Pourquoi ne pas faire comme le grand débat et créer une plateforme dédiée que tout citoyen pourrait consulter et voir, par thème ce qui est financé. Cela permettra une plus grande transparence pour le citoyen lambda qui saura ce qui est financé par les impôts. Il est vrai que nous n'avons qu'une idée globale de ce a quoi ils ont utilisés. C'est d'ailleurs un souci car beaucoup ne s'imaginent pas tout ce qu'il faut financer pour faire fonctionner la France...
Il n'y a ni de bonne ni de mauvaise solution.. Personnellement je suis pour la taxation de tout produit alimentaire néfastes, transformés afin d'inciter les gens à en consommer moins. Taxer les produits pollueurs et les entreprises qui les utilisent.
Les impôts qui me paraissent les moins avantageux pour les citoyens sont celles de l'habitation (impôts locaux et foncier) jusqu'à certains revenus et/ou patrimoine possédé. C'est un impôt lourd pour les propriétaires modestes.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Tous les plans. Malheureusement nous ne pouvons plus nous permettre notre système actuel. En dehors de tout ce qui concerne la santé, je pense que le reste ne doit plus être financé par l'Etat.
Comme cité ci-dessus : la santé. Ce point est primordiale et il faut se battre pour garder cette chance que l'on a d'avoir un pays qui donne des aides a ce niveau.
A mon niveau modeste, je ne pourrai me permettre de payer plus d'impôts.
None
Les Elus. Contrairement à la majorité des discours citoyens que l'ont peut entendre dernièrement, je reste convaincue que les personnes qui ont étudier les sciences politiques ou qui ont un bagage digne d'un dirigeant peuvent porter un pays. Diriger, guider et prendre des décisions n'est pas à la porté de n'importe qui. Toutefois, il est bien également que les élus cessent de vivre dans leur bulle et apprennent à prendre en compte les avis des citoyens lambda.
Non
Je ne suis pas pour. Car en voyant le comportement des différents syndicats et les divers mouvements citoyens, dont les gilets jaune, je n'ai pas envie que mon pays devienne anarchique.
A chaque échelle politique : Au niveau de l'Etat et du territorial, les élus doivent être plus à l'écoute encore des citoyens et doivent également apprendre à se positionner à leur niveau. Je ne parle pas de gagatiser les élus, mais d'essayer de faire preuve de plus d’empathie et ne pas dédaigner les cris d'alarme qu'on leur transmets. On est arrivé a la situation d'aujourd'hui parce que la plupart des élus sont inaccessibles et semblent déconnecter de la vie quotidienne.
Une bonne chose
C'est une très bonne chose. Multiplier le nombre de mandats n'est pas productif. On ne peut pas exercer plusieurs mandats et répondre, correctement, à l'ensemble de ses devoirs et obligations pour une même fonction.
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Non
Non. Car même si on a l'impression qu'il y a déjà beaucoup trop d'élus, il ne faut pas sous-estimer l’ampleur des tâches qui leur incombent. C'est un investissement personnel très important et beaucoup à gérer. Un pays ne se dirige pas tout seul. Les élus du territoires doivent déjà faire avec moins et toujours plus donc réduire le nombre de leurs collaborateurs est loin d'être une solutions.
Je trouve cela bien afin que chaque opinion puisse être prise en compte. Mettre en place une plateforme comme celle du grand débat pour les élections présidentielles et législatives afin de recueillir les avis de ceux qui veulent contribuer permet une meilleure vu d'ensemble de besoins de la population.
Non
None
Même réponse qu'au dessus avec la mise en place d'une plateforme participative.
Je ne sais pas
J'aurais envie de dire oui, mais il ne faudrait pas non plus que le RIP devienne un outil de contestation sur le moindre sujet et qu'il faille multiplier l'initiative...
Idem que les réponses ci-dessus, question redondante.
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None
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Personnellement je ne suis que pour une laïcité modérée. De nos jours et surtout en France, les convictions sont de plus en plus mal vu alors que cela fait partie des libertés de chacun et que la France a toujours été un pays de liberté.
Par l'éducation. Les cours d'Education civiques sont un bon moyen (a condition de le moderniser et le rendre plus ludique)
Passer par les médias en multipliant les émissions et documentaires afin d'informer et inciter à l'engagement.
