Date de publication : 2019-01-23
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Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

TOUT est important et concret

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

un des combat que je mène à l'heure actuellement est de lutter contre les projet inutiles comme le GCO

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Une fois de plus, la question est aberrante ,les impacts du changement climatique sont nombreuse, la biodiversités s’effondrent ,la qualités de l'air et de l'eau sont de plus en plus mauvaise, les terres agricoles sont de plus en plus rares ,les catastrophes naturelles de plus en plus violente. Et étant humain , je ressent de l'empathie envers les populations les plus touchés ( en générale , les plus pauvres) mais aussi à toutes les personnes qui meurent à cause du changement climatique.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

On dirais un espèce de moratoire, mais bon je vais lister quelques une: lutter contre le GCO ne plus manger de viande transport : vélo, train/bus, à pieds manger local et de saison cuisiner le plus possible (pas facile dû au manque de temps) mettre un pull à la maison (réduit le chauffage) boycotté certaine marque mouchoirs lavable

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

-pour la voiture , il faut un réseaux de transport en commun dense (bus/train/minibus) même en campagne et à petit prix voire payer par des impôt (si une personne n'as plus besoin de voiture ,il va faire des économie qui peuvent financer le réseaux) -le chauffage , on pourrait imaginer une campagne de pub à la télé à la place de la propagande de multinational

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

mettre en place un ramassage du composte, pénaliser les entreprises qui vendent des chose à usage unique ou pratiquent le sur emballage, consommer mois de viande (premier facteur du réchauffement écologique en France )... Pour être pus direct votre question tend à séparer l’écologie du sociale , or c'est tout le contraire

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Il suffit que l'état investissent dans la géothermie (mais pas seulement c'est juste un exemple ) car cela coûte trop chère

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

habitant à Strasbourg , j'ai à ma disposition piste cyclable , bus ,tram mais lors se que je rentre à la campagne là il y a plus grand chose et pire le peu de moyen ont des prix exorbitant

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le vélo

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

c'est à l'Etat , le seul ayant assez d’influence pour crée ,développé et faire changer les choses de manières significatives

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Déjà avant de donner des conseil à d'autres pays asseyons de respecter les accords de Paris (encore un question incandescente et égocentrique par la même occasion )

