Information, bien sur, mais aussi responsabilisation. Chaque année les "impôts" et les organismes de prestations sociales devraient adresser à chaque foyer fiscal un état qui recense les versements effectués par le foyer fiscal (impôts, taxes foncières, retenues sociales sur salaire, CSG, ...) et les versements reçus ou les dégrèvements d'impôts (Allocations familiales, prime d'activité, prime de rentrée scolaire, subventions, prise en charge des frais de soins, des compléments de salaire pour arrêt maladie ou accident de travail). Sans oublier les avantages indirects dont le montant peut être forfaitisé : coût de scolarité des enfants.
Il faut repositionner face à face les droits et les devoirs, les avantages et les inconvénients. C'est une hypocrisie de demander à quelqu'un qui ne paie pas l'IRPP s'il est d'accord pour que l'on finance une augmentation des services publics par une augmentaion de l'IRPP !!! Coûts et bénéfices doivent être rapprochés. Je suis favorable à l'augmentation importante du taux de foyers fiscaux touchés par l'IRPP. Pour ne pas pénaliser les foyers à faibles revenus, il faudrait leur attribuer une "prime fiscale" dans l'esprit de la "prime d'activité". Le mode de détermination des "valeurs locatives" date de 1970. Il existe aujourd'hui des anomalies criantes dans les montants des taxes foncières (et d'habitation tant qu'elles subsistent) entre 2 communes limitrophes.
Il faut baisser les impôts qui financent le "mille feuilles territorial". Voir l'écart entre la pensée de JP Chevènement lors de l'élargissement de la décentralisation et le constat effectué par le rapport Baladur. Dans cet écart la responsabilité est partagée : les CT qui peuvent jouer trop aisément sur la fiscalité locale et l'Etat qui transfère des activités sans réduire ses propres charges à due proportion. Il faut donc baisser l'IRPP et les taux de taxes locales.
Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Aide à domicile sans réelles justifications. Combattre les tricheries à "l'arrêt maladie" en responsabilisant les médecins privés et du travail et en donnant aux employeurs qui financent des compléments maladie un droit de regard sur la justification des absences au travail. Voeux pieux probablement ? Même orientation pour le "public". Imaginer et mettre en place un système qui responsabilise les organismes publics ou privés de soins non pas sur les actes accomplis (actes parfois injustifiés ou redondants par exemple) mais sur les résultats : traitement réussi de telle maladie ou blessure.
None
La formation des jeunes et des chômeurs.
Fiscalité écologique sous réserve que l'utilisation des fonds collectés soit transparente et qu'elle privilégie les économies d'énergie".
Il faut réduire drastiquement le taux de prélèvements obligatoires. Le poids de la fonction publique nationale (hors sécurité et santé) est excessif et s'oppose à toute perspective de reprise économique. Ayant en UE des états exemplaires en matière de réussite économique, je trouve inadmissible qu'on ne mette pas en oeuvre les politiques fiscales et économiques qui ont fait leur réussite.
Le député. Parce qu'il fabrique la Loi, contrôle le gouvernement et a une implantation territoriale.
Oui
OUI, mais ! Les syndicats de salariés dits "révolutionnaires" ont bloqués les adaptations de l'économie française, rendues indispensables par l'évolution des technologies (robotisation, numérisation, ...) et des réalités économiques mondiales (croissance de la production en Chine, développement de l'informatique en Inde, performances industrielle de l'Allemagne, ...). Ces syndicats là, ont dépensé toute leur énergie à déconsidérer l'entreprise qu'ils affublent du nom de "les patrons" et à défendre les salariés "en place" au détriment des chomeurs Quand ils disent avoir "sauvé un emploi", ils omettent l'autre réalité qui est d'avoir empéché de donner sa chance à un chomeur. Cet archaisme de "rigidité" a entraîné le recul de l'emploi notamment industriel et la "congélation" des situations acquises en matière de postes occupés. Il faut libéraliser le syndicalisme salariés et supprimer le "privilège" CNR. Les syndicats employeurs devraient aussi être profondément réformés et gagner en niveau social. La rémunération de certains dirigeants est un scandale moral.
