Date de publication : 2019-01-24
Code postal : 13920

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Que le nom de la taxe soit limpide quand au produit taxé et à l'objectif recherché quitte à la décomposer en sous taxe.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Il existe des impôts et des aides inefficaces comme l’impôt sur le revenu qui prend en compte le coefficient familiale et les allocations familiales qui dépend également du revenu et du nombre d’enfant. Il faut donc revoir la prise en compte du coefficient familiale dans le calcul de l’impôt sur le revenu et supprimer les allocations familiales. Cela permettrai d’augmenter l’efficacité de prélèvement (moins de personne pour gérer la distribution des allocations familiales) tout en garantissant un budget constant aux familles concernés. Proposition : Réévaluer le calcul de l’impôt sur le revenu en fonction du revenu et du nombre de part afin de supprimer les allocations familiales.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Aucune, il faut avant tout résoudre le problème du déficit. Il est totalement anormale qu'un gouvernement quel qui soit puisse faire voter année après année un budget qui n'est pas à minima à l'équilibre. C'est ce que la majorité des citoyens, associations font. Il doit en être de même pour toutes les administrations, état et collectivités. Proposition : Faire inscrire dans la loi que le budget ou loi de finance soumis au vote des députés soit à l'équilibre.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Améliorer le fonctionnement de l'état

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Les allocations familiales devront progressivement disparaître. Ces allocations étaient censées soutenir la natalité qui elle même est censé soutenir l'économie. Nous ne sommes pas du bétail juste bon à consommer, c'est une aberration que l'on nous a vendu pendant des décennies.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Aucune, le niveau d'aides sociales pourra être renforcé quand nos comptes se seront stabilisés de façon pérenne

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Aucune

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Certains services publics sont trop chers par rapport à leur utilité. 1. Le Sénat n'a plus de visibilité. On le voit dans l'affaire Bennala, ou une personne convoqué ne daigne pas répondre à la commission sans pour autan que cette personne soit sanctionnée. 2. Les services type "Point info famille" pourraient être remplacés par des points d’accès internet dans les mairies. 3. Le Réseau CANOPE ne semble pas répondre à un réel besoin. Demandez autour de vous qui connaît ce réseau ? Tous les sites internet des administrations ventent leur utilité et leur mérite. Il n'existe aucune commission extérieur qui évalue effectivement les bénéfices pour les citoyens, l’efficacité des différents services et des missions, l’évaluation de la charge de la travail des différents service. Le service public doit avoir les mêmes objectifs que les entreprises privé : ne pas être dépassé par la concurrence dans leur secteur (les services publics des autres états). Propositions : Réaliser des audits des administrations par des commissions indépendantes avec pour objectif de mieux répondre aux besoins des citoyens.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Le président, même si je ne partage pas toutes ces idées. Il sait, au même titre que ces prédécesseurs, nous protéger des grandes maux (guerres, insécurité, ...)

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Généraliser le débat d'idée aux différentes élections afin que ce ne soit pas l'élus qui fasse des propositions mais qu'il porte les propositions de ceux qui le soutienne.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Au contraire, les conseillers généraux et départementaux devrait être des députés, afin de conserver un lien avec les citoyens. Mais qui dit cumul des mandats, ne veut pas dire cumul des salaires ...

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Il n'y a pas de bon système. Le citoyens ne se reconnait pas dans tel ou tel sensibilité politique, il se reconnaît dans une somme d'idées prises à gauche et à droite. Les parties politiques se sentent systématiquement obligés d'opposer leurs idées, du coup ils se discréditent totalement, ils mentent, trichent avec les chiffres. Une fois élus, les députés perdent leur liberté de penser. Il ne sert à rien de changer tant que les politiques eux même ne changeront pas d'attitude.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Les Conseillers régionaux et départementaux qui de droits devraient être des députés.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Nous sommes censé voté pour un candidat avec l’ensemble de son programme. Or c’est là que le désaccord commence. Nous votons pour un candidat parce que nous le sentons apte à tenir la fonction, mais nous ne souhaitons pas forcément la mise en application de l’intégralité de son programme. Le vote blanc peut exprimer qu’il n’y pas le bon candidat, ou qu’il ne porte pas le bon projet, mais ce n’est pas pour autant que l’on est pas d’accord sur tout. Lors du vote, il faudrait avoir la possibilité de dire oui je vote pour vous mais je rejette tel ou tel de vos propositions et au contraire, non je ne vote pas pour vous mais j’adhère à certaines de vos propositions. A l’issue du vote, on aurai un élu, et une ribambelle de proposition hiérarchisée et portée par les français. Plus besoin de RIC, une consultation préalable aura déjà été faite. Un autre bénéfice, c’est que des candidats ne serait pas « obligé » d’opposé leurs idées. Proposition : Lors des élections présidentielles ou législatives, joindre un sondage avec pour chaque candidat 5 propositions. Le résultat de ce sondage sera rendu public à l’issue du scrutin. Les propositions ne devront pas mettre en cause des droits intangibles de la république (liberté de la presse, peine de mort, discrimination,…)

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

On pourrait tenir comte du vote blanc dans la mesure ou un électeur ne partage aucune des idées proposées par un des candidats. D'où l'intérêt de ma proposition ci dessus.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