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

-Pour commencer, les protections hygiéniques coûtent très chère, en raison d’environ 12 période menstruelle par an pendant 40 ans, si en plus on prend en moyenne 3 serviettes par jour durant 4 jours cela revient à 15 000 protections hygiéniques utilisés. Cela revient à plus de 3 000 euros, ce qui est paradoxale vu que les femmes sont moins bien payées que les hommes. Pour ce problème, la gratuité des protections hygiéniques semble une évidence. Le coup de cette mesure pourrait être financer par la remise en place de l’ISF qui est principalement payé par des hommes cela pourrait aussi réduire les inégalité sociale (précarité menstruelle). De plus la fabrication de ces protections est une catastrophe sanitaire dû à la présence de nombreux produit toxiques. En effet le coton utilisé a été cultivés de manières intensives, il y a donc plusieurs pesticides et perturbateurs endocriniens dans les protections hygiéniques. Mais ce n’est pas tout, le gels « super absorbant », les parfums et les molécules utilisées pour le blanchissement sont aussi des molécules toxiques et irritantes. Si en plus, on prend en compte le fait que les muqueuses vaginales sont très absorbantes et que les corps humaines ne peuvent évacuer ces produits, on a alors des femmes qui ont des problèmes de santés qui ne sont pas reconnus et prise en charge des traitements pour les soignées n’est pas assurés par les sociétés industrielles responsables. Il faut alors forcer les industrielles à produire les protections en respectant le corps de la femme et de maqués la composition de ces derniers. Ensuite, la fabrication des serviettes et des tampons pose aussi un problème écologique dû à l’industrie chimiques. L’utilisation unique et le suremballage (pour ce dernier, il est quasi inévitable pour éviter des infections) cause une pollution catastrophique. Mais les serviettes et les tampons ne sont pas les seules protections hygiéniques, on peut alors promulguer les alternatives : les serviettes en tissu lavables, les sous-vêtements absorbants, la coupe menstruelle l’éponge et le flux instinctif libre. (Bénéficient économique car elle permettra de développer le textile français ainsi que plusieurs entreprises françaises commercialisant ces produits. -Maintenant, développons le sujet de la pilule contraceptives (et tous les autres contraceptifs à base d’hormone ou de métaux). Nombreux sont les arguments pour l’utilisation de la pilule : fiabilités, pratique, non prévoyance de l’acte, libéralisation de la femme. Mais, le jeu en vaut-il la chandelle ? (Ici je me place contre la pilule, bien que ce sont les femmes qui doivent avoir le dernier mot sur leurs corps, elles subissent néanmoins des pressions sociales qui me semblent trop forte et je vais donner des exemples possibles pour alléger ce fardeau ou des alternatives en plus de citer la dangerosité de la pilule). Pour commencer, la pilule n’est peu, voir pas remboursée par la sécurité sociale, ce qui pèse encore sur le pouvoir d’achat pour les femmes qui sont souvent bien plus précaires que les hommes. Surtout que les multinationales pharmaceutiques peuvent librement fixés le prix de leur produit, ainsi les pilules contraceptives non remboursé dépasse les 10 euro par boite facilement. De plus, quand on voit les bénéfices engendrés et les dividendes versés par les multinationales pharmaceutiques (par exemple Bayer), cela montre à quelles point les femmes sont volées. L’utilisation pose aussi des problèmes de santés chez les femmes qui va de la mort (environ vingt cas par ans en France dont la pilule en est officiellement la cause), mais aussi à de graves problèmes de santé. Après tout, la pilule est un médicament et un perturbateur endocrinien. Comme tous les perturbateurs, on ne connait pas les effets à long terme (et les effets à court termes sont muselés : liste non exhaustive des risques sur la notice et peu connus des femmes car non dites avant la prescription) ni les effets sur la reproduction. Il y a, en plus, un déni de la part des laboratoires pharmaceutiques sur les dangers de la pilule. Les hormones est un désastre écologique. La fabrication est faite par synthèse qui comme tous les produits organiques possèdent un fort coup écologique. De plus, les hormones sont évacuées par les urines qui vont, dû au manque de traitement des eaux, dans les lacs, rivières et océans. Et les hormones vont à leur tour être absorber par les poissons qui perturbes leurs cycles de reproductions. Enfin, la contraception étant un sujet tabou et reposant quasi exclusivement sur les épaules des femmes, ça entraine une censure de la parole des femmes alors que nombreux d’entre-elles, on eut des problèmes dû à la pilule et peuvent ainsi améliorer par leurs expériences cette dernière. C’est une question de société qui concerne à la fois les femmes ET les hommes. Que ce soit au niveau santé, économique, environnementales, il n’y a aucune raison pour que les femmes se sentent obliger de prendre la pilules (ou autre contraceptive avec hormones ou métaux qui pour des raisons analogues sont dangereuses) alors qu’il y a d’autre possibilités. Les contraceptives pour hommes sont soit peu connu voire totalement inconnu (ce qui peut alléger le fardeau) soit en développement (qui sont sans inconvénient : Vasclip, vasagel, l’interrupteur à sperme) mais c’est dernier ont beaucoup de mal à finir la phase teste dû des pressions. Il faut alors un investissement dans ces derniers et informer tout le monde à propos des risques de toutes les contraceptions. La symptotermie est une méthode de contraception féminin naturelle qui malgré sa performance extraordinaire (plus sûre que la pilule et sans aucun effet secondaire) est quasi inconnue. Il faut donc la promouvoir et l’encourager. Si on additionne la symptothermie et l’interrupteur à sperme, on a alors un combo ultime.