Question hors sujet, le problème n'est pas de connaître la répartition sectorielle de l'impôt, si on cherche, on trouve l'information.. Le problème c'est que la répartition est mauvaise tout court. L'état veut tout faire, et au final ne fait pas aussi bien qu'il pourrait, là où il le devrait, et dans certains secteur fait plus de mal que de bien.
La justice passe par les symbôles. Quand des patrons ne se versent pas de salaires, mais qu'ils se rémunèrent uniquement en actions, ils récoltent directement les fruits de leur travail, si ils échouent, ils perdent tout ! Si nos élus faisaient la même chose, il auraient un tas d'actions qui ne valent rien. Il sont depuis 1973 incapables de gérer le budget de la france, et ils coulent ce pays avec un si grand potentiel. Je pense donc que élus devraient recevoir une indemnité basée sur le salaire médian ou moyen des français, ils seraient donc directement intéressés à ce que la condition des travailleurs français s'améliore ! Tout cela est du symbolique, ça ne remettra pas le budget de l'état à l'équilibre, mais je ne vois pas pourquoi les élus payés par nos impôts auraient autant de salaires et d'avantages pendant que le reste du peuple se serre la ceinture. Et pour les élus qui disent travailler plus de 35h, je vous rappelle que bon nombre de cadres subissent "l'arnaque" du forfait jour, et qu'ils sont très loin des 35h eux aussi... Ensuite, pour revenir au sujet de la justice fiscale, il y a un gros problème sur la façon dont on considère qu'une personne est aisée ou pas pour le calcul de l'IR, des aides etc... On prends en compte uniquement ses revenus, trop peu les charges, et pas du tout le patrimoine. Un cadre supérieur qui arrive à paris cette année, ne pourra pas se constituer un patrimoine aussi gros qu'un ouvrir qui était à paris dans les années 90... Alors qui est le plus aisé des deux ? celui qui a son propre logement qu'il léguera à ses enfants et qui n'a pas d'argent pour consommer car la vie est trop chère par rapport à son salaire ? Ou celui qui peut consommer tant qu'il veut, mais ne pourra jamais se constituer de patrimoine ?
Le 1er impôt à baisser serait l'impôt invisible de la dette, le budget de l'état devrait être voté à l'équilibre réel (sans exception) Aucune dépense ne peut justifier l'endettement. On peut vouloir distinguer les dépenses d'investissement et celles de fonctionnement et dire ensuite que l'endettement pour le 1er est légitime et que l'euro emprunté aujourd'hui aura moins de valeur demain, mais c'est de moins en moins vrai. Lorsque la porte de l'endettement est ouverte, les différents pouvoirs qui se succèdent en abusent en laissant la facture au suivant 5 ans plus tard. La dette est de l'impôt futur, ce décalage dans le temps empêche les citoyens de juger réellement l'action mise en place par l'exécutif puisque l'on ne ressent pas immédiatement le cout des politiques appliquées. Heureusement pour nous, l'union européenne (ou indirectement la France...) a fixé cette limite à 3% car sinon aucune attention ne serait prêtée aux déficits qui ne cessent de croître, mais ce 3% aurait pu être 2% ou 4%, que ça ne changerait rien, ce chiffre de 3% n'est d'ailleurs basé sur rien ( source : https://www.la-croix.com/Economie/France/Lincroyable-histoire-3-deficit-2017-09-19-1200878126 ). Si cette règle d'équilibre avait été appliquée dès le 1er déficit, nous n'aurions pas une dette élevée au point que ses seuls interêts coutent plus que la moitié de ce qui est colleté par l'impot sur le revenu (41 milliards de charge de la dette pour 78 milliards collectés par l'impot sur le revenu). Ensuite, la question n'est pas tant de l'impôt à baisser, mais de la dépense à éviter, je propose donc qu'il soit interdit d'allouer un budget pour la culture et les sports si le budget de l'état est en déficit. L'état n'a jamais su gérer son budget en bon "père de famille". Lorsque les temps sont durs les foyers français se privent de ce qui ne leur est pas indispensable (principalement la culture, le sport, les loisirs...). L'état devrait donc faire de même, et baser le budget de ce qui n'est pas indispensable, sur l'excédent au budget de l'année passée. Par conséquent, budget 0 pour les ministères de la culture est des sports tant que l'on sera en déficit ! Une nuance importante tout de même entre le budget de l'état et celui d'un foyer : les dépenses de l'état créent indirectement de l'activité, cette activité génère des recettes, et donc il peut-être envisagé de garder un budget pour