Centraliser dans un fichier par individu l'information sur toutes les aides, allocations, pensions, retraites, etc perçues en provenance de l'état, des collectivités locales, et autres organismes publics. On trouverait les retraites, le chômage, les allocations familiales, les aides sociales de toutes sortes... Ceci aurait plusieurs avantages : Faire apparaître des anomalies (doublons, fraudes, ...) Mesurer combien chacun perçoit Cela pourrait servir de base pour un impôt sur le revenu qui prendrait toutes les ressources en compte ...
Intégrer dans les revenus toutes les ressources dont dispose le foyer, en y incluant l'ensemble des aides et allocations diverses d'où quelles viennent. Supprimons les niches fiscales (100 milliards d'euros au total) dont on est incapable de mesurer l'efficacité en termes d'emplois ou de réelle compétitivité des entreprises. Taxons les multinationales françaises et étrangères au prorata du CA réalisé en France. Exemple : CA Global 500M€, Bénéfice global 50M€, CA France 100M€ ==> Bénéfice imposable en France : 50M€/500x100 soit 5M€ et non celui qui apparaît sur la filiale française qui est minoré des des ''management fees'' qu'elle renvoie vers un paradis fiscal !
Il faut supprimer les impôts et taxes dont le coût de calcul et de recouvrement est supérieur à 50%.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Concernant les retraites, il faut rétablir une équité dans plusieurs domaines en alignant le public sur le privé : 1) sur l'âge de départ à la retraite. Comment justifier qu'un conducteur de TGV parte plus tôt qu'un chauffeur de poids lourd du privé ? Passé un certain âge, si un fonctionnaire de police, de la gendarmerie ou de l'armée ne peut plus être sur le terrain, reclassons les dans les bureaux ou pour faire de la formation... 2) sur le montant des pensions, à savoir un euro cotisé doit donner les mêmes droits de retraite. Le système de retraite impose un âge minimum et une durée minimum de travail. Pour certaine personne ayant commencé à travailler tard, notamment les personnes qui ont fait de longues études ou les femmes ayant arrêté de travailler pour élever leurs enfants, le système est très pénalisant. Avant la réforme sur les retraites, une idée avait été avancée qui se résume ainsi : l'âge de la personne + son temps de travail = 100, pour bénéficier d'une retraite à 100% (il fallait 60 ans et 40 ans de travail) Une personne qui n'avait commencé à travailler qu'à 30 ans devait ainsi travailler jusqu'à 65 ans (65 + 65-30=100) De même une mère de famille qui avait commencé à 18 ans, mais avait arrêté 10 ans devait travailler jusqu'à 64 ans (64+ 64-18-10 = 100) Ce système n'empêche pas de donner des trimestres assimilés au temps de travail pour avoir élevé les enfants ou avoir été au chômage, ni d'appliquer une décote pour ceux qui partent sans avoir atteint le ''score'' de 100. Et surtout, en fonction des rentrées des cotisations, de l'évolution de l'espérance de vie, etc, il devient simple d'équilibrer le système en faisant évoluer le ''score'' sans avoir à renégocier une nouvelle réforme... Aujourd'hui avec un départ à 62 ans et 168 trimestres, nous serions à 104.
Notre politique familiale date d'après guerre, quand la France manquait de bras... Aujourd'hui les grandes familles le sont par convictions religieuses ou pour avoir des ''enfants ressources''. Nous avons les moyens de limiter les naissances, donc avoir une grande famille est un choix qu'il faut assumer. Aussi je suggère : Les allocations familiales à 100% dès le 1er enfant, 100% pour le 2ème, 50% pour le 3ème. Plus rien à partir du 4ème. Les allocations familiales doivent être identiques pour tous les ménages, indépendamment des revenus, quitte à les taxer ensuite à l'IR. En effet actuellement les plus gros salaires sont les plus gros contributeurs pour le financement des allocations familiales et ils touchent des indemnités réduites !
Les services publiques doivent apprendre à faire mieux en étant plus efficaces avec leurs moyens actuels. Diminuons l'encadrement et les non productifs et remettons des agents dans les services publics. Par exemple, comment expliquer qu'un professeur agrégé qui enseigne dans un lycée travaille moins d'heures que son collègue moins diplômé qui enseigne dans les mêmes classes ? L'écart de salaire, au moins les premières années, peut se justifier par son diplôme plus élevé, mais pas le temps de travail qui restera moindre tout au long de sa carrière !
La protection sociale notamment le chômage, mais aussi en grande partie les aides familiales reposent sur des cotisations qui grèvent le coût du travail. Transférons ces cotisations sur la TVA qui est un impôt sur la consommation, d'une part nos entreprises retrouveront de la compétitivité, d'autre part les produits importés participeront au moins un peu au financement du chômage dû aux délocalisations.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Une agriculture raisonnée (minimum de produits chimiques) de proximité et une pêche raisonnable qui ne vide pas les océans et préserve les ressources.
Oui
La pollution de l'air certains jours et la pollution sonore. Notamment toujours plus de trafic routier et partout un fond musical incessant et superflu.
Oui
J'habite Troyes : Je me déplace en vélo dans l'agglomération. Je pourrais prendre le train pour aller à Paris mais c'est trop contraignant et trop cher. (nombreux retards et 29,20€ pour 160Km)
Aménager des pistes cyclables et des parkings à vélo sécurisés. Passer la limitation des VAE et des trottinettes à 30 km/h pour être au rythme des voitures.
None
None
None
Oui
Baisser le prix du billet de train (Allez simple Troyes / Paris 29,20€ Via Michelin en voiture 24,24€) Ajouter des trains car on voyage souvent debout !
Les transports en commun|Le vélo
Si on veut limiter l'utilisation de la voiture, il serait judicieux de faciliter les transports en commun entre les villes, notamment les trains ou les cars en augmentant l'offre et en diminuant le coût. (Actuellement on fait le contraire)
Le kérosène et le fioul lourd des bateaux ne sont pas taxés et pourtant ils pèsent très lourd dans le bilan de la pollution. Une taxation au niveau international permettrait aux pays de financer la transition énergétique et favoriserait la relocalisation.
La France impose aux agriculteurs et aux industriels des normes strictes tant sur les process de production que sur la composition et la qualité des produits. Ces mêmes normes devraient être imposées aux produits importés, ce n'est pas le cas aujourd'hui ! En effet, si ces normes sont nécessaires sur le plan de la santé ou de la sécurité du consommateur, c'est aussi vrai sur des produits fabriqués en France que sur les produits importés ! Les produits importés doivent répondre aux normes françaises !
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