C'est une question à double tranchant, force est de constater que de nombreux français ont perdu confiance dans les élus. Il faut mettre en place un système où le clivage actuel s'effacerait.
Oui
Les associations humanitaires, sociales, de défenses des droits, les organisations syndicales et non gouvernementales, doivent pouvoir constituer une force politique qui serait capable d'agir comme contre-pouvoir, à partir du moment où ces dernières seraient compatibles par une clause ou un accord avec les principes de la Constitution et de la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen. Les Sages du Conseil Constitutionnel pourraient travailler à cette question. Il faut qu'elles soient reconnues d'utilité publique car les conséquences des problèmes liés aujourd'hui à la démocratie et la vie institutionnelle sont gérées par l'activisme citoyen.
Je ne sais pas si le RIC est une bonne idée, mais il y a matière à réfléchir. Par ailleurs, il faudrait d'abord s'assurer que la pratique du débat chez les Français est entière.
Je ne sais pas
None
Je pense qu'il y a beaucoup trop de partis politiques, je n'ai pas de réponses à cette question....
Non
None
De très nombreux citoyens ne se sentent plus concernés par la politique et un trop grand taux d'abstention et/ou de votes blancs ne permet pas d'obtenir une assez bonne représentation politique. Il faudrait peut être, réfléchir à imposer le vote. Le droit de vote doit être considéré comme un devoir aussi. Il faut retrouver dans les écoles, l'éducation au civisme et à la citoyenneté, en la modernisant pour que les adultes de demain saisissent toute l'importance de leur implication dans la vie politique de leur pays.
Oui
Il faut prendre en compte le vote blanc de manière rationnelle et sécurisée. D'abord, le vote blanc doit être reconnu à partir d'un certain seuil (si le nombre de votes blancs est au dessus des votes des autres partis, cela signifie qu'aucun programme politique ne plaît à la majorité des votants). Cependant, il faut sécuriser cette reconnaissance : aucun parti politique ne doit être créé sous la bannière de vote blanc, car cela pourrait être usurpé par des porteurs de projets politiques anti démocratiques et anti républicains.
Réfléchir à la proposition du RIC sans pour autant accepter tout de cette proposition : la révocation par exemple est une idée dangereuse et qui pourrait nuire à la stabilité du parti majoritaire élu.
Je ne sais pas
None
Il faudrait proposer de temps à autres, des votes aux citoyens au cours du mandat, sur ces questions. Organiser ces votes en les annonçant dans tous les médias voire même, sous forme d'annonces dans les stations de métros etc.
Elles devraient consulter régulièrement des citoyens pour qu'ils s'expriment, par tirage au sort.
Non
None
La laïcité est définie par la loi comme un principe d'ouverture, de tolérance et de neutralité. Pour renforcer son principe, les élus doivent cesser de jouer avec les mots sur cette notion, la laïcité n'a pas à être débattue, mais à être respectée. La laïcité n'est pas d'imposer, elle est d'accepter, et les citoyens doivent comprendre que nous vivons en collectivité dans nos différences et donc, nos richesses. L'interdiction des signes ostentatoire de religion à l'école est "normale", sauf pour l'université, car à ce moment, les étudiants sont de jeunes adultes parfaitement capables de discernement. L'espace public est un espace d'ouverture et de libre circulation des uns et des autres, chacun doit tolérer les différences des autres pour que les autres acceptent notre différence à nous. Lors des émissions télévisées sur le sujet de la laïcité, il serait politiquement correct que des personnes cessent de parler à la place des autres : sur la question du voile par exemple, merci d'inviter des femmes voilées, comme on aimerait voir des femmes parler au sujet du féminisme ou du sexisme, et que ces questions ne soit pas accaparées sur les écrans par ceux/celles qui ne sont pas concerné.e.s.
La montée des populismes et de certains comportements fâcheux trouve ses sources notamment sur les réseaux sociaux, il faut que cesse l'impunité du mensonge et de la haine gratuite sur internet.
Il faut sensibiliser et éduquer sur les différents engagements citoyens pour que chacun voit le travail collectif civil et civique qui est apporté de manière humble et discrète jsuqu'à maintenant. L'exemplarité des défenseurs des droits, les humanitaires, les associations, les initiatives individuelles citoyennes doivent être plus mises en avant et donner goût à l'entraide et le dialogue.
Il faut promouvoir tout comportement civique bénéfique au collectif.
Je ne sais pas.
Certains engagements et actes citoyens mériteraient des décorations publiques. Remettre à l'honneur des actes forts de civisme, de citoyenneté, portant les valeurs de Liberté, Égalité, Fraternité serait une manière de féliciter ceux qui agissent avec conviction et donner du sens à ceux qui se demanderaient pourquoi. La reconnaissance, même si elle n'est pas recherchée, serait un geste et un acte extrêmement fort de la part des élus envers nos héros de tous les jours.
Le racisme, le sexisme, la violence envers les femmes et les enfants, doivent être des priorités de l'Etat. Il faut absolument lutter contre ces gangrènes de toutes les manières possibles et imaginables.
