Date de publication : 2019-01-26
Code postal : 34230

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Il y a impôts, directs et indirects. Les indirects générant une très grosse ressource : la TVA, la Taxe Intérieure de Consommation sur les Produits Énergétiques. Puis les autres recettes non fiscales : produit des amendes (en très nette augmentation), les jeux, les héritages, revenus des domaines, vente de biens, etc.. Ressources nettes de l'État, une fois déduit les prélèvements au profit de l'UE et des collectivités, avoisinent les 343 milliards d'euros. Au-delà de ce chiffre, l'on sait qu'il y a des postes de dépenses obligatoires : salaires fonction publique + charges, de fonctionnement, d'investissement et remboursement des intérêts de la fameuse dette générée depuis des lustres, et dont Monsieur Macron n'est pas responsable. Tous ses prédécesseurs depuis Valéry Giscard D'Estaing, pour diverses raisons, ont endetté la France. Giscard fait face à deux crises pétrolières, une croissance diminuée, inflation. François Mitterrand offre la retraite à 60 ans, sans évaluer les conséquences une quarantaine d'années plus tard et sans en avoir les moyens financiers, dans la perspective de diminuer le chômage, il recrute à tour de bras dans la fonction publique. Il accorde la 5ème semaine de congé. Très populaire et très généreux, sans jamais mesurer les conséquences dans un avenir à moyen terme. Le trou de la sécurité sociale se creuse. Monsieur Jospin met en place des contrats emploi-formation, des emplois jeunes, le RMI, la fameuses Couverture maladie universelle (CMU). Le taux de la dette va doubler dans les années Mitterrand. Jacques Chirac verra la dette atteindre une cote d'alerte en 1998. L'arrivée de l'euro en 2001 favorisera une accalmie au travers du respect de Maastricht. Puis naîtra la fameuse semaine des 35 heures et son cortège d'ennuis pour la France. Nous n'avons pas les moyens financiers, mais l'on fait. Peu importe les conséquences, ce sera pour les suivants... Jacques Chirac dans son rôle de Président et son 1er ministre J.P. Raffarin ne se préoccupent plus des obligations "Maastrichtiennes", pas plus que les ministres suivants. La dette s'envolera dans des sommets funestes, elle atteint 90 % en 2012 ! Et l'on ne parle du remboursement que des seuls intérêts ! Quid du capital ? Pendant ce temps là, on paie des chambres d'hôtel aux sans logement à des prix indécents au lieu de construire des logements pérennes, le RSA arrive sur le marché en 2007 (mais on a toujours pas les moyens - il est financé par les départements, le fonds national des solidarités actives alimenté par une nouvelle taxe sur les revenus du capital et du patrimoine). Vous avez une chaîne parlementaire. Pourquoi ne pas fixer un rendez vous mensuel pour rendre des comptes de façon objective et non contestable sur l'utilisation de notre argent ? Le site gouvernemental peut également héberger une information. Un genre d'arrêté comptable comme les entreprises sont tenues de vous soumettre. Les grandes orientations pourraient suffire !

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Il est recensé en France plus de 200 aides sociales. Cela peut passer de l'aide pour le règlement de la facture d'eau, à la bourse d'études, diverses primes, le RSA, allocation logement, la couverture maladie universelle complémentaire, allocation de solidarité, subvention pour des vacances, etc. Aider = OUI - Retirer le goût du travail = NON Comment concevoir qu'il est plus aisé de rester à la maison subventionné, plutôt que d'aller travailler où l'on dépenserait plus et gagnerions peut-être moins ? Il faut redonner le goût de l'effort. Afin de rendre la fiscalité plus juste, dès le premier euro reçu, chacun devrait participer à l'effort. Je vais faire grincer des dents dans les chaumières, mais je propose que les 37,4 millions de foyers fiscaux contribuent à l'effort de la nation. Seuls 17,1 millions de contribuables sont imposés, soit moins de la moitié des foyers. Par conséquent, si, 20,3 millions de foyers fiscaux payaient par exemple 50 euros pour l'année, cela rapporterait : 1 milliard 15 millions ! Il serait juste que tous contribuent, dès le 1er euro reçu. Ce serait une forme de participation à la société, et ne plus se sentir exclus. Chacun pourra dire : "Je participe" et ce sera un honneur. Et, il ne faudrait pas se laisser intimider, comme pour le retrait des 5 euros des aides sociales avec la démonstration en Assemblée Nationale de la disparition d'un paquet de pâtes, d'une boîte de thon et quelques gadgets du caddy. Ces députés ne tenaient pas compte que nombre d'entre eux fument régulièrement, et que l'on peut se passer d'un paquet de cigarettes par mois... à 7 euros ! Par contre, ce serait plus juste de réaliser davantage de tranches pour plus de justice et de taxer les gros revenus. Indépendamment de ceci, nous ne devrions plus voir des sommes accordées au titre de parachute doré aux responsables de société. Au plus fort, lorsque l'État est actionnaire, comme il serait question d'accorder une prime de 25 millions d'euros à Monsieur Carlos Ghosn. C'est indécent, en plus lorsque l'on apprend que ce dernier est fiscalisé aux Pays Bas. Comment de telles choses peuvent se passer chez nous ? Vive la justice Nippone !

