Date de publication : 2019-02-22
Code postal : 34090

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Un Député-Maire, élu local proche des gens et des questions liées aux territoires, élu national d'un ensemble de territoires proches. Ses compétences seront d'abords appréciées au niveau local pour nous représenter efficacement à une échelle nationale.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Autoriser un cumul de mandat sur une période correspondant aux durées des deux mandats législatifs et municipaux, qui seraient alors de mêmes durées et synchrones. Autrement dit on élit en même temps maire et député pour une même durée de 5 ans ou 6 ans (par exemple, ça peut-être 2 fois 3 ans avec consultation intermédiaire au bout de 3 ans )

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Précisément car il ne permet pas d'avoir des députés nationaux élus locaux

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Créer des assemblées consultatives sur le modèle irlandais, saisies de problématiques précises, encadrées par des consultants experts sur les sujets à traiter auprès desquelles chaque personne peut exprimer une question ou une problématique. Elles proposeront après délibération des initiatives aux élus mais il est nécessaire qu'elles soient paritaires en sensibilité, sans exclusive. Une majorité des 2/3 sera nécessaire pour remonter une proposition à débattre.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Une personne qui s'engage doit pouvoir gagner sa vie pendant la période où elle suspends ses activités professionnelles. Il faut donc bien, mieux rémunérer la fonction. Par ailleurs, la cessation d'exercice doit s'accompagner de mesures protégeant son retour à l'emploi : comme pour un congé maternité, une personne exerçant fonction d'élu ne doit pas pouvoir être licenciée. En revanche, pour ne pas pénaliser l'employeur, le parti politique d'appartenance de l'élu doit indemniser l'employeur avec l'argent que lui verse l'état. Si c'est l'employeur qui s'engage, un gestionnaire relais doit pouvoir l'aider à gérer sa boîte pendant son exercice d'élu.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Comptabiliser en % son impact à chaque élection et définir ce qu'est réellement un bulletin blanc valable (une enveloppe vide ou un bulletin spécifique BLANC)

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

En plus des assemblée consultatives paritaires, développer le vote par internet est un moyen de minimiser l'abstention.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

En simplifiant sa saisine en soumettant les questions aux assemblées consultatives paritaires selon les modalités exprimées ci dessus

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Que l'état publie de façon simples ses comptes à la manière d'un bilan d'entreprise. Il faudra aussi que les gens comprennent un minimum la comptabilité, la macroéconomie, le fonctionnement d'un état.Et donc l'apprendre dés le primaire à l'école. Le détail des comptes précis, action par action, doit être facilement accessible en ligne sur internet avec un login sécurisé si vous êtes français et exempts de condamnations.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Avoir des délégations facilement accessible en province et des chargés de mission allant vers les gens qui n'osent pas aller les voir, y compris en entreprise ou au lycées/collèges. Bref sortir de Paris. Par exemple ce serait bien que les assemblées se délocalisent quelques fois par ans en province : il y a de belles salles partout et la bouffe est souvent meilleure et moins chère qu'à Paris!

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Revoir les mandats en les synchronisant sur 5 ans ou 2 fois 3 ans, avec renouvellement pour moitié à mi-mandat comme au US, y compris pour le Sénat qui doit être au moins à moitié élu par le peuple.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La séparation stricte des religions et de l'Etat existe mais le financement des cultes doit être complètement contrôlé par l'Etat. Donc interdire le financement par des Etats étrangers de cultes religieux. Par exemple, le Vatican, s'il veut entretenir un culte en France, passe un accord avec l'Etat avec des règles déontologiques et verse du fric à l'Etat dans le cadre de cet accord qui peut être dénoncé si il y a des dérives. Idem pour l'Islam ou tout accord devra être conclu avec une seule entité religieuse reconnue et identifiée et non étatique (ou alors clairement identifiée comme le Vatican) : ça obligera les musulmans à parler d'une seule voix et à sortir de l'ambiguïté liturgique d'interprétation des textes! Et si pas d'accord interdiction de financer les cultes! Pareillement tout contrat peut être révoqué en cas de dérives par l'Etat laïc.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Mettre en place des cours de politique et de gestion/économie dés le primaire!