des dépenses où l'état aurait l'assurance de générer plus de recettes que ce qu'il a dépensé, encore faut-il que les prévisions de recettes escomptées soient honnêtes ce qui est rarement le cas (à chaque fois qu'on récupère les J.O. ou une coupe du monde on croit toujours avoir trouvé de l'or...). En tout cas, ces éventuelles exceptions, ne devraient pas être possibles lorsqu'une alternative est possible (financement par des publicités, des billets d'entrée, des cotisations d'adhérents, bref les modèles économiques sont nombreux etc...). Une fois que le budget sera à l'équilibre, on pourrait parler droits de succession, taxe foncière, redevance, cette dernière étant particulièrement honteuse, si je veux de la musique je la paye, si je veux aller au cinéma je paye, alors si je veux une chaine télé, je la paye aussi, on n'a pas m'imposer son financement ! Avec la charge de la dette qui aura disparue, on pourra réduire la pression fiscale. L'IFI aussi, devrait uniquement servir d’impôt dissuasif pour le nombre de "biens" immobilier qu'une personne accumule dans des zones tendues (ceux qui ne font que renchérir le prix de l'immobilier, empêchant les autres de se loger). Mais ça ne devrait pas être basé sur la valeur de ceux-ci, car un bien immobilier n'enrichit pas son propriétaire tant qu'il n'a pas été revendu (si le bien est loué, le loyer est taxé, donc enrichissement limité ici aussi...), c'est donc lors de la vente qu'il faut taxer (voir confisquer complètement !) la plus value...
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Quel esprit étroit et peu disruptif vous avez Mr le président des startups avec cette limite à 4 possibilités... Imaginons un deal gagnant pour tous : diminution du temps de travail à 28h par semaine (donc moins de dépenses de maladie) étalées sur 3,5 jours en contrepartie on autorise les employeurs à nous faire travailler le samedi/dimanche au même salaire (d'ailleurs, c'est bizarre pour un paix "laïc" de toujours considérer le dimanche comme sacré... ), on aurait donc la possibilité de faire travailler 2 employés en alternance, et d'occuper 7 jours sur 7 les locaux/machines (4 jours de loyers qui ne seraient plus perdus par les entreprises), une compétitivité améliorée (le temps étant de l'argent). Ces 28h ne seraient pas forcément payées 35, mais pas 28 non plus. Les gens seront prêts à perdre un peu de salaire si leur dépenses baissent également, et le point noir ici, c'est le logement !
La réponse à la question sur le financement des dépenses sociales ne s'affiche pas, je la remets donc ici : <br /> "Quel esprit étroit et peu disruptif vous avez Mr le président des startups avec cette limite à 4 possibilités... Imaginons un deal gagnant pour tous : diminution du temps de travail à 28h par semaine (donc moins de dépenses de maladie) étalées sur 3,5 jours en contrepartie on autorise les employeurs à nous faire travailler le samedi/dimanche au même salaire (d'ailleurs, c'est bizarre pour un paix "laïc" de toujours considérer le dimanche comme sacré... ), on aurait donc la possibilité de faire travailler 2 employés en alternance, et d'occuper 7 jours sur 7 les locaux/machines (4 jours de loyers qui ne seraient plus perdus par les entreprises chaque mois), une compétitivité améliorée (le temps étant de l'argent). Ces 28h ne seraient pas forcément payées 35, mais pas 28 non plus. Les gens seront prêts à perdre un peu de salaire si leur dépenses baissent également, et le levier pour baisser la dépense, c'est le logement !" <br /> <br /> Pour revenir à cette question sur les conditions d'attribution des dépenses sociales, je ne pense pas tant que ce soit les conditions d'attribution qu'il faut revoir, mais des dispositifs complets qu'il faut supprimer : <br /> Il y a tant d'aides dans l'immobilier qui n'ont d'autre effet que d'entretenir la bulle (qui n'attends plus que la hausse des taux par la BCE pour éclater...) <br /> On peut déjà commencer par la suppression complète du dispositif PTZ pour économiser 1,3 milliard sur le budget de l'état <br /> Les prix de l'immobilier en France sont complètement déconnectés des salaires ( voir les différents travaux de Jacques Friggit : http://www.cgedd.developpement-durable.gouv.fr/prix-immobilier-evolution-a-long-terme-a1048.html ), le PTZ contribue à resolvabiliser des ménages qui ne le seraient plus et contribue ainsi à maintenir les prix à un niveau trop élevé pour les primo-accédants ce qui, au final, les empêche d'accéder à la propriété (ce qui est l'inverse du