supprimer les différents régimes fiscaux et niches fiscales afin de permettre une meilleure lisibilité et permettre une uniformité de traitement. Cela permettrait de mieux voir comment un euro est utilisé concrètement sans avoir à appréhender des systèmes de déductions et d'avantages plus ou moins masqués.
imposer tous revenus dès le premier euro à toute personne : que ce soit le revenu du travail, mais également les rentes foncières ou immobilières, les allocations diverses, les pensions mais également les placements dans les oeuvres d'art....….En un mot, tout ce qui représente une rentrée d'argent doit supporter un impôt. le mot de solidarité doit être réel et non uniquement destiné qu'à un actif sur deux, ou qu'aux personnes qui ne peuvent pas se payer les services de fiscalistes pour faire fructifier leur patrimoine sans contribuer aux rentrées fiscales de l'état. une base fixe fiscale serait de mise et obligatoire ce qui signifie que toute personne paierait un impôt sur le revenu au prorata de son salaire. en ce qui concerne les impôts locaux, chaque municipalité devrait collecter annuellement a minima 5euros par enfant mineur et 10 euros par adulte habitant celle-ci , quelque soit la situation financière du foyer afin de responsabiliser chacun dans la vie de sa commune et permettre aux communes de compenser la perte de dotation de l'état. Ensuite les taxes plus locales comme le traitement des ordures devrait, par exemple, être mené par une taxation au poids des ordures (présence d'une puce sur les poubelles) afin de sensibiliser au recyclage.
l'impôt sur le revenu
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Augmenter le temps de travail|contributions par tous : actifs, chômeurs, retraités mais également demandeurs d'asiles, étrangers,
TOUTES sauf l'allocation vieillesse. Que ce soit les allocations familiales, les allocations chômage, les aides aux logements, les minimum d'insertion…..à partir du moment où une aide est sollicitée et attribuée, la personne qui en bénéficie est redevable à la société : soit prélèvement d'office en début d'année d'une somme symbolique quelque soit l'âge et le revenu : les montants ainsi récoltés pourraient être réinvestis dans les services de santé ou les EPHAD. Le principe de solidarité est fondamental mais cela signifie que TOUT LE MONDE DOIT METTRE LA MAIN A LA POCHE; l'attribution de toute aide à un allocataire impliquerait qu'il donne aussi de son temps à la collectivité : travaux d'intérêts généraux comme nettoyage des espaces verts et des cours d'eau, temps de lecture avec les enfants dans les écoles pour inciter les jeunes à lire, donner des heures bénévoles pour aider à la distribution des repas aux restos du cœur ou la banque alimentaire par exemple, se proposer quelques heures dans le mois pour amener des personnes âgées, handicapées pour aller consulter, faire les courses…..……le principe de solidarité active doit être instaurer. celui qui s'y refuse verra son aide amputée. par contre, dans le cas de l'aide aux logements, aucun versement aux logeurs mais aux locataires ET contrôle obligatoire annuel du parc locatif privatif par des agents assermentés pour vérification des normes obligatoires (chauffage, électricité, salubrité) afin de lutter contre les marchands de sommeil et attribution d'une accréditation (type vignette à 4 niveaux : TB, bon, doit procéder à des travaux, non destiné à la location) . Présentation obligatoire de cette accréditation lors de la signature de tout bail aux futurs locataires avec mention de ce numéro d'accréditation sur le bail. enregistrement de cette accréditation sur une base de données commune avec les services de la CAF, mais aussi des impôts pour éviter toute fraude. suppression de la prime de rentrée scolaire telle qu'elle existe actuellement car elle ne doit pas servir aux parents au mois de septembre à s'acheter de nouveaux équipements électroménagers ou hifi. Cette prime prendrait la forme de bons (vêtements, chaussures, licences sportives……..) échangeables auprès de commerces qui auraient souscrits une convention avec le ministère de l'enseignement. Concernant la fourniture du matériel scolaire (livres, manuels scolaires…), celui-ci serait fourni par les établissements qui signeraient des partenariats avec des librairies : production livresque française, librairies locales… afin de maitriser la dépense publique mais aussi de permettre à tous de disposer du même matériel scolaire. libre alors aux parents d'acheter à leurs propres frais des fournitures complémentaires s'ils le souhaitent mais celui fournit par les établissement couvrirait l'année scolaire. l'enseignement doit être pour tous, sans distinction et être gratuits, ce qui impliquera la disparition des bourses. par contre, celles-ci seraient remplacées par des partenariats locaux pour proposer des logements aux étudiants contre participation symbolique mais en contre partie, présence obligatoire aux cours et TD.
