On ne peut séparer Impôt et utilisation de l'Impôt; cela a été malheureusement fait lors des annonces des seules baisses. Par conséquent il faut: 1) Rendre la fiscalité plus lisible pour tous sous 2 angles - Réduire le nombre de taxes diverses et les regrouper avec les principaux impôts tout en conservant la distinction entre Impôts locaux et Impôts perçus par l'Etat ( csg, taxe sur les carburants, sur l'électricité pour financer les énergies renouvelables...) - mieux informer les gens sur les recettes et dépenses des différentes collectivités en publiant des budgets simplifiés 2) encourager des actions d'information dans les écoles, sur la base du volontariat citoyen, comme celle qui avait été organisée en 1989 par les agents des impôts, pour le bicentenaire de la Révolution ( participation et consentement à l'impôt, les principaux impôts...). les questions posées par les enfants prouvaient leur intérêt et leur étonnement. Faire participer outre les Finances Publiques, des professeurs de droit, notaires, avocats fiscalistes....
Qui dit consentement de tous à l'Impôt dit participation de tous à l'Impôt. Cela justifie la TVA dont on ne peut se passer surtout actuellement ISF: un geste doit absolument être fait dans cette direction pour apaiser la situation: exonération des revenus financiers sous condition de réinvestissement dans des domaines fléchés (cf le million de créations d'emplois de M. Gattaz avec le CICE) IR: impôt le plus juste mais nécessité d'une progressivité plus marquée donc plus de tranches avec prise en charge correcte des enfants jusqu'à 20 ans (études de plus en plus longues...) pour alléger l'impôt qui pèse sur les classes moyennes quitte à revoir à la baisse les allocations familiales qui avantagent les très grosses familles; TH à maintenir, elle permet d'alimenter les budgets locaux , est plafonnée en fonction du revenu et comporte des exonérations. Ce sont les bases qui sont injustes car la révision foncière a toujours été reportée.. Par conséquent, il convient de revoir à la hausse la péréquation entre collectivités riches et collectivités pauvres ( variation importante des personnes imposables, de leur revenu, de la valeur locative de leur logement..) Autres Impôts locaux (Impôt Foncier et Impôts professionnels): péréquation en fonction de l'implantation des entreprises pour aider communes rurales et banlieues Impôt sur les successions: revoir les tranches et les abattements de manière à éviter l'effet psychologique qui résulte de la taxation indirecte du revenu des parents transmis à leurs enfants. Taxer plus lourdement le patrimoine dont ces parents ont eux-mêmes hérité.
Aucun impôt car ils ont tous leur utilité mais en les regroupant faire le tri parmi les taxes. Ainsi supprimer la CSPE qui bénéficie surtout aux constructeurs d'éoliennes dont le bilan énergétiques est négligeable. Elles polluent les paysages et surtout sols par les tonnes de béton qui resteront enfouies, ce qui n'est pas très écologique!
Reculer l'âge de la retraite ne fera qu'augmenter les indemnités de chomage ou de maladie. Envisager une période intermédiaire entre activité et retraite compensée financièrement .Eventuellement augmenter le temps de travail pour gagner plus mais sur la base du volontariat et sans avantage particulier.Cela ne peut s'appliquer aux cadres qui ne pointent pas, qui travailent bien au-delà des 35 heures et sont souvent sollicités hors plage normale
les allocations familiales dans les conditions évoquées ci-dessus. Avoir des enfants n'est pas une solution à un défaut d'emploi car ce n'est que provisoire. Surveillance des recherches d'emploi pour limiter les fraudes, ce qui ne doit pas être incompatible avec le besoin totalement justifié d'un CDI
meilleure surveillance médicale dans les écoles, les entreprises.....Manque de places en crèches , maisons de retraites et établissements pour handicapés. Le privé ne peut pas tout.
pour plus de justice fiscale. J' attends que mon impôt soit juste par rapport à celui payé par les plus riches et par rapport à celui des actifs qui ont de petits revenus. L'argent appelle l'argent et la pauvreté l'extrême pauvreté. Il faut donc une progressivité juste. Plus on a de l'argent, plus il produit même si quelquefois il y a un risque.
Pour les dépenses, votre question fait double emploi avec l'avis demandé sur les Services Publics. J'ajouterai seulement la surveillance et la réfection de tout ce qui a trait aux travaux publics; routes, barrages .......
