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La TVA devrait être encore plus basse pour les produits de 1ère nécessité, et plus haut pour les produits de luxe et "haut de gamme" qui ne sont achetés que des personnes qui ont des moyens confortables pour pouvoir se les offrir (ex : cosmétiques, belles voitures puissantes, bateaux, etc.)
Supprimer définitivement et le plus rapidement possible la taxe d'habitation. Réformer impérativement la taxe audiovisuelle (prendre en compte le nombre d'écrans (tous supports confondus) par foyer).
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
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la santé
la lutte contre les pollutions, sous toutes leurs formes (air, eau, sol, nature, ville...)
Il faut davantage utiliser le principe du pollueur-payeur. il faudrait bannir pendant plusieurs années des aides sociales ceux qui ont triché dans leurs déclarations pour les toucher (en plus de leur faire rembourser les aides indues). il faut lutter avec beaucoup plus de force contre l'évasion fiscale dans les paradis fiscaux, et contre le travail au noir
Je fais le plus confiance aux ONG et associations reconnues d'utilité publique. Parce qu'elles n'ont souvent pas d'intérêt financier dans les discussions, et sont a priori mois sensibles aux lobbys. Je les trouve globalement plus impartiales, soucieuses de l'intérêt général, et davantage mobilisées pour faire bouger les choses, notamment dans les domaines de l'environnement, de la santé, de l'écologie, des transports, de l'alimentation.... Je ne fais pas trop confiance aux élus, ni aux syndicats, ni aux associations "partisanes" (qui défendent trop souvent des intérêts privés derrière un message plus général).
Oui
ONG et associations reconnues d'utilité publique. Par exemple un rôle consultatif. Sur un projet de loi sur le logement, cela pourrait par exemple consister à recevoir et "auditionner" systématiquement en séance plénière à l'assemblée nationale et/ou au sénat des associations spécialistes de la question (Emmaüs, Habitat et Humanisme, etc.)
Les élus devraient justifier publiquement de leur présence dans les instances où ils ont été élus (pas seulement les collectivités mais aussi leurs groupements, comme les syndicats de commune, les SCoT, les comités de bassin, etc.). Cela permettrait d'identifier les élus qui n'assistent jamais aux réunions. Lorsqu'il y a une indemnité d'élu, celle-ci devrait être réduite systématiquement en cas d'absentéisme. Au parlement, interdire les débats et les votes la nuit (il est normal que les députés fassent une coupure nocturne, alors qu'il est aberrant que des votes sur des lois majeures aient lieu à 4h du matin en présence de 50 députés seulement). Supprimer les frais de bouche des élus. Dans les collectivités territoriales, on ne compte plus les "déjeuners de travail" inutiles au restaurant là où une simple réunion aurait été suffisante. Multiplier les référendums sur les sujets d'intérêt général, les questions de société. Si les citoyens ont besoin d'être représentés sur les questions techniques ou les débats longs et pointus, ils sont tout à fait aptes à s'exprimer sur des questions majeurs de société qui engagent l'avenir du pays pour des décennies. Faciliter les conditions de propositions de lois citoyennes. Réduire le nombre de signatures de citoyens et de parlementaires nécessaires pour qu'un proposition de loi citoyenne puisse être mise à l'ordre du jour du Parlement.
Une bonne chose
Réduit probablement l'absentéisme. Permet en principe à un élu de se consacrer à un seul mandat, donc lui permet de mieux faire son travail, de mieux approfondir les sujets. Laisse probablement plus de temps à l'élu de rencontrer les citoyens.
Proportionnelle intégrale aux assemblées départementales et régionales.
Oui
Réduire le nombre de collectivités, donc par ricochet le nombre d'élus locaux. Il faut se demander en effet si conserver plusieurs centaines de communes qui ne dépassent même pas 50 habitants est toujours justifié. De même, il faut inciter les communes urbaines limitrophes à fusionner (quel intérêt de conserver 2 communes lorsqu'il n'y a aucune limite physique et qu'on change de commune sans s'en rendre compte en changeant de trottoir ?). Réfléchir si le nombre de près de 100 départements est encore logique, lorsqu'on voit des départements très petits en Ile de France, ou encore des départements qui travaillent ensemble depuis très longtemps et qui auraient sans doute intérêt à fusionner (Savoie/Haute-Savoie par exemple).
