Transparence sur les salaires des plus hauts fonctionnaires et des plus hautes fonctions électives (salaires + avantages en nature, plus régime chômage et retraite, à recaler d'ailleurs sur le régime général, tous les régimes devant de toutes façons être fusionnés afin qu'à cotisation égale correspondent des droits égaux)
Tenir compte du rapport de la Cour des comptes pour supprimer les niches fiscales qui n'ont aucune utilité d'intérêt général, n'ont pas prouvé leur efficience, et surtout profite uniquement à l'extrême minorité des foyers les plus riches qui peuvent s'offrir un conseiller fiscaliste, rétablir la taxe d'habitation sur des bases saines et équitables lorsque l'ancien système aura été aboli, sur la base des m2 par ex (il est en effet normal et sain démocratiquement que les politiques publiques locales disposent de ressources locales simples à comprendre et pour lesquels le citoyen peut aisément sanctionner ses élus aux élections: que comprennent les citoyens à la dotation globale de fonctionnement, à la péréquation, aux DMTO, à la CVAE? rien). Idem pour la fiscalité des entreprises: le manque de lisibilité rend impossible la comparaison de notre système avec d'autres pays : arrêtons avec les crédits impôts recherche, compétitivité, taxes sur les salaires et mettons en place un impôts sur les sociétés simple, lisible, progressif comme l'impôt sur le revenu (taxant davantage les grands groupes que les PME).
La TVA sur les produits de 1ère nécessité doit passer à 0%: à savoir l'alimentaire non transformé (produits frais locaux ou tout au moins européens, lait, miel, farines), les produits d'hygiène féminine, le savon, tous les produits écologiques, bio, vendus en vrac... (liste à définir avec un panel de citoyens tirés au sort)
Fusionner tous les régimes de retraite et de chômage, augmenter le temps de travail dans la fonction publique là où on était déjà en dessous de 35h avant la loi sur les 35h
Fusionner toutes les aides sociales en une seule (APL, RSA, allocations familiales...)
Allocations en faveur du handicap, scolarisation des enfants atteints de handicap, accessibilité
Toutes les missions régaliennes, celles sans lesquelles un Etat n'a plus de raison d'être, sans lesquelles il n'y a plus d'état de droit: la justice, la sécurité intérieure et extérieure. Une bonne éducation pour tous, l'accès à la santé pour tous sont aussi des facteurs de justice sociale et d'égalité en droits, mais il semble que l'argent en la matière pourrait parfois être mieux dépensé (départ des enseignants en formation professionnelle continue pendant les vacances scolaires, par ex), moins de professeurs qui ne sont plus devant des classes (s'ils sont inaptes, qu'ils soient rayés des cadres...)
- économie dans les dépenses: suppression du 1% artistique dans tous les ouvrages et constructions publiques, réduction du nombre d'élus dans toutes les assemblées délibérantes (Parlement, mais aussi Régions, Départements, EPCI) et du nombre de vice-présidents dans les EPCI, fusion des communes les plus petites, notamment avec des continuité urbaines importantes (ex: Toul, Ecrouves, Dommartin les Toul), ou disparition des communes au profit des EPCI). 36 000 communes, c'est trop, surtout dans les toutes petites où personne ne veut être Maire, des communes et des EPCI, c'est trop... Les Régions doivent être des "EPCI" de départements pour assurer la pertinence des politiques publiques (transports). -taxation des transactions financières et des GAFA au niveau européen -rétablissement de la taxe d'habitation pour le niveau le plus local sur des bases saines après un an ou 2 de suppression (cela passera si en même temps on supprime les niches fiscales des plus riches, et les taxes d'habitation des niveaux supérieurs et si on taxe mieux les GAFA) -les aides d'urgence au secteur bancaires avec l'argent des contribuables pendants les crises financières doivent être des prêts, à rembourser par les banques dès que celles-ci font à nouveau des bénéfices, au moins partiellement (Donne-t-on de l'argent aux particuliers surendettés? rarement... Alors il ne faut pas renforcer le sentiment "2 poids 2 mesures".)
