Date de publication : 2019-01-24
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

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2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

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3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

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4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Que les élus prennent les bonnes décisions pour l'avenir de la France.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

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6. Pourquoi ?

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7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

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9. Si oui, lesquels ?

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10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

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11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Non

12. Si oui, de quelle manière ?

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13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

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14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

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15. Si oui, comment ?

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16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

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17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

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18. Faut-il les transformer ?

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19. Si oui, comment ?

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20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

NOTE: JE DETAILLE CETTE REFORME, CES CAUSES ET CONSEQUENCES A LA FIN DE CE QUESTIONNAIRE Réformer le code de la nationalité en appliquant de manière rétroactive le principe suivant: on est français uniquement par le sang. Il faut concrètement déchoir de leur nationalité française tous les majeurs qui n'ont pas au moins deux grands parents français par le sang, et leur donner un délai en années pour quitter le territoire.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

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22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

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23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Le patriotisme, l'appartenance au peuple français par le sang.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

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25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

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26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les comportements des immigrés/personnes d'origine immigrées qui sont propres à leurs cultures. pour résoudre le problème, il faut expulser ces personnes.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Le fait qu'un pays appartienne à ses autochtones est un fait reconnu à tous sauf aux français de souche. On interdit aux français de souche d'exprimer l'amour de leur pays, on va jusqu'à leur faire comprendre que leur existence dérange et on déclare même qu'ils n'existent pas (Eric Besson: "nous, nous n'avons pas de français de souche").

