Date de publication : 2019-02-17
Code postal : 75014

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Comptes rendus clairs (en langage quotidien !), périodiques ; se rappeler les interventions radiophoniques de Pierre Mendés-France, un modèle.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Plus juste : que tous les citoyens soient concernés. Plus efficace : que les "trous" permettant l'évasion fiscale soient obstrués.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Ceux qui provoquent des mouvements contraires à l'intérêt du pays (l'ISF est un bon exemple, qui a fait fuir les nationaux les plus riches).

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Il peut y avoir un âge de départ à la retraite, mais la possibilité de travailler au-delà pour accroître le montant

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Celles accordées aux non nationaux (immigrés clandestins) qui sont sans droits.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Aux nationaux les plus démunis Emploi & pouvoir d’achat : Encadrer les allocations chômage . Il est normal de venir en aide à celui qui perd son emploi. La solidarité doit jouer. Cela dit, l’objectif est de permettre à celui qui a perdu son emploi d’en retrouver un le plus rapidement possible. Pour cela on peut disposer de divers moyens, selon les personnes concernées : la formation destinée à orienter vers des emplois où existe une demande non satisfaite, la limitation dans le temps des secours apportés, la dégressivité de ces secours, l’obligation d’accepter un emploi correspondant à une catégorie d’emploi du type de celui de l’emploi passé, l’aide au logement (ou au déménagement) Surtout, il ne faut pas que les secours procurés, de toute nature ou origine, soient trop proches, égaux, voire supérieurs au traitement d’un emploi. Enfin, il est nécessaire de pratiquer des contrôles réels sur le respect des procédures de recherche d’emploi, condition sine qua non d’une solidarité respectée et non dévoyée.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

