Informer les citoyens sur l'utilisation des impôts.
Ne jamais en mettre le produit au service de la guerre - "armée", économique, ou financière. Ne jamais exclure ceux qui contribuent à la richesse nationale. Considérer que l'enseignement étaie la formation de la pensée, et lui consacrer l'attention et les moyens nécessaires à la prise en mains par les générations montantes d'un avenir responsable, et audacieux.
- Supprimer les "double-impositions" déguisées : impôts ou taxes sur des contributions elles-mêmes prélevées sur les revenus... - Supprimer l'impôt sur les successions : il n'est pas compréhensible. - Baisser toutes les taxes sur les initiatives liées à la transition écologique. - Baisser toutes les taxes sur les produits pour actions liés à l'enseignement, la diffusion de la culture, de la pensée : favoriser les outils de pensées sans lesquels il n'y a pas d'action individuelle responsable
Redéfinir le périmètre des dépenses sociales : en dehors des incapacités avérées (et contrôlées), il ne devrait pas y avoir d'aide sociale sans contribution d'une façon ou d'une autre (contrôlée) à l'avenir commun.
CMU, allocations familiales, allocations de retour à l'emploi, allocation logement, arrêts maladie prolongés sans contrôle effectif...
L'accueil des migrants; la dépendance; l'enfance (pas la natalité)
Aucun, avant que l'emploi de l'impôt n'ait été déclaré précisément par les organismes attributaires. Aucun, tant qu'on dépense de l'argent pour soutenir la guerre, ici et ailleurs, "physique" ou économique : il pourrait être distribué ailleurs. Aucun, tant qu'on soutient les énergies fossiles et la surexploitation des autres ressources. Aucun, tant que restera opaque l'emploi de l'impôt destiné à l'Europe.
L'impôt n'est pas qu'un prélèvement. C'est une contribution. Ce qui m'intéresse avant tout, c'est : à quoi contribuons-nous ? Le reste est relatif - ou essentiel : redonner du sens au vote.
Je ne comprends pas la question : 1- dans quel contexte ? Mon maire auprès des organisations internationales ?... 2- pourquoi me "faire représenter" et non me "représenter", s'agit-il de déléguer quelqu'un qui à son tour délèguera ? Je fais confiance à mon bulletin de vote, et aux institutions de la République et aux garants de la démocratie .Concrètement : aux élus - indépendant des lobbies.
Oui
Ma réponse exclut les syndicats. Pour le rôle des (autres) associations : elles sont aujourd'hui un contre-pouvoir, et un lieu d'initiatives. On n'a pas à définir un "type" d'association : par définition, elles regroupent des personnes partageant des intérêts communs, librement. On n'a pas à leur attribuer un "rôle" : il suffit de ne pas les entraver tant qu'elles ne nuisent pas au "bien commun". Leur déléguer des missions qui devraient être assumées par l'Etat est une idée doit être rejetée : elles n'ont pas vocation à palier l'absence de volonté et d'efficacité des responsables politiques.
Que les élus les représentent, et non des intérêts particuliers ou partisans. Que les lobbies soient impuissants face aux élus. Que le long terme prévale. Que les sujets transversaux déclarés importants (écologie, pauvreté, santé...) soient le filtre par lequel passent toutes les décisions des élus, et pas seulement des déclarations d'intention suivies de mesures qui leur sont dommageables. Que les élus travaillent pour un projet de société, et pas pour des intérêts particuliers de court terme. Que les élus agissant ou ayant agi en contradiction avec la loi soient soumis à des travaux d'intérêt général s'ils n'effectuent pas de peine de prison, et systématiquement inéligibles à vie. Que les citoyens aient les moyens de penser (voire de penser par eux-mêmes quelque chose de leurs élus...) : désaturation de l'espace mental, volontarisme dans un enseignement et une diffusion des idées qui fondent des outils de pensée. Ce sont les moyens qui aideraient à "élire" des "représentants". Qu'un projet d'avenir clair et tourné vers l'intérêt général soit mis en place. Que le politique assume des choix clairs ( écologie - liberté -égalité -fraternité) et non un régime inégalitaire fondé sur la consommation et le court terme.
