le gouvernement devrait publier chaque année un budget expliqué au Français
Redonner toute sa place à la redistribution par une fiscalité progressive : CSG, TVA, impôts non équitables notamment pour les familles. Restaurer une vraie fiscalité pour les familles qui ne soit pas qu'une fiscalité pour les familles pauvres. Une famille nombreuse, ça coûte même quand on n'est pas smicard, et c'est un vrai petit service public sans retraite le cas échéant pour le principal agent (mère de famille au foyer).
Impôts locaux - les collectivités territoriales sont trop budgétivores et pas assez soumises à des économies (trop de personnel sous-employé)
Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|rétablir un forfait d'accès pour des dépenses dont abusent certaines personnes
Il faudrait une vaste remise à plat y compris les conditions d'accès aux aides pour les étrangers.
La politique familiale qui est en ruine. Il n'y a presque plus que des aides sous plafond.
Santé publique.
Tous les gouvernements ont reculé devant des tâches prioritaires. J'en vois deux au moins : en premier lieu, l'Education nationale qui doit être entièrement revue en donnant enfin aux chefs d'établissement une vraie autonomie de direction, et aux parents un vrai pouvoir afin d'évacuer progressivement les incompétences (il faut développer le régime du "cahier des charges" et du contrôle de résultats) ; en second lieu, il n'y aura pas de baisse d'impôt sans baisse de la dépense publique. L'Etat en France fait trop, beaucoup trop . Ex : dans la culture. Que de trucs subventionnés à grands frais parce que le promoteur est un copain d'un copain d'un élu local ou d'un ministre...en général de gauche. Il n'est plus du tout certain que l'Etat soit le mieux placé pour promouvoir une bonne éducation nationale. D'une manière générale, il faut repartir du principe de subsidiarité qui justifie que l'échelon le plus proche du service soit le mieux placé pour contrôler son efficacité (ex : école primaire, commune ; collège-lycée, département ou région, université, région). Il est absurde et malsain d'avoir encore un bac centralisé dont en plus les performances sont faussées sur instruction de la rue de Grenelle...
pas vraiment à quelqu'un à ce jour...
Non
Il faut aborder de front la crise de la représentativité. S'il faut que la France soit aux mains des syndicats comme l'Education nationale, non merci...Ca c'est de la démocratie populaire.
Que le système représentatif soit un peu moins verrouillé et qu'il y ait plus de renouvellement. Quand on pense que ce sont les mêmes qui s'accrochent au pouvoir pendant vingt ou trente ans...
Une bonne chose
Indispensable pour favoriser l'accès aux responsabilités. Il faudrait aussi limiter le nombre de mandats et l'âge des élus.
Une dose de proportionnelle .
Oui
Il y a beaucoup trop d'élus locaux et d'échelons avec multiplications des dépenses de représentation.
Les citoyens seront enclins à plus participer lorsqu'ils se rendront compte que ça sert à quelque chose. Quand ça ne sert à rien de bien concret (Parlement européen), le taux d'abstention bat des records.
Oui
C'est un suffrage exprimé en conscience. Il faut le distinguer du vote nul qui est une erreur et non un choix conscient.
On a tendance à surestimer les procédures participatives. La solution principale réside dans la restauration de la représentativité politique. Ce n'est pas en faisant palabrer les gens qu'on peut délibérer d'une politique. La participation passe d'abord et avant tout par le vote, soit l'élection soit le référendum.
Oui
Voir l'exemple de la Suisse. Je suis favorable à un développement de ce type d'initiative, à condition qu'il soit canalisé. On ne peut pas tout soumettre n'importe comment au référendum sinon on peut arriver à des résultats catastrophiques faute de discernement suffisant de l'électorat.
Certainement. Les rapports particulièrement informés de la Cour des Comptes devraient donner lieu à des comptes-rendus systématiques devant le parlement : qu'a-t-on fait pour mettre un terme à telle ou telle gabegie ? Par exemple,la Cour des Comptes a relevé que les dirigeants d'autorités administratives indépendantes avaient des rémunérations excessives. Cela appelle une réforme rapide (voir le cas Jouanno : payée comme un Premier Ministre, on va où ?).
Le Conseil économique et social est inconnu des Français. On ne sait pas ce qu'il fait . On sait seulement qu'il bloque des pétitions légitimes...Le mode de recrutement du Sénat pose problème quand on voit qu'il sert à recycler des copains ou des has been, ce qui est aussi le cas au Parlement Européen (ex : R. Dati ou encore Mme Jouanno, devenue sénatrice par le bon vouloir de N. Sarkozy...on se demande où était sa légitimité...).
Oui
voir observation précédente.
