Date de publication : 2019-02-28
Code postal : 69003

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

La rédaction d'une fiche pratique ou d'une petit vidéo expliquant à quoi servent les impôts, comment ils sont calculés et s'ils sont affectés.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Pour qu'elle soit plus juste et conformément au principe de l'égalité, un impôt symbolique pourrait être soumis à la population que tout le monde devrait payer (une somme symbolique pour les plus pauvres) pour prendre conscience que rien est gratuit et pour tous participer à la construction de notre société. Les dégradations sont si faciles... il me semble que Saint-Barthélémy a mis en place cet impôt.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

L'IS, sous conditions de créer des emplois ou d'embaucher.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Celles qui touchent à la politique familiale, parfois trop incitante pour certains parents.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Elle devrait être renforcée auprès des jeunes.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

L'écologie

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Pour réduire les dépenses de l'Etat, il serait peut être temps de supprimer les privilèges des parlementaires (logement de fonction, voiture de fonction, domestique pour certains). Leur mandat n'étant pas impératif et leur présence à l'assemblée non obligatoire, ils ne devraient plus bénéficier d'autant de privilèges, surtout en temps de crise et de déficit budgétaire. A eux de montrer l'exemple et leur salaire est largement suffisant pour vivre comme tout le monde (logement personnel, transports en commun), en gardant par exemple, leur abonnement de train pour les sénateurs-élus, qui voyagent beaucoup. Ce mode de vie leur permettrait d'être encore plus proche de leur citoyen, ceux qui les élisent et de mieux comprendre leur préoccupation, tout en les vivant. De même, des indemnités ne devraient plus être versées après avoir fini les fonctions. Dans le monde privé, quand un employé ou un patron cesse son activité, il ne touche plus rien, cela devrait être de même dans le monde des hauts fonctionnaires publics (président, ministres, députés).

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Je ferai le plus confiance en quelqu'un que je connais, qui est accessible et qui me donne la parole.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Il faudrait que les citoyens puissent être certains de ces élus, aujourd'hui il y a un fossé parce que les élus ne sont pas de simples citoyens. Il faudrait aussi un lien entre les deux pour avoir un dialogue. Pendant les premières manifestations des gilets jaunes, les élus (députés, sénateurs) ont été absents pour les entendre. Dans le référendum partagé, l'initiative revient aux parlementaires or comment les citoyens peuvent leur en proposer si leurs élus sont inaccessibles et ne les écoutent pas. Les citoyens ne se sentent pas écouter et pire, ils se sentent rabaisser, comme s'ils étaient idiots. Les élus devraient représenter toute la société or ce n'est pas le cas... il faudrait aussi une obligation de présence obligatoire en séance pour voter des textes -> une corrélation entre le salaire et la présence en séance. Le vote de la réforme de la justice (texte important) voté par seulement 88 députés est un scandale... les élus ne représentant pas leurs citoyens en étant absents et cela ne va pas dans le sens de nouer un lien.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Il ne faut pas que parlementaire soit un métier acquis et la population étant vieillissante, plus de jeunes devraient pouvoir entrer.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

je pense qu'elle reflète l’intéressement des citoyens pour la politique. pour les inciter davantage, il faudrait une plus forte moralisation et exemplarité de la classe politique. Pour les inciter, il faut aussi les faire participer (un référendum à l'initiative citoyenne, des élus ressemblant à une mixité, être interrogés sur des questions sociétales).

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

je pense qu'il faut le comptabiliser comme un troisième vote et ne pas rembourser les campagnes qui arrivent à des taux inférieurs au vote blanc.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

La démocratie participative va devoir passer par donne la parole aux citoyens, comme c'est le cas avec ce débat national. cependant, son effectivité va dépendre de comment va être rapporter, pris en compte et analyser la parole. Cette démocratie va aussi passer par un référendum, certes encadré (fonctionnement des pouvoir publics, questions sociétales) mais dans lequel l'initiative du référendum revient aux citoyens électeurs, inscrit sur les listes électorales, et pour lequel une plateforme unique est mise à leur disposition. Les citoyens veulent participer et être associé aux changement dans laquelle ils vivent car ils ne se sentent ni écoutés, ni représentés. Il est temps que notre vieille Constitution évolue dans un monde où les populations sont de plus en plus éduquées avec des niveaux d'études de plus en plus élevés. Le monde change et les lois doivent le suivre.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Comme dit précédemment et conformément au texte, l'initiative est pas vraiment partagée car elle appartient en premier aux parlementaires et il n'existe aucune plateforme (juste un formulaire individuel) pour rassembler les idées et montrer une cohésion. Les parlementaires sont aujourd'hui incapables de fédérer les électeurs autour d'idées car il n'existe aucun dialogue vertical (électeurs/élus).

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Pour l'Etat, cela parait difficile, par contre pour les collectivités, on pourrait envisager de présenter 3 choix aux citoyens avec des explications sur chacun des projets (vote avec échéance courte).