but recherché...). <br /> Je rappelle que les "frais de notaire" (droits de mutation, etc..), frais d'agence, etc... sont en général des % du prix d'acquisition, donc plus les prix de l'immobilier seront en décalage avec les salaires, plus ces sommes le seront. Ce n'est donc pas les collectivités (qui perçoivent les droits de mutation), ou les fédérations/syndicats d'agents immobiliers qui vont se plaindre de cette situation. <br /> Résultat, les primo-accédants réservent une part plus importante de leur revenu au logement, c'est donc autant d'argent qui n'ira pas dans l'économie, mais dans la poche du vendeur (qui souvent le ressortira pour se reloger ailleurs avec des prix similaires, donc personne n'aura rien gagné...). <br /> En ce qui concerne le marché locatif, des prix élevés entrainent des loyers élevés pour pouvoir rentabiliser son investissement. Ces loyers élevés sont alors compensés par des APL (que nous payons dans nos impôts...) qui poussent également les loyers à la hausse (dénoncé par la cour des comptes qui n'est que trop peu écoutée, et quand on écoute pas les conseils de son comptable, il ne faut pas s'étonner de frôler les 100% d'endettement...). <br /> Les APL c'est environ 15 milliards sur le budget de l'état, que l'on pourrait également économiser (au moins partiellement) pour se rapprocher d'un budget à l'équilibre. Ne pourrait-on pas commencer par ne plus JAMAIS verser ces APL aux locataires, mais aux propriétaires directement ? Ce qui éviterait de verser plus que le loyer à régler... Ne peut-on pas généraliser l'encadrement des loyers partout, avec un plafond à la baisse chaque année ? Dans un second temps il faut progressivement faire disparaître cette aide. Lorsque le bailleur est un retraité, ne pourrait-on pas supprimer cette APL et compenser ce montant sur la retraite de la personne, lorsque celle-ci décèdera, l'APL aura disparu, ce logement se retrouvera sur le marché avec un loyer plus bas, contribuant à la baisse sur le marché. Lorsque le bailleur s'est endetté pour acquérir le bien, ne peut-on pas le compenser sur le crédit ? Et lorsque le crédit est soldé, l'aide disparaît ? Il y a probablement différentes façons "créatives" de faire disparaître progressivement cette aide avec des mécanismes gagnant-gagnant. Pour aller dans le sens du bailleur, pourrait-on enfin les autoriser à mettre à la porte les mauvais payeurs ? Les seuls gagnants dans cette affaire, sont les huissiers et vendeurs d'assurance pour loyer impayé. Tout le reste du monde y perd. Louer devient risqué, certains y renoncent, d'autres demandent des loyers plus élevés pour compenser le risque (ou l'assurance loyer impayé). C'est une situation ridicule, celui qui ne peut plus payer son loyer, l'état s'en occupe pour qu'il ne soit pas à la rue (mais pas à l’hôtel non plus...), et il arrête de peser indirectement sur tout le marché locatif. <br /> Vous avez souhaité conservé un impôt sur la fortune immobilière, mais peut-on réellement considérer que l'on devient riche parce que le prix de l'immobilier augmente ? Est-ce que ça ne devrait pas être lors de la revente que l'on évalue l'enrichissement ? Et dans ce cas est-il moral de faire une plus-value (hors inflation) lorsque l'on vends un bien immobilier ? Vous cherchez des recettes, taxez entièrement les plus-values immobilière (toujours hors inflation, et hors travaux permettant d'améliorer la valeur) ! <br /> De même, comment des biens ancien pourraient-il être vendus à des prix aussi proches de bien neufs alors qu'ils ont été rentabilisées parfois plusieurs fois par leur propriétaires et qu'ils ne sont même pas isolés thermiquement... ? <br /> En plus des aides dans le secteur de l'immobilier, les allocations familiales, allocations de rentrée scolaire, et prime de noël sont des dispositifs qui ne devraient pas exister. On ne fait pas d'enfant si on ne peut pas les assumer (et écologiquement, il faut arrêter d'encourager la démographique, ça ne nous aide pas...). Concernant la prime de rentrée scolaire, le matériel n'a qu'à être fourni à tous les élèves (et pour ceux qui disent devoir acheter des habits, est-ce qu'ils laissent leur enfant nu si il ne va pas à l'école ?). Enfin, pour la prime de noël, il y a assez d'associations qui redistribuent des jouets usagés pour les plus précaires. L'état n'est pas le père noël (et d'ailleurs c'est encore un problème de laïcité), je veux bien payer plus pour éviter que certains meurent de faim ou de froid, mais certainement pas pour offrir des jeux !
