Date de publication : 2019-01-24
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Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Moins de gaspillage de l'argent public. Trop d'argent est distribuée à tort et à travers.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Un impôt sur le revenu plus juste : plus de niches fiscales accessibles aux plus riche et la bonne solution serait la mise en place d'un taux d'impôt à la source unique 10 %, 20 % ou 30 % en fonction des tranches de revenus. Mais tout le monde doit payer des impôts.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Ne pas baisser le montant global de l'impôt au niveau macro-économique mais modifier la répartition de l'impôt. Que tout le monde paye l'impôt sur le revenu à en proportion de ses revenus. La classe moyenne est oppressée par le fait qu'elle paye pour ceux qui ne sont pas soumis à l'impôt.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Revoir l'ensemble des aides sociales et favoriser le mérite, le travail et l'effort collectif.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Toutes

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Moins d'abus des professionnels de santé qui n'hésitent pas à faire des prescriptions (arrêts maladie, etc...).

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Je n'ai aucun problème avec l'impôt je souhaite simplement d'avantage de justice fiscale pour TOUS.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La France devrait être gérée comme une entreprise. Tout entreprise doit faire l'objet d'une gestion rigoureuse au risque de déposer le bilan. On ne peut pas vivre avec du déficit et un assistanat généralisé.