La bonne règle est de ne pas dépenser plus qu'on ne gagne ; s'il faut mettre l'accent sur un domaine particulier il faut lever le pied (diminuer les dépenses) sur un autre jugé moins prioritaire.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Fiscalité & dépenses publiques Fiscalité Si l’on considère que tous les citoyens doivent être égaux devant l’impôt il faut exempter tous les Français de la taxe d’habitation. Mais, de la même manière, il ne peut y avoir des Français qui ne soient pas soumis à un impôt auquel d’autres Français seraient soumis. Il en est ainsi de l’impôt sur le revenu. Il n’est pas juste que plus de la moitié des contribuables n’y soient pas tenus. Bien entendu, il doit être tenu compte de la capacité contributive, dès lors il pourrait y avoir une échelle d’IR forfaitaire de faible montant selon le niveau du revenu, par ex. 1 € pour un revenu annuel inférieur à 10 000 €, etc. Il ne faut pas baisser les impôts tant que les dépenses n’auront pas été réduites, sinon, pour couvrir ces dépenses, il faudrait emprunter… La priorité absolue est donc la baisse des dépenses. Dépenses publiques Les dépenses publiques sont réalisées sur la base de budgets. Une réforme doit être apportée sur ce point. Sauf erreur de ma part, un service qui, une année donnée, aura dépensé moins que le budget qui lui a été accordé, verra le budget prévu pour l’année suivante amputé d’un montant équivalent. Cette pratique amène les services à dépenser tout l’argent qui leur a été accordé, même si le besoin ne s’en fait pas sentir. C’est une attitude irresponsable en matière de dépenses publiques car elle pousse inutilement à la dépense (au gaspillage ?). La réalité des besoins d’un service doit être examinée à chaque exercice, avec des plus ou des moins en fonction des objectifs. Le budget accordé à un service ne doit pas être le simple report d’une année sur l’autre du budget de l’année passée, majoré ou non d’un pourcentage à justifier. Il convient d’accorder à un service le budget qui correspond à la réalisation des objectifs définis pour l’année à venir et à l’évolution, éventuelle, de sa structure,, et cela, chaque année, sans référence au montant accordé l’année précédente. On tendra ainsi à éviter un « gonflement » continu des budgets. Les fonctionnaires constituent un ensemble de personnels qu’il conviendrait de conduire comme s’il ne constituait qu’un tout. La séparation des fonctionnaires en corps distincts, même s’il existe des « passerelles », est une cause de rigidité, de surcoût (trop de fonctionnaires dans un corps et pas assez dans un autre), de malaise parfois pour les agents eux-mêmes. Si certains sont heureux de faire toute une carrière au même poste cela n’est pas forcément le cas de tous. Afin d’avoir un personnel efficace et heureux dans son travail, il faut qu’il lui soit proposé des changements d’activité grâce à une formation adaptée au nouvel emploi souhaité. L’idée est de voir que nul ne devrait, sauf choix personnel, occuper le même poste ou exercer la même fonction pendant toute sa vie active. Autres moyens de réduire les dépenses publiques : iinstaurer des jours de carence à l’imitation du secteur privé, obtenir le respect des 35h, etc. Au titre de la priorité, dans la réduction des dépenses, il faut lutter contre la fraude et les surcoûts en croisant les fichiers. D’une manière générale le recours à l’informatique doit être unifié au sein des administrations de l’État afin que tous les services puissent communiquer sans obstacles. Il ne faut plus s’entendre dire que telles informations de tel ministère n’ont pu être transmises à un autre ministère parce que leurs systèmes informatiques ne sont pas compatibles. Retraites La retraite par répartition : ce système n’est valable et supportable par les actifs que si ceux-ci sont largement plus nombreux que les retraités. Ce qui ne sera plus le cas si les naissances sont insuffisantes… Par ailleurs, les retraités disent : « Je ne comprends pas, j’ai cotisé toute ma vie et je ne touche qu’une retraite misérable, où est passé mon argent ? » Cette remarque signifie que le système par répartition n’est pas compris et, accessoirement, qu’il paraît « injuste » dans la mesure où l’on pense avoir « épargné » lorsque l’on cotisait… Un système où la cotisation deviendrait une véritable épargne, permettrait au futur retraité de savoir quel sera le montant capitalisé pour financer sa retraite. Cette cotisation pourrait ainsi correspondre à une assurance-vie liquidable au moment du départ en retraite. Dépenses sociales La politique sociale actuelle a été conçue il y a plus de 70 ans. Il est évident que le contexte social et économique actuel n’est plus le même. Il paraît dès lors qu’une mise à jour doit être faite. Un point qui semble crucial est celui qui concerne l’écart, constaté souvent comme trop faible, entre le montant des aides sociales et la rémunération du travail. Cet écart n’encourage pas à la recherche d’un emploi. Il convient donc d’agir soit séparément soit simultanément sur les montants des différentes aides et sur leur durée, en relation avec les taux minimum de rémunération du travail. Logement Afin de réduire le coût de construction des logements ne pourrait-on pas remplacer la vente du sol par un loyer ? Si cette solution n’était pas acceptée par le propriétaire la commune ou, de préférence l’État, s’en rendrait acquéreur et c’est lui qui encaisserait les loyers de cette préemption.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Maire, proximité.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Après le maire, vient le député Il faudrait imaginer les moyens d'un dialogue possible entre le député et les citoyens, par ex. par l'envoi périodique d'une correspondance électronique, ou un affichage en mairie pour ceux qui ne pratiquent pas l'informatique…

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Il est utile et nécessaire que les élus aient une bonne connaissance des problèmes rencontrés par les citoyens et des propositions qu'ils peuvent éventuellement faire pour les résoudre.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Une dose, limitée, de proportionnelle. Limitée pour ne pas restaurer l'instabilité connue autrefois.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Probablement au plan régional.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Seule la confiance dans la qualité de la représentation des citoyens par les élus pourra amener à une meilleure participation, d'où la nécessité pour les élus d'entretenir un dialogue avec les citoyens de leur circonscription. Par exemple en faisant un compte rendu du travail effectué au cours du trimestre écoulé…En demandant leur avis sur tel projet ou proposition de loi en cours d'étude…