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Pour le CESE, il n'est pas assez visible. Peu de citoyens connaissent ses missions et même son existence.

18. Faut-il les transformer ?

Non

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

il faudrait un conseil réunissant tous les grands pontes des 5 grandes religions en France, prônant des messages de paix et de vivre ensemble.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Il faut qu'elles soient enseignées d'une manière importante dans le cycle primaire et secondaire.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

pourquoi pas : - rendre obligatoire une forme de service militaire sous la forme d'un service civique - rendre obligatoire en contrepartie de prestations (sociales, familiales) importantes quelques heures de bénévolat dans des organisme agrées

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

La tolérance et le partage.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Par le service civique ou la réserve ou le bénévolat en contrepartie de prestations importantes.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

il faut redonner une part du dialogue aux citoyens.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les crashas, les violences et les insultes (transports en communs, gare)

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Retransformer le ministère de l'éducation en instruction et renvoyer la charge de l'éducation aux familles et non aux institutions publics. Les incivilités sont un problème d'éducation revenant aux parents, c'est eux qui doivent répondre de leur enfants.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

je ne sais pas

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

les discriminations à l'origine

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Il faudrait instaurer des quotas d'immigrations, interdire les visas de travail pour des demandeurs provenant de pays stables et sans guerre. Il faut renvoyer chez eux, tout ceux qui n'ont par leur place et s'occuper de ceux vraiment dans le besoin et qui ont envie de devenir français, d'adhérer à nos valeurs et de travailler en France. Pour cela, de meilleur programme d'intégration et d'aide doivent être mis en place (en avoir moins et mieux les intégrer). La dérive est d'accepter beaucoup de demandeurs de visas, de réfugiés, leur fournir des aides mais aucunes perspectives. Les aides versés par les contribuables sans contrepartie augmentent le sentiment d'injustice chez les nationaux, qui amplifient le phénomène de discriminations.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Des heures de bénévolats, des aides aux personnes âgées dans la vie quotidienne (comme un tutorat).

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

il faudrait des quotas et n'accepter que les demandeurs de pays dangereux selon la liste du Quai d'Orsay. Les demandeurs de pays sur et les réfugiés économiques ne devraient même pas pouvoir déposer une demande. Aujourd'hui, les institutions et les pouvoirs publics sont surpassés, il faut des mesures drastiques.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

oui

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

des quotas d'immigration

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

il ne faut pas une immigration de masse mais plutôt répartis sur le territoire. L'intégration passera par le travail, il font donc les former et notamment, dans les filières en crise (aides à domicile, informatique). Il ne devrait pas non plus pouvoir bénéficier de toutes les aides avant un certain nombre d'années de résidence sur le territoire pour éviter d'amplifier le sentiment d'injustice chez les nationaux.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

L'organisation de l'Etat en France est souvent qualifié de mille feuille et c'est encore plus vrai aujourd'hui avec tous les organes décentralisés : communes, départements, EPCI, régions... il y en a trop et la superposition est gage de lenteur administrative et de complexité (aucune unification dans les compétences, redondance, multiplications des décideurs). Dans les cas, où un EPCI (ex: une métropole) est ancré sur le territoire depuis un certain nombre d'année, certains échelons pourraient disparaître, comme le département et en contre-partie, la personnalité juridique sera transféré à l'EPCI. Récemment, certain maire de grandes villes (Toulon, Nice) ont refusé la suppression des départements au profit de métropole. En cause, la peur de dénaturer la compétence sociale dévouée au département et de voir tout se concentrer sur les zones urbaines en oubliant les zones rurales. Dans ce cas là, nous pourrions peut être envisager la substitution d'un département à un pôle regroupant ces compétences et son territoire. Ces pôles, placés sous les ministères concernées s'occuperont de tout le coté social délaissée au département : l'ASE, l'action sociale, les prestations sociales...

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

Elle devrait plutôt les clarifier. La culture, la formation, l'emploi sont des exemples où chacune des collectivités peuvent intervenir. Donnons par exemple l'emploi à la région (il existe déjà un organe pour cela : la DIRECCTE).

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Non

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

Je préconise une concertation sur les compétences décentralisées avec une réelle cohérence et des versements fiscales réévalués en conséquences de la part de l'Etat.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Tout ceux qui ont mis en place des dématérialisations.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

La justice, la police et l'éducation (gros manque de moyens).

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

En les responsabilisant et en leur donnant un budget propre et des objectifs.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

il faut encore dégraisser le fonctionnement et les échelons existants

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Ces instances ont besoin de se concerter entre elles et d'agir de manière unie et non chacune de son coté. Soit, le parti pris est celui de la subsidiarité, soit celui d'un point de vue national. Les réponses devraient aussi être mieux ciblées et non éparpillées sur plusieurs domaines, on devrait seulement traiter un problème par un problème à la fois.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None