Une bonne chose
Je ne comprends pas qu'on ait dans une journée assez de temps déjà pour l'une seulement de ces tâches de représentant des citoyens.
Avoir de la contradiction l'idée que c'est une chance pour le pays. Favoriser l'expression des idées et leur assimilation (désaturation de l'espace mental, volontarisme dans l'acquisition et le développement d'outils de pensée...) : on ne peut représenter que ceux qui savent pourquoi ils vous ont élu... La "sensibilité politique" n'est plus un concept partagé par l'ensemble de la population depuis longtemps, il ne correspond plus pour la majeure partie des citoyens à l'adhésion à un projet de société. C'est une affaire de partis, de compétition pour le pouvoir, à présent. Admettre qu'on avance ensemble, et pas contre. Nos institutions permettent la représentation des sensibilités politiques différentes. Les autres mesures répondent à des enjeux de pouvoir, d'intérêt personnel.
Oui
Les députés et les sénateurs, justement, d'une bonne moitié : rapportée à la population, leur proportion est effrayante !
La participation est le reflet du niveau de pensée, de la dégradation des instruments de pensée, de la médiocrité et de la rareté des propositions politiques audacieuses sur le long terme, de la perception floue des instances d'action nationales et européennes, de l'abandon par les politiques d'une volonté effective de résoudre les questions que posent les territoires "en marge" (ou en "déshérence"). On ne participe qu'à ce qu'on croit utile ou nécessaire. Je crois nécessaire de rendre le vote obligatoire sous peine d'amende, ou de limitation d'accès au bénéfice individuel de l'action de soutien de l'État le cas échéant (en cas de refus de vote multiples par exemple - il y en a plusieurs : crédit d'impôt, allègement de charges, allocations, primes...) : le soutien de la République implique qu'en retour au minimum on la soutienne dans son principe. Le vote électronique devrait être mis en place depuis longtemps. La mobilité professionnelle le rend nécessaire. Je crois utile de réfléchir à la possibilité de généraliser le scrutin à un seul tour : le scrutin à deux tours n'est plus compris comme l'instrument du choix d'un avenir, mais comme un exutoire, puis une vote par défaut - et décourage, ou détourne l'objet du scrutin, et détourne du vote. Je crois nécessaire de supprimer l'élection présidentielle, et de lier la désignation d'un président au résultat des élections législatives. On vote pour des idées, avec lesquelles on est normalement cohérent quel que soit le scrutin, pas pour une personne, puis pour ses soutiens ou contradicteurs. Je crois inutiles les élections primaires ouvertes aux citoyens pour les partis politiques : seuls les membres d'un parti devraient y prendre part, pour élire... leur représentant, sans faire de ces primaires une "pré-campagne". Je crois indispensable que les élus aient à rendre compte de leur action sur des thèmes transversaux (écologie, mouvements de population, urbanisme...) avant la préparation du scrutin suivant : ce devrait être le cas plusieurs fois en cours de mandat, sur des objectifs prédéfinis. L'élection du représentant serait aussi fondée sur le résultat contrôlé et contrôlable de son action.
Oui
Au même titre qu'un autre suffrage exprimé. C'est un vote.
Qu'ils puissent enfin considérer, l'ayant vérifié, que ces orientations et décisions publiques servent la République et non des intérêts particuliers, et qu'ils puissent en contrôler/connaître la conduite et l'efficacité. Tous les moyens existent pour associer les gens. C'est la motivation politique qui est absente, ou écartée. Que l'accent soit mis sur le long terme et le projet de société. Que l'on cesse d'agiter des épouvantails particuliers qui gênent ou masquent la compréhension d'une situation d'ensemble : qu'on considère les citoyens comme des adultes, responsables.
Non
Non. Il faut favoriser le référendum local d'initiative citoyenne, à l'initiative d'une partie conséquente du corps électoral. Pas seulement des membres du Parlement. Aux représentants de la Nation de porter ensuite les actions que réclament les résultats de ces référendums locaux. Il faut éviter l'instrumentalisation du référendum par les partis, possible si on leur en laisse l'initiative.