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

La taxe foncière - Bien acquis lorsque l'on pouvait faire face aux différentes taxes, dans le cadre d'une activité - La retraite interdit désormais d'être à l'aise dans cet exercice. Quant elle arrive, il y a de quoi sombrer dans une profonde déprime. Une chance que la taxe d'habitation va disparaître ! Si seulement la taxe foncière pouvait être indexée sur les revenus. Des gens, aujourd'hui, vendent leur maison parce qu'ils ne peuvent plus faire face aux charges. Triste constat en arrivant à la retraite, alors que l'on croyait avoir tout prévu. Nous n'avions pas pris en compte les facéties de monsieur Balladur et de ses copains les syndicalistes.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Diminuer la masse salariale de l'État - Rendre le patrimoine attractif et rentable - Supprimer des élus en grand nombre - Rendre caduque tout ce qui est inutile, tel que présenter vos voeux à au moins 30 reprises dans toutes les strates de l'état - Revenir aux fondamentaux pour les décorations honorifiques et ne plus s'abîmer dans le ridicule - Mieux gérer tous les parcs : automobiles, dépenses bureaux, vaisselles pour l'Élysée, etc. - Diminuer les représentations et leurs frais associés - Ne plus recevoir comme au temps de Louis XIV, désormais suranné -

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Toutes les aides sociales doivent reposer sur la sincérité des besoins qui doivent s'accorder avec le droit français. vous devez faire la chasse aux fraudes sociales qui doivent valoir leur pesant d'or ! Toute aide doit recevoir sa contrepartie par un apport physique à la société. Cela contribuerait à de la justice sociale.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

L'enfance et l'éducation aux enfants. Ils sont le socle de notre avenir.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Commencez par faire des économies, nous aurons moins d'impôts à payer !

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Nous voulons bien contribuer aux impôts. Nous sommes fiers de notre système de soin, de nos écoles, de notre police. Nous aimerions des programmes d'investissement d'avenir pour profiter à l'emploi. Nous ne voulons plus voir l'ENA en faillite, alors que cette dernière enseigne à notre oligarchie comment gérer la France. Nous ne voulons plus voir l'État financer les syndicats, ces derniers devant dépendre des cotisations perçues, selon les principes fixés à l'origine de leur naissance dans notre pays. L'approche syndicale doit être révisée. Ils ne représentent pratiquement rien, quelques fonctionnaires et de nombreux fainéants. Ils sont censés être des garde-fous, ce ne sont que des arrivistes. Ils profitent d'un système et gênent leurs collègues dans leur travail en alourdissant leur charge de travail, puisqu'eux mêmes sont en délégation où réfléchissent aux lendemains de la société... Ce sont des nuisibles, à l'origine de nombreuses casses sociales dans notre pays. Comment ont-ils pu être à l'origine de la création d'une retraite par capitalisme, comme la PREFON, au profit des fonctionnaires et l'interdire au privé. Comment ont-ils pu accepter le changement de condition d'obtention de retraite pour le privé durant l'été 1993, en plein mois de juillet, les pensions du privé uniquement seront calculées sur les 25 meilleures années, au lieu des 10 meilleures (l'apprentissage qui durait 3 ans, mais sans cotisation, les 16 mois d'armée, contribuent à rendre les retraites à peau de chagrin. Nous ne disons pas merci aux syndicats, tous confondus, dont la seule mission est de défendre les fonctionnaires et de coûter de l'argent aux contribuables. Syndicats, relisez vos conditions de mise sur le marché à l'origine ! Nous ne voulons plus voir des régimes spéciaux qui bouffent la retraite d'une grande majorité, ils n'ont qu'à se la financer tout seuls. Comment peuvent-ils avoir autant d'avantages, alors que le contribuable lambda paie ! Nous ne voulons plus voir respecter la lettre de Fabius approuvée par Mitterrand et réviser l'assistance à nos anciens présidents. C'est du délire. D'autant plus que désormais, ils sont jeunes. Évaluez ce que nous a coûté Valéry Giscard d'Estaing... Vous devez confier des services publics à des recours d'initiative privée. Ils le font mieux et pour moins cher. Seules les missions régaliennes ne doivent relever que de l'État. Vous devez changer le statut des fonctionnaires. Ce statut doit rejoindre celui du privé. Il n'est plus d'actualité d'offrir des placards pour punir. Le code du travail peut s'appliquer ! Les fonctionnaires, au même titre que le privé, doit abandonner les 3 premiers jours de salaire en cas d'arrêt maladie. La France va vite retrouver de l'argent neuf ! Les congés pour enfant malade ne doivent plus être considérés comme des congés à solder en fin d'année !!! Un alignement du régime fonctionnaire sur le régime privé est indispensable. L'équité contribuera à la paix sociale. Le privé peut aussi avoir ses lettres de noblesse, au même titre que la fonction publique. Nous devons être égaux et complémentaires. Vous devez remettre de l'ordre dans toutes les couches successives des normes, de revoir toutes les aides, celles distribuées aux entreprises, aux particuliers, aux associations, aux syndicats. Il faut tout mettre à plat, quitte à faire des mécontents, mais pour le bien de la Nation, dans l'intérêt général. Nous sommes lassés de voir des dépenses inutiles : des routes entreprises jamais finies, voir des ponts ne donnant nulle part, des ronds-points à tort et à travers, des choses faites et refaites dans un temps réduit, des aides accordées aux fonctionnaires (injustice sociale), et tant de choses qui nous hérissent le poil. Nous ne voulons plus voir des ministres chercher de l'argent dans l'urgence et taxer n'importe quoi sous n'importe quel prétexte, c'est nous prendre pour des imbéciles. COURAGE - METTEZ DE L'ORDRE