la vieillesse : l'état doit prendre conscience que les EPHAD publics sont minoritaires, que les maisons de retraite actuelles sont à des prix prohibitifs pour les familles et que le peu d'aide existantes ne bénéficient pas à tous et sont de faible niveau. toute personne âgée a le droit à une fin de vie décente. la santé : responsabiliser la population en l'incitant à se rendre dans les maisons médicales au lieu des urgences. toute consultation en milieu hospitalier pour un bobo ou un rhume qui aurait très bien pu être pris en charge par un médecin ou un dispensaire doit être facturé à l'intéressé et non pris en charge par la sécurité sociale. développement des suivis de prévention (cancers et incitation à la pratique d'un sport )
avant de voir si je serai d'accord pour payer plus, je pense qu'il faut déjà faire payer ceux qui profitent d'aides mais ne contribuent pas tout en bénéficiant de notre système social. notre système social est à la base quelque chose de formidable mais est victime de sa grande mansuétude : certains abusent de sa diversité d'aides et du fait qu'il n'y ait pas de vérifications des situations de chacun. dès lors où une aide est attribuée, une autre suit et ce n'est pas normal. les aides doivent être indépendantes les unes des autres et surtout revues une fois par an par une vérification administrative et des contrôles des allocataires. en cas d'abus, un remboursement des aides versées doit être fait avec injonction voire saisie de biens. en ce qui concerne les demandeurs d'asiles ou les personnes de nationalité étrangères, le versement des aides doit être fait mis en corrélation avec une situation administrative en cours : aucune aide si la situation administrative n'est pas à jour ou si une infraction de droit civil ou pénal a eu lieu.
nous parlons d'équité fiscale mais revenons vers une taxe que tout le monde paie : la TVA. réinstaurer une TVA sur les produits à forte valeur ajoutée tels que les véhicules à forte cylindrée, les produits de luxe, les produits high tech (ordinateurs, téléphones portables.......) les oeuvres d'art mais également appliquer un taux super réduit sur les biens de consommations alimentaires et maintien d'un taux normal pour les équipements normaux (mobiliers, véhicules…) d'autre part, réinstaurer la vignette auto avec aucune dérogation possible (handicap, ressources…) : tout véhicule doit contribuer ce qui implique que les motos, les bus et mêmes les camions devraient s'acquitter d'une certaine somme annuelle en fonction du nombre de chevaux fiscaux. Pour les véhicules étrangers, le principe d'une vignette comme en Suisse sur tous les véhicules utilisant le réseau autoroutier devrait être mis en place.
à mon maire et mon député car ils sont les plus proches de notre vie au quotidien et des problèmes et difficultés auxquels nous sommes confrontés.
Oui
je pense que les syndicats devraient intervenir en amont dans la vie politique tel que cela se passe en Allemagne où les syndicats ont un rôle de médiation, de discussion et non d'opposition comme nous pouvons trop souvent le voir en France.
les élus devraient obligatoirement effectués des bilans publics de leurs actions pour rendre compte de leur travail et de leurs résultats de manière concrète et aussi afin de faire remonter les problématiques auxquels leurs administrés font face. actuellement, hormis lors des campagnes électorales où nous voyons les candidats, dès que le mandat est acquis, nous ne revoyons quasiment plus nos députés ou représentants locaux.
Une bonne chose
mais il faudrait que cette règle s'applique également aux élus locaux comme les maires. la représentation électorale ne doit pas devenir un métier et pour cela a besoin de voir de nouveaux visages .
permettre par une proportionnelle mesurée (20% des représentants totaux par exemple) des différentes tendances
Non
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le vote devrait être obligatoire sous peine d'une amende tel que cela est le cas en Belgique par exemple.
Non
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les élus actuels devraient rendre personnellement et réellement des comptes à leurs administrés lors de réunions publiques où les citoyens seraient également amenés à participer concrètement, un peu comme nous le faisons actuellement en étant informer des thématiques des réunions, de leurs lieux et par la distribution préparatoires de questionnaires.