En france, pays des droits de l'homme, manger à sa faim, dormir au chaud, c'est à dire les bases de la pyramide des besoins, ne sont pas accessibles à tous. La nourriture et le logement sont victimes de la spéculation, ce sont des secteurs qui doivent en être préservés. Un encadrement des prix est plus que souhaitable (avec évidement un indexation sur l'inflation). <br /> Dès lors que ces prix sont protégés des effets inflationnistes des aides publiques, ne peut-on pas imaginer que l'état garantisse matériellement à chaque citoyen français un logement (9m2) et de quoi manger (du communisme? peut-être mais que sur ces 2 besoins de base) ? Il y aura toujours des personnes qui ne pourront pas travailler, ne voudront pas travailler, ou ne travailleront pas assez bien pour gagner suffisamment d'argent pour couvrir ces besoins vitaux. Est-ce le rôle des associations de régler ces problèmes ? Je ne penses pas. Je ne penses pas non plus que la solution soit de laisser dépérir ces personnes dans la rue, et si c'est pour faire ça, si cela m'arriverait, je préférerait que ma vie s'arrête là...
La santé de manière générale. La recherche dans la santé, à condition d’arrêter la multiplication des études cliniques pour un même traitement, qui durent des années, et qui derrière sont payées par le contribuable. La recherche sur de très grands projets d'avenir sur lesquels les entreprises privées ne pourraient pas se positionner (ITER par exemple), a-t-on besoin de mettre une limite au budgets de la recherche dans ces domaines? La limite n'est-elle pas le nombre de cerveaux assez doués et leur temps ?
Pour résumer, à mes yeux, une cause importante (mais loin d'être la seule) des problèmes de pouvoir d'achat est l'immobilier, cette bulle immobilière pénalise toute une génération, au profit de quelques uns. Du coup, nous consommons moins, l'état perçoit moins de recettes, continue de dépenser plus avec un chômage persistant, et donc monte (ou ne baisse pas) les impôts... <br /> Il y a également une réflexion à porter sur la taxe foncière et les taxes d'aménagement (fusion des 2, et réforme profonde du calcul de la taxe foncière qui est aussi injuste que la taxe d'habitation) ainsi que sur les droits de succession qui ne devrait pas s'appliquer en dessous d'un bien immobilier par héritier (la garantie d'avoir un logement).
Personne, comment peut-on à la fois dire que chaque humain est unique et possède ses différences, ses opinions etc.. et en même temps, penser qu'une personne peut en représenter plusieurs ? Je pense que je peux avoir certaines idées communes avec une autre personne, mais je n'ai pas encore rencontré la personne qui représente l'ensemble de mes idées. Pour chaque élection où je vote, c'est un choix par défaut.
Non
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- Les citoyens devraient avoir un contre pouvoir face aux décisions des élus. Le RIC, les droits de pétitions (lorsqu'il y a une obligation de les prendre en compte), permettent de donner ce contre pouvoir au peuple. - Les citoyens devraient être impliquées dans la co-écriture des lois, comme cela se fait sur la plateforme "parlement et citoyens". Les propositions/amendements devraient ensuite être validées à la fois par l'assemblée nationale, et par une assemblée constituée de citoyens tirés au sort. Ce mécanisme pourrait remplacer la navette entre assemblée/sénat. - Les parlementaires tout comme les citoyens devraient pouvoir être à l'initiative d'un PROJET de loi (et non d'une proposition de loi, bien trop limitée), le délai imparti pour commencer l'examen d'une loi ne devrait jamais dépasser le mois. - Il y a tellement de choses à changer et nous sommes tous impatients, mais comment faire quand le systeme demande des mois/années pour transformer une idée en loi, puis la voir être appliquée.
Une bonne chose
La charge de travail d'un député ou sénateur, ne permet pas de cumuler d'autres activités.
La proportionnelle n'est absolument pas la solution, il faudra toujours qu'une majorité se dégage pour pouvoir avancer. Le problème est que la majorité pense être représentative du peuple, et n'écoute personne, hors ce n'est pas le cas. La possibilité pour tout citoyen d'amender les projets/propositions de loi suffit à ce que chacun puisse exprimer ses idées et améliorer les choses. Quand c'est l'ensemble du projet / de la proposition de loi qui ne convient pas, le RIC abrogatoire permet de trancher.