Le Maire dans les communes moyennes, car il est souvent apolitique et proche des préoccupations de ces concitoyens
Non
Non, il faudrait d'ailleurs supprimer le CESE, personne ne sait qu'il existe, ça rallonge la procédure, ça ne sert à rien puisque ça rend juste des avis, et en plus il y a de toute façon les lobbies qui font leur oeuvre dans les couloirs des assemblées législatives
Les partis doivent se remettre en question: certes, les citoyens ont les élus qu'ils méritent, et s'ils sont insatisfaits, ils n'ont qu'à se présenter eux-mêmes mais les grands partis sont pour la plupart verrouillés par 2-3 ténors, pour réussir à être sur une liste il faut être devenus experts en coups bas machiavéliques et autres petites guéguerres de sous-lieutenant, bref, cela ne se renouvelle pas assez tout cela. Les citoyens le savent et cela les découragent de s'engager eux-mêmes. Pour éviter les "carrières politiques", il faut faciliter le départ et le retour dans sa vie professionnelle d'origine (un congé "démocratique"? un peu comme le congé formation?). Car il y a beaucoup de gens qui aimeraient consacrer un seul mandat à la société, à l'intérêt général. Au parlement, OK, il faut peut-être 2 mandats pour être aguerri, mais dans les conseils régionaux, départementaux, et les communes, cela devrait être plus fluide, avec moins de "personnel politique".
Une bonne chose
Parce que chaque mandat est un sacerdoce, qui nécessite qu'on s'y consacre à temps plein. Le cumul favorise l'absentéisme et je ne crois pas à l'argument du mandat local+national pour rester proche du terrain: en ce cas à quoi sert la journée en circonscription? Et puis, il suffit d'avoir exercer un mandat local AVANT. Ou de ne pas passer sa vie à enchaîner les mandats, mais avoir une vraie profession...
Rien, c'est important d'avoir des majorités claires et absolues pour gouverner, déjà qu'il y a des frondes à l'intérieur des majorités. La Nation ne doit pas oublier les affres de la 3ème et surtout de la 4ème républiques...
Oui
Suppression des CESE (y compris régionaux), diminution du nombre de députés et de sénateurs, du nombre de conseillers régionaux et Départementaux, du nombre de vice-présidents dans les EPCI, fusion des communes et des EPCI, fusion des communes là où il n'y a pas encore d'EPCI. Il ne doit plus subsister d'EPCI. Les EPCI doivent devenir des communes et les communes qui pré-existaient doivent disparaître. Une commune de moins de 5000 habitants, c'est absurde. La nouvelle commune remplaçant l'EPCI permettra de travailler le lien entre la ville et sa zone périrubaine voire rurale immédiate, car c'est le vrai enjeu actuel des circulations automobiles, des services publiques, de la périurbanisation et ses méfaits... Les grosses communes seront plus fortes pour réclamer auprès des départements, des régions, de l'Etat, la remise en service de telle ligne ferroviaire, la mise en place de tel réseau de bus, etc...
Le vote devrait être obligatoire. Mais en contrepartie le vote blanc doit être répertorié/comptabilisé : l'information sur la proportion de vote blanc par rapport aux suffrages exprimés doit être publique.
Oui
Je l'ai dit plus haut...
Possibilité pour les référendums de voter en ligne, par exemple depuis son compte sécurisé des impôts (bon pour les foyers fiscaux où il n'y a qu'un seul déclarant... ou alors solution technique à trouver, mais l'Estonie y arrive). En revanche, si on met en place le vote à distance, il ne faut plus de zone blanche dans les campagnes (s'il y a le téléphone partout sur le territoire, la fibre ne peut-elle passer par le réseau de poteaux téléphoniques?)
Oui
Visiblement, ça ne fonctionne pas, c'est trop difficile, car en 4 ans on aurait déjà dû avoir une référendum de ce type . On manque surtout cruellement en cas de référendum et pour tous débats d'informations non partisanes, non manichéennes, de médias qui posent juste des questions et font réfléchir le citoyen avant de vouloir répondre à leur place aux questions...
Au lien de faire des débats avec des politiques sur les chaînes télé du service publique (les politiques s'y connaissent aussi peu que les citoyens de base et sont trop idéologues): faire des émissions pédagogiques avec des spécialistes non partisans ou issus de divers courants, pour expliquer et donner l'info dans un 1er temps, puis donner la parole au public : une sorte de C dans l'air comme sur la 5, mais avec du public. L'émission récente sur les niches fiscales étaient par exemple très didactique. A l'issue des ces émissions, on organise une consultation en ligne (pas un référendum, car l'avis doit rester consultatif).
La société civile devrait être représentée par des gens tirés au sort régulièrement, comme les jurés d'assise . En lieu et place d'un CESE, une commission ad hoc de citoyens tirés au sort devrait être constituée après chaque publication importante de la Cour des Comptes dénonçant une mauvaise gestion ou énonçant des propositions. Ces citoyens seraient assistés des experts ayant réalisé le rapport et d'autres experts, nouveaux et indépendants. Ils proposeraient des mesures à mettre en oeuvre et seraient entendus soit par la majorité parlementaire, soit par l'exécutif, pour introduire des projets ou propositions de lois ou tout autre réforme de nature non législative (réglementaire ou autre).