Oui
par le biais de ces réunions avec nos députés par exemple, l'étude de ces questionnaires permettrait alors l'émergence de thèmes pour lesquels une votation populaire serait nécessaire.
supprimer la cour des comptes qui ne sert à rien car n'a qu'un rôle informatif et non coercitif et rendre les élus responsables sur l'utilisation qui est faite de l'argent public définir un porte feuille pécunier par thème sur lequel les parlementaires ont émis un décret ; voir comment l'argent a alors été utilisé pour mettre en application ce décret et concrètement les répercussions que cela a eu puis émission d'un bilan financier public de façon à ce que chaque citoyen puisse voir comment l'argent public a été utilisé. en cas d'utilisation non justifiée, l'élu sera rendu responsable sur son patrimoine
ne plus seulement être un organe représentatif mais avoir réellement un rôle de coordination et surtout de synthèse et de mise en application réelle des décrets et lois, avec l'implication budgétaire.
Non
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arrêter de faire des exceptions ou de discuter. le texte initial était correct alors continuons à l'appliquer tel qu'il est.
la République doit réaffirmer ses valeurs et ne pas accepter ou tolérer pour certains ce qu'elle refuse à d'autres. ce n'est pas à la République à s'adapter aux us et coutumes de chacun mais aux diverses croyances à promouvoir les valeurs d'unité, de laïcité et de respect.
None
l'entraide intergénérationnelle : en cassant la solitude à laquelle beaucoup de personnes âgées doivent faire face par le biaise de sorties organisées, de mise à disposition de moyens de transport conduits par des plus jeunes pour les conduire aux courses, au médecin…..faciliter les rencontres intergénérationnelles au sein des établissements scolaires par le biais de témoignages thématiques ou d'ateliers participatifs (jardinage, lecture, travaux manuels , bricolage) l'acceptation et le respect du handicap : sensibiliser les gens aux handicaps
développer les systèmes de parrainage (un valide/un handicapé ou une personne / une personne âgée) pour des sorties, des moments en commun
le temps passé à aider l'autre, dans la vie de tous les jours, pour l'accompagner dans ses démarches...devrait faire l'objet d'une sorte de carnets à points, d'un système qui permettrait de quantifier et convertir ce temps en points thésaurisables pour la retraite future. en d'autres termes,
accepter toutes les incivilités et les rendre banales et comme faisant parties prenant de la vie au quotidien. pour lutter contre ceci, il faut sanctionner dès la première incivilité par la réparation matérielle faite par l'auteur et également pécunière (si la réparation ne peut être faite par l'auteur) avec paiement immédiat suite à verdict donné par un tribunal spécial présidé par un magistrat, saisi en comparution immédiate.
ne laisser passer aucune incivilité et créer une échelle de sanctions réellement applicables et appliquées. actuellement le problème est qu'il n'y a pas de sanction. une sorte d'impunité s'instaure et il n'y a plus de crainte de la part des auteurs. la justice est débordée et les remontrances ne marchent plus.
revenir à la responsabilité des parents dans l'éducation des enfants : les parents sont les premiers acteurs en matière d'éducation et ce sont eux qui doivent agir dès les premiers problèmes pouvant être faits par leurs enfants. imposer aux parents de reprendre leurs rôles de parents et si cela ne marche pas, enjoindre les parents à réparer les dégâts causés par leurs enfants. en ce qui concerne les majeurs, la responsabilité pleine et entière est engagée et aucune excuse ne doit intervenir. une incivilité est commise, une punition doit être prise.
sur le sexe ou le handicap.
apprendre à vivre et ne pas avoir peur du handicap. que les structures soient plus nombreuses et ouvrent régulièrement leur porte notamment aux établissements scolaires. la différence due au handicap ne doit pas devenir une peur. mais cette différence s'exerce aussi dans la vie professionnelle.
Oui
une ouverture civique devrait exister. la société prend en charge les plus faibles, ceux qui ont besoin d'aide mais l'aide qui leur est donnée doit également avoir un retour en se tournant aussi vers l'autre comme le fait Emmaûs. les bénéficiaires viennent également donner de leur temps d'une manière ou d'une autre. la notion de citoyen, d'appartenance à une société veut que la société t'aide mais toi aussi tu peux aider la société. JFK a dit : "ne te demande pas ce que peut faire ton pays pour toi mais toi, ce que tu peux faire pour ton pays". c'est sur ce principe que nous devons travailler. développer cet esprit d'appartenance alors que notre société actuelle ne cesse de diviser.
