Mise en place d’un rapport annuel de gestion des finances publiques accessible au public et faisant l’objet d’une présentation formelle par le gouvernement. Ce rapport ne devrait pas se contenter d’évoquer les grandes masses (situation actuelle) mais bel et bien rentrer dans le détail pour toutes les administrations, y compris les collectivités locales (grandes politiques, benchmark internationaux, investissements, évolution des indicateurs principaux, détail des structures de coûts, indicateurs liés aux personnels, rémunération, ancienneté , taux d’absentéisme...etc)
Bien que largement trop élevée, la fiscalité actuelle sur les individus est très redistribution et plutôt juste dans sa structure à l’ exception de : - L’impot sur la revenu qui n’est payé que par 50% des contribuables. Tout le monde devrait participer à mesure de ses moyens, bien entendu. - Les très hauts revenus (>20,000 euros par mois) qui ont un taux d’imposition effectif plus bas que les revenus moyens ou hauts qui sont, eux, impactés par la progressivité de l’impôt. - L’impot foncier qui frappe de la meme manière les propriétaires réels qui ont finis de payer leur bien et ceux qui sont propriétaires « théoriques » de leur bien car encore endettés pour le remboursement de leur bien. - La lutte contre l’évasion fiscale qui me paraît insuffisamment agressive vis à vis des fraudeurs et des pays qui organisent cette fuite des capitaux (Irlande, Luxembourg, Suisse...). Mais bien entendu, le premier effort devra porter sur la recherche de la baisse de la fiscalité globale, gagée sur l’optimisation de la dépense publique. Il faudra en parallèle rendre rapidement illégal le fait de présenter un budget public qui ne soit pas à l’équilibre....
Au delà des modifications souhaitées plus haut, il faut baisser bien davantage les charges sociales afin de permettre aux rémunérations nettes d’augmenter très significativement. Ceci pourrait être financé par d’importants efforts sur la structure de coûts des administrations, l’harmonisation des régimes de retraite, le recul de l’age de la retraite à 65 ans (avec bien entendu des dérogations possibles pour les métiers pénibles), la mise en place d’une taxation sur les plus value suite à la vente d’une résidence principale, la mise en place d’une tranche à 50% sur les très hauts revenus, l’augmentation des droits de succession sur les actifs non professionnels....et surtout réduire drastiquement les niches fiscales. Par contre, l’état devrait encourager par des franchises d’impot l’investissement individuel dans des fonds de pension « à la française » qui devront être impérativement investis dans l’économie française afin d’en améliorer la santé globale et l’independance vis à vis des grands acteurs internationaux.
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail
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santé, dépendance
Aucune; nous payons déjà beaucoup trop d’impots et charges
Avant de considérer de lever des ressources additionnelles pour financer une baisse additionnelle des charges, l’état, les collectivités locales et les administrations publiques doivent faire un audit profond, repenser leurs périmètres et mettre en place des plans d’optimisation (pour ne pas dire de restructuration) majeurs . Voir ma contribution sur les administrations
Aux élus politiques et syndicaux pour peu que le contrôle et l’évaluation de leurs activités et résultats soient très forts, ce qui n’est pas le cas.
Oui
Syndicats. Nous devons aller vers une gouvernance beaucoup plus collaborative avec les fameux partenaires sociaux. Cela impliquerait pourtant que ces derniers se réforment pour passer d’un mode protestataire à un mode constructif et ouvert à la négociation.
Contrôle, évaluation, transparence. Nous devons savoir ce que nos représentant font de leurs temps, quelles sont leurs décisions et activités. Nous devons pouvoir les évaluer en permanence.
Une bonne chose
Cela leur permet de se consacrer à leur tache de législateur et de contrôleur de l’exécutif. L’argument de la déconnection due au non-cumul ne fait aucun sens. Il suffit à un député de passer deux jours par semaine en permanence ou sur le terrain pour rester connecter.
Forte dose de proportionnelle ....mais dans la limite de la capacité à dégager des majorités. Ne recréons par la 4ème république.
Oui
La suppression des départements est une nécessité. Soit ils n’ont pas la taille critique pour mettre en œuvre de manière efficiente et peu coûteuse (sans doublons donc) les politiques publiques sur leur territoire...soit quant ils ont la taille critique, ils sont en concurrence avec les métropoles. La suppression du Sénat parait aussi une option à explorer car les collectivités locales n’ont pas réellement besoin de représentants au sein des législateurs. Cette institution parait désormais inutile et favorise par ailleurs une certaine « baronisation » de la vie politique qui est le contraire de ce que veulent les français.
le vote devrait être obligatoire sous peine d’amende
Oui
Compatabilisation.