L'investissement des agents publics que l'on dénigre depuis bien longtemps et qui pourtant, pas seulement dans la sécurité et la santé, les agents du service public s'investissent chaque jour. Ensuite, montrer l'investissement d'associations qui œuvrent pour changer les imperfections de notre système (sécurité routière ou autre)
Je trouve que l'instauration d'un service civique plus long, comme le souhaite le Président actuel est un bon moyen.
None
L'une d'entre elle : le non respect de l'environnement par le fait de jeter tout et n'importe quoi, n'importe comment. Il faut éduquer. Je trouve que les moyens matériels actuels sont suffisants (nombres de poubelles par exemple) mais il faut, dès l'école, apprendre l'importance de respecter l'environnement . Développer la communication sur le sujet aussi. Autre incivilité : le partage des trottoirs avec vélos, trottinettes et autres petits véhicules. Il faut d'urgence mettre en place un nouveau code pour ces objets roulants. Les piétons ne parviennent plus à circuler librement sans risquer de se faire percuter...
Augmenter la vidéosurveillance. Un bon moyen de lutter contre les incivilités. D'autres pays comme les Etats-Unis, l'Angleterre, la Corée du Sud mettent en place des caméras partout ce qui a permis de faire baisser certaines incivilités et/ou facilité l'identification des auteurs. Il faudrait aussi généraliser, comme en Corée du Sud les caméras avant dans chaque véhicule (obligatoire là-bas). Les moyens humains ne suffisent plus malheureusement.
En premier lieu, pour les générations de demain, il est primordiale d'éduquer. Les parents doivent prendre leurs responsabilités et être pénaliser plus sévèrement si leurs enfants se trouvent être auteurs de dégradations, agression ect. Il faudrait aussi, par le biais des réseaux sociaux, la télévision ou autres médias, montrer davantage d'exemple d'actions citoyennes ou donner des bases de savoir vivre. Maintenant les jeunes sont confrontés à toute sorte d'exemples, toutes sortes d'images sans filtres où vivre ou faire tout et n'importe quoi est banalisé, limite encouragé au nom de la liberté.
Les plus répandues sont les discriminations vis à vis des étrangers, hélas. Les dernières années avec le terrorisme, la haine et la crainte vis à vis des populations étrangères ou à double nationalités a augmenté de façon exponentielle. Beaucoup vont répondre la discrimination vis à vis des femmes. Il est vrai qu'elle existe toujours, mais il faudrait également arrêté de diaboliser ou décortiquer toutes les actions ou réactions en les nommant "sexistes" . La moindre blague un peu lourde passe pour une grossièreté. Il faut pouvoir mettre de l'eau dans son vin.
Je pense que tout est déjà mis en place : le mélange des cultures avec des activités (au sein de l'école ou des maisons de quartier), diversifier les populations au sein des quartiers. Tout cela est déjà mis en place. Je ne vois pas trop ce qu'il est possible de faire d'autre...
Oui
Pour cette question, je ne saurais répondre car cela dépend de chaque situation. Mais je pense que beaucoup prennent pour acquis toutes les aides qui leurs sont attribuées. Malheureusement les gens ne savent même pas la chance qu'ils ont par rapport à d'autres pays. Tout cela a un coût. Et le financement est toujours ponctionné sur les actifs. Sauf que le nombre d'actifs est inférieur aux inactifs, cela pose forcément un problème. Tout à chacun, avec ses moyens doit contribuer.
J'avoue ne pas suivre cette actualité de très près. Je trouve juste que les flux migratoires de ces dernières années ont un impactes sur les zones telles que Paris ou Roubaix. De plus en plus de bidonvilles s'installe a ciel ouvert et dégrade la vie des habitants. Je comprends la détresse des personnes qui doivent fuirent leur pays en guerre et j'avoue que j'aimerais beaucoup qu'ils puissent être pris en charge mais ce qui m’interpelle le plus c'est l'urgence qu'il y a a maintenir l'image de nos villes, éviter les drames sanitaires. Paris est devenue une poubelle, la crasse est partout. Je ne suis même pas parisienne ! Je ne fais que constater l'état de cette ville qui se dégrade chaque année un peu plus à chaque fois que j'y vais. C'est horrible.