pour qu'une politique migratoire fonctionne, il faut qu'elle soit logique, et juste. or actuellement, les personnes pour qui le droit d'asile n'a pas été accepté continue à rester en France et à bénéficier d'aides alors que les personnes en situation régulière ou les français se trouvent en difficultés et n'obtiennent pas forcément l'aide qu'ils souhaiteraient avoir pour vivre. notre politique migratoire doit être également posée : accepter tout le monde conduit forcément à l'échec. il faut que l'intégration soit réellement faite par la pratique de la langue nationale et l'exercice d'une activité. à l'issue d'un temps correspondant à la validité de la carte de séjour, si l'intéressé ne peut prouver ce double point, son renouvellement lui sera refusé.
fixer des objectifs annuels pourquoi pas mais le problème est de donner les moyens aux administrations en charge de les faire appliquer : police de l'air et aux frontières, centres de rétention, contrôles effectifs de la situation administrative et suivi régulier administratif de chaque détenteur d'une carte de séjour….faire du chiffre ne sert à rien hormis à faire ressurgir certaines idées extrêmes. le plus important est de se donner les moyens de faire appliquer les lois votées, sans faire l'autruche.
reconcentrer le personnel administratif et sur le terrain aux points en sous effectifs pour employer concrètement nos administrations dans les tâches qui leur incombent
la première intégration vient de la maitrise de la langue du pays d'accueil ainsi que des idées fondatrices de notre société : respect des règles de vie et des lois. ce qui signifie le suivi d'une scolarité notamment. puis la participation effective à la vie de la cité par des actes aux services des autres, par le travail au sein d'associations caritatives. ce n'est pas à notre société à cherche en quoi elle doit adopter des modalités d'intégration efficaces mais aux personnes qui désirent vivre dans notre pays à prouver et à faire en sorte qu'elles soient aptes à y vivre. notre accueil est une chose mais à elles de faire ressortir qu'elles le méritent et qu'elles sont dignes de rester sur le territoire national.
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par définition l'administration française est un service public. or, la centralisation à outrance a trouvé ses limites car suivant votre lieu de vie vous ne pouvez avoir accès aux différents services de nos administrations et tout le monde n'a pas internet, d'autant qu'il existe toujours de nombreuses zones blanches….Il faudrait donc revenir à plus de proximité ce qui ne veut pas dire non plus à un bureau par commune mais plus des plateformes multi administratives avec des permanences hebdomadaires.
Non
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Non
les services fiscaux et la sécurité sociale
arrêtons de tout dématérialiser ! il faut d'abord être conscient que toute la population française notamment les personnes agées et les personnes en milieu rural ne peuvent effectuer leurs démarches sur internet (trop difficile ou réseau inexistant). il faut mettre en place des plates formes où du personnel administratif serait là pour conseiller et aider les personnes qui en auraient besoin
Non
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Oui
Non
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Oui
en leur permettant de faire remonter les problématiques auxquelles ils sont quotidiennement confronté et d'évoquer une possible solution: ce sont eux qui sont le plus à même de comprendre les besoins des usagers, les moyens de mettre en oeuvre dans les meilleures conditions les diverses réglementation.
Oui
arrêter de donner immédiatement des postes de commandement en sortie d'école à des nouveaux recrutés, sur diplômés qui ne connaissent pas les réalités du terrain : l'accès à ce type de fonctionne devrait nécessiter au préalable un passage de 5 ans dans les divers services de terrain que cette personne sera ensuite amener à gérer. jai bien dit gérer et non manager car là aussi un des problèmes de formation provient de cette volonté aveugle de vouloir transposer dans le public les méthodes de gestion du privé sans tenir compte des impératifs qu'imposent l'administration publique : services de qualité , écoute et conseils et non rentabilité et productivité.
