Dire la vérité sur ce qu'a été la vie des plus anciens considérés aujourd'hui comme des privilégiés
Tenir compte des réalités, passées et présentes
Tous ceux qui sont soit nouveaux soit qui ont été augmentés depuis l'arrivée de Monsieur macron aux affaires publiques, et ne pas les baisser mais les supprimer pour les nouveaux et remettre les anciens à leur taux à cette date
prendre l'argent dans l'accroissement de la productivité qui a été multipliée par plusieurs ordres de grandeur durant ces 30 dernières années
La fortune selon Emanuel Macron : Monsieur Macron pense certainement que des retraités qui ont une pension au moins égale à 2000 € ne la méritent pas. Sans doute Monsieur Macron ignore-t-il que cette retraite a, pour bon nombre d’entre nous, été gagnée après avoir travaillé durant plus de 40 ans, et jusqu’à 45 pour certains, et quelquefois depuis l’âge de 15 ans. Sans doute aussi Monsieur Macron ignore-t-il qu’au début de notre longue carrière et durant 13 années nos congés payés se limitaient à 3 semaines par an, avant de passer à 4 durant les 13 années suivantes, avant de finir à 5 semaines pour mes 17 dernières années d’activité dans mon cas, et simplement par exemple. Monsieur Macron ignore aussi, sans doute, que durant nos premières années actives, bien que le temps légal de travail hebdomadaire ait été de 40 heures par semaine, dans l’industrie l’horaire hebdomadaire régulier était plutôt de 45 heures, voir 48, à la demande de la direction de l’entreprise dès qu’un aléa venait perturber le rendement attendu. Ensuite, peu d’entre nous ont connus 39 heures effectives, le régime des heures supplémentaires étant bien installé. Quant aux 35 heures, pour ma part je n’ai fait qu’en entendre parler. Donc, considéré comme des nantis tous ces retraités n’ont manifestement pas mérité leur pension mensuelle de 2000 euros au moins, et sur la base de cette appréciation, cette pension n’étant maintenant pas revalorisée depuis plus de 3 ans, elle est encore trop élevée, ce qui justifie de la frapper d’une CSG majorée sans aucune compensation. Monsieur Macron vaut à lui seul combien de ces retraités à qui il reproche de couter trop cher pour le travail qu’ils ont fourni durant près d’un demi-siècle ? La dictature n’est pas qu’une impression, pour nous. Serge Rochain, à la retraite après 522 mois d’activité professionnelle et qui continue à œuvrer bénévolement là où l'état ne joue pas son rôle.
Tous sauf ceux créés spécialement au profit d'envahisseurs qui n'ont jamais rien apporté à la France et qui veulent nous imposer leur mode de vie et leurs croyances médiévales.
Aucun, les choses utiles n'ont pas besoin d'être subventionnées par l'impôts et elle s'imposent d'elles-mêmes il s'agit d'actions, et non d'argent :
OUI : Supprimer les dépenses somptuaires et futiles du train de vie des politiciens qui n'ont d'autres compétences que de se faire élire (quand ce n'est par en raison de circonstances fortuites), à commencer par celui de l'Elysée, sénat, Présidences de région, de départements…. Une classe politique qui ruine la France et surtout les français.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Passer rapidement à des moyens de transport individuels et collectifs électriques
Oui
j'ai un véhicule PHEV et en ville je ne roule qu'électrique, et hors ville cela dépend de mon autonomie électrique. Pour de longs parcours j'utilise le moteur thermique hors des villes.
Oui
Ce que je fais déjà
Si les VE et les stations de recharge permettaient d'obtenir le même service que ce que fourni un VT je changerais mon PHEV pour un VE
Que les pouvoirs publiques fassent leur travail en imposant une normalisation des moyens de rechargement aux bornes électrique et imposent le moyen de paiement à la consommation en KWh avec carte bleu standard. Qu'il soit interdit de vendre des véhicules autres qu'électrique dans un délai raisonnable, disons 5 ans par exemple et interdiction de circuler aux VT dans 15 ans. Décisions qui auraient du être prises au lendemain de la cop21 et qui ne le sont toujours pas. Mettre une taxe, c'est facile et ça rapporte plus, mais n'a aucun effet écologique.