Participation actuelle beaucoup trop faible, bien entendu. Pour faire venir les gens aux urnes, on pourrait mettre des référendums locaux ou nationaux le même jour que les élections. Dans certains pays (Suisse, États-Unis...) plusieurs élections sur des sujets très différents ont lieu le même jour.
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Organiser plus de référendums. Il n'est pas normal que cela fasse 14 ans en France sans aucun référendum national. Et bien entendu, respecter l'avis majoritaire qui en ressort et ne pas s'assoir dessus quelques mois plus tard/.
Oui
En réduisant nettement le nombre de parlementaires nécessaires pour le déclencher.
Plus de référendums locaux, en particulier sur les grands projets d'aménagement qui engagent des centaines de millions d'euros et empêchent de fait la réalisation d'autres projets pour pas mal d'année.
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Interdiction des signes religieux ostentatoires dans les universités publiques (voile, kippa, crucifix ostentatoire sur la poitrine, par exemple). Interdiction des créneaux horaires réservés à "certaines personnes" dans les équipements publics (par exemple : ne pas autoriser les horaires de piscines publiques réservées aux femmes, dans la mesure où on sait très bien que cela est une revendication non pas féministe mais religieuse, et ce quelle que soit la religion). Ne pas effacer et oublier la culture historiquement religieuse de la France, et ne pas considérer certains chants ou traditions comme de la religion, mais bien comme une forme de culture (les crèches, les chants de Noël à l'école, Saint-Nicolas, etc.).
Davantage d'éducation civique au collège et au lycée.
Passer le crédit d’impôt sur les dons à 100 %, pour inciter les personnes à être plus généreuses.
Bénévolat, maraudes sociales, banques alimentaires...
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Le fait de jeter ses déchets par terre (cigarettes, papiers, etc.), les décharges sauvages, le refus du tri sélectif alors qu'il est possible.... Pénaliser les mauvais comportements et encourager les bons (par exemple jouer sur la taxe ordures ménagères)
Verbaliser ceux qui s'assoient ouvertement et en connaissance de cause sur le respect de l'autre et le vivre-ensemble, au détriment de leurs concitoyens. Multiplier les peines de Travaux d'intérêt général pour ceux condamnés pour incivilités (tu tagues = tu nettoies ; tu jettes ton mégot pas terre = tu les ramasses pendant 1 journée). Ce sera sans doute plus efficace que de simplement repayer la dégradation ou une amende.
Se respecter les uns les autres pourrait être un bon début.
Racisme, préjugés.
L'éducation.
Oui
Ceux qui touchent le RSA pourraient, quelques heures pas semaine, réaliser des petits travaux pour les collectivités en contrepartie.
Priorité pour l'aide aux réfugiés. Bien encadrer les conditions au regroupement familial. Protéger les mineurs. Garantir l'offre de soins pour les migrants. Ne pas faire de contrôles de papiers dans les centres d'hébergement d'urgence pour éviter que des migrants, par crainte, ne restent dormir dans la rue. Mieux contrôler les frontières. Mettre des peines exemplaires pour les trafiquants d'être humains. Ne pas poursuivre les citoyens qui viennent en aide à des migrants (particuliers, associations) en leur donnant à manger, des vêtements, un toit, etc.
Plutôt à l'échelle de l'Union Européenne.
développer massivement l'aide internationale à destination des pays pauvres afin de limiter les migrations forcées (famine, pénurie d'eau, changements climatiques, etc.). agir dans le cadre de l'ONU contre les guerres qui ravagent certaines pays et mettent des millions de personnes sur les routes ou dans des camps de fortune.
Droit de séjour conditionné à : Un examen assurant la maîtrise du français, et un examen de culture générale sur l'histoire et ma géographie de la France. A défaut, la personne devra suivre des cours pour acquérir ces éléments qui faciliteront son intégration.
Il faudrait élire les Présidents de Département, de Région et d'EPCI au suffrage universel direct.
La pollution de l'air
Se conformer aux seuils fixés par l'OMS ; suspendre les activités émettrices de pollution (exemple les chantiers) dès que les seuils sont atteints ; accélérer le calendrier de bannissement du diesel ; gratuité des transports en commun les jours de pollution de l'air ; agir au niveau européen pour fermer toutes les centrales à Charbon (Allemagne, Pologne...) ; imposer à toutes les assurances de proposer des contrats d'assurance automobile encore plus intéressants qu'aujourd'hui pour ceux qui roulent très peu ; autoriser les péages urbains ; consacrer les recettes des PV de stationnement au développement des transports en commun et des actions contre la pollution de l'air ; lancer un plan dans chaque ville de plus de 10 000 habitants sur les arbres et les espaces verts en ville ; multiplier les points de contrôle de la qualité de l'air ; augmenter les malus des véhicules qui polluent beaucoup.