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Le vote blanc signifie que le choix proposé n'est pas retenu par les citoyens. Pour le prendre en considération il faut qu'il soit élevé, car ses conséquences sont graves, disons 50% des votes exprimés.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Démocratie & citoyenneté Referendum d’initiative citoyenne Je ne suis pas favorable à l’idée d’un referendum, car cela ne traduirait pas véritablement un vœu général mais présenterait davantage le risque d’une manipulation politique. Mais, il est clair que les citoyens manifestent le désir de faire entendre leurs voix. Il semble, par ailleurs, que les partis politiques « classiques » se trouvent marginalisés et qu’une demande de participation plus grande des citoyens à la vie de la nation se manifeste.L’imagination politique doit se mettre à l’œuvre pour que de nouveaux systèmes soient mis en place pour que la voix des citoyens soit davantage prise en compte. Pour cela, les maires sont les interlocuteurs privilègiés car ils sont connus de leurs administrés et par suite les rapports en sont facilités. Dès lors, on pourrait imaginer (rêverie utopique ?) le schéma suivant : périodiquement (deux fois par an ?), le maire demande à ses administrés (électeurs inscrits) le sujet sur lequel ils estiment nécessaire qu’il soit légiféré. Sera retenu le sujet ayant obtenu le plus grand nombre de citations et au moins 50% des électeurs. Si ces deux conditions ne sont pas remplies, la consultation ayant avorté l’affaire restera sans suite. Cette « sanction » devrait avoir pour effet d’amener les électeurs à retenir des sujets d’intérêt général. Si ces deux conditions sont remplies le sujet sera retenu et adressé à la préfecture. Le même tri, que celui fait précédemment à la mairie, sera fait à la préfecture qui retiendra le sujet ayant réuni le plus grand nombre de citations et au moins 50% des électeurs. Des préfectures le sujet sera transmis aux deux Chambres (Assemblée nationale et Sénat) qui effectueront à nouveau le même système de tri: sujet le plus demandé et par au moins 50% des électeurs. Ce système devrait permettre de connaître le sujet principal sur lequel la nation entend que le législateur intervienne. Les citoyens verraient ainsi l’aboutissement de leurs souhaits. Dans cette organisation le CESE devient complétement inutile et le nombre des élus (députés et sénateurs) peut être réduit car l’expression des territoires est assurée par les citoyens. Ce système limiterait le nombre des lois mais permettrait que les textes d’application (décrets, circulaires, …) soient rédigés dans le même temps afin que ces lois soient réellement applicables dès leur promulgation car il y a une exigence de rapidité des réponses Non-cumul des mandats Il faut revenir sur l’interdiction du cumul des mandats car, on ne le voit que trop aujourd’hui, il ne peut y avoir de bonne politique sans un minimum d’expérience de vie élective. Le cumul député-maire ou sénateur-maire semble un bon appareillage pour une bonne connaissance des problèmes des citoyens. L’affichage des rémunérations, leur plafonnement, leur lien avec, par ex., la solde des fonctionnaires, la prise en compte des frais sur présentation de justificatifs, etc. peuvent être envisagés pour éviter les accusations de « privilèges » … L’accès à une indemnité de chômage pour les élus non fonctionnaires dont le mandat ne serait pas renouvelé devrait être mis en place. Loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État Cette loi doit, sans doute, prendre en compte certaines évolutions de la société, mais son objet fondamental qui est de permettre la liberté de culte dans une séparation d’avec le temporel doit être préservé. C’est bien là qu’est le problème : la séparation du spirituel et du temporel. Nos concitoyens juifs ont su s’en accommoder sans que soit mis en cause le fonctionnement de la cité. Il n’en est pas de même avec certains de nos concitoyens musulmans. La République doit être et rester inflexible sur le respect de cette séparation entre temporel et spirituel. La place de l’islam dans la France d’aujourd’hui La France se doit de permettre à ses concitoyens de confession musulmane de vivre leur religion à l’image de ceux d’une autre confession. Ainsi, les lieux de culte ne sauraient être financés ni par l’État français ni par des États étrangers. C’est aux croyants de financer leurs lieux de culte, soit par location soit par investissement. De même, la langue utilisée dans les lieux de culte, en dehors des prières stricto sensu, doit être le français.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Voir ci-dessus : initiatives au niveau communal, lettre du député aux électeurs.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Le CESE est parfaitement inutile car sans lien avec les citoyens (membres non élus) . Le Sénat représente bien le pays étant donné le mode d'élection.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Supprimer le CESE ; éventuellement réduire le nombre de sénateurs.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

