA......)avec le soutien de l'Etat et des autres collectivités territoriales pour organiser le maillage de ces solutions (ex : vélo = ville; covoiturage = département).
Décider de ne plus importer de produits qui ne respecteraient pas les choix effectués par le pays
Relancer le programme nucléaire car c'est une énergie non carbonée avec une puissance de production importante et utilisant peu de terres agricoles par rapport aux centrales solaires
Votre message a bien été envoyé.