La justice fait appel à des jurés de la société civile. Pourquoi l’assemblée nationale ne ferai pas de même lors des débats et du vote des lois. Ces citoyens eux ne serait pas influencés par des lobbyings. Leur avis serait publié. Aux députés ou au gouvernement de suivre ou non leur avis ou recommandation. Proposition : remplacer les places laissés vacantes par le biais de la réduction du nombre de députés à des Citoyens éligibles (selon les mêmes critères que les jurés) et tirés au sort. Ces citoyens rendrai un avis consultatif sous forme de vote.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Un pouvoir peut être décentralisé et ne pas être à l’écoute des citoyens, c’est le cas des conseils généraux. Cette administration utilise l’argent du contribuable en dépit du bon sens, voir contre le citoyens. Demander aux électeurs s’ils souhaitent de nouveaux bâtiments administratif. L’état comme le politique doit rester modeste avec l’argent du contribuable. Là encore, l’avis consultatif de citoyens serai un plus. Il est toujours plus facile de dépenser l’argent des autres. Proposition : Créer une assemblée, au niveaux des conseils généraux, de citoyens éligibles (selon les mêmes critères que les jurés) et tirés au sort, qui rendrai un avis consultatif sous forme de vote.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Le sénat est la risée de la terre entière. Dans l'affaire Benalat notamment, elle semble n'avoir aucun moyen de se faire respecter. Elles n'arrive même pas à jouer le rôle qui lui est attribué. Pourquoi vouloir lui attribuer un autre rôle !!!

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Supprimer le sénat

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

None

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La politique migratoire doit pouvoir évoluer d'une façon plus sereine. Il faut tenir compte de nos besoins, de la situation internationale, et de la tolérance des français.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

C'est une évaluation formelle des critères précédemment cités qui doit nous permettre de faire évoluer un quota revue annuellement.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Proposition : Débattre et voter à l'assemblée un quota annuel d'immigration.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Une langue commune pour se comprendre est fondamentale. Sans cette langue commune, une distance se crée et l'intégration devient impossible. Il est donc important dans le processus d'intégration, d'avoir un test de français d'un niveau conséquent.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Non

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Pour les transports, le citoyen lambda est souvent pénalisé par les guerres de chapelles. La continuité du territoire n’est pas garantie dans les zones rurales. Entre 2 communes distantes de moins de 10 km il n’existe souvent pas de voie verte indépendante des routes qui favoriserai l’usage (et non la pratique) du vélo en sécurité. Proposition : fixer un objectif commun de développement des voies vertes entre les communes mitoyennes.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Aujourd'hui je respecte les règles (tri, vitesse)

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Pourquoi changer son comportement ! Se déplacer c'est vivre. Tous les hommes cherche le plaisir. La politique propose trop souvent des solutions punitives. Il faut trouver des solutions qui offre du plaisir. Les voies vertes font parties des solutions possibles.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

L'écotaxe à l'achat d'un bien sous forme de malus qui dépendrai de la technologie utilisée allant de 0% pour la solution la plus écologique du marché à un pourcentage maximal pour la technologie la moins écologique. Ceci permettrait d’orienter le marché vers les solutions plus « écologiques » sans interdire aux personnes utilisant une vieille chaudière de l’utiliser

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Aujourd'hui, le retour sur investissement est trop long. 10 à 15 ans pour du solaire. C'est une éternité, sans compter les coût de maintenance ou de remplacement de pièces. Les solutions techniques (hors aide de l'état) doivent être économiquement viable sinon elles ne sont pas pérennes.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

il faudrait qu'il existe des voies vertes indépendantes des routes.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Le vélo

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

L'intercommunalité doit se charger des déplacements courts. Il est en mesure d'analyser le besoin des citoyens afin de proposer des alternatives.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

None

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La garantie du bon choix technologique doit se faire par un organisme indépendant type CNRS. Chaque technologie doit être évalué globalement en incluant dans le bilan écologique : la construction (matières premières et mise en œuvre), le transport, l’utilisation en tenant compte de la durée de vie estimée, la destruction ou le recyclage. Le résultat de cette évaluation doit être rendu public sans aucune forme de jugement. C’est ensuite aux lobbyistes (industrielles, écologiste, citoyens, …) d’exposés les conséquences (positives et négatives) afin que les politiques prennent les mesures adéquates. L’exemple de la voiture électrique est un bon exemple de désinformation. Le bilan écologique est fortement mis en doute car nul part il est dit comment l’électricité était produite, quel est le bilan écologique des batteries (de la production à son élimination). Améliorer le bilan écologique d’une voiture électrique c’est donc entre autre améliorer la façon dont on produit l’électricité. C’est pour s’améliorer qu’il faut mettre ce bilan écologique à plat. Il n’y a que 2 grandes sources d’énergie : les particules extraterrestre (photons, …) et l’énergie gravitationnelle. Ces énergies vont se manifester ensuite sous différentes formes. Toutes les sources d’énergie utilisées peuvent être rattachés à ces 2 sources fondamentales. On parle d’un tas de solution et on ne voit pas d’évaluation. Par exemple, l’utilisation des mouvements marins (marée, courant, vague, houle, …), L’hydroélectrique combiné à l’éolien comme au canari (l’eau stockée par le barrage servant de batterie), le solaire directe ou photovoltaïque, le nucléaire (fission et fusion), l’utilisation de la biomasse (cycle court) versus pétrole (cycle long). Bref, un vrai bordel, qui ne permet pas de dégager une direction clair. Proposition : Evaluer et présenter périodiquement les différentes alternatives de production d’énergies par un organisme indépendant (type CNRS).