Oui
voir ci-dessus
Suppression des jours fériés catholiques, remplacement par des jours fériés républicains si nécessaire: journée de la laïcité et du dialogue entre tous les cultes, journée de l'écologie (pas d'achats ni de déplacements en voiture), journée de l'égalité femme-homme, journée des droits humains, journée de la culture et du patrimoine, avec organisation de débats, d'assemblée citoyenne ou organisation des consultations populaires de type référendum...
S'il n'y a pas 2 poids, 2 mesures, si la fraude et l'évasion fiscale sont traités avec la même sévérité que la fraude sociale, si un système de régulation du contrôle d'identité au faciès est mis en place, si les ouvriers immigrés avaient été traités dans les mêmes conditions que les français dans l'après-guerre, sans discrimination de salaire, de conditions matérielles et d'évolution de carrière, peut être que le respect des principes républicains serait plus facile à asséner aux masses qu'on ne peut édifier que si l'on est exemplaire soit-même (et je ne parle même pas des problèmes de corruption des élus). Bref, la république gagne toujours en dignité quand elle reconnaît ses propres erreurs, y compris historiques (pensions d'invalidité ridicules des poilus africains et autres soldats de la 2ème GM des ex-colonies, guerre d'Algérie, harkis, foyers sonacotra, cités dortoirs pour immigrés construites volontairement loin de tous réseaux de transport et services publics, cf Chanteloup les Vignes...). Est-ce normal qu'à Marseille, les gamins des quartiers Nord ne sachent pas nager, parce que la municipalité se contrefichent de ces habitants et fait même exprès de les maintenir dans des ghetto mal desservis pas les transports en commun? Sur le principe d'égalité territoriale, les préfets successifs auraient dû tirer la sonnette d'alarme...
Mais si on rend le vote obligatoire et que chacun paye, même dans une minuscule proportion, l'impôt sur le revenu, même 10€, même 1 €, on devient un citoyen plein et entier, ayant droit à la parole car ayant rempli ses devoirs de citoyen (et non ses devoirs de consommateur via la TVA, qui n'est pas un impôt de citoyen, qui est un impôt invisible). Et je pense qu'on se sent aussi plus investi dans la préservation des valeurs républicaines du vivre ensemble, dans la non détérioration des biens publics... (moins d'incivilité de type destruction d'abri bus, dépôts sauvage d'ordures et encombrants, de tourisme/opportunisme médical).
L'engagement citoyen est fort via l'engagement associatif mais il montre justement la défiance des français à l'égard de l'engagement politique... Les pompiers volontaires, les réservistes civils, doivent davantage être mis en valeur
Congés spécifiques, incitations fiscales pour les entreprises pour mettre ses salariés à disposition pour du mécénat de compétences, ou des jours de bénévolat (mais difficile à envisager dans le contexte des 35h...). Mettre en valeur les enfants qui ne se livrent pas au harcèlement scolaire...
Je ne comprends pas cette question...
Dépôts sauvages d'ordure et encombrants, jets de déchets sur la voie publique, détérioration de biens publics, incivilités dans les transports publics
Faire honte aux récalcitrants: les comédiens dans le métro, contrôleur en civils, ou les films ou les campagnes marchent plus que les contraventions. Et lutter contre le harcèlement scolaire en formant les profs et les autres personnels des établissements. Au XXIème siècle, le harcèlement scolaire n'est plus acceptable, il contribue à former des citoyens pour lesquels la discrimination est normale puisque tolérée par la 1ère institution de la république à laquelle ils ont eu affaire...
Idem, le regard social et l'intervention des autres marquent plus un adulte normalement constitué qu'une contravention, mais encore faut-il que tout le monde réagisse au lieu de détourner le regard...
Discrimination femme-homme : celle qui est diffuse, celle qui est véhiculée par celles et ceux mêmes qui en sont victimes, via la banalisation du langage, mais aussi par les institutions dès le plus jeune âge via le récit national genré qui est toujours à l'oeuvre dans les programmes scolaires, dans les livres que les enseignants donnent à lire en primaire, dans la pratique des sports à l'école, dans l'occupation de la cour de récréation...
L'école, l'éducation, la communication, le lien social... encore, encore et encore, sans cesse à remettre sur le métier...
Non
Honnêtement, je n'en sais rien, le sujet est complexe...