Oui. Le peuple doit pouvoir proposer des mesures au parlement dès lors qu’un certain nombre de personne (1 million ?) soutiennent une mesure en votant pour elle sur un portail public permettant une identification nominative claire.
Oui
Sur l'initiative du parlement ou du gouvernement, le référendum pourrait être davantage utilisé pour trancher des questions de société auxquelles il est possible de répondre oui ou non. Cependant, je ne crois pas au RIC tel que promu actuellement par les gilets jaunes car il sur-simplifierait les enjeux (or, la réalité est souvent complexe) et n’assurerait par ailleurs aucune cohérence entre des mesures issues de référendum successifs (ce qui est la raison pour laquelle on n’a pas encore fait mieux que le traditionnel programme politique dont c’est le rôle) : on pourrait ainsi voter le lundi en faveur de la baisse des impôts et le mardi pour la hausse des dépenses publiques. Ça ne fait aucun sens et finirait par paralyser l’action publique ou la décrédibiliser totalement.
Créer un portail digital dédié à l'information et à la consultation permanente des citoyens (sur le modèle de celui-ci). Ce portail devrait intégrer des contenus écrits, audios et vidéos. Il devrait être accessible sous réserve d’une Identification individuelle et sécurisée.
Le Sénat devrait être supprimé Le CESE doit amener des idées à l’exécutif, aux législateurs et jouer un rôle de vigie.
Oui
Supprimer le sénat Revoir les modalités de nomination qui CESE (aujourd’hui, c’est une institution servant essentiellement à « recaser » des personnes.
Implémenter la loi de 1905, toute la loi de 1905 et rien que la loi de 1905. Garder le financement des religions sous le contrôle d’une instance dédiée.
Éducation civique obligatoire pour les jeunes. Une formation continue sur ces sujets devrait être aussi considérée pour les adultes.
Reconnaître plus et mieux ceux qui donnent de leur temps à la collectivité. cela peut se faire via le financier (primes, franchises d’impots, points retraite booster) ou via le symbolique (décorations, rencontre avec les levers nationaux...)
Tous ceux qui placent l’intérêt collectif avant l’interet personnel
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Développer et généraliser le concept de réserve républicaine
Toutes sont pénibles Lutter par le name on shame
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Oui
Travail pour la collectivité mais correspondant aux compétences des personnes en question
Nous devons aller vers l’immigration choisie et réduire massivement l’immigration subie (à l’exception des réfugiés réels)
Absolument
Renforcement des effectifs de Douanes en France, participation sigtnifaictive aux efforts des pays situés aux portes de l’Europe. Politique de reconduite systématique des personnes en situation irrégulière. Politique d’aide au développement réellement incitative pour les pays pourvoyeurs d’immigration.
Un stage d’intégration obligatoire devrait être mis en place pour les personnes désireuses de s'installer en France
Les politiques doivent évoluer et associer de manière beaucoup plus étroite les citoyens à la marche du pays et ce, pas uniquement au moment des élections. L’évaluation et le contrôle de l’activité des élus doivent désormais être des logiques permanentes et non plus ponctuelles.
