Simplifier : (dans la devise de la République le mot simplicité manque). 1 - Généraliser le numérique 2- Un seul identifiant pour toutes les administrations (par ex N° INSEE). 3 - Un correspondant "Services Publics" dans chaque mairie.
Oui
Dans la ruralité, il n'y a plus d'artisans, de commerçants. Il est nécessaire que les mairies pallient à ce manque en organisant des services de dépannages : - Nettoyer les gouttières. - Déboucher les lavabos, toilettes. - Réparer un volet, un vélo. - Conduire les personnes âgées chez le médecin. - Garder les enfants des mères isolées. - Changer une ampoule. Les retraités (artisans, ouvriers) pourraient trouver là un complément de revenus qui les arrangerait bien.
Oui
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Non
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J'ai conduit plusieurs fois des personnes pour l'obtention de leur carte de séjour à la Sous-Préfecture de Saint-Nazaire (30 km) le jour qui leur avait été indiqué pour trouver affiché sur la porte "Fermé exceptionnellement du tant au tant". Les jours d'ouverture, il fallait faire la queue pendant plusieurs heures.
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Il faut arrêter de demander aux citoyens de se rendre dans les préfectures ou autres services publics. Touts les formalités devraient pouvoir se faire sur internet ou en mairie. Tout déplacement excessif prive la partie de la population la plus fragile d'accès. Je ne voudrais plus entendre de la part d'une pauvre femme que je reconduisais là où elle vit "Monsieur, pour les Politiques, Nous les Pauvres on n'existe pas".
Oui
Non
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Lire les notices interminables, écrites en petits caractères.
Oui
C'est surtout de responsabilités et de considération dont ils ont besoin. Aujourd'hui, il faut remplacer dans les petites communes les instits, les curés et le bureau de bienfaisance. Je dirais presque qu'il faut du charisme.
Oui
S’ouvrir au monde extérieur. Ne pas toujours organiser des formations « Maison » qui génère une culture souvent en décalage avec l’epoque et en retard du point de vue technique. Cf Minitel et autres anachronismes. Ne plus juger l’importance d’un chef au nombre de ses subordonnés mais a la possibilité productivité de son service. Considérer l’usager comme un client et non une personne à qui on rend service et qui doit donc supporter attente, manque de considération, voir mépris.
Beaucoup de fonctionnaires s'ennuient à leur travail. Comme dans le privé, il faut rechercher l'efficacité, ne plus faire remplir des papiers qui ne servent plus. Etre plus mobiles. Remplacer la promotion à l'ancienneté par la promotion au mérite. Beaucoup d'administrations ont leur propre culture, ne font pas appel à des sociétés spécialisées en informatique, en organisation et se noient dans un verre d'eau. La séparation entre budget de fonctionnement et budget d'investissement conduit a beaucoup de gâchis. (machines peu onéreuses mais dont les consommables coûtent une fortune). Il faut redonner du sens. Un instit avait conscience de son rôle social. Il recherchait toujours le meilleur pour chacun de ses élèves. Un professeur des écoles est rarement heureux, il se demande souvent à quoi il sert.
Durant toute ma vie professionnelle, je me suis formé : - En suivant des cours au CNAM. - En utilisant des méthodes telles ASSIMIL, en achetant des livres chez WSmith ou à la librairie américaine av. de l'Opéra. - En suivant des formations entreprise. - En participant à un stage d'immersion de 15 j à Oxford. - En suivant une formation aux Etats-Unis. Se former c'est un état d'esprit. J'ai toujours été satisfait de l'aide que m'ont apportée les formateurs en ayant toujours conscience que c'était à moi de faire les efforts nécessaires.
Mes enfants ont fait des études supérieures. Le principal problème rencontré a été le logement. Ne serait-il pas intéressant de s'inspirer des kots belges ou des logements partagés québécois. Deux de mes petits-enfants kotent à Louvain-la-Neuve (Belgique). De partager un logement entre plusieurs étudiants souvent de nationalité et de culture différentes, de faire cuisine commune, de fêter les fêtes, les anniversaires, les fêtes nationales créent une complicité et une solidarité très fortes.
Je n'ai travailler que 6 mois aux PTT. Nous étions 2 à travailler la nuit et à étudier à la Fac le jour. Mon collègue est devenu prof à la Faculté de Caen. J'ai préféré aller dans le privé. Je n'ai pas rencontré de difficultés particulières.