L'obtention du statut de réfugié ne doit pas être un parcours du combattant où tout est suspicion. Il semble y avoir trop de dysfonctionnement à l'OFPRA, trop de consignes politiques où le nombre d'asile accordé augmente ou diminue en fonction des consignes, avec des absurdités à la clé dans le traitement des situations individuelles. Les témoignages anonymes de fonctionnaires semblent concorder pour indiquer que cela relève davantage de la faculté à rentrer dans un certain moule, une certaine attitude, un certain discours, que du contenu et du parcours du demandeur (cela ressemble à un oral de concours administratif en somme, où il convient de maîtriser les "codes"). Ce n'est pas digne de la patrie des droits de l'Homme...
Fixer des chiffres, c'est toujours embêtant. Fixer des filières professionnelles, des conditions d'âge ou de degré d'éducation et d'adhésion aux valeurs démocratiques et républicaines, pourquoi pas, avec le problème moral posé par la ponction des cerveaux des pays en difficulté, donc uniquement pour les secteurs en tension peu qualifiés, mais avec des conditions d'accueil, de prise en charge, de salaire, de couverture sociale, de retraite et une préparation au retour décentes et anticipées par la puissance publiques (pas comme dans les 60s, 70s, 80s), afin que cela soit aussi profitable au pays d'origine (durée 10 ans maxi), pour faire tourner la main d'oeuvre et faire profiter tout le monde de la manne salariale.
Faire le tri dans tous les illégaux sur la base de ces critères pour les régulariser: en leur offrant d'abord l'occasion de se former puis d'exercer un 1er emploi. Ceux qui sont au chômage plus d'un an sont expulsables. Ou du moins, il faut soumettre à débat toutes ces conditions, demander leur avis à des spécialistes en la matière doté à la fois d'humanité et de bon sens économique et travailler avec les pays d'origine sur l'aide au retour dans la dignité. Voir travailler avec ces pays sur le non départ, en payant des campagnes sur les risques encourus pendant le trajet et la misère sur place, sur la réalité de la vie en occident...
Ne pas concentrer les primo-arrivants dans les mêmes endroits une fois que leur situation a été évaluée et enregistrée, mais assumer la situation et arrêter de faire l'autruche sur le fait que les migrants illégaux se concentrent dans certaines grandes villes: installer des centres pérennes d'orientation vers des structures et collectivités plus petites aptes à les accueillir sans faire peser de fardeau trop important sur une seule commune: le diffus, mais avec une bonne prise en charge, en s'appuyant sur le tissu associatif. Et à partir de là, étude de la demande d'asile sous 4 à 5 mois, puis s'ils ne l'ont pas obtenus: 2 ans sont devant eux, 1 pour atterrir, apprendre la langue, se former, l'autre pour travailler, trouver un emploi. OQTF au bout de la 2ème année si pas de résultats.
La lutte contre la misogynie, les excisions et les mariages forcés doivent être la priorité en matière de politiques d'intégration.
Trop d'élus et d'exécutifs, trop d'échelons déconcentrés de l'Etat avec des doublons dans les politiques publiques entre l'Etat, les CT et les structures para-publiques (DRIEE, DRIAF, DIRECCTE, DDCS, ARS...ex pour l'emploi: Pôle Emploi, PLIE, Missions Locales, Espaces emploi des régions, des départements, AFPA, GRETA, OPCA...), trop de communes (36 000), trop de communes là où il y a désormais des EPCI (ceux-ci devraient prendre le relais des communes et devenir de nouvelles communes à part entière): et pourtant, à côté de cela, les guichets ferment, alors, il n'y a pas comme un problème?
Oui
Pas davantage de missions mais davantage d'autonomie
Non
J'habite à Paris, donc j'ai tout, mais je pense à tous ceux qui vivent dans des communes de moins de 50 000 habitants
OK pour Internet mais quand tous les centres bourgs auront été équipés du WIFI public gratuit haut débit accessible dans une maison des services publiques en plus d'une permanence physique
Oui
Oui
- Maison des services publiques dans les communes de plus de 10 000 habitants, ailleurs, - Système de bus itinérants (aménagés de façon spécifique pour certaines missions comme la santé, la PMI, banalisés pour tous les services administratifs: impôts, ouverture de droits, déclarations diverses...)
impôts, sécurité sociale avec envoi via carte vitale chez le médecin et remboursement automatique
préfecture, passeports, cartes grises, attestations de non assujettissement à la TVA...
Oui
Non
None
Trop de dispositifs différents et de guichets différents pour les particuliers pour les travaux sur leur domicile en faveur de la transition énergétique
Oui
None
Oui
Fusion des 3 fonctions publiques pour faciliter les mobilités, surtout dans les filières administratives, disparition de la fonction publique de la Mairie de Paris, qui organise ses propres concours, a son propre système de formation professionnelle continue... des économies d'échelles avec la métropole du Grand Paris et le CNFPT sont possibles
Tous les services publics concentrés sur un seul site dans les communes moyennes, avec organisation de polyvalences (d'où intérêt de fusionner les fonctions publiques et certains corps...)