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Pérenniser les consultations de ce type dans la durée en structurant peu à peu vers des assemblées ouvertes à tous consultatives. Les gens veulent s'exprimer d'une part mais s'engager c'est différent : il faut donc protéger les gens qui s'engagent au mieux (voir plus haut). Qui plus est, les français doivent apprendre à écouter des opinions divergentes et trouver des compromis. C'est donc une éducation dés l'école qu'il faut modifier.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Ceux qui créent une société, qui s'engagent avec leur fric, doivent pouvoir témoigner de leurs motivations et de leurs valeurs. Car créer et prendre des risques c'est un engagement civique. Comme ils sont pour la plupart timides et modestes, c'est aux élus de les mettre en valeur en allant les consulter sur leur lieux de travail par exemple. Ceux qui s'engagent de façon bénévoles et désintéressés doivent en plus être avoir un accès privilégiés aux postes de fonctionnaires d'état.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Tout engagement désintéressé (pompiers, assos reconnues, secouristes, gendarmes, éducateurs etc.) doit pourvoir être distingué comme tel sur les papiers d'identité.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Il faut soit le rémunérer soit le distinguer mais plutôt faire les deux en même temps pour toute action d'engagement

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Sans équivoque : les signes ostentatoires d'appartenance à une communauté dont les us et coutumes s'imposent aux règles de l'état laïc. Sur la même ligne, réclamer ses droits et manquer à ses devoirs de citoyens.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Tout simplement faire respecter les lois en vigueur à la lettre.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Le problème c'est le conflit en cas de provocations, la peur de se prendre des coups, d'intervenir etc. Et ensuite d'avoir à se justifier si on est victime. Bref la dénonciation est compliquée dans nos sociétés en cas d'irrespect. Sur le court terme des brigades d'incivilité existent parfois mais elles ne peuvent être partout. Donc du coup c'est pas simple. Perso, je crois qu'en cas d'incivilité reconnue et identifiée par une personne mandatée, la sanction financière est la seule dissuasive. Mais les amendes ne sont pas payées par la plupart donc il faut taper sur les aides sociales ou directement saisir des biens avec un barème suspension, confiscations sur une durée donnée etc. Sur le long terme, c'est l'éducation qui est la seule payante. En cas de manque, les parents sont systématiquement pénalisés financièrement.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Perso j'en vois pas...même au boulot et dans les recrutements!

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Les discriminations viennent toujours en réaction avec l'irrespect et les passe-droits. Quand elles existent, les flics ou des juges doivent agir comme dans les tribus africaines où un ancien ou un groupe de sage sont chargés de régler les différents sans passer par la case tribunal. Par exemple un gérant de syndic doit pouvoir convoquer une assemblée de co-propriétaires en conflit avec un mandat clair de règlement amiable : les gens discutent s'engueulent mais à la fin un compromis doit se dessiner. Si non c'est le tribunal. En général, tout conflit doit d'abords être réglé par ce type de méthode dite amiable. Les assureurs pourraient aussi y participer par exemple.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Obligations de respects des devoirs à suivre en contrepartie des aides, recherches de solutions aux situations difficiles avec obligation de résultats dans un temps imparti, sanctions financières en cas de non respect pour toutes les allocations. En contrepartie, simplification drastiques des procédures d'obtention d'aide d'urgence.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

On doit pouvoir choisir les personnes qu'on accueillent sur des critères précis ; qualifications, volonté de s'intégrer, maîtrise de la langue . Aujourd'hui ce n'est pas le cas. Il faut supprimer les passe-droit avec certains pays (Algérie, Maroc, Tunisie etc.), reconduire physiquement dans les pays d'origine tous les émigrés non entrés légalement en France, or situations de conflits avérés. Un statut de réfugié de guerre doit être institué. Aujourd'hui, il faut cesser de faire rentrer des populations musulmanes prioritairement tant que ceux qui sont déjà installés ne s'intègrent pas en fonction de nos règles. Par ailleurs, ceux qui ne les respectent pas doivent être expulsés réellement. Il est par ailleurs indispensables de supprimer les double nationalités au bout d'un certains temps : l'hébergé doit se muer en citoyen et choisir en son pays hôte et son pays d'origine de façon claire.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Les quotas par pays ne marcheront pas s'ils ne sont pas soumis à des critères de sélection qualitatifs . Il faut qu'ils soient définis très clairement pays par pays, en particuliers si ces pays eux mêmes restreignent les entrées de ressortissants étrangers.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Il faut supprimer l'obtention systématique de la nationalité française en la soumettant à une procédure volontaire de la part de l'entrant extrêmement contraignante. Supprimer la double nationalité, mettre fins aux accords avec les pays ex colonies suite aux guerres d'indépendance, valoriser l'intégration de ceux qui en on fait la preuve tout en gardant leur originalité de naissance car c'est positif à long terme. Reconduire sans équivoque à la frontière les non éligibles. Puisque la pression migratoire est susceptible de durer, il faut conditionner les aides au développement à un strict contrôle migratoire des pays tiers et arrêter de faire du business matière première contre prise en charge des immigrants (supprimer l'AME et tous les appels d'air aux aides, expulser réellement les non éligibles).