Les pouvoirs publics doivent prendre à bras le corps ces questions pour que la justice soit enfin à la hauteur des crimes commis.
Chacun doit s'efforcer de faire acte de présence en face d'une injustice, cesser l'aveuglement, et ne plus pratiquer la non assistance à personne en danger.
Les discriminations les plus répandues dont je suis témoin : racisme, sexisme, homophobie. Les discriminations dont je suis victime : sexisme.
Cesser la complaisance avec les délinquants et criminels qui pratiquent ces discriminations et encore une fois, revoir le système judiciaire.
Non
None
La situation de l'immigration en France aujourd'hui et de sa politique migratoire est désastreuse pour un pays détenant une devise comme la notre. L'Etat doit cesser lui aussi sa non assistance à personnes en danger. Il n'y pas à opposer les victimes, ni ne pas les regarder.
Commençons d'abord par remplir les obligations d'asile, quand aux objectifs annuels, il conviendra de les discuter en fonction des "problèmes" à régler sur le coup.
Renforcer la coopération entre les États européens, cesser la construction de l'Europe forteresse, cesser l'indignation à géométrie variable. Une vie ici n'a pas plus de valeur qu'une vie là-bas, normalement selon nos principes nous sommes censés nous considérer égaux.
Je pense que la France doit simplement continuer à travailler sur les mécanismes déjà mis en place, mais à faciliter l'accès à ses structures pour alléger les demandes et les dossiers des migrants et réfugiés. Le parcours du combattant que propose l'administration actuellement n'aide absolument pas à faciliter cette intégration.
- Valoriser les Justes citoyens pour mettre en avant les actes positifs - Il faudrait que tous les universitaires et chercheurs signent un serment éthique (pas moral : ETHIQUE). Car beaucoup trop se servent des connaissances pour des objectifs douteux. Les découvertes archéologiques, l'histoire, etc. ne devraient pas servir des discours xénophobes. - Les élus doivent être exemplaires, la démocratie et la citoyenneté est aussi leur apanage, pas seulement celui du peuple, et nous aimerions les voir agir en ce sens. - Les citoyens doivent être éduqués au débat et attirés par l'acte démocratique et citoyen, il faut un système de mise en valeur.
Tous ces sujets me semblent importants, et sont liés les uns aux autres, traiter le problème de la pollution c'est se charger aussi du problème des dérèglements climatiques, de la préservation de la biodiversité, de la santé de tous en général etc.
Les recherches menées par les scientifiques à ce sujet, les innovations et applications connues chez les pays voisins et particulièrement du nord de l'Europe, apportent des solutions la fois écologiques et économiques pour réduire la pollution et préserver la nature (exemple : l'installation de récupérateurs de déchets des eaux usées des résidences collectives sous les bâtiments pour transformer ces eaux/déchets organiques en méthane et le redistribuer en hiver pour alimenter le chauffage des appartements).
Oui
Les canicules à répétition l'été, sont autant de signes, tout comme la pollution en centre ville (odeur, air lourd, maux de tête, toux), ainsi que l'absence de plus en plus marquée dans les grandes villes de certaines espèces vivantes (oiseaux, papillons, abeilles : les papillons notamment, qui contribuent à la pollinisation, n'ont pas accès en ville aux mauvaises herbes/mauvaises fleurs car sont toutes systématiquement coupées. Or, elles leur sont essentielles, ils ne peuvent donc pas s'y installer, procréer et contribuer de leur manière à maintenir des écosystèmes).
Oui
J'utilise les transports en commun, je recycle mes déchets, quand je le peux financièrement, je consomme des produits "propres" (bio, écologique, ou au minimum avec impact réduit, écolabel etc...).
Je ne suis pas concernée par ces questions, car je pratique déjà tout cela par ma propre volonté.
Par rapport à l'achat de produits propres, j'aimerais aussi que les commerces de grande distribution (Auchan, Casino, Carrefour, Leclerc etc) proposent beaucoup plus de produits des marchés locaux et qui respectent des directives environnementales et écologiques, avec si possible, un large choix de prix pour que les plus modestes puissent contribuer au développement de cette économie.
Oui
Il existe à mon avis plus écologique que le chauffage électrique individuel, mais vivant en HLM je ne peux changer mon mode de chauffage. L'exemple que je donne plus haut sur la récupération des eaux usées (eaux du bain, et des WC) dans les HLM pour les transformer en méthane et le redistribuer dans les chauffages des appartements en hiver me semble être un bon compromis entre écologie et économie.
Oui
Les transports en commun sont des plus en plus chers, car leur développement est en croissance surtout dans les métropoles qui connaissance un fort agrandissement de leur nombre d'habitants. Mais il faut que les plus modestes puissent continuer d’accéder à ces modes de transports, et pour cela, il faut persévérer dans la politique des "tarifs réduits" voire, gratuité des transports pour eux. Pour les autres, je pense que les tarifs sont justes, mais il faudrait que le gouvernement puisse étudier ces tarifications pour limiter les abus venant des sociétés de transports. Cela permettrait de régulariser les prix et d'éviter que de nombreuses personnes ne boudent les transports en commun au profit de leur véhicule personnel.
toutes ces réponses sont valides.