Pour être réellement représentatifs les élus doivent être "semblables" aux citoyens. Ils doivent aussi être reconnus comme étant experts dans tel ou tel domaine afin d'être acceptés en tant que guide, conseiller, prévisionniste. Ils doivent finalement être reconnus et admis. Les conditions dans lesquelles ils exercent leur mandat doivent être "ordinaires" : rémunérations, acquisition et montant de retraite, conditions matérielles de travail, avantages divers liés à la fonction, justifications des dépenses. La réserve parlementaire doit être supprimée car elle est une réelle incitation au clientélisme et donc source d'injustice. Les sénateurs, le Sénat, le Luxembourg sont des caricatures vivantes des "privilèges". Donc supprimer les Sénat (voir aussi mes remarques sur le nombre d'élus et le rôle des assemblées).
Une bonne chose
Soyons honnête ! Les motivations pour le cumul des mandats sont : augmentation des indemnités des élus "cumulards", accroissement du pouvoir, orgueil personnel (paraître, réussite, ...). Un des inconvénients réside dans le fait qu'un cumul député + maire entraine une charge de travail excessive pour l'élu "cumulard" qui se traduit fréquemment par la création d'un poste de salarié supplémentaire au niveau municipal : assistant, attaché, ... poste perennisé par les élus successifs au même poste de maire.
Les différentes sensibilités politiques me semblent suffisamment représentées à l'Assemblée Nationale. Les sensibilités "exotiques" sont anti démocratiques. Elles peuvent être un refuge pour les déçus (voir aussi ma remarque sur le vote blanc) et certains abstentionnistes qui veulent tout casser.
Oui
Revenir au "conseiller territorial", fusionner les élections Région Département, instituer au sein de la collectivité des élus 2 sous-groupes dédiés à des missions spécifiques : un groupe recouvrant les missions actuelles de la Région, un groupe pour les missions actuelles du Département et pas de cumul au sein de ces 2 groupes. Le non cumul entrainerait l'obligation d'un plus grand nombre de conseillers engagés et moins de conseillers trustant tous niveaux. Démarche similaire au niveau du "bloc communal".
Participation tristounette. Comptabiliser le vote blanc. mais d'obligation de voter car la sincérité n'est plus acquise.
Oui
Il faut compter les votes blancs (VB) en tant que votes exprimés. Ils le sont d'autant plus que l'électeur VB se déplace aux urnes alors même qu'aucun des candidats ne lui convient. Dans le cas où le score VB serait supérieur au score d'un candidat qui, de ce fait, serait éliminé il faut admettre un "surclassement" du candidat. Par exemple, au 2eme tour de la Présidentielle, si le VB a le meilleur score c'est le candidat placé immédiatement après qui est élu. Donc avec un score inférieur à 50%. Ce qui, la plupart du temps sera plus réprésentatif de la réalité de l'adhésion du corps électoral au candidat élu. Pour ne pas pénaliser la diversité, il faut abaisser les seuils de déclenchement de la prise en charge publique des frais de campagne et corriger divers autres points impactés par la prise en compte du VB.
Le RIC limité au "législatif" est une voie utile. Cependant il ne faut pas qu'il soit un vote pour ou contre le pouvoir en place. Comment faire ? Probablement une période de préfiguration suffisamment longue avant une adoption définitive. Malheureusement, les référendums locaux tels que celui de NDDL et le non respect par l'Etat des résultats du vote ont discrédités largement l'idée du référendum.
Oui
Il faut d'abord que le recours au référendum entre dans la culture politique de la France, à l'image de ce qui se fait en Suisse. Pour éviter la multiplication des organisations de votes, il faut prendre l'habitude d'associer un vote "institutionnel" (Président, Députés, ...) à un RIP. Il faut également réduire le nombre de signatures requis. Il faut enfin mieux utiliser les capacités de l'internet. Chaque député devrait disposer d'un site et d'une application informatique permettant de consulter les citoyens de son territoire : propositions, contre-propositions, sondage d'opinions et télé-votes.
Lors des débats budgétaires, en amont du vote par l'AN ou la CT Région Département : - créer une commission "citoyenne" : citoyens, élus locaux (pour le budget Etat seulement) et personnes qualifiées (économistes, DGS, comptable, ...). Privilégier le recours à internet (idéalement : chaque mairie est équipée d'une salle de visio-conférence). - donner la parole, devant la réprésentation nationale ou le CT, au rapporteur de cette commission.