Non
None
Non
None
Je ne souhaite pas utiliser d'autre mode de transport car le mien convient très bien, je ne polue pas
Personne, j'ai choisi ce qui correspond au mieux à mes besoins tant que le pur VE ne remplace pas totalement le VT
Voilà la seule bonne question qui m'est posée. Et voilà ma réponse : Mesures en faveur de la transition écologique en rapport avec la mobilité. Des milliers de gens ont investis dans un véhicule essence ou diesel et ils vont l’utiliser durant près de 10 ans. Il semble qu’à l’ENA on apprend à gouverner en regardant dans le rétroviseur d’une part et que, d’autre part on apprend à changer les règles du jeu durant la partie. Il est urgent de fermer cette école surréaliste. Si une taxe, même appelée « Taxe carbone » n’a jamais permis que le carburant qui la supporte diminue sa production de Co2 d’un seul milligramme, il est possible d’être efficace dans la gouvernance sur ce sujet précis. Qui peut croire qu’une augmentation du prix à la pompe va inciter les propriétaires-utilisateurs d’un véhicule thermique à s’en débarrasser au profit d’un véhicule électrique ? C’est bien ce type de mesure sans aucun effet sur l’écologie qui a été appliquée avec un faux nez. Un décret ou mieux encore, une loi interdisant la vente et l’importation de véhicules à moteur thermique à partir de telle date (dans 5 ans par exemple) et la circulation de ces mêmes véhicules 10 années plus tard, par exemple, permettrait aux constructeurs de se reconvertir dans un temps raisonnable et aux derniers acquéreurs de ces véhicules de les amortir sur 10 années. Sachant que la disponibilité de points de recharges ultra rapide mettra beaucoup de temps à s’imposer surtout sans l’aide active et dirigiste de l’état, favoriser la commercialisation d’hybrides rechargeables équipés de dispositifs de signalisation permettant de savoir la source de leur énergie active serait une étape indispensable vers le tout électrique et permettrait de n’utiliser que des véhicules en traction électrique en ville. L’interdiction de production de véhicules dont la source d’énergie n’est que l’essence ou le diesel permettrait d’obtenir rapidement des productions de masse à bas prix de ces véhicules du futur. Dans un deuxième temps, lorsque le réseau de charge rapide sera bien structuré, interdire la vente de PHEV et leur usage 10 ans plus tard nous permettra d’atteindre l’électromobilité totale. Malheureusement on constate qu’aujourd’hui encore nos constructeurs français sont des aveugles du 19em siècle en train de rater le virage si important de l’électromobilité et qu’ils sont encensés comme de grands industriels pour avoir vendu dans un proche passé des véhicules aussi adaptés à la vie de demain que les fardiers à vapeur, mais que ces derniers n’ont plus à vivre. Une décision de ce genre au lendemain de la cop 21 aurait été à la fois un symbole fort de l’engagement de la France et une mesure efficace qui nous aurait permis d’être leader dans le domaine de l’électromobilité et de créer une industrie porteuse des techniques qui sont associées à cette nouvelle forme de mobilité. Corrélativement, nous aurions créé de multiples emplois en grand nombre pour satisfaire aux besoins de cette industrie, couvrant les domaines des moteurs électriques, de l’électronique de puissance embarquée, et des technologies électrochimiques des batteries, des stations de recharges en connexion avec le réseau, en plus de celle déjà existante de constructeur de véhicules. Ainsi en 2020 nous aurions déjà une offre variée de tels véhicules produits en grand nombre garantissant un prix de fabrication probablement déjà moins élevé que celui d’un véhicule thermique grâce à une motorisation bien plus simple et facile à réaliser, et toute la population vivant aujourd’hui de la construction automobile serait rassurée sur son avenir, lequel est en train de se faire grignoter par les industries correspondantes des pays d’Asie, et par certains constructeurs européens moins aveugles que les dirigeants des nôtres. Cette décision d’une portée sans commune mesure avec l’imposition d’une taxe, n’est toujours pas prise à l’heure présente. Au lieu de cela, Il est à craindre que la frilosité de certains constructeurs automobiles français, qui livrent depuis 10 ans une bataille d’arrière-garde, défendant les technologies des moteurs hérités du 19e siècle ne conduisent qu’à créer un chômage massif à l’ombre des ruines des usines de PSA. Serge Rochain.
J'ai tout dit dans la fenêtre précédente
Votre message a bien été envoyé.