De nombreuses métropoles, départements et régions s'en chargent déjà, et les particuliers aussi, rien à ajouter.
La France participe déjà en première ligne au partage de ses choix en matière d'environnement au niveau européen et mondial (préside à la COP21) mais a encore des avancées à faire chez elle pour appliquer ses propres directives.
Il faudrait je pense, avancer drastiquement sur la question pour trouver des solutions alternatives, qui seraient l'occasion de créer de l'emploi tout en alliant notre progrès sur un bon compromis entre écologie et économie (l'installation et la création de services écologiques publics nécessitent la présence d'ingénieurs, d'ouvriers etc: tout un pan d'emplois serait à ouvrir si l'on pensait en terme de grands travaux). De gros financements sont donnés à la recherche pour cela, les résultats des études scientifiques apportent des solutions parfois remarquables, mais leur mise en application peut être longue et coûteuse. Par exemple, l'utilisation du chanvre textile pour remplacer le coton partout (culture qui consomme énormément d'eau et de produits chimiques) : mais pour cela il faut offrir à l'industrie du chanvre textile la possibilité de réduire remarquablement son prix, car souvent, c'est à ce seul niveau que se pose le problème de la mise en application des solutions : l'argent, le coût....c'est beaucoup trop dommage. Il faudrait presque avoir la possibilité de redéfinir ce qui est cher à l'achat de ce qui est peu cher : par exemple il n'est pas normal que le chanvre, dont la production ne demande que très peu d'eau, de produits chimiques et qui est bien implanté sur le territoire, soit hors de prix comparé au coton....qui est tout le contraire et qui, en outre, demande des surfaces de cultures incroyables pour produire peu. Il faut aussi se tourner vers les sciences humaines et sociales, car de nombreuses études archéologiques, anthropologiques, historiques, etc. ont mises au jour ou permis de faire la lumière sur des manières de penser la consommation, de cultiver, exploiter etc (par exemple : la gestion des forêts au Néolithique autour du Lac de Neuchâtel en Suisse, avec une sélection par "parcelle boisée" des arbres à couper parmi les autres, puis la laisser au repos pour qu'elle se reconstruise sans avoir été vidée de ses arbres, et par là même, permet la préservation de la biodiversité). Les grandes entreprises doivent elles mêmes être soumises à des directives écologiques obligatoires, l'effort ne devrait pas venir uniquement des citoyens qui, même s'ils se mettent tous demain à appliquer un mode de vie plus sain, plus écologique et plus propre, ne suffirait pas à passer le cap. Les restaurants par exemple, devraient cesser d'utiliser la javel pour la désinfection des cuisines, il existe beaucoup d'autres solutions alternatives (le vinaigre blanc par exemple), les prestataires de nettoyage ne doivent proposer que des produits propres à leurs clients (sacs poubelles recyclés, produits d'entretiens écologiques, outils de nettoyage de bonne qualité avec un minimum de matériaux recyclés, consommables sanitaires comme le papier WC, essuie main en matière recyclée, et savons sans agents chimiques et ainsi de suite). Tous les déchets des commerces et grandes entreprises devraient obligatoirement être envoyés en centre de tri (séparation des cartons, plastiques, aluminium etc). Tout est à repenser. De la même manière, il faut mieux équiper à l'échelle nationale, les accès aux conteneurs chez les particuliers, pour tous les matériaux et s'assurer que la chaîne du recyclage fonctionne, que toutes les villes ont des centres de tris et de recyclage. Par ailleurs de ce point de vue, les habitants des métropoles qui vivent en HLM ou résidences collectives n'ont pas de possibilité de pratiquer le compost. Il faudrait trouver une solution à l'échelle des métropoles pour réaliser cela, sans que ça n'impacte sur d'éventuels problèmes d'hygiène et de de santé. Cela permettrait également de la création d'emplois. Il faut aider financièrement les starts up, et les PME qui innovent en ce sens, pour les aider à se développer et ainsi démocratiser à l'échelle de la population les innovations qui sont créées. Il faut avancer également sur les emballages alimentaires, il y a des tonnes de plastiques qui ne peuvent être recyclés (sachets de chips, emballages individuels, films alimentaires, pots de yaourts, de beurre à tartiner, de crème fraîche etc) : soit il faut créer une chaîne de recyclage pour que ces matières soient transformées en "diesel de seconde main" ainsi que cela se fait dans un pays du nord de l'europe [me rappelle plus la source ?] soit imposer aux fabriquant de changer tous ces emballages par des matières recyclées adaptées ET recyclables elles mêmes. Les producteurs de sacs plastiques, poubelles etc devraient obligatoirement produire avec des matières recyclées. Il y aurait beaucoup d'autres choses à faire mais je m'en arrête là....
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