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Diminuons la dépense publique tout de suite, afin de dégager enfin de vraies marges de manœuvre. Réduisons de 10% tous les salaires, traitements et retraites dans la Fonction Publique au-delà d’un certain seuil « raisonnable » autours de 5000 euros par mois, par exemple.
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La Constitution indique : ARTICLE 20 Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation. ARTICLE 21 : Le Premier ministre dirige l'action du Gouvernement. Prenons ce texte au mot. Conservons notre régime dit « parlementaire », sans rien changer ! Mais en appliquant vraiment les textes de notre loi constitutionnelle, qui accorde l’essentiel du pouvoir exécutif au Premier Ministre. Ce dernier bénéficierait bien entendu de la même stabilité politique qu’à l’heure actuelle, qui se fonde avant toute chose sur une majorité parlementaire stable. L’origine du choix de celui-ci par le seul Président de la République, qui n'est absolument pas définie par nos textes constitutionnels, n’émanerait plus du Président de la République mais de la volonté de l’Assemblée Nationale. Libre à ces deux hommes de s’entendre en bonne intelligence et de se répartir de façon claire et harmonieuse les responsabilités suprêmes. La conduite de la Politique étrangère restant, en tout état de cause, entre les mains du Président. On rendrait ainsi un vrai pouvoir à nos députés, dont la mission serait plus que jamais d’être de représenter leur circonscription ainsi que d'être les vrais porte-parole du peuple. Accessoirement, les élections législatives, qui sont devenues avec le quinquennat une espèce de parodie, redeviendraient utiles.
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