Date de publication : 2019-02-25
Code postal : 29940

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Former les jeunes aux mécanismes de l'économie. Établir un comparatif de l'utilisation des impôts dans les différents pays européens, afin que les français qui bénéficient de prestations sociales soient conscients des efforts que la nation fait pour eux et se rendent compte qu'ils auraient du mal à avoir un niveau de prestation équivalent dans d'autre pays.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

L’impôt doit être supportable et non confiscatoire quelque soit le niveau de revenu du contribuable

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Taxe d’habitation Je pense que cet impôt est un impôt inique et injuste dont le mode de calcul soit ne dois pas être communiqué au contribuable, soit est inconnu du service des impôts. J’en veux pour preuve 2 courriers adressés au service des impôts réclamant des explications sur leur mode de calcul, qui n’ont pas reçu de réponse satisfaisante. Dans ces conditions comment demander au contribuable d’avoir un consentement à l’impôt. C’est un impôt qui doit disparaître pour tous.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Le chômage, l’emploi, la formation : L’objectif est le retour à l’emploi. L’outil pour ceux qui ne sont pas employables directement doit être la formation qui doit tenir compte des emplois disponibles, ainsi que des emplois du futur tout en tenant compte des aspirations et des capacités des gens qui doivent adhérer aux emplois proposés, car on ne fait correctement son travail que si on s’y sent bien. La formation pour les travaux manuels non délocalisables et non automatisables doit être revalorisée. L’indemnisation des chômeurs au bout d’un certain temps doit tenir compte de contre parties : se former et rechercher correctement un emploi. Dans les branches où il y a beaucoup d’emplois non pourvus, les employeurs doivent pouvoir créer leurs propres écoles de formation. Dans tous les cas les professionnels doivent être associés aux formations pour que celles-ci colle au plus près des besoins. Un autre point est l’aide à la mobilité géographique pour pourvoir des emplois vacants et pérennes. HLM Pour certains l’attribution d’un HLM, spécialement dans le centre des grandes villes s’apparente à un avantage à vie. Il y a des personnes qui ont le même logement depuis plusieurs dizaines d’années. On a même vu des logements HLM mis en location sur des plateformes internet. Aucune remise en cause, même si la situation financière évolue, (ne rendant plus les locataires éligibles à l’attribution d’un HLM) ou la situation familiale (avec le départ des enfants) On devrait réexaminer la situation de chacun périodiquement et moyennant un préavis raisonnable leur demander de rechercher un logement dans le parc privé. Il n’est pas normal que des jeunes avec enfants ne puissent accéder à ces HLM parce que ceux-ci ont été attribués sur des critères qui étaient respectés à l’époque et qui ne le sont plus. Naturellement cette proposition doit être appliquée avec discernement dans des zones géographiques délimitées

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

la formation des médecins: trop de place au bachotage, pas assez à la vocation et à l'humain. Absence de disponibilité des médecins. Pour avoir un rendez vous quand on est malade: le délai pour avoir un rendez vous est d'une semaine, cela est insupportable. Les consultations durent moins de 10 mn sans contrôle de la tension. Comment s'étonner de l'engorgement des urgences et de l’hôpital. Absence de garde la nuit et le WE, alors que les pharmaciens ont cette obligation et de plus une obligation de répartition géographique. Il faut trouver des solutions avant 10 ans , temps de formation d'un médecin car le système va exploser avec le départ de nombreux médecins à la retraite. Les anciens ministres de la santé devraient rendre des comptes sur leur absence de vision avec le maintien du numerus clausus qui ne correspond plus aux besoins de la population. C'est aussi cela le problème actuel: l'irresponsabilité; Les études de médecine durant la 1ere année sont devenus une machine à broyer les étudiants: 10% de réussite alors que le dispositif prend l'eau de toute part, contourné par des formations à l'étranger. Les étudiants français ne sont pas admis pendant que l'on fait appel à des médecins étrangers pour compenser le déficit de médecins français. Personne n"a vu venir que les médecins n'exerçaient plus de la même façon que dans les années 1960, que leur temps de travail s'était réduit, que les gardes n'étaient plus assurées, que les médecins prenaient leur WE ou partaient en vacances, que la profession se féminisait, que certains n'exerceraient pas en médecine de ville ou de campagne. Il n'y a que la population qui s'en est rendu compte, à croire que les ministres, les députés ou les sénateurs ont des accès privilégiés à la médecine qui les rendent insensibles au besoin de la population.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Aucun. Revoir éventuellement la répartition des enveloppes budgétaires.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