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
limiter le rejet des émissions de gaz à effet de serre mais pas en discutant autour d'une table lors des COP 20 ou 30 mais que chaque pays incite les sociétés à se responsabiliser en s'équipant, en se remettant aux normes environnementales : par exemple, un effort concret et avéré pourrait entrainer une baisse des charges fiscales pour cette société. elle resterait alors compétitive sur le marché mais remplirait également son devoir d'acteur engagé de l'environnement. le règlement communautaire 2003/87 existe mais qui comprend réellement le mécanisme d'échanges des quotas d'émission de gaz à effet de serre ? pas grand monde ! texte trop compliqué, non vulgarisé auprès des acteurs économiques et aucune déclinaison concrète et accessible. en ce qui concerne la vie aux quotidiens, prendre des mesures de préservation de l'eau, arrêter de faire des golfs ou d'utiliser à outrance des canons à neige qui utilisent de trop grandes quantités d'eau. il faut apprendre à gérer la nature, la protéger et ne pas uniquement attendre d'elle qu'elle nous amène quelque chose. Nous lui devons notre bien-être alors nous nous devons de faire des choses pour elle si nous voulons continuer à y vivre sereinement.
Oui
les évènements climatiques soudains et très fortes intensités sont devenus monnaie courante (tempête, sécheresse, canicule…).Les organismes sont fragilisés car ces dérèglements font ressortir la pollution de l'air que ce soit en agglomération mais même en zone rurale, la disparition de la biodiversité et de certaines espèces et l'érosion du littoral
Oui
limiter les ordures ménagères en triant et en compostant mise aux normes d'isolation de mon logement en changeant ma chaudière pour une plus performante et moins polluante utilisation a minima de mon véhicule et déplacement quotidien en transport en commun (TER) et à pied
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mise en place des consignes dans les commerces pour les bouteilles en plastiques, en verre et mise en place de point de collecte à l'entrée des magasins qui distribueraient en retour des bons de réduction (cf Allemagne) mise en place de poubelles intelligentes avec puce électronique et dispositifs de fermeture (pour éviter que le voisin viennent y mettre ses sacs poubelles !) pour peser les ordures par foyer. la taxe d'ordures ménagères serait alors modulable en fonction de ce qui réellement rejeter. développer les sociétés de recyclages, lutter contre les trafics parallèles de recyclage des métaux par exemple en développant une police de l'environnement, en sanctionnant les "professionnels" qui se livrent à ce trafic et en donnant les moyens aux administrations concernées de mettre en place et d'appliquer la convention de Bêle sur le trafic international de déchets. permettre de donner une deuxième vie aux objets désuets mis aux rebuts qui seraient remis à neuf et les proposer à des particuliers aux moyens financiers moindres ou aux écoles et collectives (hôpitaux, associations……) développer les transports en commun et créer des abonnements à prix attractifs . actuellement les agglomérations sont relativement bien pourvues mais les zones semi rurales ou rurales ne disposent pas toutes de réseaux de bus ou de TER, ou même de systèmes de navettes qui permettraient aux personnes à mobilité restreintes (handicapés, personnes âgées……) d'être amenées pour faire leurs courses ou aller chez le médecin par exemple
Non
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Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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toutes les strates administratives doivent être concernées : état, grands industries de transport public, collectivités territoriales mais elles doivent agir en complémentarité les unes des autres et surtout être responsables de leur choix devant le peuple. Arrêtons de segmenter notre administration en créant des dédales administratifs ténus, où personnes ne s'y retrouvent et où il est difficile de mettre en place quoi que ce soit car il n'existe aucune visibilité.
je pense que la France doit , avant de vouloir exposer ses choix au niveau européen ou international) d'abord veiller à permettre à tous ses habitants d'avoir accès à des transports en commun et d'améliorer leur vie au quotidien. il n'y a pas que les gens urbains. de plus en plus de personnes vivent à l'extérieur des agglomérations par obligation ou non (couts des loyers, meilleur cadre de vie notamment). l'offre de transport en commun n'est pas adaptée (sous évaluée, trop chère et disparate suivant les régions). arrêtons de penser rendement mais revenons à un intérêt commun : le TGV c'est bien mais il n'y a pas que des gens qui voyagent en TGV ! l'offre de proximité doit s'adapter, se développer et répondre aux besoins grandissants de ses usagers (modularité des transports, adéquation des horaires, abonnements abordables…)
l'abandon du nucléaire serait une grossière erreur car la majorité de notre énergie électrique provient de lui. Notre parc nulcéaire doit être remis à niveau et certains sites fermés. miser sur les éoliennes ou le solaire peut être un choix mais mineur car notre société de consommation, vu son exigence électrique, n'y trouverait pas assez de puissance, d'autant qu'il faut penser au recyclage des métaux lourds contenus dans les cellules photovoltaïques. le développement de l'énergie marémotrice, utiliser la force des marées qui elle est inépuisable pourrait être une autre alternative .
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