L'Etat et ses représentants à tous les niveaux, ne doivent pas se plier à la loi religieuse

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Par l'éducation dès le plus petit niveau et par des contrôles sur l'acquisition de ces principes

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Voir plus haut : établir une communication entre le député et les électeurs.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Le respect et la politesse, à apprendre dès le plus jeune âge, à l'école…puisqu'il semble que les parents ne savent plus de quoi il s'agit. On parle bien d'éducation nationale et non plus d'instruction publique.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Voir ci-dessus : le civisme c'est respecter autrui, même s'il n'est pas de votre avis ; c'est respecter les lieux de vie (pas de détritus, de tags,…), le respect se manifeste par des gestes, des attitudes ; c'est savoir écouter et savoir parler sans invectives. L'école, hélas à défaut des parents… peut enseigner cela à travers des jeux de rôles. La restauration de l'autorité à l'école est un premier pas à franchir…

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

voir ci-dessus

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Le respect, encore le respect et toujours le respect ! Lutter contre les tags, contre les détritus abandonnés sur place.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

surveiller, éduquer, sévir

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

La situation est telle aujourd'hui qu'intervenir pour faire cesser une incivilité se retourne contre vous ente rencontre aucun appui des témoins pour la même raison

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

?

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

La solidarité s'exerce en très ceux qui ont le sentiment d'une même appartenance ; la tolérance n'est admissible que si elle ne remet pas en cause les règles de vie commune

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

La solidarité est un effort que je fais pour aider autrui, il est normal qu'en contrepartie autrui fasse un effort au bénéfice de ceux qui l'aident (il est débiteur) Cet effort cela peut être : suivre une formation, donner de son temps pour aider autrui à son tour, travailler pour le bien commun On sera d'autant plus enclin à aider que celui qui est aidé participe à un effort pour la collectivité qui est venue à son secours