ISF Je suis définitivement contre le rétablissement de l’isf et suis pour la disparition de l’ifi. C’est un impôt anti réussite qui a fait fuir une partie des plus grosses fortunes de France pour le plus grand plaisir d’autres pays qui ne font pas la chasse à ceux qui ont réussi mais qui ont compris qu’il y avait plus à gagner à les accueillir qu’à les taxer. Ne pas oublier que quand un foyer fiscal se délocalise, c’est la France qui s’appauvrit. Moins d’impôt sur le revenu, moins d’impôts locaux, moins d’ impôts sur la consommation et moins d’investissements. Les tergiversations autour de cet impôt ne sont pas près de faire revenir ceux qui se sont expatriés et qui à juste titre craignent des revirements, sans compter qu’après un certain temps ils se sont ancrés dans leur pays d’accueil. En France certains ont la « haine » de ceux qui réussissent, même s’ils ne doivent leur réussite qu’à eux même. Ne pas oublier qu’avec le même niveau de revenu ou même avec des revenus supérieurs on peut être à terme soumis ou non à l’ISF ou l’IFI selon que l’on aura économisé et placé son argent ou qu’on l’aura dépensé au fur et à mesure. Actuellement à la télé ou à la radio on assiste à une surenchère de misérabilisme avec une prime à celui qui déclarera qu’il gagne encore moins que son voisin. Certains oublient qu’ils sont les artisans de leur propre naufrage par leur comportement. Je ne dis pas qu’il ne faut pas aider nos compatriotes les plus démunis, mais il faut qu'ils se prennent en charge pour s’en sortir et ne pas tout attendre de l’état. Il faut dire que l’état en mettant son nez partout fait qu' aujourd’hui on attend tout de l’état providence. Pourtant la France est l’un des pays les plus redistributifs. Dernière remarque : Il faut se souvenir que lorsque l’ISF ou son équivalent a été institué en France en 1989, l’inflation était de 3.6% et le rendement des emprunts d’état à 10 ans était supérieur à 8%. Ce qui laissait de la marge pour le payer. Aujourd’hui dans le contexte d’inflation et de rendement des emprunts que nous connaissons, cet impôt devient confiscatoire et nécessite pour certain de vendre des biens qu'ils ont mis plusieurs années à économiser pour s’acquitter de cet impôt. Si cet impôt devait être rétabli pour des raisons de paix sociale ou de manque de courage politique, les taux d’imposition et les tranches devront être ré-étalonnés pour tenir compte des possibilités des assujettis. Déficits: il faut arrêter de creuser les déficits et augmenter la dette Retraités: il a été demandé trop aux retraités: Quand une personne part à la retraite elle n'envisage pas d'avoir une diminution de sa retraite dans un contexte d'inflation et d'absence de rendement. Déjà que les retraites ne sont plus revalorisées depuis plusieurs années ( sécurité sociale, complémentaires), la hausse de la csg, la non revalorisation des retraites, l'augmentation des taxes foncières et d'habitation. On a sous estimé la désespérance des retraités qui n'ont plus que leur retraite pour vivre et donc aucune possibilité d'augmenter leurs revenus. Par contre ils ont du temps libre pour tout bloquer. Je pense que l'on aura du mal à se sortir de la crise actuelle sans geste vis à vis des retraités.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

None

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Certains députés n'ont plus d'ancrage local, on ne les connait pas. Ils se sont fait élire sur la lancée de l'élection présidentielle.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Introduire une dose de proportionnelle sans remettre en cause la stabilité des institutions, donc limiter le nombre d'élus issus de la proportionnelle.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

L'objectif c'est d'une part de faire des économies et d'autre part de savoir où s'adresser pour traiter un sujet. On a assisté depuis quelques années à une multiplication des structures que l'on nous a vendu comme étant source d'économies, alors qu'elles sont source d'inflation des dépenses

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

None

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Non

12. Si oui, de quelle manière ?

None

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

None

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Déjà il faudrait informer, chiffres à l'appui , les citoyens des avantages dont ils bénéficient. Certains semblent ignorer le coût des avantages dont ils bénéficient. On ne connait plus le coût d'un passage à l’hôpital ou des médicaments, tout semble gratuit.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Il faut être réaliste, Le CESE rend des rapports qui ne sont pas suivi d'effets. Il n'est donc d'aucune utilité. Il sert au recyclage de copains. Son fonctionnement génère des coûts que l'on peut économiser, je propose sa suppression.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Aujourd'hui on ne se pose cette question que pour une seule religion qui se veut hégémonique par rapport aux autres. Cette religion, pour certains, veut imposer sa loi à l'ensemble des citoyens et même exerce une pression sur l'ensemble de ses membres qui doivent être les plus extrémistes possibles. Les religions ne doivent avoir aucune ambiguïté sur le respect des lois de la république.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

