La rédaction d'une fiche pratique ou d'une petit vidéo expliquant à quoi servent les impôts, comment ils sont calculés et s'ils sont affectés.
Pour qu'elle soit plus juste et conformément au principe de l'égalité, un impôt symbolique pourrait être soumis à la population que tout le monde devrait payer (une somme symbolique pour les plus pauvres) pour prendre conscience que rien est gratuit et pour tous participer à la construction de notre société. Les dégradations sont si faciles... il me semble que Saint-Barthélémy a mis en place cet impôt.
L'IS, sous conditions de créer des emplois ou d'embaucher.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Celles qui touchent à la politique familiale, parfois trop incitante pour certains parents.
Elle devrait être renforcée auprès des jeunes.
L'écologie
Pour réduire les dépenses de l'Etat, il serait peut être temps de supprimer les privilèges des parlementaires (logement de fonction, voiture de fonction, domestique pour certains). Leur mandat n'étant pas impératif et leur présence à l'assemblée non obligatoire, ils ne devraient plus bénéficier d'autant de privilèges, surtout en temps de crise et de déficit budgétaire. A eux de montrer l'exemple et leur salaire est largement suffisant pour vivre comme tout le monde (logement personnel, transports en commun), en gardant par exemple, leur abonnement de train pour les sénateurs-élus, qui voyagent beaucoup. Ce mode de vie leur permettrait d'être encore plus proche de leur citoyen, ceux qui les élisent et de mieux comprendre leur préoccupation, tout en les vivant. De même, des indemnités ne devraient plus être versées après avoir fini les fonctions. Dans le monde privé, quand un employé ou un patron cesse son activité, il ne touche plus rien, cela devrait être de même dans le monde des hauts fonctionnaires publics (président, ministres, députés).
Je ferai le plus confiance en quelqu'un que je connais, qui est accessible et qui me donne la parole.
Non
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Il faudrait que les citoyens puissent être certains de ces élus, aujourd'hui il y a un fossé parce que les élus ne sont pas de simples citoyens. Il faudrait aussi un lien entre les deux pour avoir un dialogue. Pendant les premières manifestations des gilets jaunes, les élus (députés, sénateurs) ont été absents pour les entendre. Dans le référendum partagé, l'initiative revient aux parlementaires or comment les citoyens peuvent leur en proposer si leurs élus sont inaccessibles et ne les écoutent pas. Les citoyens ne se sentent pas écouter et pire, ils se sentent rabaisser, comme s'ils étaient idiots. Les élus devraient représenter toute la société or ce n'est pas le cas... il faudrait aussi une obligation de présence obligatoire en séance pour voter des textes -> une corrélation entre le salaire et la présence en séance. Le vote de la réforme de la justice (texte important) voté par seulement 88 députés est un scandale... les élus ne représentant pas leurs citoyens en étant absents et cela ne va pas dans le sens de nouer un lien.
Une bonne chose
Il ne faut pas que parlementaire soit un métier acquis et la population étant vieillissante, plus de jeunes devraient pouvoir entrer.
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Non
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je pense qu'elle reflète l’intéressement des citoyens pour la politique. pour les inciter davantage, il faudrait une plus forte moralisation et exemplarité de la classe politique. Pour les inciter, il faut aussi les faire participer (un référendum à l'initiative citoyenne, des élus ressemblant à une mixité, être interrogés sur des questions sociétales).
Oui
je pense qu'il faut le comptabiliser comme un troisième vote et ne pas rembourser les campagnes qui arrivent à des taux inférieurs au vote blanc.
La démocratie participative va devoir passer par donne la parole aux citoyens, comme c'est le cas avec ce débat national. cependant, son effectivité va dépendre de comment va être rapporter, pris en compte et analyser la parole. Cette démocratie va aussi passer par un référendum, certes encadré (fonctionnement des pouvoir publics, questions sociétales) mais dans lequel l'initiative du référendum revient aux citoyens électeurs, inscrit sur les listes électorales, et pour lequel une plateforme unique est mise à leur disposition. Les citoyens veulent participer et être associé aux changement dans laquelle ils vivent car ils ne se sentent ni écoutés, ni représentés. Il est temps que notre vieille Constitution évolue dans un monde où les populations sont de plus en plus éduquées avec des niveaux d'études de plus en plus élevés. Le monde change et les lois doivent le suivre.
Oui
Comme dit précédemment et conformément au texte, l'initiative est pas vraiment partagée car elle appartient en premier aux parlementaires et il n'existe aucune plateforme (juste un formulaire individuel) pour rassembler les idées et montrer une cohésion. Les parlementaires sont aujourd'hui incapables de fédérer les électeurs autour d'idées car il n'existe aucun dialogue vertical (électeurs/élus).
Pour l'Etat, cela parait difficile, par contre pour les collectivités, on pourrait envisager de présenter 3 choix aux citoyens avec des explications sur chacun des projets (vote avec échéance courte).