Oui
Le département devrait disparaître au profit de la région. Au niveau des communes, la fusion des petites communes est à privilégier en dessous d'un certain seul de superficie et de population. Au dessus d'un certain seuil de population, l'intercommunalité devrait remplacer la commune.
Baisser drastiquement le seuil de parrainage à l'élection de président de la république et réformer son fonctionnement avec la mise en place du "jugement majoritaire" ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Jugement_majoritaire ), ce qui ne changerait probablement pas le gagnant, mais permettrait de faire ressortir les idées plutôt que les candidats. Dans l'idéal, il faudrait même pouvoir voter pour les propositions, plutôt que pour des candidats (mais compliqué pour garder un programme cohérent).
Oui
Si le blanc l'emporte, aucun candidat ne gagne l'élection, aucun des candidats n'a le droit de se représenter (permettrait un roulement des candidats).
Des référendums plus fréquents pour sonder les citoyens sur les grandes orientations.
Oui
En le transformant en référendum d'initiative citoyenne et en baissant le seuil de déclenchement à 1% du corps électoral. Toutes les pétitions devraient déclencher une référendum au dessus de ce même seuil.
Le budget de l'état / des collectivités devrait être co-construit avec les citoyens, mais je pense que son formalisme le rends incompréhensible même pour un comptable...
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Oui
Le CESE devrait être remplacé par une assemblée de citoyens tirés aux sort, il faudrait se déclarer candidat pour chaque thème où l'on se sent "légitime"/expert. Ces citoyens le feraient bénévolement (par engagement), et pourraient se désister si ils le souhaitent/ne se sentent pas à la hauteur. Le sénat devrait être fusionné avec l'assemblé, la "navette parlementaire" devrait se faire entre cette "nouvelle" assemblée nationale et cette assemblée de citoyens.
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Le plus pénible c'est la fraude des personnes qui ont un niveau de vie élevé, mais qui derrière vivent en HLM avec toutes les aides sociales et un compte en banque en apparence "vide". L'état est naïf sur ces sujets, les cités (mais pas que) sont remplies de ces situations, qui sont également une forme d'injustice. Les personnes qui grillent les feux rouges (systématiques dans certains lieux). Les dégradations de tout la matériel urbain. Ensuite, le tabagisme passif, les déchets du tabagisme (mégots de cigarettes au sol). Et puis de manière générale, le fait de trouver des déchets hors des poubelles est problématique...
Verbaliser avec les caméras, encourager la dénonciation de ces actes avec récompense à la clé... En ce qui concerne la dénonciation, ce n'est possible que si le peuple peut abroger des lois injustes, car ce n'est pas l'acte de dénonciation qui est honteux, mais plutôt le motif de la dénonciation !
Les dénoncer avec des preuves (photos/vidéos).
Discrimination des SDF, on les repousse toujours ailleurs, personne ne les veut à coté de lui. Même le mobilier urbain est pensé pour qu'il n'y reste pas trop... Une honte !
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Non
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Comment expliquer que certaines populations s'intègrent mieux que d'autres ? Pourquoi les vagues d'immigrations italiennes, portugaises, espagnoles, vietnamiennes, ne sont-elles pas le fond de commerce des extrêmes ? Pourquoi ces discours ne trouvent un auditoire que lorsqu'ils ciblent les vagues d'immigration du maghreb ?
Oui, mais il faut distinguer les migrants qui veulent s'installer durablement, de ceux qui viennent temporairement. La perte de notre culture, nos traditions, notre histoire, est plus le fait des 1er, c'est donc cette catégorie qu'il faut limiter.
Pourquoi est-ce que ça devrait durer ? Concernant l'immigration liée au problèmes climatiques nous avons toutes les solutions, il ne manque que le courage de les faire appliquer. Pour les migrations économiques, il faudrait déjà stopper toute intervention militaire dans les pays étrangers afin de les laisser se développer. De plus il faudrait empêcher également à nos entreprises d'aller chercher les ressources naturelles chez les autres, on se doute bien que les permis d'exploitation sont accordés parce qu'il y a de la corruption... De même, je ne vois pas pourquoi nos ressources naturelles seraient exploitées par des entreprises étrangères.
Un apprentissage de la langue, des cours d'éducation civique, et une explication des principes de laïcité pour tout immigré qui déclare vouloir s'installer durablement sur le territoire français.