La première chose à faire est d'apprendre le respect et la tolérance. Respect des autres et de leurs idées, respect des professeurs, respect des parents, respect des biens et des personnes.. Respect des symboles de la nation, connaissance des fêtes nationales pour y voir autre chose que des jours fériés. Apprentissage de l'oral afin de s'exprimer autrement que par des coups et de la violence.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Favoriser la vie en collectivité et un certain brassage social. Cela existait il y a quelques années avec le service militaire. et dans les quartiers mais le communautarisme a fait son oeuvre.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Tout ce qui peux concourir à plus de solidarité. EX: Former aux gestes qui sauvent. Visiter les personnes âgées isolées. Renforcer les liens intergénérationnels

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Service civique ou national.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

L'absence de respect sous tout ses aspects.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Il faut prendre le mal à la racine, c'est à dire inculquer des comportements responsables et respectueux dès l'entrée à l'école. Il est important de reconquérir les territoires perdus de la république.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Le développement économique qui en donnant du travail à chacun. permet de trouver sa place dans la société et permet de subvenir à ses besoins par soi même.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Le chômage, l’emploi, la formation : L’objectif est le retour à l’emploi. L’outil pour ceux qui ne sont pas employables directement doit être la formation qui doit tenir compte des emplois disponibles, ainsi que des emplois du futur tout en tenant compte des aspirations des gens, ils doivent adhérer aux emplois proposés, car on ne fait correctement son travail que si on s’y sent bien. La formation pour les travaux manuels non délocalisables et non automatisables doit être revalorisée. L’indemnisation des chômeurs au bout d’un certain temps doit tenir compte de contre parties : se former et rechercher correctement un emploi. Dans les branches où il y a beaucoup d’emplois non pourvus, les employeurs doivent pouvoir créer leurs propres écoles de formation. Dans tous les cas les professionnels doivent être associés aux formations pour que celle-ci colle au plus près des besoins, tout en étant suffisamment ouverte pour permettre des évolutions. Un autre point est l’aide à la mobilité géographique pour pourvoir des emplois vacants et pérennes éloignés du domicile des demandeurs d'emploi ou des aides aux entreprises relocalisant des activités dans les bassins d'emploi défavorisés pour autant que les emplois créés est un avenir. Les aides de l'état ou des collectivités locales aux entreprises doivent se faire avec des garanties et des contreparties en cas de non respect des engagements pris.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La priorité doit être donnée aux français. Tant que nous n'aurons pas résorbé au moins partiellement le chômage de masse, la pauvreté et intégrés une population qui ne sent pas française, avec des penchants communautaristes je pense qu'il faut rester à l'écart de l'immigration , à moins que les français ne souhaitent pas occuper certains postes à pourvoir et qui sont nécessaires pour l'économie.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui, cela ne doit pas s'analyser uniquement de façon quantitative, mais de façon qualitative sans déséquilibrer le marché du travail en France. Cela ne doit en aucun exercer une pression pour précariser les salariés ou faire baisser les rémunérations.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

il faut mettre en place dans les pays de migration des programmes qui favorisent le maintien des populations dans leur pays d'origine. Parallèlement il faut renforcer la surveillance aux frontières de l’Europe. Cela doit se traiter au niveau européen.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Apprentissage de la langue dans des délais donnés et de la citoyenneté et cela pour toute le famille. On ne peut accepter que des migrants ne parlent pas français dans un délai donné après leur arrivée en France ou soient, pour les femmes, recluses dans leur appartement Attention à ce que les français ne se sentent pas étrangers dans leur propre pays. Il faut respecter les équilibres. Ne pas transiger avec les migrants ayant des comportements délictueux ou faisant du prosélytisme islamiste. Aucune tolérance.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

RIC: je suis très réticent sur cette idée de démocratie directe où il y a un risque de prendre des positions à l'emporte pièce sans avoir une information complète sur les conséquences de son vote, en étant intoxiqué par la désinformation ou par les solutions simplistes de certains. En tout état de cause si nous devions aller vers ce type de référendum il devrait être très encadré dans les sujets à traiter. Vote blanc Je ne suis pas partisan de comptabiliser ces votes, car on risque d'aller vers un blocage des institutions. A manier avec précaution et de façon très encadrée pour certaines élections Réduction des échelon de l'administration: 2 objectifs Economie: on ne peux continuer à multiplier les strates administratives qui loin de réduire les coûts multiplient les embauches voire tournent au clientélisme. Simplification: on doit pouvoir s'adresser à un seul endroit pour traiter un problème. Réduction des députés et des sénateurs tout en maintenant un nombre raisonnable les rémunérations ne sont pas en cause. Revoir les avantages des élus; Je ne sais pas si cela est exact, mais si un député après 12 ans de mandat perçoit une retraite de plus de 6000€ c'est totalement anormal. Il en est de même pour les anciens présidents de la république qui bénéficient d'avantages coûteux totalement incompréhensibles pour les français. Je pense que l'on pourrait limiter ces avantages à 5 ans . De même revoir les salaires et les avantages des administrations ou du personnel des assemblées qui semblent avoir des rémunérations ou des avantages injustifiés. Pour les structures administratives: région, département, intercommunalité, municipalité: lier une partie des subventions de l'état au respect de critères: ne pas augmenter les impôts plus que l'inflation; rationaliser leur fonctionnement, privilégier les investissements qui créent de la valeur ou de l'emploi productif, réduire les effectifs administratifs