C'est hélas, indispensable. Mettre en place des quotas, même si le mot est laid, devient une nécessité avec notre situation économique actuelle. Nous ne pouvons pas accueillir tout le monde... C'est la triste réalité.
Comme dit plus haut, mettre en place des quotas et aussi des objectifs précis pour ces personnes accueillies. Elles doivent s'intégrer à la vie française. Ne serait-ce qu'apprendre le français, travailler, contribuer comme chacun d'entre nous.
Ce qui est déjà mis en place c'est à dire des parcours de formations (pour l'apprentissage du français, l'intégration de jeunes enfants dans les écoles, la formation pour adultes pour l'apprentissage d'un métier...) sont déjà bien abouties je trouve. Je ne sais pas si ces chances sont réparties de façon homogène sur tout le territoire. J'espère que c'est le cas.
Il faut vraiment montrer a chacun des français la chance qu'il a de vivre dans notre pays, les avantages que cela apporte. Réapprendre aux gens à trouver du positif dans nos dispositifs, les chances qui nous sont données. Il faut montrer l'importance de partager, d'aider, de soutenir son prochain. Réapprendre à la jeune génération de se contenter de ce qu'on a pas, ne pas vouloir toujours plus.
L'ensemble des propositions sont à prendre en compte. La pollution est un impératif de santé publique, le dérèglement climatique est une question de survie pour chacun d'entre nous, la disparition de la biodiversité et l'érosion du littoral auront un effet sur le dérèglement climatique. C'est un cercle vicieux.
La première chose : éduquer. Dès l'enfance, il faut vraiment apprendre aux enfants les gestes qui font la différences et expliquer l'impact de chacune de nos décisions. L'éducation d'aujourd'hui aura un effet sur les générations de demain. Il faut informer encore et toujours plus la population sur ce qu'ils peuvent faire, à leur échelle, pour réduire leur impact sur la destruction de la planète. Et il faut surtout qu'on cesse de fermer les yeux sur la responsabilité des lobby, du marketing qui entraînent la surconsommation et revoir notre mode de productions et cesser de produire à grande échelle.
Oui
On le voit saison après saison avec toutes ces crues, et des milliers de foyers impactés. La multiplication des pathologies (pulmonaires, sensorielles et autres) découlant de la qualité de l'air et des sols gorgées de produits néfastes.
Oui
Ne consommer que ce qui est vraiment nécessaire (en termes alimentaire, produits divers, vestimentaires etc.), cesser le gâchis et réduire ses déchets.
Seule l'information intensive fera changer les comportements. L'outil médiatique et numérique sont ce que les gens consultent le plus désormais. Il faut aussi cesser de montrer des émissions ou la TV réalité qui incitent à l'achat compulsive pour tout et n'importe quoi. Lorsque l'on est abreuvé de publicités pour des produits néfastes ou que l'on est confronté au voyeurisme en exhibant des biens que beaucoup n'ont pas les moyens de payer et qu'on leur donne envie d'obtenir ces choses futiles, on les transforme en surconsommateur. Cela a un impact sur l'environnement et sur la vie sociale des personnes qui ne savent plus se contenter de l'essentiel.
Pour la question du déplacement, il faut tout faire pour mettre en place des aides afin d'investir dans des énergies renouvelables.
Oui
Personnellement en tant que locataire je n'ai pas mon mot à dire mais le problème reste toujours l'aspect financier du changement de mode de chauffage. Il s'agit d'investissements conséquent qu'on ne pourra hélas pas faire en quelques années. Il faut peut-être augmenter les réductions d'impôts pour ces travaux, faire des taux 0% et mettre en place des aides systématiques.
Oui
En ville, il faut impérativement s'assurer d'avoir un réseau de transport suffisant et à prix abordable pour inciter au déplacement (je pense aux parisiens et leur pass navigo qui est une ruine chaque mois...). Pour les personnes vivant en milieu rural, le souci est plus complexe... J'avoue ne pas savoir quoi proposer.
None
Les agglomérations et les villes, les départements et les régions doivent forcément être les relais principaux.
Je ne m'y connais pas suffisamment pour argumenter mais il est important dans un premier temps d'arriver à stabiliser notre propre système écologique avant de le proposer aux autres.
Non.
Votre message a bien été envoyé.