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Il faut instaurer des primes et/ou de la rémunération sur objectif/performance pour récompenser les meilleurs/les plus impliqués.
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Oui
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Tous les services en mairie.
Non
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Le service des impôts (même si certaines zones du site montrent une ergonomie du début des années 2000).
Les services municipaux, mais c'est à l'état de proposer des outils, (que les mairies utiliseraient ou pas), car les communes n'auront pas les moyens de le faire, et si chacun fait les choses à sa façon, ça complique encore la mobilité et l’interopérabilité entre les systèmes...
Oui
Non
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Les règles sur le permis de construire sont trop nombreuses, trop complexes, tout propriétaire d'un morceau de terre devrait avoir la possibilité d'y construire au moins un logement raisonnable. Je veux bien que l'on encadre les créations d'immeubles, de lotissements etc... Mais quand on parle d'une maison toute seule, pourquoi un maire pourrait décider de qui pourra construire sa maison et qui ne le pourra pas ? Sur les terrains où il y a des risques naturels, on devrait au moins laisser la personne qui construit proposer des des solutions face à ces risques plutôt que de refuser tout bêtement qu'elle construise. On peut imaginer des dérogations de hauteur de construction pour des zones inondables par exemple. Peut-être que ces règles peuvent se justifier dans les zones moins tendues (et encore, cela crée une injustice entre deux personnes qui ont d'un bout de terre selon l'endroit où il se situe...). Beaucoup trop de contraintes qui ne sont pas justifiées, des délais trop longs (entre l'examen d'un PC, même modificatif, et la fin des recours, il y a minimum 5 mois). Pourquoi ne pas pouvoir faire des modifications mineures dans un permis modificatif ? Trop de pouvoir pour les architectes conseils (et encore je n'ai pas eu à traiter avec un ABF). Le seuil de 150m2 pour le recours à un architecte qui devrait être tout simplement supprimé pour les particuliers. Pour le contrôle du panneau d'affichage par un huissier qui est payant, ne pourrait-on pas avoir la garantie que notre panneau est valide par le passage d'un agent de la mairie ?
Non
Si les fonctionnaires n'ont pas la possibilité de faire les bonnes actions, c'est que les ordres ne sont pas bons, et ils doivent le remonter pour que cela évolue. Ce n'est pas un problème d'autonomie (qui engendre une situation où chacun fini par faire ce qu'il veut).
Oui
Les hauts fonctionnaires devraient passer du temps (1 à 2 semaines par an ?) à faire le même travail que les fonctionnaires pour lesquelles ils prennent des décisions.
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Il est difficile de se former en quelques jours dans les métiers très techniques, donc le DIF (renommé en CPF je crois?) ne suffit pas. Et quand on demande au fongecif, on nous répond que l'on est pas prioritaire car qualifié et en poste. Donc si l'on pense que notre métier va grandement évoluer ou disparaître, on ne peut qu'attendre passivement, ou essayer de décrocher un nouveau job d'un employeur patient qui nous fera repartir en bas de l'échelle des rémunérations ...
Les horaires de rentrée sont trop tôt, les enfants se couchent plus tard qu'avant, pour les cadres on fini souvent la journée vers 19h, le temps de manger et c'est déjà trop tard pour qu'ils dorment suffisamment... Ne pourrait-on pas faire voter les parents pour que l'école s'adapte au rythme de vie de la majorité ? De plus ça éviterait d'avoir des embouteillages parce que tout le monde se retrouve sur les routes à la même heure...
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Je n'ai aucune vision sur la retraite qui m'attends, je ne sais pas où aller pour être informé, mais en même temps je ne m'y suis pas particulièrement intéressé (j'ai plus de 30 ans devant moi...). Le seul principe que j'applique, c'est de ne pas avoir de revenus non déclarés pour être sur de cotiser au maximum et ne pas venir pleurer comme certains le font...
La sécurité sociale devrait être gérée de manière nationale. Ce n'est pas normal que les déménagements nécessitent de changer de caisse, et qu'ensuite les mutuelles doivent se déconnecter/reconnecter sur la nouvelle caisse. Toutes ces démarches devraient être automatique. Si l'on change de mutuelle, on devrait avoir un système de portabilité comme pour notre numéro de téléphone portable afin de n'avoir aucune démarches à faire pour remettre en place la connection "noémie".