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Immigration Les quotas d’immigration Avec la signature de l’accord de Marrakech on se trouve dans la même situation (le même piège ?) qu’avec la loi sur le mariage pour tous : le mariage pour tus ? Pourquoi pas si ces personnes s’aiment ? Mais on voit arriver à sa suite la PMA pour les couples de femmes et, bientôt, la GPA pour les couples d’hommes, problèmes d’une toute autre nature… Le terme de quotas d’immigration est un piège : pourquoi recevoir obligatoirement un nombre déterminé (par qui ? comment ? pour quelle durée ?) d’immigrés ? Cela correspond à quoi ? À quel but ? En réalité à rien de précis, or il existe plusieurs types d’immigrés, dont les conditions d’accueil doivent être précises pour que pays (et population) d’accueil et nouveaux arrivants soient également satisfaits. L’immigration est un terme qui recouvre des situations différentes qui demandent des réponses différentes. Un des facteurs d’immigration est le regroupement familial. Mis en place sur la base d’un “bon sentiment” il constitue en réalité une erreur fondamentale (son auteur, V. Giscard d’Estaing, l’a d’ailleurs reconnu). Erreur, car soit il a été imaginé, soit il s’est ainsi traduit dans les faits, il est devenu permanent alors qu’il aurait dû être temporaire. Les hommes ayant immigré pour des motifs professionnels n’ont plus desire retourner dans leur pays d’origine une fois leur tâche accomplice. Permanent, il a entraîné, pour faire court, la constitution des « quartiers » et des problèmes qu’ils engendrent. Temporaire (retour au pays d’origine après un séjour de durée limitée), il aurait eu un effet bénéfique sur ce pays dans lequel l’expatrié aura pu investir l’épargne constituée pendant son séjour. Autre effet positif, l’expatrié serait revenu avec une expérience professionnelle qui ne pourrait qu’être bénéfique pour son pays, favorisant ainsi son développement, améliorant de ce fait l’effort d’aide au développement que fait la France. Pour cela il paraît impérieux de revenir sur ce qui est un véritable non-sens tant du point de vue de la nation que du point de vue du développement et donc de la coopération internationale. Sont des immigrés, les étudiants étrangers venus en France se perfectionner. Ils ont vocation à retourner dans leur patrie et ils peuvent être munis d’un titre de séjour limité dans le temps. Les personnes fuyant la persécution, une insécurité grave et certaine dans leur pays, sont des immigrés temporaires, admis à bénéficier du droit d’asile. Ils n’ont pas vocation à rester sur notre territoire. Le droit d’asile doit être limité dans le temps, ou assorti de conditions relatives à la situation dans le pays d’origine. Les immigrés venus à la demande des entreprises pour occuper des emplois non pourvus par des nationaux. Ceux-là doivent être munis d’un permis de séjour temporaire, obligatoirement limité dans le temps (5 ans ?), bénéficiant, éventuellement, d’un regroupement familial limité au conjoint et aux enfants mineurs (non susceptibles d’être autorisés à travailler) du couple, ces personnes bénéficiant d’un permis de séjour de même durée que le chef de famille et prenant fin en cas de rupture du lien matrimonial ou du contrat de travail du chef de famille. Dans tous les cas de figure ci-dessus il est évident que les personnes devront arriver sur le territoire français avec des papiers d’identité (au sens large), la notion de « sans-papiers » étant une farce, tous les pays délivrant des documents de ce type, leur absence ne pouvant résulter que d’une volonté de tromperie. Nos ambassades et consulats doivent être les lieux de passage obligés de ces personnes avant qu’elles ne mettent le pied en France. En ce qui concerne les travailleurs étrangers, leur recrutement doit être fait dans leur pays (par des envoyés des entreprises, travaillant en liaison avec la représentation diplomatique) et non parmi les étrangers vivant en France, le contribuable français n’ayant pas à supporter les coûts d’un tel vivier où plongeraient les entreprises sans contrainte. L’effort est à faire par les entreprises, non seulement paur l’installation, permanente ou non, dans les pays de recrutement, mais aussi, en France, dans les logements nécessaires à l’accueil de ces personnes et, le cas échéant, de leur famille. Il ne revient pas au contribuable français de financer des éléments participants à une activité industrielle privée. L’accueil des enfants de ces personnes dans le milieu scolaire participant pour sa part au développement de la francophonie. L’immigration clandestine Restent les immigrés sans titre, les clandestins, qui n’ont aucune vocation à être accueillis librement. Devrait-on accueillir dans notre maison quelqu’un qui s’y serait introduit en passant par la fenêtre ? Nos frontières ont le droit d’être protégées et toute intrusion illégale doit être repoussée. Les éventuels immigrés illégaux (clandestins) devront être renvoyés dans leur pays d’origine, qui ne pourront les refuser sous peine de voir des mesures (économiques, politiques) prises à leur encontre. Cependant des immigrés (autres que ceux décrits ci-dessus) peuvent être acceptés, s’ils remplissent les conditions correspondant à la politique d’immigration décidée par les élus dans