Pour le CESE, il n'est pas assez visible. Peu de citoyens connaissent ses missions et même son existence.
Non
None
il faudrait un conseil réunissant tous les grands pontes des 5 grandes religions en France, prônant des messages de paix et de vivre ensemble.
Il faut qu'elles soient enseignées d'une manière importante dans le cycle primaire et secondaire.
pourquoi pas : - rendre obligatoire une forme de service militaire sous la forme d'un service civique - rendre obligatoire en contrepartie de prestations (sociales, familiales) importantes quelques heures de bénévolat dans des organisme agrées
La tolérance et le partage.
Par le service civique ou la réserve ou le bénévolat en contrepartie de prestations importantes.
il faut redonner une part du dialogue aux citoyens.
Les crashas, les violences et les insultes (transports en communs, gare)
Retransformer le ministère de l'éducation en instruction et renvoyer la charge de l'éducation aux familles et non aux institutions publics. Les incivilités sont un problème d'éducation revenant aux parents, c'est eux qui doivent répondre de leur enfants.
je ne sais pas
les discriminations à l'origine
Il faudrait instaurer des quotas d'immigrations, interdire les visas de travail pour des demandeurs provenant de pays stables et sans guerre. Il faut renvoyer chez eux, tout ceux qui n'ont par leur place et s'occuper de ceux vraiment dans le besoin et qui ont envie de devenir français, d'adhérer à nos valeurs et de travailler en France. Pour cela, de meilleur programme d'intégration et d'aide doivent être mis en place (en avoir moins et mieux les intégrer). La dérive est d'accepter beaucoup de demandeurs de visas, de réfugiés, leur fournir des aides mais aucunes perspectives. Les aides versés par les contribuables sans contrepartie augmentent le sentiment d'injustice chez les nationaux, qui amplifient le phénomène de discriminations.
Oui
Des heures de bénévolats, des aides aux personnes âgées dans la vie quotidienne (comme un tutorat).
il faudrait des quotas et n'accepter que les demandeurs de pays dangereux selon la liste du Quai d'Orsay. Les demandeurs de pays sur et les réfugiés économiques ne devraient même pas pouvoir déposer une demande. Aujourd'hui, les institutions et les pouvoirs publics sont surpassés, il faut des mesures drastiques.
oui
des quotas d'immigration
il ne faut pas une immigration de masse mais plutôt répartis sur le territoire. L'intégration passera par le travail, il font donc les former et notamment, dans les filières en crise (aides à domicile, informatique). Il ne devrait pas non plus pouvoir bénéficier de toutes les aides avant un certain nombre d'années de résidence sur le territoire pour éviter d'amplifier le sentiment d'injustice chez les nationaux.
None
L'organisation de l'Etat en France est souvent qualifié de mille feuille et c'est encore plus vrai aujourd'hui avec tous les organes décentralisés : communes, départements, EPCI, régions... il y en a trop et la superposition est gage de lenteur administrative et de complexité (aucune unification dans les compétences, redondance, multiplications des décideurs). Dans les cas, où un EPCI (ex: une métropole) est ancré sur le territoire depuis un certain nombre d'année, certains échelons pourraient disparaître, comme le département et en contre-partie, la personnalité juridique sera transféré à l'EPCI. Récemment, certain maire de grandes villes (Toulon, Nice) ont refusé la suppression des départements au profit de métropole. En cause, la peur de dénaturer la compétence sociale dévouée au département et de voir tout se concentrer sur les zones urbaines en oubliant les zones rurales. Dans ce cas là, nous pourrions peut être envisager la substitution d'un département à un pôle regroupant ces compétences et son territoire. Ces pôles, placés sous les ministères concernées s'occuperont de tout le coté social délaissée au département : l'ASE, l'action sociale, les prestations sociales...
Non
Elle devrait plutôt les clarifier. La culture, la formation, l'emploi sont des exemples où chacune des collectivités peuvent intervenir. Donnons par exemple l'emploi à la région (il existe déjà un organe pour cela : la DIRECCTE).
Oui
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Non
Non
Je préconise une concertation sur les compétences décentralisées avec une réelle cohérence et des versements fiscales réévalués en conséquences de la part de l'Etat.
Tout ceux qui ont mis en place des dématérialisations.
La justice, la police et l'éducation (gros manque de moyens).
Oui
Non
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Oui
En les responsabilisant et en leur donnant un budget propre et des objectifs.
Oui
il faut encore dégraisser le fonctionnement et les échelons existants
Ces instances ont besoin de se concerter entre elles et d'agir de manière unie et non chacune de son coté. Soit, le parti pris est celui de la subsidiarité, soit celui d'un point de vue national. Les réponses devraient aussi être mieux ciblées et non éparpillées sur plusieurs domaines, on devrait seulement traiter un problème par un problème à la fois.
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