Les députés dont on dit qu'ils sont "hors sol", doivent être les seuls représentants élus des territoires au sein de l'AN. Représentants les citoyens et les collectivités de leur territoire, les députés seraient moins accusés d'être "hors sol". Le Sénat doit être supprimé dans ses forme et missions actuelles. De même que l'AN est le vis à vis du gouvernement (motion de censure vs dissolution), de même le Sénat "nouveau" doit être le vis à vis de la Présidence dans les domaines dits "régaliens" : propositions, motion de censure vs véto ou/et dissolution. Les CESE donne l'image d'un radeau de survie pour candidats non élus, pour hauts fonctionnaires à caser, pour syndicalistes "retraités". Pour les CESER, je n'ai pas d'avis.
Oui
Le Sénat, dans sa forme actuelle, est un archaïsme, disqualifié par les privilèges des sénateurs. L'apport du Sénat actuel dans la production de la Loi est loin de compenser l'encombrement législatif qui résulte des "navettes" et des doubles votes à l'AN et la plupart du temps pour des améliorations marginales. Les sénateurs ne sont pas plus intelligents que les députés. L'AN : Ne pas réduire le nombre de députés. Lui confier la réprésentation nationale des collectivités territoriales, la positionner comme acteur de la proposition de Lois au même titre que le gouvernement, articuler motion de censure et dissolution comme aujourd'hui. Le Sénat "nouveau". Mission = organe parlementaire limités aux domaines dits "régaliens" de la présidence, proposition d'actions et avis sur l'action présidentielle. Effectif sénateurs 50 (cela conduit à ramener de 925 à 602 le total sénateurs + députés), lieux de débats et de commissions dans des locaux modernes, fonctionnels. Durée du mandat 7 ans non renouvelable. Je préfèrerais également 7 ans non renouvelables pour le Président.
Globalement, je pense que la laïcité à la française est satisfaisante. J'estime que le juste milieu entre laïcité et laïcisme, entre cléricalisme et anti-cléricalisme passe par une "banalisation" des Associations Cultuelles. La Loi de 1905 doit être conservée et aménagée de manière à la rapprocher de celle de 1901. Règles identiques en matière de financement : subventions, revenus patrimoniaux, ...
Question peu claire pour moi. Des formations du type de l'ex instruction civique me semblent nécessaires.
D'abord rétablir les valeurs humanistes de base : la justice (ou le sentiment de justice), la confiance intra nationale. L'honnêteté politique, le rejet de la démagogie (les promesses électorales qui mettent en avant leurs avantages et ne disent rien de leurs inconvénients par exemple). L'humilité des politiques avec l'enterrement définitif du "moi je ..."
Le respect d'autrui : bannir les formes de violences "collectives" : manifestations avec casses multiples, mouvements de grève avec empèchement de travailler des non grévistes. La civilité, la politesse, le pacifisme : toutes valeurs à enseigner dans les écoles.
Responsabiliser les parents. S'il y a lieu sanctionner. Pour un foyer, faire prendre en charge ses enfants par l'ASE et toucher encore les AF est une anomalie.
Confiance et justice : lutter contre toute forme de tricherie et ceci d'autant plus que l'individu concerné est haut placé dans l'échelle sociale.
Atteinte à la sécurité des biens et des personnes, atteinte à l'environnement, atteinte à l'état des lieux publics. Non respect des codes : de la route, de l'environnement, de la santé, ... La publicité envahissante (télévision, journeaux, prospectus, internet) est une nuisance.
D'abord information et prévention. Puis, il est essentiel de rapprocher le moment de la commission de la faute du moment du prononcé de la sanction. La sanction des incivilités passibles d'une simple amende devrait être du ressort exclusif de la police municipale ou nationale ou de la gendarmerie sans possibilité d'ingérence des élus. Des cours de rattrapage de points existent déjà pour ce qui est des infractions routières. Des cours (cours payants) de sensibilisation, motivation, apprentissage des règles, ... pourraient être mis en place dans d'autres domaines d'incivilités.
Ne pas en commettre et éduquer ses propres enfants.