NOS ELUS: sous condition de relations suivies avec leurs électeurs pendant tout leur mandat. En outre ils devront se montrer exemplaires dans leur comportement fiscal, économique et politique. Qu'ils s'appliquent à eux-mêmes les lois qu'ils votent pour les autres (retraites, justification des frais réels.......) Je ne fais confiance, en l'état actuel de notre société, que dans une représentation nationale. Un candidat doit être élu d'abord sur son programme car il s'avère qu'il ne peut plus être élu sur une appartenance à des partis politiques tels qu'ils sont . Il a besoin d'une certaine indépendance pour être fidèle à lui-même et donc à ses électeurs. Cela n'empêche pas les regroupements par affinité mais de manière plus souple.
Oui
Toutes associations et organisations DEMOCRATIQUES permettant de synthétiser les demandes, suggestions ou avis des individus, de manière à engager des débats sur tous sujets, soit avec les élus, soit entre membres,. Donc de favoriser de véritables débats et faire émerger l'expression. La participation ne se décrète pas, elle s'apprend d'ou ma méfiance à l'égard de RIC, RIP et autre référendum.
Moins de députés et de sénateurs, tous élus au suffrage direct, les premiers en même temps que le Président de la République, les seconds à mi-mandat, ce qui permet de mesurer l'évolution de l'électorat, voire de corriger les orientations par le débat préélectoral. La représentation du terrain sera davantage opérante par ma proposition suivante (cf ci-après) et par le fait que seuls les maires connaissent bien le terrain. Il conviendrait donc qu'un mandat de maire, ou éventuellement d'élu communal, soit le préalable à une candidature de député ou de sénateur. Pour cela, il faut développer le civisme et l'implication de tous, introduire d'abord le vote blanc, voire plus tard le vote obligatoire.
Une bonne chose
Un représentant, quel qu'il soit, et moyennant une rémunération à la hauteur de ce qu'on lui demande, peut mieux s'impliquer dans son travail s'il ne cumule pas plusieurs mandats: présence régulière aux assemblées, travail approfondi sur les projets et propositions, rapports écrits à plusieurs, interventions orales, contacts réguliers avec leurs électeurs et les élus de terrain que sont les maires, au cours de réunions obligatoires lui permettant de justifier, ses positions, son implication et de recueillir les suggestions. La sanction sera l'élection qui suivra.
Une dose de proportionnelle dans toute élection: un quart par exemple
Oui
Il convient de regrouper les communes rurales en conservant un représentant local qui assure le lien avec la nouvelle collectivité. Il en résultera certes une diminution du nombre de conseillers municipaux mais surtout une centralisation des décisions ainsi qu'une mise en commun des moyens. Le siège de la Communauté de Communes est quelquefois trop loin pour jouer ce rôle sans intermédiaire.
En développant l'implication des citoyens et plus tard par le vote obligatoire. Importance psychologique et éducative des Conseils Municipaux de Jeunes. Formation minimum par l'Education Nationale mais surtout par la famille
Oui
Le vote blanc, pour être significatif, devra dépasser un certain pourcentage, 25% par exemple, mais ne pas être forcement majoritaire. Il ne doit pas être paralysant mais permettre de relativiser une élection. On peut actuellement être élu par défaut car on ne peut pas distinguer les non-votants de ceux qui n'ont pu choisir. Il permettra donc de savoir si le programme du candidat est majoritairement validé par ses électeurs ou non.
cf réponses exprimées ci-dessus : permettre à tous les niveaux de vrais débats via les associations et organisations professionnelles et pour l'élu, rendre compte obligatoirement et périodiquement de son action dans le cadre de son mandat. Cela demande une grande confiance réciproque qu'il convient de développer et de faire vivre
Non
Pas actuellement: la situation est trop confuse et il ne faut pas prendre le risque de se tromper d'objectif. cela nécessite une vie politique apaisée. Plus tard, éventuellement, en développant cette forme de consultation mais ce qui existe actuellement suffit.
La formation et l'information pourra passer par les réunions périodiques citoyens-élus
Actuellement on ne voit pas toujours notre député, jamais notre sénateur. Je vois le Sénat comme une deuxième assemblée seulement. Je ne crois pas que les sénateurs connaissent bien le terrain comme ils le prétendent ; les autres élus locaux qui sont actuellement leurs électeurs, sont mieux placés et il vaut réduire les échelons dans la transmission.