Je demande que la laïcité reste la laïcité et qu'on cesse de la confondre avec un laïcisme forcené du type de celui propagé par un J. Chirac. Les religions ont leur place dans la sphère publique, pour éclairer les consciences et les opinions. Elles n'ont pas à raser les murs ou à se reléguer dans les intérieurs privés. De ce point de vue le bolchevisme laïciste d'un Mélenchon est le type même de ce qu'il faut éviter. Il serait bon que l'Education nationale ne soit pas le vecteur de cette idéologie laïciste. En France, en effet, l'intelligence semble bridée à force de ne pas vouloir tenir compte de la sagesse contenue dans les religions et au-delà dans les cultures qui en sont issues (christianisme mais aussi judaïsme qui font partie intégrante de notre patrimoine à la différence de l'islam).En revanche, la République laïque n'a pas à se mêler de promouvoir un "Islam de France", expression stupide et objectif promis à l'échec. La République doit s'occuper de faire des musulmans qui ont leur place dans notre pays des citoyens de France de confession musulmane. A eux d'adapter leur islam à leurs droits et devoirs de citoyen français (not. égalité homme-femme et liberté de conscience qui sont des principes éminents dans notre société politique : pas de citoyen qui n'ait à les respecter).
Il serait bon que la République française reste une démocratie libérale alors qu'elle verse de plus en plus dans la démocratie libertaire, sans plus aucun principe éthique fondateur commun à tous ses membres : aujourd'hui règne la dictature de l'individu et du relativisme, dogmatique, intolérante, et répressive. De ce point de vue, il est urgent de revenir sur la loi Taubira qui explosé le code civil dans ce qu'il a de plus important anthropologiquement : le mariage homme-femme puisque seuls un homme et une femme peuvent former un couple apte à procréer et former une famille.
Mais c'est au citoyen de se prendre en main, pas à E. Macron de nous le dire après un grand débat.
Cf supra : la démocratie libertaire, loin de promouvoir la paix civile, propage violence, hystérie, incivilité, sauvagerie, égoïsme. Quand il n'y a plus de loi digne de ce nom (et la loi Taubira n'en est pas une) il n'y a plus de moeurs. Nous y sommes. On multiplie les appareils répressifs car le commun de la population a perdu ses repères. On est même contraint d' "étatiser" la famille (avocats, juges, assistantes sociales, médecins, établissements médico-sociaux) car la famille est la grande sinistrée. Bref, il faut sortir du cercle infernal de la roue rose libertaire (par allusion bien sûr à la roue rouge de Soljénitsyne décrivant le cycle des malheurs de la Russie sous emprise du communisme).
Il faut ni plus ni moins qu'un ressaisissement culturel. Mais comme l'appareil politico-médiatique s'emploie à l'étouffer par tous les moyens : voir le silence tenace sur le bilan de quarante ans d'IVG qui ont démoli la France moralement...
Ce n'est pas à l'Etat de prendre ça en main : cessons de croire que l'Etat doit toujours tout diriger.
Voir réponses précédentes. La société libertaire est une société ensauvagée et ce sont ceux qui sont le plus privés de ressources culturelles et spirituelles qui paient la note la plus élevée (délinquance , addictions, prison, chômage). La plus grande pauvreté en France, c'est la pauvreté spirituelle et culturelle. Les gens sont dénués de tout et matraqués par la télé...
Bis : il faut cesser d'attendre des réponses de l'Etat. Qu'on aide les familles à éduquer les enfants.
Ceci je suppose n'est pas un questionnaire de l'Eglise catholique : allez voir de ce côté-là, chers amis, elle a des bonnes réponses.
Parlons d'une discrimination trop souvent passée sous silence : celle dont sont victimes les personnes professant des idées inspirées du christianisme. On aurait peut-être intérêt à écouter un peu plus ce que disent les chrétiens pour répondre aux questions ci-dessus...
Finir la révolution française. Dans ce pays, il faut toujours mettre une tête au bout d'une pique. La culture sans-culotte dont Mélanchon est le représentant emblématique finit par tuer la démocratie en instaurant un climat de guerre civile permanente. Or, un Français de droite et un Français de gauche peuvent se rejoindre sur un bien commun pour le pays, comme un chrétien et un agnostique ou un juif et un musulman. Car tout ça ça peut faire d'excellents Français.
Oui
La collectivité est en droit d'attendre de la personne qu'elle se prenne en main, avec une aide appropriée, pour retrouver un travail, se réinsérer etc...
On a trop longtemps interdit le débat en le confisquant aux moyens d'interdit idéologique. Mitterrand avec son "touche pas à mon pote" nous a fait perdre au moins vingt ans.
Oui. Il faut dire clairement que l'immigration provenant de pays islamiques pose des problèmes spécifiques et qu'en revanche, une immigration de non musulmane, qu'elle soit d'origine européenne, africaine ou asiatique, est plus facile à intégrer.
Il faut revenir sur l'immigration non contrôlée au titre de la vie familiale car la France ne peut plus se le permettre.