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Le Président de la République. Un mandat de 5 ans lui est accordé sur des critères démocratiques. Nous comptons sur lui pour une projection dans un avenir serein. Il lui appartient de projeter notre pays dans un objectif dans lequel les générations à venir seront épanouies.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Surtout pas les organisations syndicales. Une priorité pour eux, leur bien-être. Qu'elles commencent par restituer tout l'argent pris comme ressource personnelle, avec l'aval du gouvernement, sur les cotisations formation, dont les travailleurs ont bien besoin. Sur ce coup là complicité entre syndicats patronaux et salariés. Un centime pris pour la formation doit être accordé à une formation pour un salarié. Et, nous savons tous, que s'il existe tant d'organismes de formations, c'est qu'il s'agit d'une pompe à fric facile. Mauvaise qualité de formation au détriment des salariés.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Les élus doivent donner l'exemple, ne détenir qu'un seul mandat afin d'y consacrer toute leur énergie. Il faut cesser d'ajouter des lois aux lois, en plus, avec si peu de participation lors des votes. Tout élu devrait bénéficier d'une formation afin de répondre au mieux à l'attente pour laquelle il fut élu. Cela commence par le Maire dans la diversité de sa fonction où sa tâche l'implique dans le droit, la responsabilité civile, l'urbanisme, l'action sociale, action économique, la gestion, tous les aspects de la société civile, etc. ; puis les députés auxquels devrait être enseignée la non influence du lobbying et leur imposer de ne s'occuper exclusivement que de leur mandat, aucune autre fonction ou responsabilité périphérique. De grâce, si l'on pouvait supprimer toutes les cérémonies de voeux durant tout les mois de janvier, occasionnant perte de temps et dépenses publiques inutiles. Obligation des deux côtés, imposée aux émissaires, et contrainte pour ceux qui écoutent. Complètement obsolète.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Je ne sais pas

6. Pourquoi ?

Non perçu dans l'application. Confiance limitée quant à sa réalisation...

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Lorsqu'un Président est élu pour 5 ans, le pays devrait se ranger derrière lui. À lui de faire ses preuves afin d'être reconduit. Une opposition intelligente serait celle qui avancerait des arguments positifs dans l'intérêt du pays. Il nous semble vain qu'ils se confrontent devant les micros et se tapent dans le dos à la buvette... Mais cela ne peut s'imposer, c'est juste une affaire de bon sens et vouloir le bien de son pays. Bisounours, quant je rêve de toi !

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Préfets et Sous-Préfets auraient du disparaître avec l'instauration de la décentralisation, puisqu'il y avait transfert de compétences aux collectivités. Chaque modification de l'organisation politique se traduit par une inflation de charges et dépenses. C'est l'occasion d'attribuer un poste à des copains contre un malheureux bulletin dans l'urne qui coûte très cher au contribuable du CDI à la retraite avec tous les avantages de la fonction territoriale à la clé ! Idem pour la région devenue collectivité territoriale. Le conseil Régional s'est déployé dans tous les domaines. Trop d'antennes, trop de personnel, trop peu de réponses aux citoyens. Une envolée de dépenses dans des secteurs superflus (voir le coût du bâtiment des archives sur Montpellier, la Mairie de Montpellier alors que l'ancienne était récente et bien située, etc., etc. etc.). Lorsque vous les joignez, en préambule vous devez communiquer vos positions géo-localisables afin de déterminer si vous relevez de leur responsabilité. Il n'y a plus que des chefs et sous-chefs. Dans les coups durs la région fait appel aux services privés, tel qu'inondation, tempête, etc. Trop de conseillers régionaux, trop de conseils tue les conseils. Collectivité territoriale décentralisée, avec ses élus, Conseil Général, Conseil économique et social régional,. vous y mettez une grande poignée de présidents, vice-présidents, adjoints, rapporteurs, et vous obtenez une note salée à la charge du contribuable. Abondance, quant tu nous tiens. Les belles années ont permis cette gabegie, aujourd'hui l'heure des comptes sonne, et, ils ne savent plus travailler. De l'ordre doit être remis.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Si cela se fait dans un esprit constructif, cela peut permettre d'ajuster, voir de croiser, un point de vue vécu sur le terrain avec les décisionnaires. Pourquoi pas ?

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Si le vote devient obligatoire, alors qu'aujourd'hui il s'agit d'un simple devoir, l'on pourrait coupler le vote blanc à un bulletin exprimé. Cela pourrait peut-être permettre de réduire le recours au vote extrême ? Car ce vote blanc signifie une prise de position.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Il est difficile de s'entendre dans une famille. Les associations, en principe éminemment consensuelles, dénombrent des opposants en leur sein. Au travail, les zizanies entre collègues ne manquent pas. Dans les équipes sportives la jalousie peut conduire à des brouilles. Dans les partis politiques, les crocs sont visibles. Dans toutes les formes de la société, règne la discordance ! 5 % de la population font la différence entre un candidat ou l'autre, en principe, ceux qui n'ont pas d'identité politique, alors, ils font pencher la balance en fonction de leurs intérêts personnels. Il est utopique de croire que quelque action que ce soit de la part du gouvernement cela conduirait à de l'harmonie. Notre pays est, et, restera ingouvernable ! Le socle d'un changement repose sur les enfants et un enseignement de qualité.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

A utiliser avec beaucoup de parcimonie !