La discrimination au faciès
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Oui
Allocataires effectuant des activités contribuant à structurer la vie sociale ordinaire du bénéficiaire : formations, bénévolat, projets d'opérations "opportunistes" qui n'auraient pas été réalisées par les services car non priritaires, mais qui seraient utiles à la collectivité. Attention à ne pas retomber dans le piège des emplois aidés.
Accepter l'immigration "de sécurité". Limiter l'immigration "économique" lorsqu'elle n'est pas vitale pour le migrant. Ne pas appauvrir les forces vives des pays d'émigration. Veiller à l'acceptation sociale de l'immigration.
La priorité est de se fixer des objectifs au niveau de l'UE.
Privilégier l'élévation du niveau de vie des pays foyers d'émigration. Faire pression sur les dirigeants de ces pays pour qu'ils installent progressivement une réelle démocratie et pour qu'ils luttent contre toutes formes de corruption.
Formation à la maîtrise correcte de la langue française. Connaissances fondamentales de l'histoire de la France. Informations et formations sur les éléments de moeurs et de lois français qui pourraient être différents, voire en contradiction, avec les mêmes du pays d'origine.
Le pouvoir politique doit être représentatif de la population. Il doit en être de même du pouvoir "médiatique". L'existence ou l'émergence de groupe de pression fondés sur des bases ethnique, religieuse, philosophique, ... doit être encadrée et toute forme de népotisme bannie. Faute d'une rubrique spécifique, je mentionne ici mon souhait de voir la "famille" remise à la place qu'il n'aurait jamais fallu lui contester. Malgré ses imperfections et ses dérives, elle reste la cellule la mieux à même d'éduquer le citoyen en devenir qu'est l'enfant. Outre sa famille, l'enfant est en contact avec l'école et d'autres personnes dans les activités "hors famille". Il apprend ainsi l'existence d'autres moeurs, manières de vivre, réligions, ... qui lui permettrons de faire ses propres choix le moment venu. Quand l'AN nationale légifère sur la "fessée" ou sur le nombre maxi de marches à l'escabeau, elle fait plus de mal que de bien à l'ensemble des enfants qu'elle prétend défendre.
Selon moi, un des points faibles (très) des adminstrations publiques tient au mauvais management de la ressource humaine. Il faut : Ramener les pratiques dans l'administration à égalité de ce qui se fait dans le secteur concurrentiel. Supprimer l'emploi à vie qui enlève tout moyen d'action au manageur. Supprimer les sinécures, les redondances. Identifier et positionner clairement les fonctions hiérarchiques. Responsabiliser l'encadrement en lui donnant une obligation de résultat et des moyens d'actions : - sur les embauches, les évaluations (qui devrainet être annuelles), la formation des salariés subordonnés, les rémunérations et promotions. - sur les sanctions positives ou négatives, l'absentéisme, ... Un autre point faible est la multiplicité et l'entrecroisement des fonctions administratives réparties entre l'Etat et ses agences, et les trop nombreuses strates territoriales. Les compétences des dtrates trritoriales devraient être mieux définies et la compétence universelle bannie. Les administrations des Régions et des Département devraient être fusionnées en un corps administratif territorial, ainsi que les corps des élus conseillers territoriaux.
Oui
Permis de construire : donner la prééminence aux collectivités territoriales sur les Préfectures en matière d'autorisation de construire et d'exploiter des installations industrielles, commerciales, artisananles, de service, ... Transférer les DREAL à la collectivité issue de la fusion Départements Régions. Donner aux préfectures un droit d'opposition non suspensif et un droit de recours à une instance judiciaire en cas de litige.
Oui
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Accueil à l'hôpital : actuellemet pour accéder à un service au sein d'un établissement hospitalier il faut (à Valence) passer par la procédure administrative du "bon de circulation". On prend un ticket et on attend d'être appelé pour donner à l'agent d'accueil des informations qu'il serait très facile de lui transmettre par messagerie électronique. Si on a la malchance de revenir plusieurs fois par an à l'hôpital, il faut reprendre toute la procédure et redonner les mêmes renseignements !
Oui
Oui
Chaque citoyen devrait disposer d'une carte personnelle (type carte vitale) contenant toutes les informations utiles le concernant : état-civil, coordonnées, famille, ... Cette carte pourrait être présentée dans toutes les administrations avec des accès aux données qu'elle contient mais seulement à celles utiles à l'administration concernée et limitées selon la confidentialité à préserver.