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

None

32. Si oui, lesquelles ?

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33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Réformer le code de la nationalité en appliquant de manière rétroactive le principe suivant: on est français uniquement par le sang. Il faut concrètement déchoir de leur nationalité française tous les majeurs qui n'ont pas au moins deux grands parents français par le sang, et leur donner un délai en années pour quitter le territoire.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non. Il s'agit d'une mesurette totalement inefficace.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Ce défi n'a aucune raison de durer, il est réglable par simple volonté politique: réformer le code de la nationalité en appliquant de manière rétroactive le principe suivant: on est français uniquement par le sang. Il faut concrètement déchoir de leur nationalité française tous les majeurs qui n'ont pas au moins deux grands parents français par le sang, et leur donner un délai en années pour quitter le territoire.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L'intégration est impossible, l'histoire l'a montré. L'erreur d'origine a été de reproduire sur le sol français ce qui avai échoué dans les colonies. On ne fera jamais intégrer à quelqu'un que ses ancêtres sont les gaulois s'ils ne le sont pas.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Depuis la vague d’attentats ayant touché la France, plus personne ne peut nier les conséquences catastrophiques de la politique d’immigration massive que la France connaît depuis plusieurs décennies. Cette politique migratoire entraîne une baisse de la qualité de vie dans notre société. Si rien n’est fait, elle entraînera sur une période de quelques décennies la disparition du peuple français en tant qu’ethnie et avec lui la disparition de notre civilisation. Les chiffres sont là : – 31 % des enfants nés en 2016 ont au moins un parent qui n’est pas né en France. Près de 90 % de ces parents sont nés hors de l’UE (même source). Sont bien entendu exclus de ces chiffres ceux qui ont des parents qui sont nés en France de parents étrangers ou d’origine étrangère. Source INSEE : https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381382#graphique-Tableau2 – Le dépistage de la drépanocytose est réalisé en France chez les enfants dont les deux parents sont originaires d’une des zones géographiques suivantes : Départements français d’outre-mer : Antilles, Guyane, la Réunion, Mayotte Tous les pays d’Afrique subsaharienne et le Cap-Vert Amérique du Sud (Brésil), Noirs d’Amérique du Nord Inde, Océan Indien, Madagascar, Île Maurice, Comores Afrique du Nord : Algérie, Tunisie, Maroc Italie du Sud, Sicile, Grèce, Turquie Moyen-Orient : Liban, Syrie, Arabie Saoudite, Yémen, Oman 39,39 % des enfants nés en France métropolitaine et Corse en 2016 ont fait l’objet d’un dépistage, et notamment 73,56 % des enfants nés en Île de France. Source à la page 65 de ce document publié par l’Association Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant (AFDPHE): http://www.afdphe.org/sites/default/files/bilan_afdphe_2016.pdf Cette situation est réversible par le biais d’une simple mesure administrative présentée ci-dessous, dont les conséquences seront l’impossibilité économique pour les personnes concernées de survivre sur le territoire français. A sa suite, des réponses aux objections qu’elle est susceptible de soulever. Je donnerai par la suite des réponses aux objections que certains soulèveront immanquablement. Mesures à prendre par le pouvoir politique : Les critères permettant de posséder la nationalité française sont les suivants: – être majeur et avoir deux grands-parents français par le droit du sang. – être mineur et avoir un père ou une mère remplissant le critère énoncé ci-dessus. Toute personne ne remplissant pas ces critères et possédant la nationalité française en est déchu. Un visa lui permettant de résider deux années en France [le délai peut être discuté] lui est accordé [afin notamment de pouvoir faire la demande d’une autre nationalité]. Ce délai écoulé, sa présence sur le territoire français n’est plus légale, par conséquent elle n’est plus employable, et toute aide publique lui est retirée. De plus: – il est impossible de posséder une autre nationalité en sus de la nationalité française. – la possibilité d’être naturalisé est suspendue. – sauf exception impérative, les emplois s’exerçant sur le territoire français sont uniquement réservés aux titulaires de la nationalité française. Les mesures à prendre s’arrêtent ici, quelques lignes qui ne font que modifier des lois déjà existantes. Ci-dessous quelques réponses à d’éventuelles objections : « Ces mesures sont impossibles à mettre en œuvre en pratique » : Elles sont au contraire extrêmement simples à mettre en œuvre. Il ne s’agit en l’occurrence que d’une évolution de lois déjà existantes. En effet : – la déchéance de la nationalité française existe déjà dans le droit français, il s’agit juste de modifier les détails de la loi actuelle. – la préférence nationale en terme d’emploi existe déjà dans de nombreux pays, il s’agirait simplement de l’appliquer de la manière la plus stricte. Le code de la nationalité algérienne fonctionne d’ailleurs sur le même principe : Selon l’article 32 du Code de la nationalité « Lorsque la nationalité algérienne est revendiquée à titre de nationalité d’origine, elle peut être prouvée par la filiation découlant de deux ascendants en ligne paternelle ou maternelle, nés en Algérie et y ayant joui du statut musulman ». Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nationalit%C3%A9_alg%C3%A9rienne Les registres d’état civil permettent de vérifier le lieu de naissance des citoyens sur plusieurs générations sans aucune difficulté. Exemple récent : l’État indien d’Aman est en passe de déchoir de leur nationalité indienne toute personne qui n’y résidait pas avant 1971 (environ quatre millions de personnes). Source : http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20180801-inde-4-millions-personnes-menaces-nationalite-perte-musulmans « Ces mesures sont contraires aux lois x et y à tel niveau (national/européen/international) » : Dans la civilisation européenne, la loi est écrite par les hommes, pour les hommes. Si elle est contraire à l’intérêt de la communauté nationale, alors la communauté nationale a le droit et le devoir de la changer. « La perte de population entraînée paralyserait l’économie » : Tout d’abord, le gain pour la société (survie de notre civilisation, de notre mode de vie) serait immensément supérieur à la perte engendrée. De plus, d’innombrables pays ont déjà connu des pertes de population de plusieurs millions d’habitants. Et l’on rappelle que la France compte plusieurs millions de chômeurs. Certes, leurs qualifications ne permettraient peut-être pas de combler toutes les lacunes entraînées (une anticipation en terme de formation devrait être envisagée). En cas de manque de main d’œuvre absolument crucial, des permis de travail temporaires pourraient être accordés aux citoyens d’une liste donnée de pays. « Les personnes expulsées/voulant quitter la France pourraient être refusés par leur pays d’origine » : Une personne lambda qui achète un billet d’avion à destination du pays dont elle possède la nationalité n’a aucune raison de voir son entrée refusée dans ce pays. Dans le cas extrêmement improbable où un pays refuserait l’entrée sur son territoire à tous ses ressortissants venus de France, ceux-ci pourraient soit y venir en passant par un autre pays, soit seront de toutes façons obligés d’aller vivre dans un autre pays, leur survie économique n’étant plus possible en France. « Ces mesures sont fascistes, racistes, nazies » : Ces mesures relèvent tout simplement du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Il n’y a aucune raison pour que le peuple autochtone de France n’ait pas le droit comme tous les autres peuple d’avoir un pays. Qui aujourd’hui blâme les Algériens pour s’être battus afin d’obtenir leur indépendance ? A part quelques vétérans de l’OAS, personne. Car tout le monde considère comme allant de soi que les Algériens étaient chez eux dans leur pays, et pas les représentants du pays colonisateur. On rappelle que près d’un million de personnes (en grande majorité des Français métropolitains) ont quitté l’Algérie suite à l’indépendance. « Jamais de telles mesures ne seront acceptées par la population, ni par les institutions » : Le confort dans lequel vivent encore beaucoup de Français, le matraquage médiatique, la constitution de la Ve République (et son système électoral) et la proportion d’électeurs d’origine étrangère rendent improbable l’adoption de ce type de mesure par voie démocratique. Mais qui sait si le peuple français laisserait passer cette chance historique de survie si elle lui était proposée ? De plus, plus d’un tiers des votants ont choisi Marine Le Pen aux dernières présidentielles (quelle proportion de l’électorat français de souche ?), la moitié de la police et de l’armée voterait pour le Front National, aujourd’hui Rassemblement National) (https://www.liberation.fr/direct/element/plus-de-50-des-policiers-et-militaires-ont-vote-fn-en-2015_28175/), 70 % des Français pensent qu’il y a trop d’étrangers en France (http://leplus.nouvelobs.com/contribution/767933-pour-70-des-francais-il-y-a-trop-d-etrangers-en-france-le-sondage-qui-tue.html). Cela représente un soutien populaire bien suffisant pour une prise de pouvoir. Nous devons tous nous interroger sur ce que nous pouvons faire, et non attendre passivement l’arrivée des événements. C’est une question de vie ou de mort. A tous, je dis, réfléchissez bien, vous avez le choix simplement entre : – accepter que vous êtes français et que le monde entier ne l’est pas. – voir votre civilisation disparaître, avec les conséquences que cela aura pour vous et votre descendance. Joseph Bremond