L’organisation des administrations en général et de l’état en particulier a très peu évolué au cours des 30 dernières années alors que la situation « extérieure » a, elle, profondément changé, sous l’influence de dynamiques profondes et structurantes (mondialisation, digitalisation, changement des mentalités et attentes des français...). Il parait aujourd’hui absolument nécessaire de repenser les missions de l’administration publique en général, (ce qu’elle doit faire, ce dont elle ne doit pas s’occuper) avant de faire évoluer son organisation. De mon point de vue, l’administration publique devrait uniquement se concentrer sur les fonctions qui ne peuvent ou ne doivent pas être confiées à des intérêts privés (politiques d’éducation, police, justice, armée, aménagement du territoire, politiques de solidarité et de santé, politiques de souveraineté économique...) et se borner, pour le reste des activités à fixer les règles du jeu (via la règlementation) et controler les opérateurs privés. Rien que cet exercice conduirait probablement à de grandes optimisations organisationnelles. Tout ce qui n’est pas au cœur de la mission de l’administration devrait être du domaine du privé, quitte à ce que l’actionnariat de certains opérateurs privés soit partiellement dans les mains de l’agence des participations de l’état ou celles des régions, de manière à s’assurer que les opérateurs privés ne fassent pas n’importe quoi quant ils sont en activité dans des domaines relevant de l’intérêt général (si l’état était rentré dans Vinci au moment de la mise sur le marché des concessions autoroutières, il contrôlerait ce que fait cet opérateur). L’administration doit ensuite se poser la question de l’échelon (local, régional, national, voire européen) qui est le plus pertinent et efficace pour ce qui est de la conception, de la mise en œuvre et enfin du contrôle des missions sur lesquelles elle se concentrera. De cette architecture, les missions et organisations de chacune des strates doivent découler. En faisant cet exercice, on s’aperçoit rapidement que l’état fait aujourd’hui beaucoup de choses que les régions devraient faire (à quoi sert que l’état gère certaines routes quant, sur le même territoire, des régions agissent déjà et peuvent se coordonner) et qu’à contrario, les régions interviennent dans des domaines largement redondants avec les prégoratives de l’état (l’exemple des régions ou des départements qui ont déployé leurs propres programmes de solidarité est à cet égard édifiant). Ensuite, doit se poser systématiquement la question de la mutualisation et de l’optimisation organisationnelle. En effet, chaque strate (état, région, département, commune) génèrant sa propre administration, les doublons sont aujourd’hui innombrables. Il doivent être identifiés, supprimés et les personnels, redéployés en fonction. Au total, sans préjuger de ce que l’analyse et la redessin des missions donnerait, il me semble qu’une strate devrait être supprimée entre la région et le département. Je penche clairement pour la suppression des départements qui, dans bien des cas, ne disposent pas de la taille critique pour déployer des politique efficientes ou bien lorsqu’ils en disposent, se trouvent en concurrence directe avec les métropoles. Il me semble qu’il y a ici un grande opportunité d’optimisation.
Oui
Toutes les missions dont la définition ou la mise en œuvre ou le contrôle seraient plus efficients à l’échelon local. Je crois qu’en dehors de son administration centrale (qui définit les politiques nationales) et de ses fonctions régaliennes, l’état doit, au plan local, se concentrer quasi uniquement sur la coordination, la supervision et l’évaluation des collectivités locales.
Non
Trop d’acteurs, de guichets, de doublons. Aller vers la mutualisation et une convergence profonde des moyens.
Tous les interactions physiques avec n’importe quelle administration devraient pouvoir être menées via le téléphone ou la visio-conférence de manière à améliorer le service rendu au public.
Oui
Oui
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La digitalisation a été globalement bien menée pour ce qui est des formalités simples. Par contre, dès lors que le problème est complexe, les processus de gestion de la relation aux administrés sont très perfectibles. Les personnes non formées au digital sont aujourd’hui assez démunies et fragilisées. Ce point doit être traité sous peine de voir s’agraver la fracture entre les « intégrés » et les autres.
Toutes les fonctions centrales doivent faire l’objet d’une optimisation afin de redéployer les personnels au plus près du terrain.
Oui
Non
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Les exemples sont innombrables. Les processus de complexification s’additionnent en permanence alors que la mise en œuvre de processus de simplification permanents reste l’exception.
Oui
En leur donnant la possibilité de prendre des décisions au plus près de l’usager dans le cadre de délégations réelles de responsabilité.
Oui
Dans le futur, le statut de fonctionnaire devrait être réservé uniquement aux fonctions régaliennes. En dehors de ces fonctions, les employés de l’administration devraient tous être des salariés de droit commun, du jardinier jusqu’au haut fonctionnaire non régalien. La mobilité professionnelle entre le public, le privé et l’associatif devrait être encouragée de manière à disposer d’agents publics qui comprennent et connaissent le secteur privé...et inversement. Il faut réduire très fortement le nombre de postes administratifs mais beaucoup mieux payer les personnels notamment en développant la rémunération et l’avancement/promotion en fonction du mérite et de la performance personnelle (stopper tous les avancements automatiques). Mettre en place des processus forts de contrôle de l’absentéisme. Les abus devraient être punis et avoir un impact majeur sur la rémunération et l’avancement, voir sur la conservation de l’emploi. Supprimer l’ENA et le remplacer par des formations d’excellence situées en région.
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Trop de guichets
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La Complexité reste trop importante et les aléas juridiques autrement de façon exponentielle. Attention à la judiciarisation de notre société !
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Les fonctions centrales de l’état et de nombreuses administrations à vocation nationale sont localisées à Paris ou région Parisienne. Ce serait un signal important (et probablement très apprécié par les employés eux-mêmes) que d’implanter le maximum d’entre elles en région (ex: fonctions centrales de pôle emploi, de la CNAM, INSEE, agences d’état..etc.).
Votre message a bien été envoyé.