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Il existe un outil extraordinaire à la disposition de l'État. LA COUR DES COMPTES. Alors que l'on paie ces gens pour faire un boulot formidable, ils ne reçoivent qu'un avis consultatif. Autant le dire tout de go, tout le monde n'en a rien à faire. Une grande action, serait de le rendre obligatoire. En 1 ) dans sa lecture - En 2 ) dans l'obligation de son application. Un compte rendu de la cour des comptes et l'exécution de ses préconisations sur le site gouvernemental serait le bien venu.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

A ceux-ci s'ajoute obligatoirement nos députés européens. Désormais nous devons compter avec un nombre majoritaire de lois issues de l'Europe. Alors que ces dernières sont prépondérantes sur la loi française. Par conséquent, il faut en tenir compte. Certains évènements dans notre histoire ont conduit à faire bouger les lignes du nombre de députés, tel que les aléas de l'Algérie. Pourquoi, lors de la mise en place de la députation européenne, n'a t-on pas réduit le nombre de députés du territoire national ? Par conséquent, l'on peut drastiquement baisser le nombre de députés et de sénateurs.. L'Assemblée Nationale disposant de prérogatives plus importantes que celles du sénat, l'on pourrait presque supprimer les Sénateurs. Et Monsieur Larcher ferait bien de quitter les bancs du Sénat, son ventre et sa peau rouge traduisent un trop grand profit de la France y mettant sa santé en jeu ! Par ailleurs les députés représentant les français de l'étranger jouissent d'un statut super intéressant. Toutefois, ces français ayant quitté la France pour raison personnelle n'ont plus besoin d'être assistés par leur pays d'origine. Par ailleurs, mes soeurs installées depuis plus de 30 ans au Canada, se mêlent de nos affaires en votant pour toutes les élections qui ne les concernent plus. À mon sens, cela fausse les résultats. Il faut vivre dans le pays pour s'exprimer. Pour les expatriés, il existe d'autres structures. Et les ambassades et consulats ne sont pas là que pour offrir les chocolats de Madame l'Ambassadrice... Le Conseil économique et social = rôle consultatif auprès du gouvernement. Usine à reclasser des laisser pour compte, voir des copains. Le gouvernement peut recevoir par d'autres moyens des infos : se rendre sur face-book, sur internet, ou autre... Aérez le pays. nous ferons un plein d'économies.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

En les faisant disparaître. Voilà trop longtemps que tout ce petit monde profite des contribuables. Laissez-nous les plus actifs et seulement les sincères pour leur pays. L'heure des comptes a sonné ! Fini le temps des petites cuisines en catimini, désormais tous les outils modernes nous permettent de recevoir l'information à l'instant T !

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Les deux ne peuvent se conjuguer. La loi dessine les limites du supportable, le reste est à bannir. Les écoles d'origine islamique devraient être davantage contrôlées.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

En ne s'y mêlant pas ! Juste le contrôle des écoles prodiguant un enseignement religieux.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Malheureusement, le service militaire n'existe plus. Bien des jeunes y trouveraient des frontières non acquises au cours de leur existence. Il faut retourner vers ce type de formation. De 3 jours ridicules, nous sommes passés à un mois. Il faut l'étendre davantage.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Les jeunes délinquants pourraient ne pas passer par la case prison, ils pourraient apporter un service à la commune qui pourrait, peut-être, les valoriser ? La responsabilisation des parents de jeunes délinquants en abrogeant une part des allocations familiales. Dans la société d'aujourd'hui, l'on ne peut plus appeler un chat, sans immédiatement être suspecté de racisme, d'appartenance à des extrêmes. Nous devons revenir à des fondamentaux et une liberté de langage. Certaines lois contribuent à cet effet. Une chape de plomb nous est tombé dessus, sans que l'on en trouve l'origine...

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Le démarrage se fait à l'école dès la petite enfance. La carte à jouer pour l'avenir se trouve à cet endroit. Il faut enseigner aux enfants l'anglais indispensable dans le monde entier dès la maternelle. C'est là qu'ils apprennent le mieux. Nous devons passer au XXIème siècle. L'économie doit également être enseigné, en partant de la tirelire au cours préparatoire, en passant par l'argent reçu en divers circonstances, puis l'argent lié à la société : le travail, les allocations familiales,les banques, les dépenses, les placements, etc.. En y associant les droits et les devoirs. Pour ensuite connaître la mondialisation dans tous ses aspects. Nous avons un excellent ministre de l'éducation. Il faut l'aider pour qu'il aboutisse à la réalisation de ses objectifs. L'enseignement civique et de la morale ne nuirait à personne.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Dans certains pays cela existe déjà. Pourquoi ne pas regrouper chaque administration avec chacun des citoyens par les moyens existants désormais ? Tout le monde gagnerait du temps. Si l'on a rien à cacher, l'État et le citoyen devrait y trouver son compte. Un fichier permettrait de faciliter la vie pour tous en croisant les informations. Rien à cirer de la CNIL. Peut-être qu'il y aurait moins de fichés "S".

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Problème mineur par les temps qui courent. Nous sommes en campagne. Peut-être dans les grandes villes, dans les moyens de transport, et les agissements de certains ?

