Le système de monarchie républicaine, tel que modifié depuis sa mise en place en 1958, ne convient plus à l'encadrement institutionnel de l'état française. La faillite des institutions est une évidence désormais: crise de la représentativité, manque de confiance criant des citoyens en leurs élus, déploiement incompréhensible de l'état sous toutes ses formes, de comité thoédules en chargés de missions, etc. C'est le fondement même du régime qui est vicié. Les citoyens souhaitent avoir des représentants qui leur ressemblent, qui comprennent leurs problèmes, qui ne soient pas au-dessus des lois. Par ailleurs, les citoyens n'ont jamais autant souhaité que la tête de l'état soit incarnée par un chef neutre, en mesure de décider. Ca n'est pas le principe de l'autorité qui est remise en question, mais la dichotomie flagrante entre les tenants de la potestas et les recipiendaires de l'auctoritas. Il existe une solution légitime, saine, respectueuse de chacun à cette descente aux enfers qui ne semble pas pouvoir s'arrêter: la mise en place d'une monarchie en France. La tête de l'état serait alors incarnée par un homme parfaitement neutre, élevé depuis son plus jeune âge pour exercer ces fonctions. N'étant pas soumis à l'élection, le roi n'est pas non plus soumis au lobbys, à la démagogie, ni même aux vicissitudes inhérentes à la conquête du pouvoir. Le roi est l'Arbitre, il convient dès lors qu'il n'appartienne pas à l'une des équipe qui joue. En outre, la France est riche de ses nombreuses régions, qui ont chacune leur langues, coutumes, traditions, qu'il convient de ne pas noyer dans un gloubiboulga difforme imposé par Paris. Il convient ainsi de mettre en place une monarchie fédérative. Le roi à Paris constitue alors l'arbitre entre les différentes régions qui auraient chacune leur assemblée permettant aux citoyens d'exercer une démocratie directe au niveau le plus proche de leur habitat. Il n'est pas absurde de demander leur avis aux citoyens de manière régulière sur les sujet qui les concernent de très près, et cela ne peut s'exercer au niveau de l'état. Il faut ainsi mettre en place une représentation citoyenne - ainsi que la pratique référendaire - au niveau régional, et communal, pour permettre l'expression populaires.
Oui
Le problème n'est pas tant la représentation que l'idéologie unique qui habite ces corps intermédiaires. La faillite syndicale illustre ce point à merveille. Toute associations portant un message légitime doit être entendue. En revanche, dans un monde rêvé, c'est-à-dire un monde où les dirigeants ne défendent que le bien commun (entendu non plus comme la somme des intérêts individuels), seuls ces derniers sont légitimes à choisir. Il convient également de remplacer les syndicats actuels qui ne font que ressasser l'imaginaire lutte des classes -ou au moins de les doubles - par des associations concentrant l'ensemble des intervenants d'un corps de métiers. Ces derniers ont des intérêts communs, et les diviser entre patrons et ouvriers ne permet pas l'entente qui est nécessaire l'exercice de leur travail. Reconstituer des associations de métiers sur le modèle coporatiste d'ancien régime (une association réunissant, pour les tisserands, l'ensemble des ouvriers, et patrons, etc.) permettra un véritable lieu de dialogue social.
changer le système de représentation, supprimer la représentation nationale qui n'a aucun sens. Créer des représentations locales nombreuses. Exiger des élus qu'ils soient courageux et forts, et ne se plient pas aux injonctions morales d'une idéologie qui n'a pas seule droit de cité.
Une mauvaise chose
Elle donne des élus sans aucune expérience du terrain. Seul le maire est un élu légitime, puisqu'il connait les nécessités humaines de l'administration du territoire.
Accepter idéologiquement qu'il en existe d'autres. Dans les représentations locales, il conviendra en outre d'établir des règles de scrutin en partie proportionnel.
Oui
Supprimer l'assemblée nationale, et la remplacer par des assemblées nationales provinciales.
Etablir toutes ces modifications institutionnelles permettra de redonner confiance et intérêt.
Oui
le compter, sans le comptabiliser dans les résultats.
mettre en place une démocratie très forte au niveau local, et supprimer l'inepte démocratie au niveau national.
Non
établir des assemblées provinciales.
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le CESE doit être supprimé de toute urgence. Le Senat doit être remplacé par une assemblée réunissant des représentants des corporations de chaque corps de métiers.
Oui
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établir une primauté culturelle du christiannisme, en tant que religion fondatrice française, pour faire cesser les comparaisons entre l'islam et le christiannisme. Prohiber les signes religieux ostentatoires extérieurs. Expulser les prêcheurs de haine, interdire les prêches en arabe, faire une guerre impitoyable aux terroristes...
Les valeurs de la république ne veulent rien dire. Commencer par parler des valeurs françaises. la garantie se fait par l'éducation et le déploiement d'une grande politique de fierté nationale embrassant toute l'histoire de France. Communiquer sur ce qu'est la France à travers de nombreuses exemples historiques, reprendre le roman national : Clovis, Hugues Capet, Charles Martel, Louis IX et Louis XI, Bayard, Henri V, Napoléon, etc.
Mettre en place une forte démocratie locale et provinciale.
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éducation et répression
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éducation et répression
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cesser de tout voir l'aune des discrimination.
Oui
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L'immigration familiale de masse nous asphyxie et détruit l'idée même d'identité Française. Nous ne savons plus qui nous sommes à cause de cela. Il faut y mettre un frein drastique. Les critères doivent être la mise en place de quotas par métiers, l'impossibilité d'obtenir aisément la nationalité française remplacée par l'octroi de titres de séjours beaucoup plus longs, la double peine...
Redéfinissons nos engagements quant à l'asile.
Immédiatement mettre en place un système dans lequel l'immigration est choisie, et l'immigré illégal est renvoyé immédiatement hors des frontières. Les obligations d'asiles doivent être revue, justement parce que ce défi va durer. Elles ont été édictées il y a bien longtemps et doivent être adaptées aux défis à venir (250 millions de migrants écologiques d'ici 2050 selon l'ONU !!)
Assimilation pure et parfaite. Devenir français implique de choisir la France, parfois même contre ses anciennes racines. Cela n'implique pas un conflit, mais d'embrasser complètement et entièrement l'histoire de France.
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