DGFIP : recours à internet pour déclaration revenus, consultations, ... L'hôpital public (Valence) CRAM (carte Vitale) mais n'est-on pas allé trop loin dans la réduction à zéro du reste à régler ?
L'éducation nationale : le passage à 4 jours par semaine est une honte car il profite seulement aux enseignants et aux parents. Le résultat de cette mesure sur les principaux concernés, les enfants, n'est pas pris en compte. Le nombre de jours de classe annuel est trop faible. Il faut impérativement stopper le déclassement international de la France (Fisa, ...). L'institution judiciaire : raccourcir les délais entre commission de la faute et sanction. Transférer toutes les petites affaires à l'administration préfectorale, aux polices, gendarmeries, huissiers de justice, administrations spécifiques à un domaine précis : CNAV pour les pensions alimentaires par exemple.
Oui
Non
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Voir remarque ci-dessus sur l'hôpital. Changement des coordonnées (adresse, nom) d'une association.
Oui
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Oui
Responsabilisation effective des agents : évaluations des résultats par la hiérarchie, récompenses (primes et carrière), mérite (qualité du travail, respect de la sécurité, polyvalence, disponibilité, présentéisme), sanctions.
Développer le recours à l'outil internet. Pour les communes rurales trop peu peuplées, imposer des regroupements : - avec des bourgs-centres voisins - à défaut , dans une zone géographique sans bourgs-centres, regrouper des communes jusqu'à 1000 citoyens afin de permettre à la collectivité ainsi constituée de se doter d'un effectif d'agents communaux ayant des compétences larges et la capacité de répondre aux besoins des citoyens du territoire. - Les gains principaux, outre l'aspect qualitatif, se feraient sur la masse salariale et les frais d'équipement (locaux, matériel, ...) des postes d'agents communaux. L'économie sur les indemnités des élus, bien que très marginale, serait réelle.
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Carsat Valence : satisfait
Cram Drome : satisfait car la plupart des remboursements de frais de soins de santé se font de manière automatique et dans un délai raisonable.
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Le "mille-feuilles territorial" doit être révolutionné. La tentation de la "compétence universelle" par toutes les strates est une catastrophe en matière d'efficacité. Un projet local donné peut être cause, à chaque strate, d'études et de rédaction de rapports par un ou des agents de la strate, d'achat d'étude auprès de bureaux d'études extérieurs, de multiples réflexions, délibérations, ... des élus de chaque feuille du millefeuille. Le financement d'un projet local par subventions multiples est une erreur politique : par exemple un élu local accroche à son costume une médaille pour avoir réalisé (car c'est lui le réalisateur !) une opération dont 80% du coût a été financé par d'autres strates et il présente l'affaire comme une brillante réussite. Bien sur l'origine de l'argent des subventions n'est pas évoqué. Cela a comme résultat dommageable de séparer le citoyen "bénéficiaire" du citoyen "contribuable". Cette pratique favorise aussi les systèmes de renvois d'ascenseurs. Dans tout cela les grands gagnants sont les bureaux d'études privés et les grands perdants sont les contribuables.
le réchauffement climatique
Appliquer mondialement les propositions du GIEC
Oui
Périodes caniculaires fréquentes et plus longues. Conséquence : plusieurs semaines d'été où nous devons rester à l'inétrieur de notre domicile. Conséquences néfastes sur les végétaux du jardin.
Oui
Recettes déjà bien connues : chauffage par PAC plutôt que résistances électriques, T° 20°C en hiver, pas de climatisation en été (fermeture des volets pendant la journée et aération pendant la nuit), tri sélectif, compostage des déchets de végétaux.
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Oui
Subventions ou crédit d'impôt pour passer d'une PAC air-air à une PAC eau-eau. Le plus efficace serait d'améliorer l'isolation des bâtiments.
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Etre exemplaire : respecter ses engagements COP, améliorer tri et recyclage (pression sur les contrevenants particuliers et collectifs), respecter le monde animal et le monde végétal (abattoirs, pesticides, ...).
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Votre message a bien été envoyé.