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Redonner du sens au mot : SOLIDARITÉ - Ne plus avoir peur de se faire battre à intervenir dans un conflit - Sur la route ne plus craindre le comportement de certains qui peuvent faire preuve de violence pour une contrariété quelconque.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Aucune

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Donner une bonne éducation, fondement de la société.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Déjà, les attribuer aux personnes en ayant vraiment droit. Une interview d'un ancien responsable gouvernemental sous monsieur Hollande, circule sur les réseaux sociaux au travers d'une vidéo d'Europe 1, faisant valoir que des milliers de personnes profitent de nos aides sociales avec de fausses identités. Il est avancé une somme de plusieurs milliards. Mettez de l'ordre. Surveillez les dépenses. Aidez ceux qui en ont vraiment besoin. Nous avons l'impression d'un immense gaspillage, faute de responsables en face de cette gabegie. Un fichier ferait du bien dans ce cas là, aussi ! Attention à l'école de la deuxième chance. Beaucoup d'argent dépensé, pour un résultat très aléatoire. Souvent formation bidon et des jeunes qui profitent d'une manne financière. Ce serait bon d'avoir des statistiques. Juste du vécu autour de moi.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Dans notre situation financière, avons-nous les moyens de recevoir toute la misère du monde ? Sur les réseaux sociaux, il nous est dit que nous allons être confrontés à une situation préoccupante avec l'Algérie. Un Président en bout de course, une surpopulation, un appauvrissement, l'État islamique en position de guet, un chômage omniprésent, risquerait de nous confronter à une vague déferlante. Quel est le seuil du supportable ? Toutes les vagues précédentes d'immigration dans l'histoire ont permis à la France d'être ce qu'elle est aujourd'hui. Mais ces gens là ont respecté la nation qui les a accueilli. Aujourd'hui ils parlent français, sont discrets sur leur religion, participent à l'économie. Quid des Musulmans ? Ce sont eux qui contribuent le plus aujourd'hui à la natalité chez nous. Pourrait-on voir un jour à long terme leur dominance ? Nous confions notre avenir à nos politiques pour qu'ils nous écartent de tout danger à court, moyen, et long terme.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Nous devons en priorité aider les citoyens français. Des familles entières sont sans logement. Le travail manque. Nous ne devons accepter que les personnes dont la vie est en danger. Vous devez vous attaquer en premier aux passeurs qui jettent ces gens dans la misère. Retirez leur les moyens de continuer à nuire aux migrants et aux pays obligés de les recevoir. Ne plus leur donner d'argent pour qu'ils regagnent leurs pays respectifs, puisque l'on sait qu'ils reviennent par une autre porte. C'est un cercle vicieux. Aidons-les à rester chez eux, à travers des chartes, des contrats, notre expérience mise à disposition dans leurs pays, cela créerait des emplois chez nous, tisserait un lien avec leur pays, nous permettrait de recevoir de la reconnaissance.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Les aider de toutes les manières possibles à ne plus avoir envie de venir chez nous. Ne plus les couvrir par de quelconques aides sociales ou médicales. On dit que la France est le paradis pour tous ces exilés. Aidons les chez eux à se trouver bien et ne plus vouloir voir ailleurs. Comment voulez-vous que l'on comprenne, lorsqu'on leur donne sans aucune contrepartie l'assurance de se faire soigner gratuitement avec l'AME (certains viennent chez nous juste pour ça). Ils ont la CMU. Alors que nous français, ayant travaillé, cotisé, ne pouvons plus nous offrir de complémentaire car elles sont trop lourdes pour nos finances. Au plus fort, nous devons payer des médicaments sans prise en charge de la sécu, puisque désormais plus remboursés. Sur des petites retraites ces médicaments sont lourds dans le budget. Nous finirons par ne plus pouvoir nous soigner, alors que des étrangers n'ayant aucunement participé pourront prétendre à tous les soins. L'iniquité conduit au mouvement des gilets jaunes. Une pétaudière !

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Leur imposer d'apprendre la langue française et envoyer leurs enfants en école publique à ceux que nous serons tenus de recevoir.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Les acteurs de l'aide sociale dépensent des sommes colossales au profit de personnes nécessiteuses pour les loger soit temporairement, soit pour des termes plus longs. L'État fixe un plafond de nuitées hôtelières à ne pas dépasser. Des structures, des propriétaires s'enrichissent sur la misère. Pour les contribuables cela reste un puits sans fond. 180 millions d'euros dépensés par an par le Samu Social de Paris en nuits d'hôtel ! L'hôtel coûte certainement plus cher que la construction de structures d'hébergement. L'on construit des centres pour les étudiants sur la base de containers. Il existe un tas de solutions pour adapter le besoin à une famille, ou à un célibataire. Les conditions de vie seraient meilleures et de l'argent pourrait être affecté à d'autres postes tout aussi utiles à ces personnes. Cela pourrait devenir un investissement pérenne. Dans le privé, nous appelons cela : de la gestion ! Dans un autre domaine, la justice ne nous fait pas rêver. Et comme dit un bon vieil adage : "Un mauvais arrangement vaut mieux qu'un bon procès". Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. Jean de la Fontaine né le 8 juillet 1621, mort le 13 avril 1695, reste d'actualité. Il faudrait dépoussiérer Dame Justice pour la rendre plus crédible. Qui peut avoir encore confiance en elle ? Le temps est son ami, et elle s'en sert à outrance. Elle est toujours en train de se plaindre, mais les vacances judiciaires n'ont rien à envier aux vacances scolaires. Elle peut se montrer monstre quand on y pointe le bout du nez, dans toute sa solennité c'est une machine à détruire. La justice nipponne vient de nous démontrer avec Carlos Ghosn qu'elle sait se montrer vive et intraitable, quand bien même il s'agirait d'une "huile". Elle ne traîne pas. Nous ignorons à ce jour si ce monsieur est coupable, mais elle a construit son dossier en amont. Pourquoi faut-il des années chez nous ? Pour souvent aboutir grâce à de bons avocats à des non-lieus. Leur mur des "cons" nous a définitivement éloigné de cette justice, qui n'en porte que le nom. Ma nièce canadienne, est venue poursuivre une formation en droit. Elle s'est étonnée de l'ensemble des codes : code civil, code pénal, code de commerce, code des assurances, code de la consommation, code de la construction et de l'habitation, code du travail, code électoral, code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, code de l'expropriation pour cause d'utilité publique, code général de la propriété des personnes publiques, code général des collectivités territoriales, code monétaire et financier, code des postes et des communications électroniques, code de la propriété intellectuelle, code de l'environnement, code de l'énergie, code forestier, code rural et de la pêche maritime, code des marchés publics, etc. 52 codes en tout. Et à venir le petit dernier, promulgué, mais arrivant sur le marché en avril 2019 : le code de a commande publique. Donc, ma petite nièce faisait valoir que l'ensemble des lois canadiennes pouvait s'inspirer du seul volume de notre code civil, si l'on voulait comparer le nombre de lois. Comme d'hab, la France en fait toujours trop...