une loi sur l’immigration. Il s’agirait alors d’une immigration de peuplement. Ces conditions d’immigration admise peuvent être : l’âge, la formation, le sexe, la langue parlée, l’existence (vérifiée) d’un correspondant qui devra prendre en charge son accueil. L’immigration doit être organisée à partir du pays d’origine, à travers la représentation française. L’immigré (ou son correspondant) supportant les frais de son transfert. L’admission sera faite sur la base d’un permis de séjour de durée limitée (12 ou 18 mois ?) au terme de laquelle l’immigré fera l’objet d’un contrôle portant sur la qualité de son adaptation à notre genre de vie sociale et, en particulier, sur le fait qu’il aura trouvé un emploi. Faute de quoi le permis de séjour ne sera pas renouvelé et l’immigré devra retourner dans son pays d’origine à ses frais (ou à ceux de son correspondant). En toute hypothèse les peuples ne peuvent absorber sans difficultés plus d’un certain pourcentage d’étrangers, pourcentage d’autant plus faible que les similitudes culturelles et religieuses sont éloignées. Si la population d’un pays semble insuffisante pour favoriser son développement, la priorité doit être de favoriser une politique familiale permettant travail et natalité (allocations familiales, crèches etc.). En rapport avec la question de la retraite, il conviendrait den effet e mettre en place une politique de la famille qui permette la croissance de la population par un nombre d’enfants par femme plus élevé, condition nécessaire pour accroître le nombre des actifs…si le système de retraite par répartition est conservé… Mais le choix d’un accroissement de la population nationale par l’appel à des immigrés est à rejeter au risqué de voir disparaître la culture nationale., La nature d’un produit ne change pas si l’on y introduit un produit de même nature mais il se détériore quand on y incorpore un élément d’une autre nature, et, de cela, aucun peuple ne le souhaite, ni ne l’admet. Les nations sont attachées à leur culture, on ne peut impunément ne pas en tenir compte.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non Permettre ou tolérer une immigration non contrôlée c'est admettre l'appauvrissement des pays d'origine. Mettre un obstacle à l'immigration c'est agir de concert avec les pays de départ pour y créer ou y développer les conditions d'un développement économique.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Voir plus haut ; si l'on dit déjà que le phénomène va durer c'est que l'on renonce à l'avance à agir pour y mettre obstacle. Une difficulté : la stabilité, le régime politique, des pays d'émigration…Pourquoi devrait-on accepter les nationaux d'un pays qu'ils veulent quitter (en dehors des circonstances appelant l'asile) ? Un Etat n'agit pas par compassion mais par intérêt.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L'intégration suppose essentiellement la volonté de s'intégrer de la part du nouvel arrivant , c'est-à-dire son désir de devenir un autre et de faire pour cela les efforts nécessaires. Pour cela il doit s'efforcer d'adopter rapidement, dans la sphère publique à tout le moins, les comportements des nationaux du pays . L'aide à l'intégration doit se traduire par une intervention de l'Etat pour le conduire dans cette voie (cours de langue, de civilisation, d'histoire, de comportement social) pouvant aboutir à un renvoi en cas d'inaptitude constatée lors de contrôles. On devient bachelier en passant un examen, il est normal qu'on ne puisse devenir un nouveau citoyen qu'après avoir réussi un examen de passage.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Bioéthique & famille Le mariage homosexuel Ce qui est fait est fait … revenir sur cette question me paraît inutile. Recours à la PMA pour les couples de femmes : étendre le bénéfice de la PMA aux femmes seules ou aux couples de femmes n’est pas souhaitable. On sait que les « ménages » composés de femmes seules avec enfants sont parmi les plus pauvres. Pourquoi permettre d’en accroître le nombre? Par ailleurs cette demande ne correspond pas à une incapacité physiologique de concevoir avec un partenaire masculin ; cela semblerait donc traduire un choix de “confort” (je ne trouve pas de mot peut être mieux adapté pour définir cette attitude). En ce qui concerne les couples de femmes, il y a là le détournement d’un procédé destiné à palier un problème génétique de reproduction au sein d’un couple homme-femme. On peut comprendre ce qu’on appelle le « désir » d’enfant…mais il y a d’autres désirs : être plus grand, avoir une belle maison ou une nouvelle voiture… Dans une vie tous les désirs ne peuvent être réalisés…C'est une réalité à laquelle chacun se plie tous les jours… Voudrait-on amener l’enfant sur le même plan que celui d’un objet matériel ? C’est inadmissible car c’est faire fi de l’âme. Quant à la GPA, c’est encore pire, c’est abaisser la femme au rang d’un distributeur automatique ! Tiens ! Si je m’offrais un enfant? Voyons? Au choix: blond ou brun? Yeux bleus ou noirs? Avec sucre? Zut, je me suis trompé de bouton. Celui-là, je ne le prends pas. À la poubelle? Horrible, tout simplement. Et proprement inhumain. Et on voudrait faire passer cela pour un progrès ? Progresser c’est avancer, ici c’est régresser en restaurant l’esclavage…