En faire une proposition claire, et non synthétique. En rendre compte de la même façon. Proscrire le lobbying dans les diverses assemblées : pour la consultation sur l'emploi de l'argent public, nous élisons des représentants qui doivent être libres, indépendants face aux intérêts particuliers. Cela permettrait de consulter les citoyens sur des sujets qu'ils connaissent en ayant garanti la liberté d'action de leurs représentants. Sinon : le sujet reste dans les mains de ceux qui communiquent... ce qui n'est pas normal.
Faire élire les membres du Conseil économique, social et environnemental serait un bon début, pour leur donner moyen de "représenter"... Par ailleurs, "représenter", ce serait au minimum consulter et connaître. Là aussi, tous les moyens sont disponibles. Mais quel député par exemple consulte en cours de mandat ceux qui lui ont confié une délégation? Que représentent-ils, sinon leur plan de carrière et les intérêts de leur parti ? Quels moyens se donnent-ils pour représenter l'ensemble des citoyens de leur circonscription, et non une frange de la population choisie selon des intérêts particuliers ou corporatistes, ou le dernier événement d'actualité ? Par ailleurs je ne comprends pas la question : "Quel rôle (...) doivent-elles jouer pour représenter..." : quel rôle pour jouer leur rôle fondamental de représentation ? est-ce vraiment une question ?
Oui
En réduire drastiquement le volume. En réorienter le périmètre d'action. Construire (ou préparer la construction) de façon très volontariste (d') un Etat européen dont la France soit une partie, un gouvernement européen, et une représentation européenne des citoyens de France : rêvons une représentation de nos citoyens par des députés de France auprès de l'Europe, chargés des questions de dimension nationale, et une autre (une seule), en France, qui ne soit chargée que de ce qui ne concerne pas les sujets "nationaux" (donc européens). Préparons l'avenir, au lieu d'entretenir un système dont la dimension et le périmètre ne sont plus pertinents. Autre souhait : supprimer les députés des Français de l'étranger. Voter soit pour un député d'une circonscription située sur le territoire, soit se résoudre à ne plus avoir part aux décisions nationales, parce que l'on a choisi de vivre ailleurs.
1 - Appliquer la loi de 1905. Il n'est pas compréhensible que des espaces publics (hôpitaux publics, par exemple) autorisent à leur personnel le port de signes religieux. Il n'est pas compréhensible qu'un médecin ne puisse donner consultation à un patient quel que soit son sexe ou son appartenance religieuse. Il n'est pas compréhensible que soient proposés dans des équipements publics des aménagement motivés par des considérations liées à une croyance. Il n'est pas compréhensible que des atteintes verbales ou physiques soient adressées à quelqu'un au prétexte de sa religion, réelle ou supposée. Entre autres. 2 - Ne pas s'occuper du tout de religion. La laïcité est un principe. La liberté de culte aussi. Dans le respect des intérêts de la République. Les trois allant de concert. En principe. 3 - Interdire définitivement qu'un chef d'État français reçoive à ce titre la charge d'un bénéfice (même laïc, même honoraire) accordé par l'Église catholique (Chanoine). 4 - Supprimer certaines des fêtes religieuses chrétiennes du calendrier : inscrire dans le calendrier au titre de jours fériés autant (strictement autant) de célébrations d'origine chrétienne que musulmane, juive, bouddhiste, hindouiste (est-ce que j'en oublie parmi les religions principales ?..), et au titre de la République un jour de la concorde ou de la paix. Être volontariste dans les symboles d'accueil, d'ouverture et de tolérance. Laïc.
- En garantissant - à toute la population - la compréhension d'une phrase avec sujet, verbe et complément, d'un texte de complexité moyenne, l'assimilation des mécanismes de pensée et de contradiction, la possibilité d'émettre ou recevoir une idée complexe, et d'agir alors suivant le résultat d'une réflexion individuelle fondée. En faisant en sorte que l'enseignement redevienne l'un des fondements de la République. Sinon, il y a le conditionnement. C'est possible aussi. C'est plus triste. - En ne tolérant pas de territoires en marge de la République : c'est-à-dire en mettant fin au problème. Les constats existent, les analyses aussi. L'action actuelle est inefficace et dispendieuse. N.B. : la rédaction de cette question la rend en partie incompréhensible : "Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs..." : "compréhension réciproque de" quoi ? (..."et des valeurs etc..)...