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Chaque étape de décentralisation conduit à une nébuleuse financièrement très lourde. Le décret de 1964 institutionnalise le préfet de région avec sa cohorte de satellites : sous-préfets, CODER (commission de développement économique régional), etc. Tous sont logés dans de magnifiques bâtiments et sont accompagnés d'une flopée de personnel. En 1972 arrive sur le marché les établissements publics régionaux (EPR). Monsieur Mitterrand jouera l'acte 1 de la décentralisation en 1982 en accordant des droits et libertés aux communes, départements et régions. Tout ceci en lâchant la bride aux responsables régionaux sans aucune formation préalable. En 1992, une loi relative à 'administration territoriale de la République renforce la décentralisation et la coopération locale. Monsieur Chevènement donnera son nom à une loi ayant pour but de simplifier la coopération intercommunale. Nous passons sous silence différentes lois portant le nom de leur auguste initialeur : loi Pasqua, loi Voynet, etc. La loi du 16/12/2010 réforme les collectivités territoriales. La loi du 17/05/2013 modifie le calendrier électoral quant à l'élection des conseillers départementaux, municipaux et délégués communautaires. Nos politiques poursuivent leurs efforts en nous offrant une loi supposée moderniser l'action publique territoriale en mettant en vedette les Métropoles (MAPTAM). De nouveau la loi du 16/01/2015 tripatouille la délimitation des régions pour modifier le calendrier électoral des élections régionales et départementales. Le gâteau sur la cerise ? Une bande de copains autour de Hollande, pour s'occuper une soirée, se partage les régions et redessine une nouvelle France avec ses grandes régions. Tout ceci au prétexte de réalisation d'économies. Ils donneront jour à la loi NOTRe (ce nom leur va bien !), c'est la loi du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République. De qui se moque-t-on ? Pour la cohésion il va falloir modifier les salaires des territoriaux pour une harmonie, car ils ne bénéficiaient pas tous des mêmes revenus. Pour sûr, un alignement à la hausse en défaveur du contribuable. Et que va-t-on faire des palais que se sont fait construire les petits responsables régionaux ? Car nous avons affaire à des califes. Ils se sont tous concurrencés pour avoir les plus beaux hôtels de région et tant d'autres choses à leur profit... L'organisation de l'État est devenu une usine à gaz. Mon département, l'Hérault, 21ème département en population, compte 1,137 millions d'habitants. Il compte 343 communes. Nous avons une préfecture à Montpellier, une sous-préfecture à Béziers, une autre à Lodève. 1 167 737 personnes y vivent. Nous avons l'immense honneur de compter dans nos rangs 7 députés ; 4 sénateurs ; 1 présidente de conseil régional et ses 15 vice-présidents assortis de 142 conseillers régionaux ; autre strate, un conseil départemental avec son président à 5 512 € / mois, ses 15 vice-présidents à 3 459,33 / mois, et les inévitables 34 conseillers départementaux à 2 718,04 € / mois? Nous n'oublierons pas les 16 établissements publics de coopération intercommunale ; 1 métropole ; 4 communautés d'agglomération ; 11 communautés de communes. Vous y rajoutez les 343 maires et leur aréopage. Tout ce petit monde s'est créé des besoins et nous passerons sous silence leurs directeurs généraux adjoints, puis les directeurs tout seuls sans être adjoints (paye certainement moins bonne !). Il y a les directions, les cabinets, les différents services (très nombreux et en doublon souvent), les secrétariats généraux et les simples secrétariats, les délégations, les services sociaux, les chefs de mission, les bureaux de pilotage budgétaire, etc. L'Hérault, puisque c'est celui que je connais (mais les autres doivent être jumeaux...), Un salarié sur quatre est fonctionnaire. La région compte 182 000 agents publics territoriaux. Si tout ce monde là était travailleur, cela se saurait. Il n'y a que des chefs. Dans l'urgence, l'on fait intervenir des sociétés privées (tempêtes, inondation, entretien voies). Un feuilleté tellement épais que l'on flotte dans un brouillard qui voit l'argent fondre au soleil. Arrêtez les feux d'artifice, arrêtez de vous goinfrer, mettez vous pour de vrai au boulot ! Dans toutes les lois successives de décentralisation, aucun personnel n'a été retiré, bien au contraire de nombreux postes se sont créés, bien souvent pour générer un bulletin de vote dans l'urne. Nous ne sommes pas loin d'une république bananière... Surtout ne pas oublier la cerise sur le gâteau : "LE SPANC". nouveau service intercommunal de proximité soit disant pour protéger l'environnement et le cadre de vie ! Une instance dans laquelle on se noie dans la stupidité et une pompe à fric pour un service intercommunal.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

Surtout pas. Ils ne sont pas formés pour les responsabilités qu'ils ont...