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Organisation de l’État et des services publics. Mandat présidentiel. Le passage au quinquennat a été une erreur car ce temps est trop court pour initier une politique et commencer à en voir les résultats. Il faut revenir au septennat, mais un septennat unique afin que ses dernières années ne soient pas polluées par une campagne électorale. Diminution du nombre de parlementaires : . Une participation accrue des citoyens au processus législatif peut être le moyen de réduire le nombre des parlementaires. Se reporter à Démocratie & citoyenneté. Cumul des mandats : La présidence actuelle montre à l’évidence que le sens politique n’étant pas inné il serait bon que pour être candidat à la présidentielle il faudrait avoir eu un cursus électoral préalable de quelques années. Si cela n’est pas une garantie de compétence, les écarts de langage, méprisants ou vexatoires, et les comportements inappropriés, que nous avons vus, source d’irritation des citoyens et de dégradation de l’image présidentielle, auraient quelque chance d’être évités. De même, ne pourrait-on pas exiger des candidats à un poste (non éligible) de responsabilité politique (secrétaire général, directeur de cabinet) qu’ils aient occupés un poste électif, au cours de leur carrière ? Avantages des anciens présidents et Premiers ministres : Il est naturel qu’une personne ayant occupé une fonction bénéficie, à l’instar de tout travailleur, d’une retraite en relation avec le temps qu’elle aura consacré à cette fonction. On pourra s’inspirer pour en évaluer le montant de ce qui sera retenu pour le calcul des retraites des travailleurs. Cela dit il n’est sans doute pas nécessaire de prévoir bureaux, personnel et voiture au-delà d’un certain temps, mais il faudra peut- être maintenir du personnel de sécurité. Haute fonction publique : Les hauts fonctionnaires, directeurs d’administration centrale et autres, représentent, par la durée de leur présence à leur poste, un frein quasi-naturel à tout changement voulu par un nouveau président. Ce n’est pas à eux de juger de la qualité d’éventuelles réformes, ce sont les électeurs qui en jugent les auteurs à travers leur vote. Il conviendrait donc que, tenant compte de leurs qualités techniques certaines, mais de leur absence de responsabilité politique, ces personnes se voient attribuer d’autres postes lors d’une élection présidentielle. Pour remplacer les « partants » les promotions internes dans les services seraient un bon moyen. Utilisation de l’argent public : À l’image de la vie en entreprise, les divers frais engagés par les élus à l’occasion de leur activité, même s’ils bénéficient d’un budget prévu dans ce but, devront faire l’objet d’une prise en charge, par ex. chaque mois, sur présentation de pièces justificatives. Re-nationaliser les autoroutes : problème évoqué. Non. L’erreur a été faite ; l’enseignement de l’expérience doit en être tiré pour l’avenir. Par ailleurs cela ne se ferait pas sans coûts élevés… L’État, pour attirer les investisseurs, doit être stable dans ce qui en traduit sa politique dans les domaines de la fiscalité, de la justice, de la police. Services publics : Remplacer les services publics (poste, Trésor, etc.), dont les bureaux sont fermés dans les petites communes, par un véhicule itinérant.. Ce type de service pourrait être étendu, dans les regions les moins équipées, à la Santé, avec équipe médicale pluridisciplinaire.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