Rétablir le sentiment de société, d'espace et de destin commun. Cesser d'entretenir en les tolérant les comportements qui mettent en péril la République - et favorisent la perte de repères. Ne pas tolérer (pas seulement déplorer) les comportements qui ruinent l'effort collectif. Rétablir l'usage de la langue, des outils de pensée. Dé-saturer l'espace mental. Cela passe par les média, aussi (d'information, de divertissement). C'est à l'opposé de l'hyper-capitalisme. Ne pas permettre que l'action des lobbies soit efficace, ce qui décourage... politiques et citoyens.
Le refus (effectif, pas seulement la déploration) des comportements "non-civiques" serait déjà un socle... Le vote. Le respect de l'espace public. Le respect de la différence. Le respect des engagements (pour tous). L'engagement (sous toutes ses formes). Le respect d'autrui (politesse, tact...).
cf. supra sur la compréhension réciproque et les valeurs de la République... L'exemplarité des élus est indispensable. La désaturation de l'espace mental aussi : on ne peut prendre de recul sur ce qu'on fait et modifier son comportement que lorsqu'on s'en donne le temps. Le reste est conditionnement, au mieux.
Je ne comprends pas la question : "valoriser l'engagement citoyen (...) dans les relations avec l'administration "?.... Qu'est-ce que cela pourrait être ? Payer ses impôts et sourire au guichetier ?... encourager la délation ? Ne pas porter atteinte à l'instituteur qui déplaît ? je dois me tromper... je ne comprends pas cette question.
La dégradation de l'espace public. Le délitement du langage humain. Pour les solutions : cf. supra sur la compréhension réciproque et les valeurs de la République. - Désaturer l'espace mental. Lui fournir à nouveau des outils de pensée. - Rétablir la présence des gardiens de la paix (pas de soldats) dans tous les quartiers : recours, et vigilance. Pas seulement dans les espaces touristiques.
Faire respecter la loi. Redonner une valeur positive à la notion d'effort et de patience, et non entretenir la satisfaction immédiate et la fin du désir et de la projection. Réfléchir à la notion de "gardien de la paix", et aux missions de la police dans le quotidien. Traiter tout le territoire selon les mêmes règles. Sans exclusion, donc. Ni différence de traitement. Que les pouvoirs publics réfléchissent au mot "République". À ses implications réelles. Aux attentes qu'il suscite. Réfléchir à ce que vous entendez par incivilité : le rejet de la République, ce n'est pas une incivilité, c'est beaucoup plus que cela.
cf. supra sur la compréhension réciproque et les valeurs de la République. Enseignement, éducation, outils de pensée (et non conditionnement massif à la réponse à des stimuli...) , respect de l'espace commun et de l'autre, ré-appropriation d'un destin partagé (impuissance des lobbies, donc, aussi), limitation/rejet des média de divertissement qui désocialisent, individualisent, et conditionnent aux gestes primaires.
Les discriminations raciales. Les discriminations sociales. Les discriminations fondées sur l'âge ou le handicap (en pas pouvoir prendre le métro ou descendre d'un train parce qu'il n'est toujours pas adapté est une forme de discrimination).
cf. supra sur la compréhension réciproque et les valeurs de la République. Que les pouvoirs publics mettent en cohérence leurs paroles et leurs actions serait déjà un premier pas, aussi. Et anticiper les problèmes (l'inégalité face aux effets des changements climatiques est anticipable). Rompre avec l'hyper-capitalisme.
Oui
Sauf en cas d'incapacité, la contribution vérifiable à l'intérêt général. Sous toutes les formes existantes... ! Et sans exclusive.