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

None

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il m’apparaît souhaitable que l'on réduise les strates administratives et des collectivités locales ou territoriales dans un souci d'économie et de simplification. on doit pouvoir traiter un dossier à un seul échelon et non à plusieurs guichet au risque de perdre des informations. ORGANISATION de l’ETAT Échelons administratifs : Les municipalités : Il faudrait regrouper les municipalités qui comptent très peu d’habitants. Est-il raisonnable d’avoir des municipalités de moins de 1000 habitants ? Il faudrait inciter ces municipalités à se regrouper, peut être en augmentant leur dotation mais en leur demandant de rationaliser leur gestion afin de dégager des marges de manœuvre budgétaire. Objectif diminuer les frais de fonctionnement par le regroupement des moyens. Échelons administratifs/collectivités locales C’est une nécessité si nous voulons regagner des marges de manœuvres budgétaires. On a assisté ces dernières années à une augmentation des niveaux de collectivités locales que l’on nous a vendu pour rationaliser, regrouper les moyens en résumé faire des économies. En réalité le résultat semble être à l’inverse de l’objectif poursuivi : multiplication des services donc des chefs de services, des employés pour faire fonctionner ces nouveaux services avec toujours plus d’administratifs, voire des investissements dans des locaux car il faut bien loger tout le monde et peu d’opérationnels sur le terrain.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

None

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Culture des légumes sous serres et des fruitiers sans pesticide entretien régulier de la chaudière, ne chauffer que les pièces occupées avec une horloge jour nuit, mettre en hors gel quand nous partons pour plusieurs jours pour les petits trajets véhicule à faible consommation. tri des déchets ainsi que verre, plastique, papier, carton

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

None

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Proposer aux particuliers un diagnostic gratuit et si possible indépendant afin de déterminer les meilleures alternatives possibles à leur chauffage actuel, avec une étude de rentabilité prenant en compte d'une part la consommation actuelle, avec leur moyen de chauffage en place, et d'autre part l'investissement et l'exploitation (énergie et entretien) du chauffage proposé sur un certain nombre d'année (à déterminer.) Cette étude devrait déboucher sur un cahier des charges de consultation. Toute cette première partie devrait être financée par des aides de l'état. les entreprises proposant ce bilan devront fournir à l'appui de leur étude une assurance qui devra prendre en charge les erreurs entraînant un surcoût de l' investissement ou de leur consommation par rapport au prévisionnel. Parallèlement un enregistrement des paramètres du chauffage ou (et) de l'eau chaude devra permettre de surveiller que du coté du consommateur il n' y pas de dérive dans les réglages ou la consommation. Une aide devra être consentie aux foyers pour absorber le surcoût de l'investissement à concurrence de leur dépense actuelle de chauffage ou (et) d'eau chaude.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

None

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le système de taxation actuel pénalise les gens qui ne peuvent pas faire autrement que de se servir de leur chauffage actuel ou de leurs véhicules. Ils ont fait des choix ou ils sont liés à des installations existantes ou à des véhicules dont l'utilisation obligatoire les pénalise, On ne doit pas les "surpénaliser" par une taxation aveugle. Je propose pour les véhicules neufs (là ou les consommateurs ont le choix) y compris les voitures de société une vignette annuelle ou un autre dispositif qui soit basé non sur la puissance du véhicule mais sur sa consommation au delà d'un certain seuil de consommation. Pour les avions de ligne ou cargo et les bateaux de croisière ou marchands et quelque soit leur nationalité dès lors qu'ils utilisent l'espace aérien ou maritime français (ou européen) de les taxer en fonction des trajets dans l'espace aérien ou maritime français (ou européen) . Cette mesure pourrait être une mesure européenne. Pour les transports routiers commerciaux je propose de rétablir un système équivalent à l'écotaxe mais dont le coût serait pour les transporteurs français annulé par un allègement de charges ou autre. Autre possibilité: taxer les transports routiers liés aux ventes internet, très faiblement et par colis. Ce qui serait d'un rapport important compte tenu des volumes de vente. Cette dernière mesure pourrait être une mesure européenne.