None

3. Si oui, lesquelles ?

? Je ne connais pas les missions à répartir, éventuellement, ni celles qui sont déjà réparties.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

?

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

En milieu rural prévoir des services publics itinérants.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Le service des impôts réserve un accueil ouvert à l'écoute des problèmes abordés. Les relations avec la SS sont aisées grâce à internet.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

?

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Non

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

None

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Chaque citoyen a un n° d'identification auquel correspondent son patronyme, son ou ses prénoms, sa date et son lieu de naissance, son ou ses adresses et n° de téléphone. La mise ne commun de ces informations entre toutes les administrations (nationales, régionales, départementales, communales) me semblerait déjà un progrès, de manière à ce qu'il n'y ait plus qu'à donner ce n° d'identification pour toute démarche

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Sans doute, dans un but de rapidité de décision.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Fonctionnement : prendre davantage en compte les contraintes (de disponibilité en particulier) qui s'imposent aux particuliers et aux entreprises (les plus petites).

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Par une véritable décentralisation, accompagnée des financement nécessaires. Europe Refondation de l’Europe Il est impératif et urgent de « faire » l’Europe. Jusqu’à présent cela ne s’est traduit que par des élargissements successifs précipités sans réelle justification, sans que les nations soient consultées et d’autres élargissements sont prévus ! Les populations doivent être consultées sur l'admission de nouveaux membres. On prend des joueurs de même niveau pour constituer une équipe sportive…pourquoi avoir alors amalgamé dans l’Europe actuelle des pays aux niveaux économiques et sociaux sans commune mesure ? La refondation doit partir de deux ou trois pays, les plus proches quant à leurs structures économiques et sociales, afin qu’ils puissent, dans un temps relativement court (10 ans ?) unifier leurs systèmes fiscaux et leurs systèmes sociaux. Des règles seraient à uniformiser au sein de ce groupe pour que, par exemple, ce qui est interdit dans un pays ne soit pas admis dans un autre quand a lieu la libre circulation des produits, afin qu’il n’y ait pas de concurrence déloyale entre les pays du groupe. Aujourd'hui on interdit en France l'utilisation de certains produits en agriculture mais on importe des productions agricoles de pays où ces interdits n'existent pas. La concurrence est faussée et, le cas échéant, la politique sanitaire prônée n'est pas respectée. L’entrée d’autres pays dans ce club (pour reprendre l’image sportive) serait conditionnée par l’atteinte dans ces pays du même niveau fiscal et social que celui des initiateurs du mouvement. Chaque nation conservant naturellement sa langue, sa culture. Le groupe devrait avoir des fonctions régaliennes (affaires étrangères, police, justice, défense) uniques et être représenté par un président pour ce qui concerne ces fonctions. Les accords de Schengen : Sauf erreur de ma part, ces accords permettent la circulation, dans chacun des pays de l’Europe, sans passeport ni visa pour les nationaux de l’ensemble de ces pays. Je pense que cela peut être maintenu…à la condition que la politique d’immigration de ces pays soit la même partout. Si ce n’est pas le cas, les contrôles aux frontières doivent être rétablis car chaque pays, comme il est de son devoir, doit contrôler quelles sont les personnes qui viennent sur son territoire. Les pouvoirs de la Commission européenne : Le malaise de l’Europe aujourd’hui est qu’elle souffre de l’impréparation de sa réalisation. On a vu une intégration à l’Europe menée tambour battant, sur la base de « critères » insuffisants, sans souci d’une nécessaire homogénéité entre ses membres. Il faut tout reprendre depuis le début : n’associer que des pays ayant le même niveau de développement, y réaliser l’unification de la fiscalité, de la politique sociale et environnementale, et n’admettre comme nouveau membre qu’un pays qui aura atteint l’évolution de ces domaines selon le modèle des premiers. Par ailleurs, la gouvernance de cet ensemble devra se faire par des votes à la majorité et non plus à l’unanimité (facteur inévitable d’immobilisme). La Commission européenne, et le Parlement européen, ne devront diriger ou voter des lois que dans des domaines (fiscalité, politique sociale, politique environnementale, politique économique et relations avec l’étranger) visant à assurer l’égalité des conditions de vie et de travail dans les pays adhérents et à faire considérer l’Europe comme interlocuteur des autres pays (Chine, USA, Russie…). Les parlements nationaux conservant la charge de légiférer librement dans les domaines n’ayant pas d’incidence sur le développement des autres pays adhérents.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

?

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

?

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

?

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Pas rencontré de problème particulier pour la liquidation de mes droits mais il faut s'y prendre tôt.

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Pas de difficulté rencontrée avec la SS, dialogue facile.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

?

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Protection de l'environnement contre les dégradations de toutes sortes.

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Eduquer et sévir, selon les circonstances.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Je ne jette rien dans la nature et je m'efforce de participer aux différents types de recyclage et de récupération.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

?

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

?

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

En ville j'utilise le plus possible les transports en commun, mais, en province, cela est impossible, il n'y a pas de solution alternative à la voiture individuelle.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Ces questions ne semblent concerner que les citadins…

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

?

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Apporter la preuve par l'exemple ? Pourquoi avoir abandonné (à grands frais !) les portiques de contrôles des camions ?

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None