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Il faudrait qu'ils aient envie de travailler et qu'ils cessent de géolocaliser avec Google. vous êtes sur une route départementale, avant un rond-point, hors du village de rattachement. Vous avez un sérieux problème avec risque d'accident et vous dépendez des services départementaux. Vous vous adressez à celui qui vous paraît être le bon, celui de Lodève. Il vous demande votre géolocalisation. Manque de bol vous dépendez administrativement de Lodève, mais vous êtes sur une section dépendant de Pézenas. Résultat des courses = aucun des 2 n'intervient, on attend l'accident. Au jeu du renvoi de balles pour travailler, nous sommes champions du monde.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Un bureau des plaintes pour faire bouger toutes les lignes.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

L'Assurance maladie avec le compte Ameli rend service. Terminé les longues attentes au guichet. La gendarmerie avec les différents services rendus, notamment la surveillance des domiciles en cas d'absence. Notre petite mairie demeure dans une relation idéale et humaine. Les bureaux de poste et leur modernisation ont apporté du confort. Les hôpitaux avec du personnel toujours souriant et agréable, qui malgré le stress vécu, reste porteur d'espoir. Merci aux infirmières et aux assistantes.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

L'agence pour l'emploi. Il faudrait les remplacer par une institution privée. Je parie que le chômage diminuerait vraiment. Idem pour les prisons, pourquoi ne pas les confier au privé. Cela créerait des emplois et offrirait des conditions de vie plus décentes aux détenus.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

La répétition des demandes de document. Que diriez vous de fichiers croisés avec toutes les informations sur chacun des citoyens. L'État y gagnerait, le citoyen n'ayant rien à craindre, aussi. Au diable la CNIL et son illusoire droit privé !

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

En sont-ils capables ? Cela fait des lustres qu'ils sont sous protection sous cloches par des cloches !

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Si l'on se connaissait, je pourrais partager un tas de courriers, notamment avec la communauté de communes. Ils appellent facture, un impôt. Ils sont incapables de cibler une réponse. C'est démoralisant d'avoir affaire à des incompétents. Ils sont tellement loin de ce que l'on nous impose pour un bon fonctionnement dans le privé !

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Ils doivent apprendre à travailler pour de vrai. Par ailleurs, Messieurs les élus, vous-êtes vous déplacés à 80 km / h sur nos routes départementales. Si vous l'aviez expérimenté Monsieur le 1er Ministre, vous n'auriez pas pris cette décision. Elle est mortifère avec l'impossibilité de doubler un camion, avec les voitures qui collent au train. Il s'agit d'un impôt déguisé. Mais que va-t-il se passer quand les point du permis seront épuisés ? Plus d'assurance pour couvrir en cas d'accident. Il va y avoir multiplication de conséquences négatives. Je vous invite à prendre votre voiture personnelle, sans chauffeur, avec Madame peut-être craintive du PV, puisqu'il n'y a pas beaucoup de sous à la maison et seulement 12 points (mais non, il m'en reste 10). Attention, elle a la place du mort. Soyez vigilant, ouvrez bien les yeux. Vous venez de prendre la piste aux emmerdes. Dénombrez le nombre de panneaux, ne tentez pas de placer votre vitesse en mode automatique. Vous allez devenir fou ! Nos élus régionaux ont toute latitude pour modifier les vitesses. Alors vous passerez du 90 au 70, plus loin au 80, attention à ce panneau caché par des arbustes, il indique 60. L'autoroute de Montpellier varie du 90 au 110. Vous tous, semez des pièges, tout le long de nos déplacements, certainement pour entendre tinter la tirelire, puisque désormais vous pouvez partager la cagnotte ! Soyez harmonieux sur la route, nous avons suffisamment de choses à surveiller pour arriver entier à la maison. L"économie des 116 morts rattachés à cette prise de décision, nous n'y croyons pas. Regardez bien vos statistiques, elles fluctuent tout le temps en fonction de nombreux évènements ou concours de circonstance.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Depuis plus d'un mois, mon fils demande à rencontrer son référent à Pôle Emploi. Un sms vient de l'informer d'un rendez-vous téléphonique dans 15 jours ! Pauvre France...

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Lorsque les dossiers se traitaient à la CRAM, vous preniez rendez-vous et vous instruisiez votre dossier. Avec la Carsat c'est le parcours du combattant. Et, attention la date de la prise en charge démarre lorsque le dossier est bouclé, nous avons perdu 3 mois entre les dates de rendez-vous imposées et la difficulté des documents à trouver.

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le manque d'équité entre les différents régimes de travail a conduit à une perte d'intérêt pour le travail lui-même. Il est indispensable d'unifier tous les régimes. Vous entendez redonner des lettres de noblesse à l'apprentissage. Je vous souhaite bon courage, car trouver un jeune aujourd'hui intéressé par le travail relève d'une gageure. L'État devrait réorganiser les syndicats tels qu'ils ont été créés sur les fonds baptismaux. Ils doivent s'auto-suffire au travers des cotisations perçues. Nous n'avons pas à dépenser des millions pour les 5 syndicats. Ils ont conduit à plus de casse qu'à faire du bien. L'on devrait s'inspirer des syndicats canadiens, seul le résultat les reconduit dans leur action. Un enseignement dispensant la connaissance de l'économie devrait être accordé dès le cours préparatoire jusqu'au bac. Cela pourrait s'étager de la tirelire et sa gestion, des sommes reçues, en passant par les aides accordées aux parents pour leur éducation, pour les conduire vers la mondialisation et son système bancaire avec toutes les conséquences. Nous sommes en 2019. Les cerfs doivent être informés des agissements de leurs saigneurs. Autre domaine, l'auto entrepreneur vs la toute petite entreprise : tout en faveur de l'auto entrepreneur. Donnez les moyens de vivre de leur travail aux petites entreprises, afin que les banques les laissent souffler ! Ils n'en peuvent plus. donnez leur de l'oxygène, ils sont asphyxiés.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les 4 problèmes évoqués se conjuguent - Comment paramétrer le plus important ?