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Les annonces légales n'ont aucune utilité, et c'est du vol pur et simple. Je mets dans le même panier les sociétés de domiciliation qui sont quasi obligatoires quand on est locataire, je ne vois pas pourquoi on devrait avoir l'accord de son propriétaire pour domicilier une entreprise qui ne fait que du service par exemple... Le système des statuts, et des bilans comptables, qui sont autant de freins au fait d'avoir une activité "occasionnelle". Le statut d'auto-entrepreneur, ne peut pas être l'alternative alors qu'il ne limite pas la responsabilité... De même, je ne vois pas pourquoi la déclaration des revenus est devenue obligatoire même à 0€, encore une démarche pour rien. Bref quand on ne taxe pas notre argent, on nous prends notre temps, et vu que le temps c'est de l'argent, je vois ça comme une taxe..
None
Je suis intervenu pour une société qui réalise des formations, c'est de la fumisterie... Il n'y a qu'une minorité de candidats qui vient honnêtement dans ces formations. Les autres ne sont pas intéressés, les organismes de formations sont complices, et je pense que l'état l'est aussi d'ailleurs (intention de biaiser les chiffres du chômage?) ...
La CAF et PAJEMPLOI, aucun des deux n'a été capable de répondre clairement sur la procédure à appliquer pour déclarer une nounou. Il a fallu d'abord demander l'accord à la CAF qui doit lui même le demander à PAJEMPLOI, pour pouvoir déclarer la personne. Conséquence, un délai d'environ 3 mois pour déclarer la personne. De plus, la CAF qui envoi des courriers inutiles, où elle demande le lien de parenté avec son propre enfant alors qu'elle a le livret de famille en sa possession...
Une fois de plus l'arnaque que constitue l'annonce légale... Si vous souhaitez fermer une entreprise c'est généralement qu'elle ne roule pas sur l'or, alors pourquoi demander 2 annonces légales (dissolution + liquidation) ainsi que l'enregistrement au greffe, résultat, un minimum de 500€ pour fermer une entreprise... De plus, à l'époque (2012) ces formalités n'étaient pas réalisables par internet...
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La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Interdire TOUS les pesticides : https://nousvoulonsdescoquelicots.org/ Si l'on fait une liste finie de pesticides interdits, les fabricants modifieront légèrement la formule pour pouvoir commercialiser leur produit...
Non
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Oui
J'essaye d'acheter des produits locaux et bio ou non traités.
L'idéal c'est le véhicule autonome, la solution arrive, il faut que l'état aide tout initiative qui va dans ce sens. Ces véhicules optimiseront le trafic, donc moins de bouchons et moins de pollution. Et puis si on n'était plus libre de nos horaires de travail pendant la journée, on ne se retrouverait pas tous sur les routes au même moment. Enfin, avec plus de temps libre, on pourrait se permettre de prendre le vélo...
Avant de chercher les sujets compliqués comme le chauffage ou la voiture, il faut commencer par des choses simples et logiques : Consommer local. Et comment faire quand les supermarchés ne font pas l'effort de proposer les bons produits ? On dit que les français n'ont pas les moyens, mais même dans les rayons bios qui ne sont pas réputés pour attirer les plus pauvres d'entre nous, on n'y trouve tomates/courgettes/aubergines espagnoles, oignons des pays bas etc... Je propose donc une TVA sur les fruits, légumes, viandes et poissons, qui serait dégressive/progressive en fonction de la distance de transport entre le lieu de vente, et le lieu de production (distance parcourue réellement en prenant en compte le passage par Rungis :) ). La tomate espagnole par exemple (que nous sommes nombreux à haïr !), serait pénalisée de base par un taux dissuasif par rapport à une tomate provençale lorsque vendue à Nice. Cette règle n'irait pas à l'encontre de la philosophie européenne, puisque cette même tomate provençale serait sur un pieds d'égalité avec une tomate produite par exemple à Vintimilles (toujours dans l'exemple d'une vente à Nice) ... Pour ceux qui penseraient que le secteur du transport sera mis en danger par une telle taxation, sachez : - que la France n'est de toute manière pas compétitive sur ces transports à longue distance, et ne pourra jamais l'être sans baisse sur les salaires, carburants, etc... ( source : http://www.fntr.fr/espace-documentaire/chiffres-cles/les-chiffres-noirs-du-trm-francais ) - que ces transports de longue distance sont de toute manière voués à disparaître par les camions autonomes qui ne sont déjà plus de la science fiction. - ce qui est perdu dans ce secteur, sera récupéré par les producteurs locaux... Ensuite, concernant le chauffage, le bâtiment passif, ce n'est pas de la science fiction ! Vous avez proposé de stopper l'ajout de nouvelles normes dans le batiment et donc de la RT 2020 ? Vous pouvez encore changer d'avis, et même aller plus loin que cette RT 2020, car un batiment positif c'est très bien, mais si on se permet de le faire consommer énormément parce qu'on compense par ce qui est produit OU que les équipements qui produisent ne sont pas écologiques ou même recyclables, c'est juste idiot. Je vous rappelle que la meilleure énergie c'est celle que l'on ne consomme pas !