Le seul problème est que j’ai été mis à la retraite à 63 ans par un accord négocié pat le patronat et les syndicats. J’aurais préféré travailler jusqu’a 65 ans.
Remboursements rapides. Les r’estes à charges chez les spécialistes sont parfois importants (opération de la cataracte, prothèse dentaires, dermatologue).
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J'ai créé une entreprise mais elle n'a vécu que 2 ans. C'est une expérience très enrichissante (sauf sur le plan financier). Il faut une compétence particulière et beaucoup de persévérance pour réussir.
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J'ai été formateur dans une société informatique pendant 2 ans. Le principal problème est que les personnes prennent le job qu'elles trouvent , pas le travail qui leur convient, qui serait capable de les rendre heureux.
J'ai rémunéré des personnes lorsque je dirigeais une région pour le compte d'une société informatique américaine. Le salaire était fonction des résultats : - Bénéfice, chiffre d'affaires généré, délai de paiement des clients pour les commerciaux; - Astreintes, remise en états des installations dans un délai maximum de 2 heures (parfois la nuit), chiffre d'affaires du laboratoire électronique etc pour les techniciens. J'ai trouvé le système d'autant plus intéressant que l'on gagnait bien notre vie et qu'il y avait toujours des volontaires pour les tâches pénibles.
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Ce que démontre votre questionnaire, c'est qu'en France l'Administration est déconnectée de la société, est un monde à part. Le principal problème n'est-il pas là ? Le manque d’opportunité, d’initiative, de risques en fait un monde triste ou les fonctionnaires attendent leur retraite, qu’ils souhaitent la plus rapide possible.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Concilier agriculteurs, pêcheurs, citoyens et écologistes. Actuellement les producteurs ne sont pas rémunérés correctement et les citoyens ne sont pas satisfaits de la qualité des produits, la nature (faune et flore) se dégrade au point que les spécialistes prévoient la fin de la vie sur la terre dans cent ans. Il faut réagir d’urgence et de façon efficace. L’agriculture n’est pas la seule responsable, mais il faut commencer par un bout. La généralisation de la TVA à 20 % sur les produits alimentaires peut fournir le financement nécessaire à une transformation des pratiques aux conditions suivantes : 1 – Que les 14,5 % de surtaxe sur les produits importés soient utilisés pour compenser cette hausse pour les citoyens aux bas revenus et à l’augmentation des allocations familiales. 2 – Que les 14,5 % restant bénéficient intégralement aux producteurs. 3 – De surtaxer les pesticides et herbicides : - de 33 % en 2019 - de 66 % en 2020 - de 100 % en 2021 De façon à en limiter l’usage progressivement aux seules applications qui ne peuvent être traitées autrement. De consacrer intégralement ces surtaxes au financement de la protection sociale et des retraites des producteurs, les producteurs vertueux étant ainsi encouragés. Certes, les classes moyennes et supérieures seraient encore mises à contribution. Mais consommer des produits de qualité, éviter de polluer rivières et mers, protéger la faune et finalement permettre aux générations futures de vivre sur la terre ne valent-ils pas quelques sacrifices. L’optimisme renaissant ne redresserait-il pas la courbe de la natalité ?
Oui
Submersion marine. Qualité des aliments. Plus d'oiseaux, de chauve-souris et d'abeilles dans mon jardin.
Oui
Je n'utilise pas de pesticides. Je n'utilise ma voiture que lorsque je ne peux faire autrement. Je trie mes déchets. Je protège les animaux sauvages.
La réflexion sur les conséquences pour le présent et l'avenir.
Je crois avoir fait ce qui est en mon pouvoir.
Oui
Lors de chaque renouvellement, je choisis la solution la plus performante pour mon logement.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Le vélo|Les transports en commun
Le plus simple serait d'habituer les enfants à marcher et faire du vélo. Pour cela il faut des pistes cyclables et des trottoirs.
Montrer l'exemple.
La solidarité doit être au rendez-vous. Actuellement, pour que les prix des denrées alimentaires soient bas, nous sacrifions les agriculteurs, pêcheurs etc. Ce n'est pas juste et sources de conflits. Nous détruisons la planète par égoïsme.
Votre message a bien été envoyé.