Oui
Réponse ci-dessus
La religion est d'ordre privé et ne doit pas interférer avec la vie quotidienne, politique, économique, sociale, éducative. Elle doit être organisée, dirigée localement par des résidents français et avoir des revenus propres provenant de ses membres. Elle ne doit éventuellement dépendre de l'étranger que pour le dogme. Les obligations de respect et d'indépendance doivent être réciproques entre l'Etat et les organisations religieuses. Doivent s'appliquer les mêmes règles que celles qui président aux relations entre l'Etat et l'Eglise Catholique en ce qui concerne la construction des édifices religieux d'une part et leur entretien d'autre part. ce sont nos règles républicaines françaises qui doivent s'appliquer à tous. Il convient de respecter strictement l'espace public.
Cela peut également faire l'objet de débats , voire d'accords, d'abord au niveau des organisations religieuses, d'où la nécessité de leur organisation, pour une meilleure compréhension et une meilleure cohabitation. Cela passe également par une meilleure connaissance des différentes religions pour en retirer ce qui est commun. Ce sujet ne doit plus être tabou et progressivement gagner toute la société.
L'exemple venait souvent de la famille mais aussi d'organismes parascolaires ( scouts, éclaireurs.....) le service militaire également. En dehors de cette influence en nette régression, on peut aussi se demander pourquoi cet engagement s'est perdu. Le service civil prévu comblera une partie de ce vide.
Expliquer, éduquer: distinction de l'espace privé-public, respect de l'autre, qu'il soit homme, femme, voisin, patron, employé, élu, représentant d'une administration....autorité de l'état de façon générale. Il ne doit plus y avoir de zones de non-droit qui résultent souvent d'un manque de mixité économique, sociale et culturelle. C'est l'affaire de tous dans notre manière de vivre et une volonté politique devant une situation qui nous échappe..
Je souhaitais pour cela un service civil; c'est chose programmée et j'espère ne pas être déçue. On aimerais bien également entendre un peu plus certains religieux sur ce problème : la pratique d'une religion n'empêche pas le civisme qui est due à la société dans laquelle on vit et qui nous fait vivre.
Valoriser l'efficacité des gens, qu'ils soient, particuliers, agents publics, employeurs ou élus mais aussi leur disponibilité, leur écoute qui ne va pas sans une certaine autorité qu'ils doivent faire admettre pour ne pas être dépassés. De nombreuses situations peuvent permettre de donner des leçons de civisme "sans frais"
Le manque de respect à l'égard des personnes âgées: la manière dont on leur parle, dont on en parle. Très peu de personnes se lèvent pour laisser leur place dans les transports en commun. "Une société se juge à la manière dont elle traite ses anciens" Les personnes qui mettent leurs pieds sur les sièges, voir sur les vêtements du voisin. Les papiers laissés dans la rue ou déversés à proximité des chaines de restauration rapide qui font pourtant ce qu'elles peuvent. Les jachères fleuries ont pratiquement disparu , les gens les piètinaient pour faire des bouquets et plus généralement le manque de respect des espaces publics.
En parler à l'école, mais d'abord expliquer aux familles. Chacun peut avoir un rôle. Organisation par certaines communes d'une journée ramassage de papiers sales.....
Intervenir bien-sûr mais c'est souvent impossible en raison du risque de prendre des coups. Très ostensiblement, quand on est presque vieux laisser sa place à une femme enceinte ou quelqu'un de plus âgé; mais peu s'en aperçoive, plongés qu'ils sont sur leur smatphone.
plutôt par ouï-dire;
favoriser la mixité de l'habitat comme dans les petites villes où tout le monde se cotoie, va dans la même école.... ce qui développe l'émulation naturelle qui couterait beaucoup moins cher que les plans banlieue.
Oui
Revoir le barême allocations familiales pour ceux qui n'ont déjà pas les moyens de faire vivre une famille à la naissance d'un enfant. Même chose pour des enfants non domiciliés en France. Surveillance des retraites versées à des non-domicilés de fait en France et quelquefois décédés.
Le droit d'asile : pas de problème. Pour l'émigration économique, il faudrait établir des quota au niveau européen. "On ne peut pas accueillir toute la misère du monde". Former et aider sur place de préférence; former en France des élites avec obligation de repartir exercer dans leur pays ;Ne plus soutenir les dirigeants qui pillent leur pays.
Chiffrer les propositions ci-dessus et voter les crédits. Cela suppose peu d'aide en dehors de ce programme et un contrôle strict des migrants aux portes de l'Europe.
Il faut des garde-fou pour ne pas être dépassé comme on l'est déjà dans le ghettos que sont les banlieues.