Rien que que Paris, entre les Espaces Dynamiques Insertion de la Région, les CIO, les Missions Locales, et j'en oublie, comment voulez-vous qu'une jeune se repère ? Et pour un adulte, entre l'AFPA, l'OPCA, le Greta... et j'en oublie sans doute.
Débrouillez-vous quand les enseignants sont en grève, ou en formation... Les personnels de santé sont en postes au moins quand ils sont en grève, eux...
Les agents de Pôle Emploi, les conseillers d'orientation et autres Conseillers en insertion professionnelle sont pour la plupart déconnectés du marché de l'emploi...
None
Ma prise en charge à 100% par la sécu dans le cadre d'un don d'ovocytes n'a pas été simple, ce alors qu'on manque cruellement de donneuses d'ovocytes en France: la réponse a été longue à venir, le protocole médical étant très long, je n'étais plus couverte lorsque le gros des dépenses est arrivé (hospitalisation pour prélèvement), je pensais que le Centre de PMA qui me prenait en charge se serait chargé du renouvellement de la demande, mais non, c'était à moi d'y penser! Bref, pour être donneuse, il faut être CSP +
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Trop compliqué pour les PME
Trop de lignes sur la fiche de paie, cela veut dire plus de temps pour les faire, et donc de l'argent perdu dans l'administratif. Trop de modifications tous les ans, à chaque mandat présidentiel, à chaque législature
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Trop de modifications tous les ans, à chaque mandat présidentiel, à chaque législature. Une bonne réforme une bonne fois pour toutes, et ensuite, laissez les entreprises travailler sereinement, halte aux réformes tous les 6 mois!
La pollution des sols, des eaux, de l'air par toutes les émissions et productions humaines
Responsabiliser tous les protagonistes, des industriels au consommateur final
Oui
Plus de neige en hiver, pénurie d'eau en été
Oui
J'achète le plus possible, en vrac, bio et local. Je prends les transports en commun au quotidien et le vélo quand il y a des pistes cyclables. Pour voyager, je pourrais cependant davantage utiliser le covoiturage, qui est très économique.
Lorsque de bonnes initiatives sont déjà mises en oeuvre ailleurs, il faut qu'elles soient diffusées de façon beaucoup plus large par l'audio-visuelle public, afin de donner des idées aux élus locaux, qui sont les moteurs de cette révolution des comportements, en luttant contre la désertification commerciale et pour la rénovation des logements dans les centres villes, pour en finir avec la périurbanisation et son besoin de voiture, en favorisant l'autopartage, en développant le réseau de transport en commun aux niveaux intercommunal, départemental, régional, etc. Quand on voit que les solutions mises en place changent la vie des gens, les rendent plus détendus, plus solidaires et finalement plus heureux, ça devrait en convaincre plus d'un de faire pareil... le bonheur, ce ne sont pas toujours plus d'objets accumulés grâce à un pouvoir d'achat toujours plus important, le bonheur c'est le sentiment d'entraide du tissu social immédiat, la qualité de vie au quotidien...
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Non
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Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Le vélo
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- planter des arbres fruitiers sur les ronds points et dans les espaces verts publics comme le font certains maires de communes pauvres des Hauts de France, ça favorise le manger sain des populations défavorisées et améliore leur pouvoir d'achat; -idem pour les espaces non utilisés (pelouses ou parking merdiques) en pieds d'immeuble de barre HLM: cela recrée du lien social, permet de manger local, pas cher, de se reconnecter à la nature, de redonner dignité à ceux qui ne font rien de leurs journées, de leur permettre de manger en partie grâce au fruit de leurs efforts (cela se fait déjà à la campagne, en Allemagne, dans le Nord...) -pour les zones pavillonnaires et autres, mettre en place des ramassages scolaires soit par pédibus, soit par draisienne, cela fait faire du sport aux enfants, améliore leur concentration, crée de l'emploi et de l'utilité sociale pour les gens peu qualifiés -PS: il y a une ville moyenne d'Espagne qui vit sans voiture depuis plus de 10 ans, et les habitants sont ravis: ils sont en meilleure santé, sont moins stressés, plus d'embouteillage Bref: quand comprendra-t-on que changer nos comportements nous rendra tous globalement plus heureux?!!!? Les solutions sont locales, mais elles doivent être généralisées...
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