Non
Je suis en train de construire mon logement, je suis parti sur une démarche passive (sans le label) dans laquelle je n'ai quasiment pas reçu d'accompagnement ou de conseils valables de la part d'artisans qui n'y connaissent rien. Seul internet m'a permis de trouver l'information... Les thermiciens qui font les études RT 2012 ne sont ni formés, ni de bon conseil sur ce sujet. La RT 2012 est un entre deux, on nous fait dépenser beaucoup en isolation, et beaucoup en équipement de chauffage, alors que c'est tellement simple de dépenser encore un peu plus en isolation, et de ne pas avoir de chauffage ou à la limite que des convecteurs électriques qui de toute manière ne seront jamais allumés (si l'on déteste les convecteurs électriques, on peut même imaginer un plancher chauffant solaire avec des ballons de stockage, et oui certains le font...).
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
Depuis quelques années, j'ai la chance d'avoir un employeur qui a accepté que je sois à 100% en télétravail. Entre temps la loi sur le télétravail a évolué, mais je constate que je reste une exception, dans mon entreprise. Il est possible dans beaucoup d'entreprises du numériques d'avoir recours au télétravail, mais c'est encore au salarié de se "faire remarquer", pourquoi les RH ne sont-ils pas obligés de prouver qu'ils font un effort dans ce sens ? Ensuite, si je viens à changer de travail, et que je dois donc me déplacer quotidiennement, je dirais que le problème des solutions alternatives, c'est le temps de transport et le manque de liberté sur l'itinéraire (essayez donc de demander au bus de faire un détour par l'école de son enfant..).
L'auto partage|Le transport à la demande|Le vélo|Les transports en commun|Le covoiturage
Des entreprises privées, l'autolib était une bonne initiative par exemple. Bref, que l'état se charge déjà de maintenir les routes en état ça sera déjà bien...
En devenant un exemple qui se fait remarquer par ses solutions efficaces, radicales et courageuses (et pas uniquement par de la communication avec des COP21 et autres réunions discours).
Alors que l'on sait que les accélérations/freinages augmentent la consommation et donc la pollution, pourquoi les feux rouges ne sont pas TOUS équipées de cellules de détection pour éviter que l'on s'arrête à un intersection quand il n'y a personne en face ? Autrement à part le transport, il y a d'autres sujets qui sont tout aussi importants, le recyclage du plastique qui est une vaste arnaque par exemple... A quand l'interdiction de cette matière partout ou un substitut existe ? Quand on sait que le verre est recyclable à l'infini, pourquoi utiliser du plastique là où le verre peut faire la même chose ? Le verre est plus lourd, et donc pollue plus au transport (encore une raison de produire localement..), mais cette pollution de l'air à laquelle on a des solutions, ne peut être comparée à celle du plastique qui est d'un ordre différent.... Pourquoi tant d'enseignes/boutiques éclairent la nuit ? A quand la possibilité de sanctionner réellement ces pratiques, quitte à les pouvoir les dénoncer ? Pourquoi les éclairages / lumières publics ne sont-ils pas équipés de détecteurs de mouvement ? Pourquoi les fabricants de produits n'ont pas la responsabilité de déconstruire ce qu'ils ont fait ? C'est bien facile de construire dans des pays où la main d’œuvre n'est pas chère, de vendre en france, un peu plus cher, et de bruler/détruire en france en cas d'invendu. Ce n'est pas Amazon que je pointe comme responsable ici, c'est bien les états qui n'ont jamais pensé à intégrer la destruction / le démontage d'un produit comme une responsabilité du fabricant. Peut-être que leur produits seraient plus durables si ils devaient les démonter à la fin de leur vie. Pourquoi les garanties des produits ne sont-elles pas plus longues afin d'inciter les fabricants à produire plus cher, certes, mais plus durable ? Pourquoi fait-on si peu de tri selectif quand d'autres pays en font beaucoup plus ?
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