Je pense qu'elle a laissé s'instaurer, à la place d'un droit (à l'installation sous conditions de ressources et de contribution au bien commun), un devoir (d'accueil sans conditions de ressources et de contribution au bien commun) : c'est une dérive dangereuse. L'immigration sans contribution à l'intérêt général n'est pas compréhensible. Le refus d'intégration non plus (dans les deux sens). La perception de l'autre comme un danger ou une gêne non plus. L'autonomie financière rapide et la contribution vérifiable aux intérêts nationaux, à l'enrichissement et à l'harmonie du quotidien devraient être les seuls critères d'installation (hors asile) : on ne s'installe pas dans un pays où l'on n'a pas les moyens de vivre de façon autonome.
Non. En dehors de l'asile politique : on élit un lieu de résidence parce qu'on a - d'abord - les moyens d'y vivre, et de contribuer à la richesse commune. Les quotas de travailleurs importés, c'est une idée fondée sur d'autres bases, qui se trompe d'échelle et de question.
1 - de cesser d'en faire le premier problème du moment. Il finirait par servir de paravent. 2 - de chercher les causes possibles dans l'action extérieure de la France, et d'y remédier. 3 - de changer la façon de poser les questions sur le sujet : rien sur les richesses de l'accueil d'autrui, la façon de les développer, de s'en inspirer; rien sur les actions des associations; rien sur les projections de l'État pour la société de demain... il faut cesser de ne présenter cette question que sous ses angles négatifs, entretenant les dérives politiques radicales. 4 - associer très tôt les arrivants à la vie municipale, associative, etc. 5 - la création d'un titre de séjour temporaire qui permette de travailler très tôt après l'arrivée, et le rejet de la politique d'assistance sans contrepartie quand il ne s'agit pas d'asile politique. 6 - une politique volontariste et équitable quant aux notions de partage, et d'échange. 7 - une lutte réelle contre les sentiments et actes xénophobes, par l'information, le conditionnement (pour une fois). 8 - réfléchir à la mise en place d'un système de "parrainage" à l'arrivée,conçu comme un acte civique et valorisé très activement par l'État ?... chacun à une heure par semaine à offrir... ce serait un début.
Cesser de parler d'intégration. Parler de société, de bien commun. En matière d'intégration, la pauvreté croissante, galopante, touchant toutes les classes d'âge, devrait nous inciter à cesser d'appliquer cette notion aux seuls immigrés.
Oui. L'Europe. La construction d'un espace partagé sans frontières, fondé sur une appartenance, une reconnaissance dans des objectifs communs non marchands, et une action dans ce sens cohérente, vérifiable. La République. Qui doit être dégagée des intérêts marchands pour agir de façon autonome et responsable, équitable et fraternelle. L'éducation. La désaturation des outils de pensée. Sans laquelle il n'y a pas de citoyens agissants. Les zones en déshérence : organes malades du pays. C'est alors tout le pays qui est malade, me semble-t-il. Désigner les "quartiers difficiles" n'est pas une solution : c'est l'ensemble du territoire qui a un problème.
La réflexion regarde en arrière, au lieu de regarder en avant, et de modifier l'État pour anticiper et rendre possible l'Europe.
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Non
L'hôpital. Les services municipaux de voirie (propreté) et de gardiens de la paix.
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Oui
Non
Un esprit de service public, et non de gestion individuelle : élargir l'abord d'une démarche à son inscription dans une ensemble commun.
Aucun, presque. Ils ont tous régressé, à part la gestion du prélèvement de l'impôt.
Tous : il faut abandonner l'idée dominante de gestion des ressources pour revenir à l'idée de service.
Oui
Non
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Non
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Examiner les difficultés des territoires dans un esprit de long terme, et non de gestion, dans une optique humaine, et non marchande. Oser le changement de paradigme d'une société qui serait fondée sur le travail - ce qui n'est plus le cas.
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On ne peut dissocier ces problèmes. Le problème central est celui de notre implication dans la construction de l'avenir. Le souci majeur est celui des effets d'actions tournées vers le profit, l'accroissement de richesses financières.