Oui
Je fréquente beaucoup la montagne, et je constate que les glaciers fondent de plus en plus (c'est dramatique), que la neige fond de plus en plus vite en altitude (certains classiques d'alpinisme qui se pratiquaient tout l'été deviennent trop dangereuses dès la mi-juillet, chaque année, réellement à cause du réchauffement climatique), que les cours d'eau sont plus rapidement à sec (et plus longtemps) qu'avant. Certaines espèces s'installent en altitude là où on ne les croisait jamais avant. Ou encore, je constate dans mon jardin que ma vigne est de plus en plus précoce.
Oui
Je m'organise pour laisser ma voiture au garage le plus possible et je vais à la place au boulot en vélo. Je fais le tri sélectif, j'essaye de privilégier le train sur les grands trajets, je coupe mon chauffage en hiver pendant la journée, j'essaye de couper les appareils ayant des veilleuses (télé, box, hifi) quand je ne les utilise pas. Je songe à ce que ma prochaine voiture soit une hybride essence/électrique. J'achète presque 100% de mes fruits, légumes et viandes au marché, et si possible en bio.
Il faut baisser le prix du TER. Et avoir les mêmes prix toute la journée plutôt que d'avoir des écarts de prix injustifiés entre heures de pointe ou non (alors que même vide le TER fera le trajet). Il faut développer massivement le vélo en ville. Il faut aussi contraindre les propriétaires à faire des travaux d'isolation et d'économies d'énergies dans les biens qu'ils mettent en location. Cela fait 4 ans que j'occupe un appartement peu isolé et qui consomme beaucoup pour l'éclairage. Absolument aucune amélioration n'a été faite en matière d'économies d'énergies, alors qu'il suffirait que mon propriétaire remplace les éclairages halogènes par des leds pour alléger ma facture. Tant que rien ne l'y contraindra, il ne le fera pas.
Baisse du prix des TER. Indemnité kilométriques vélo systématiques pour les trajets domicile-travail.
Oui
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Oui
Développer massivement les pistes cyclables en ville et dans les zones périurbaines, et prévoir des parkings vélo sécurisés en ville.
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Tous les acteurs publics.
Agir au niveau européen pour bannir le glyphosate et tous les produits phytosanitaires.
J'ai grandi proche de la ville, avec la chance d'avoir toujours eu un potager dans lequel mes parents n'ont jamais mis un seul produit chimique, exactement comme faisaient leurs ancêtres auparavant. Les légumes sont nombreux, excellents, frais, bons pour la santé : pommes, poires, courgettes, radis, framboises, raisin, figues, olives, cerises, prunes, plantes aromatiques et bien d'autres encore. C'est un bonheur de pouvoir manger la pomme sur l'arbre ou les framboises directement. Souvent on en avait même trop, alors on en donnait aux connaissances. Faire croire que nous sommes dépendants de produits chimiques pour notre agriculture est une HÉRÉSIE. Nous polluons nos sols, nos cours d'eau, nos nappes phréatiques à coups de produits chimiques qui viennent polluer nos sources, nos captages, nos rivières avec lesquelles nous arrosons nos cultures. NOUS NOUS EMPOISONNONS avec des produits dont se sont passés nos ancêtres pendant des millénaires. Nous sommes devenus obnubilés et hypnotisés par la rentabilité économique, le gain, les dividendes. Nous sommes menés par le bout du nez par des lobbys qui se contrefichent de notre santé et de celle de la biodiversité. Quand il n'y aura plus d'abeilles, plus de poissons, plus d'oiseaux, plus de vers de terre il ne faudra pas se lamenter... Autre point crucial : la pollution aux plastiques est une catastrophe absolue. Il faut aller beaucoup plus loin que l'interdiction des pailles ou des vaisselles jetables. Il faut désormais organiser des collectes nationales des déchets dans l'environnement, organiser un tri sélectif et une filière du recyclage réellement EFFICACE, mettre fin à toute forme de dépôts sauvages et traduire en justice les atteintes à l'environnement. Et n'oublions surtout pas les fumeurs qui jettent leur mégot dans la nature, y déversant au passage des centaines de substances toxiques qui vont immédiatement polluer les cours d'eau.
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