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

- Les forêts ne doivent plus relever d'intérêts marchands - L'éducation doit permettre d'intégrer auprès des enfants des pistes d'acquisition et des réflexes naturels - Privilégier les circuits courts - Réviser totalement l'approche alimentaire en favorisant le monde agricole. Nos cultivateurs et éleveurs doivent vivre décemment de leur travail, sans être nécessairement mal assistés à l'aide d'une distribution injuste. J e ne connais pas ce monde, mais leur détresse nous est souvent contée au travers de l'info. Par contre, un qui s'engraisse bien, reste le Crédit Agricole... - Interdire l'importation de produits agricoles ne répondant pas à nos normes environnementales. En 2018, l'humanité franchit le seuil de 7,5 milliards d'habitants sur notre planète. En comptabilisant les naissances, et, en déduisant les décès, chaque jour notre planète reçoit 244 000 nouvelles personnes. Par conséquent, l'adéquation parfaite à ne pas épuiser les ressources non renouvelables où celle à régénérer les ressources renouvelables, relèvent de l'infaisabilité à moyen terme. À l'échelle du monde, que représente la France ? Voire l'Europe ? Les pays émergents souhaitent bénéficier de la consommation, comme nous mêmes l'avons fait. Ils ne sont pas prêts à être sacrifiés sur l'autel de l'environnement modèle ! Entendre parler écologie aujourd'hui s'associe à taxes et impôts. Vous associez tout acte en faveur de cette mission à l'argent. Il peut y avoir éducation, la Suisse et de nombreux autres pays ont réussi à avoir un pays propre. Les touristes s'accordent à dire que la France est un pays sale. Commençons par des gestes simples : compost, déchèterie, une poule (ça mange tout, et cela vous donne des oeufs), ne pas jeter les mégots en ville, campagne et sur route, etc. Des gestes simples mais audibles par chacun.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Le Maire de notre petite commune nous appelle au minimum 6 fois par an pour nous signaler une alerte rouge. Et, nous voilà de nouveau confrontés à un épisode cévenol ! Il faut alors aller chercher les barrières anti-inondation, "silliconer", et jouer à saute-moutons pendant quelques jours pour entrer et sortir de la maison. Les vents s'opposent au jardin. La canicule l'été devient insupportable. 1er février, nous avons nos rosiers fleuris et tout un tas de fleurs. La nature a du mal à suivre... Nous ne sommes alimentés que par un puits (non reliés au système) et chaque année nous craignons de voir nos ressources en eau épuisées.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

De façon si infime. Super carnet d'adresses de fermes dans notre entourage pour de la bonne viande, du bon fromage, des bons canards, de bons légumes, de bons fruits... et un super congélateur ! Nous bénéficions d'une magnifique pelouse synthétique. Des poules contribuent à diminuer nos poubelles. Nous mangeons des fruits et légumes de saison. Nous réalisons un super compost et nous rendons régulièrement à la déchèterie. Nous avons épuisé notre épargne pour remplacer le chauffage fuel par une pompe à chaleur. Sommes obligés de nous servir de la voiture, car à l'écart de tout.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Tout ce que nous pouvons faire est en cours.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Nous rêvons de photovoltaïque, mais n'en n'avons pas les moyens !

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

None

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

- Éteindre toute lumière superflue la nuit au niveau des lieux publics. - Encourager les jardins solidaires en ville et en milieu rural, même au travers de l'école. Les enfants de régalent à jardiner. - Le ferroutage doit contribuer à absorber le trafic des camions sur nos autoroutes et routes. - La voiture électrique est-elle vraiment la panacée décrite aujourd'hui ? Quid des batteries au lithium ? Elle arrive à se vendre aujourd'hui à coups de subventions. Qu'en sera-t-il demain ? La chaîne de sa naissance à sa destruction est-elle maîtrisée ? Il faut éviter de refaire les erreurs d'hier ! Nous avons joué aux apprentis sorciers avec le nucléaire, ses côtés positifs sont atténués par le problème du stockage définitif des déchets et le problème de la gestion des déchets radioactifs. Nous connaissons une indépendance énergétique qui nous posera bien des problèmes lors des démantèlements, d'ores et déjà payé par le consommateurs (ceux-ci étant inclus dans le prix demandé). Affaire à suivre, que va-t-on nous raconter ? - Coup de pouce SVP pour une jeune entreprise dynamique. Une société de Toulouse invente la bouteille en fibre de lin, avec un impact environnemental proche de zéro. Cette technique repose sur 4 ans de recherche et de développement. Elle affiche u bilan carbone proche de zéro. Désormais, ils ont besoin de fonds pour financer des chaînes de production. Des emplois, de la matière première issue de chez nous, de l'exportation à la clef. GREEN GEN TECHNOLOGIES doit être aidée. Je ne les connais pas. C'est ma nièce qui fait leur promotion sur Facebook. Encore une fois, on n'a pas de pétrole, mais l'on a des idées. Cocorico !