Un changement de mode de pensée, un changement de mode de production et de consommation, une responsabilisation des décideurs politiques pour qu'ils assument les décisions impopulaires nécessaires : on ne peut parler de "survie" et de "lutte" sans s'en donner les moyens. En l'occurrence : sobriété, intransigeance avec le principe de précaution, courage politique de l'effet des mesures sur les modes de vie, rejet des lobbies. Placer l'écologie au premier plan de toutes les décisions. Et prendre les décisions courageuses qui s'imposent : arrêt du nucléaire, de la production agricole industrielle... rendre contraignants les avis d'experts, et contraignants les objectifs annoncés.
Oui
1 - L'absence de clarté dans les actions menées inhibe les actions individuelles 2 - Le décalage des climats (températures, ensoleillement, précipitations...) éloigne du sentiment d'appartenance à un écosystème (au détriment d'une vision "catastrophiste", d'opposition de l'homme à son environnement, ou de soumission à ce qui "nous dépasse") 3 - Les déplacements de population en cours ou à venir, mal présentés et mal gérés, suscitent des réactions qui affaiblissent la démocratie 4 - L'information ou/et la publicité saturent l'espace de "sensationnel", au détriment de la réflexion et de l'action collective et individuelle 5 - Les mesures désordonnées contredites par d'autres mesures à visées électoralistes ou de profit à court terme détournent de l'effort collectif 6 - Le massacre des écosystèmes suscite une perte de repères et d'investissement personnel dans l'avenir commun ("à quoi bon") 7 - Un formidable gâchis de ressources (impôt compris) est investi dans des micro-mesures ou des mesures sans suite, ou sans vision d'ensemble 8 - L'espace mental est saturé de déclarations d'intention, non suivies d'action, qui polluent l'esprit, détournent du sujet et de l'action, désespèrent des "politiques". 9 - Les oiseaux des villes me manquent. Leur raréfaction dans les campagnes m'attriste. Entre autres déplorations.
Oui
J'opte pour des comportements de consommation sobres, écarte les produits industriels (même la nourriture), les organismes (commerces, banques,...) soutenant un fonctionnement irresponsable (énergies fossiles, surexploitation) soutiens des associations porteuses de projets, consacre du temps aux "petits" gestes qui ponctuellement éloignent un danger ou préparent l'avenir (producteurs locaux, réduction des déchets, logement...), m'informe sur le "durable" réel des solutions "nouvelles"...
J'ai choisi de ne pas avoir de voiture. Le chauffage est collectif, régulièrement entretenu.
La question n'est pas là. Elle est dans la limitation et le contrôle des intérêts individuels des tenants du système marchand. Les solutions les plus simples et supportables sont celles qui ne transforment pas le citoyen en hyper-consommateur, mais en acteur d'un avenir commun - et détournent l'intérêt de tous les acteurs du profit au bien commun. Les solutions les plus supportables sont celles qui tournent vers un avenir sain, même au prix de sacrifices importants pas celles qui nous en éloignent - et découragent toute réflexion et toute action.
Oui
Que les politiques cessent de financer l'exploitation et la mise sur le marché des énergies fossiles, en France et ailleurs, par exemple, et rompe avec le nucléaire. Sans quoi aucune solution n'ira au-delà du soutien plus ou moins direct à une branche industrielle dont l'objectif sera financier et de court terme et non civilisationnel. Accessoirement : je n'ai pas de chauffage "individuel" à changer.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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La République. Pas les marchands.
Faire des choix. Clairs et courageux. Même si elle est isolée dans ses choix. Votre question est trop marque par des soucis d'image. Et croire aux vertus de l'exemple, c'est d'abord être réellement exemplaire.
Aucune des questions posées ne remet en question l'esprit de consommation, et la notion de confort, les questions fondamentales, et je le regrette dans un questionnaire qui prétend au dessin d'un avenir commun, donc de politique et d'anticipation. Il est urgent de modifier les comportements de consommation (tourisme de masse, gâchis alimentaire et d'autres ressources, immédiateté de la satisfaction du désir, notion artificielle ou réelle du besoin, instrumentalisation de l'individu, notion de partage, ré-emploi des objets et de matériaux...). On ne peut envisager de transition écologique sans y placer tous les moyens disponibles, parler de danger et ne pas prendre les décisions de bon sens que les politiques semblent les seuls à ne pas évoquer.
Votre message a bien été envoyé.