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Ceux qui sont admis régulièrement doivent respecter les règles et devoirs sinon expulsion! Par contre s'ils sont ok en terme d'intégration, il faut qu'ils puissent bénéficier d'aucune discrimination quelconque. Mais à priori s'ils sont ok je vois pas de discrimination à leur égard en tout cas dans mon entourage.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Aujourd'hui notre démocratie est trop molle, perçue comme faible et compromise par des pays de plus en plus autoritaires. Donc il faut faire respecter drastiquement les lois existantes, sans se poser de questions de morale excessive. Sinon on va sombrer sous des régimes autoritaires également. Et comme on est également trop mous, sans idéaux par rapport à des fanatiques, il faut réinventer des ambitions long terme : un des débat à faire naître et à traiter d'urgence doit consister à interroger chacun sur son ambition citoyenne long terme : veut-on devenir les plus forts en conquête spatiale, en littérature et culture, en intelligence artificielle, doit-on plus intégrer nos partenaires européens etc.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

la démographie mondiale

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Contrôle des naissances de la part des gouvernements des pays en développement (Afrique, Asie, AmSud)

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Tri sélectif, co-voiturage, limitation arrosage en été, isolation maison, pas de rejet encombrants ni de batteries ni rien d'autres dans la nature, utilisation des déchetteries, extinction des appareils électriques en veille la nuit...

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

L'installation de panneaux solaires sur la maison pourrait être facilitée si l'état favorisait simplement l'octroi soit d'aides à l'investissement réellement incitatives, soit des solutions de défiscalisation simples des travaux (la plupart du temps ces travaux sont retoqués par l'administration à cause de l'inéligibilité des entreprises sous-traitantes) soit une garantie de rachat de la production avec un tarif clair, soit un mix de ces trois paramètres qui soit à la mesure de l'engagement du particuliers. En ce qui concerne les véhicules, indispensables en zone rurales et périurbaines pour de nombreux métiers non sédentaires, les voitures électriques actuelles n'offrent pas une technologie suffisamment fiable : batteries à faible autonomie, pas de points de recharge en station services y compris en grande surface, fiabilité douteuse par temps froids (il fait des fois -15°C en Aubrac!), dépendance technologique envers la Chine et la Corée du Sud bien plus handicapante que la dépendance actuelle en pétrole etc. Le co-voiturage c'est bien joli, mais ça n'est pas envisageable sur les trajets quotidiens courts de façon pérenne et pas franchement souple.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Voir réponse précédente.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Panneaux solaires, géothermie, matériaux de construction plus adaptés, puits canadiens : tout cela doit être proposés à des prix ne conduisant pas à des surcoûts excessifs et réalisés par des entreprises compétentes ce qui n'est pas le cas souvent! Reste aussi le devenir des maisons anciennes : on va pas les raser pour faire écolo! Les agences actuelles de conseil et d'aides sont inefficaces pour un particuliers et aucunement facilement atteignables!

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Des véhicules "propres" qui ne soient pas des usines à gaz comme les électriques actuels

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

L'Etat et les entreprises doivent investir dans la recherche, les batteries et les infrastructures de recharge. Il faut si on s'engage vers l'électrique produire de l'électricité bon marché : pour l'instant seul le nucléaire en fournit qui soit rentable. ITER proposera de l'électricité nucléaire par fusion à quelle échéance : 10, 20 50 ans ? L'investissement en recherche est insuffisant dans cette filière et aussi dans les autres filières alternatives, solaires etc.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

La seule solution c'est de devenir un leader sur les énergies alternatives au pétrole et charbon. Si on réussi, les autres suivront. Ou alors les partenaires européens sont suffisamment conscients de s'allier réellement pour devenir les meilleurs au niveau mondial en créant un cluster entreprise/états européens en énergie rivalisant avec les US et la Chine.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le débat actuel est foncièrement biaisé car on part du principe que tout est à cause au réchauffement climatique dû au CO2. Mais les gens, même s'ils ne sont pas spécialistes climat, savent bien que ce raisonnement est simpliste à l'échelle de la planète et des temps géologiques et même historique : du temps des Viking le Groenland était cultivé! Alors, certes, il faut moins polluer, économiser, innover, gérer la biodiversité mais le problème majeur de notre terre est la gestion de notre démographie et la gestion des ressources naturelles et des espaces. Si les problèmes étaient posés de façon honnêtes et relayés correctement par les politiques et les médias, les gens seraient plus réceptifs. mais on les prends pour des imbéciles, on les culpabilise et au final on leur de payer pour leur saletés dont ils ne sont pas individuellement responsables! Bref le pire fléaux actuel au niveau écologique, ce sont les écolos eux mêmes qui sont des catastrophistes millénaristes complètement stupides! Et n'oublions pas qu'à l'échelle des temps géologiques on a des chances d'aller vers un âge glaciaire...alors posons les questions claires et arrêtons de manipuler les opinions!