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On parle toujours des devoirs d'accueil du migrant et ils sont grands surtout lorsqu'il s'agit de réfugiés fuyant les persécutions politiques à accueillir en priorité. Mais il faut aussi poser clairement les devoirs du migrant et des personnes issues de migrations. Devoir de respecter la culture du pays d'accueil et de se préparer à la citoyenneté. On ne peut pas accepter que des gens au nom d'une autre religion, méprisent nos lois ou les ignorent. La France n'est pas un terrain vague où toutes les différences se vaudraient et ou chacun pourrait venir planter sa tente et allumer son feu de camp. Mais encore faut-il que nos lois et nos moeurs soient dignes de respect. De ce point de vue, je comprends parfaitement qu'un musulman ayant le sens de la famille estime que la loi Taubira n'est pas une loi digne de respect. Cf supra. Une démocratie forte et respectée est une démocratie qui a des principes fondateurs dignes de considération et qui s'y tient. Pas une république qui oublie qu'on avorte des milliers d'enfants à naître par an, qui marie de personnes de même sexe, qui entend leur permettre d'avoir ensemble une filiation au mépris de l'intérêt des enfants et qui se prépare à faire accéder des femmes seules ou en couple à la procréation artificielle.
Il y a d'évidence trop d'échelons
Non
l'urgence est plus à la simplification et à l'allègement des services publics : s'il faut que les collectivités continuent de maintenir de coûteux doublons, non merci
Oui
la question est plutôt celle de la dégradation (hôpitaux, écoles)
le numérique doit être maîtrisé et ne peut être exclusif car beaucoup de gens n'y ont pas encore accès
Non
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Je vois plutôt une dégradation (hôpital, école) L'administration fiscale a fait un bon effort d'adaptation et d'accueil
Education nationale (performances médiocres au regard du coût public) et hôpitaux (dégradés)
Oui
Non
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Oui
mieux les former d'abord
Oui
En priorité, Education nationale : les chefs d'établissement devraient pouvoir bénéficier d'une vraie autonomie leur permettant de développer un programme pédagogique avec leur équipe d'enseignants ; les enseignants incompétents devraient pouvoir être remerciés au bout d'un certain nombre d'années et d'un contrôle sérieux ; les parents d'élèves devraient être associés beaucoup plus à l'administration de l'établissement etc...Le système actuel est trop rigide, trop centralisé, trop contrôlé par les seuls syndicats (l'école publique n'est pas leur propriété) et trop éloigné des usagers. Deuxième priorité : les collectivités territoriales trop coûteuses ( échelons trop nombreux, trop de doublons et de personnel ). Il y a en France au moins un échelon de trop.
Il va falloir aborder un jour la question de la déperdition de démocratie locale en raison du transfert des compétences au EPCI à fiscalité propre dont les responsables ne sont pas élus au suffrage direct. Les citoyens devraient élire directement les organes dirigeants des communautés de communes, d'agglo, des communautés urbaines, des métropoles etc. alors qu'ils ont de plus en plus conscience que leurs communes de base sont des coquilles qui se vident...
Un quasi service public est à repenser : la formation au permis de conduire. Bien trop coûteux. Autre priorité, la revalorisation des filières techniques.
Nos enfants ont été scolarisés dans des établissements privés ayant un vrai projet éducatif. Nous n'avons plus confiance dans l'école publique où en plus règne aujourd'hui, dans certains secteurs, une violence démente. Quitte à faire de la provocation, la France et les profs ne perdraient pas forcément au change si l'éducation était privatisée et si l'Etat délivrait aux familles un "chèque éducation" leur permettant de financer l'école privée de leur choix...tant l'école publique aujourd'hui manque à ses missions, provoquant une fuite des familles vers le secteur privé...En particulier l'école publique ne parvient plus à réduire les inégalités. Tragique.
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Bon système d'information
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s
Un point mérite d'être scruté : les services publics sont soumis à une dose intensive de "managérisme" consistant à y appliquer des techniques d'entreprise de plus en plus décriées dans le secteur privé (voir le livre "la condition (in)humaine). Il serait bon d'évaluer cette pratique ayant notamment pour conséquence d'ignorer l'impact des réformes sur le personnel qui le subit souvent plus qu'il n'y adhère.
La pollution de l'air
l'effort doit porter d'abord sur les entreprises et les transports
Non
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Oui
préserver son propre environnement, y compris en ville
Ethique personnelle et incitations fiscales ou financières pour changer d'équipements
Surtout pas la stupide éco-taxe lorsque le contribuable n'a aucun moyen de changer son organisation !
Oui
surtout pas l'augmentation de la taxation du fuel...plutôt incitation fiscale ou financière à changer d'équipement
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Occupons-nous d'abord de la France avant de faire la leçon aux autres comme E. Macron a un peu trop tendance à le faire...
Je suis saturé d'idéologie écologiste avec Hulot comme grand-prêtre : cette religion civile imposée et intolérante est intolérable. Il faut arrêter ce matraquage contre-productif. De plus, quand on voit que l'Asie joue à fond les énergies fossiles (charbon), arrêtons de nous faire croire que 65 millions de Français vont réduire le réchauffement climatique parce qu'on va taxer le diesel... C'est idiot et révoltant (gilets jaunes : bien joué). Je commencerai à prendre l'écologie au sérieux quand on traitera d'écologie HUMAINE et qu'enfin on s'occupera de faire baisser le taux d'IVG en France. Protéger les grenouilles et les escargots quand les Français bazardent 220 000 enfants à naître tous les ans...
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