Valoriser le parcours des personnes qui se sont parfaitement intégrées (qualification, diplômes....enquêtes de proximité...) ; elles ne doivent pas être sans travail ( obligation pour Pôle Emploi d'un quota peut-être). J'ai peur que l'on ait raté le coche en ce qui concerne les ghettos qui se sont créés au fil du temps du fait de l'absence de mixité sociale alliée au communautarisme. Et puis toujours; éducation, formation, respect de l'autre, de l'Etat, des religions particulièrement de la religion juive......
Merci à ceux qui sont allés jusqu'au bout de mon propos.
Le problème le plus important est l'absence de débat sur ce sujet. Le réchauffement climatique est-il un phénomène ponctuel? lié à l'activité humaine? qu'en pensent les scientifiques? Que penser des batailles de chiffres? Quelle sont les sources d'énergie qu'il convient de développer?
Organiser de grands débats à la télévision ou sur les radios comme pour d'autres sujets et non en catimini. Considérer que la transition écologique ne va pas de soit. REPORTER LES MESURES PRISES DEPUIS LE DEBUT DU GRAND DEBAT, malgré une majorité CONTRE suite à consultation électronique (incompétence des tribunaux administratifs, expérience engagée concernant la suppression des commissaires enquêteurs) et surtout les négociations avec Les Armées de la réduction du champ d'entrainement de l'Aviation pour rendre possible l'installation d'éoliennes dans certaines régions.
Oui
Je constate comme tout le monde le nombre et l'importance de certains phénomènes, inondations, incendies...Mais j'ai des souvenirs très précis de périodes de chaleur ou de froid intenses dans ma jeunesse. Ces mesures sont récentes à l'échelle météorologique.
Oui
J'essaie surtout de ne pas me tromper de combat. Donc, j'ai besoin de comparer mes informations ou de les valider face à une pensée unique abondamment diffusée car c'est ce qui me choque le plus; tout ce que j'écris le prouve malheureusement Je pense que la construction anarchique d'éoliennes sera le scandale des 10 ou 20 prochaines années. Par contre, je suis pour les économies d'énergie qui n'ont que des avantages: moins et mieux circuler en voiture, marcher pour des petits déplacements, utiliser les transports en commun, veiller au réglage du chauffage dans une maison mieux isolée.... Veiller à la propreté des rues et respecter la nature. Ne pas multiplier les appareils électriques dont on peut se passer.....
Non concernée car c'est déjà fait mais AVOIR DES REPONSES A MES QUESTIONS
Je pense que les déductions fiscales ne sont pas appropriées pour les familles modestes. Je propose un prêt intégral, à taux zéro, voire garanti par l'Etat. Le remboursement serait compensé par les économies réalisées. En milieu rural, les habitations sont le plus souvent de véritables passoires énergétiques, chauffées au fioul, et occupées par des personnes âgées ou aux faibles revenus.
Non
None
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
En ville transports en commun A la campagne, nous n'avons pas le choix du transport. Nous pouvons éviter aux voisins de faire 25Km aller et retour pour aller chercher du pain ou le journal en faisant nous-même leurs achats
Solutions pas toujours possibles pour un actif: horaires décalés, travail dans un autre département, télétravail impossible...
Cela ne peut se régler qu'en local, par les collectivités locales sur propositions des habitants, pour les transports privés (transports en commun, voies cyclables) ou au sein de l'entreprise, de la zone industrielle.... pour les transports professionnels.
D'abord être sûr de notre choix en ayant des arguments beaucoup plus sérieux que ceux que nous développons. Peut-être que Allemands, et surtout Américains et Chinois...nous prendront un peu plus au sérieux. En attendant, ils développent leur économie à notre détriment. En Europe nous sommes une zone de passage entre le Sud et le Nord et il conviendrait de diminuer le nombre de camions sur les routes en favorisant d'autres modes de transports en particulier le ferroutage.
Les questions posées ne répondent pas à mes préoccupations car elles peuvent faire consensus. MAIS quelle énergie faut-il développer? Les éoliennes ne sont pas le meilleur moyen de produire toute l'électricité dont nous avons besoin. Leur bilan énergétique est plus que médiocre alors qu'elles coûtent très cher au consommateur et enrichissent les promoteurs. Outre la détérioration des paysages, de la biodiversité et de la santé, elles sont anti-écologique puisqu'elles nécessitent d'énormes assises en béton que l'on ne sait pas traiter au bout de leur 20 ans d'existence. Ce bétonnage ajouté à celui des routes, piscines, et autres constructions horizontales est certainement plus responsable des inondations que le réchauffement climatique. (cf les contributions de très nombreuses associations de protection des paysages)
Votre message a bien été envoyé.