Date de publication : 2019-02-07
Code postal : 38240

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

• Donner des informations régulières sur les budgets primitifs et réels (Etat et collectivités locales) ainsi que sur les réductions de dépenses opérées au fil des années.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

• Il faut instaurer un plafond sur les augmentations des parts communales, intercommunales et au delà sur les diverses taxes (tant que ces dernières existent) • rendre contraignantes les conclusions de la cour des comptes pour ce qui concerne les dépenses publiques • afin de relancer l'économie, diminuer la pression fiscale pour les particuliers et les entreprises. En contrepartie, revoir le train de vie de l'Etat et la générosité de l'Etat Providence • ne pas rétablir l'ISF, impôts dogmatique de gauche. En contrepartie, rendre impossibles les mécanismes "d'optimisation fiscale" ; ce ne sont pas ceux qui utilisent ces mécanismes légaux qui sont coupables, mais ceux qui les permettent. A ce titre, faire en sorte que l'Europe harmonise ses taux de prélèvements en ne perdant pas de vue que la politique française (et donc les dépenses associées) n'est pas le centre de l'UE... • Faire en sorte que tous les foyers fiscaux soient redevables de l'impôt sur le revenu, qui constitue un devoir de citoyen • faire en sorte que toutes les entreprises réalisant des plus-values en France paient leur impôt à due concurrence en France • arrêter de prendre les retraités pour des "vaches à lait" ! - traquer la dissimulation de revenus ; on pourrait embaucher pas mal de contrôleurs avec l'argent récupéré...

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Les impôts sur le revenu

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|• avant de s'interroger sur le financement de la protection sociale, il faudrait poser la question des contours de cette protection et de ses conditions d'attribution ; il y a sûrement des économies à faire, mais pas toujours sur le dos des "plus aisés" ! Faire prendre conscience à chacun que la protection sociale doit être financée par tous (et pas seulement, comme on l'entend, par les "riches" qui sont de toute façon déjà partis de France). Il faut revoir les choses en profondeur et casser la situation actuelle, conséquence des décisions politiques depuis des dizaines d'années, qui fait qu'il existe durablement une majorité d'allocataires et une minorité de financeurs, ces derniers étant de plus stigmatisés alors qu'ils ont fait plus d'efforts que les autres pour vivre décemment

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

• toutes celles qui créent l'appel d'air à l'immigration clandestine

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

• le domaine de la santé doit faire partie des priorités, mais ce n'est pas toujours une question d'argent. Comment, par exemple, accepter le financement par le contribuable des études de médecine à des étudiants qui, leur diplôme obtenu, s'installent tous en ville alors qu'il existent des déserts médicaux et qu'il faut "importer" des médecins étrangers dans ce contexte ?

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

• Je suis prêt à payer plus d'impôts si chaque foyer fiscal en fait de même et si j'ai un droit de regard sur la façon dont mes impôts sont utilisés. Alors, on pourra regarder dans quels domaines faire un effort... • Je crois surtout qu'il y a une mauvaise répartition des masses budgétaires à l'heure actuelle. Les gouvernements successifs n'ont fait qu'augmenter la pression fiscale en nous faisant croire que les économies allaient suivre... Mais, lorsque cela s'est produit, ce sont les collectivités locales qui ont fait exploser leurs propres prélèvements pour compenser ! Au final, personne ne s'intéresse vraiment aux économies... Comme disait F. Hollande : "ça ne coûte rien, c'est l'Etat qui paie". Tout est dit !

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

• supprimer l'indexation des allocations familiales sur les revenus, ce qui laisse sous entendre qu'un enfant de ménage aisé est moins important qu'un enfant de ménage défavorisé. Il faut rappeler en effet que cette allocation, créée par Michel Debré, avait pour but initial d'encourager la natalité de tous les français... • interdire aux membres du gouvernement, mais également à tous les élus, de générer des frais de transport payés par les contribuables en allant soutenir tel ou tel candidat en campagne !

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

• Moi-même, car c'est la seule personne en qui j'ai confiance par défaut ! Le problème commence lorsque la réglementation empêche de se représenter directement...

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

• Non a priori ; il ne faut pas des actions de lobbying ou de contestation mais, enfin, des actions pour le bien de la France et menées par des élus désintéressés... • Par ailleurs, le peuple doit garder le contrôle ; il faut donc de la transparence, des instances indépendantes qui mesurent le fonctionnement de l'Etat et tout écart à la règle doit être sanctionné. • Toutefois, il faut respecter le verdict des urnes et le pouvoir ne doit pas être dans la rue en permanence. Mais il faut que la France devienne une vraie démocratie dans laquelle tous les candidats (même en dehors des partis traditionnels) ont la même surface médiatique et les mêmes moyens financiers (il faut donc, pour faire des économies puisqu'il faudra sans doute que l'Etat subventionne les petits candidats, qu'on abaisse fortement le plafond des dépenses pour les grands partis...) • Enfin, le référendum doit donner régulièrement la parole au peuple pour les grandes décisions de la société française. Mais il ne doit pas être un moyen de destituer ceux qui ont été élus précédemment.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

• Assainir la vie politique et la rendre beaucoup plus transparente. • Faire des exemples dans les condamnations d'élus "indélicats" ; combien d'élus ont été jetés en prison jusqu'à présent pour ce type de délit ??? Le fonctionnement de la Cour de Justice de la République est emblématique de ce point de vue : "on ne crache pas dans la soupe !" • Interdire la possibilité de faire carrière en politique

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

• La défiance des citoyens vis à vis des politiciens est liée à l'affairisme de ces derniers, qui est hélas vite acquis en cas d'élection. Il suffit de regarder la réaction outrée de certains députés LREM, qui venaient pourtant juste d'être élus, vis à vis du contrôle de la réserve parlementaire pour s'en persuader ! Toutefois : • le non cumul des mandats est une très bonne chose mais hélas un trompe-l'oeil... Il faut interdire les participations rémunérées à des tas de commissions ou la mise en place "d'hommes de paille" qui gardent un siège au chaud en cas de retour de l'intéressé ! • Si, toutefois, on laisse ces possibilités, il faut réduire pro rata temporis les indemnités liées à chaque fonction exercée. Il est par exemple anormal de voir les bancs de l'Assemblée vides alors que les députés sont largement rémunérés (indemnité + avantages en nature). • Dans le même ordre d'idées, il conviendrait d'exercer un contrôle d'assiduité avec incidence sur l'indemnité • Il faut également interdire les mandats successifs (deux au plus) • Il faut créer une "IGPN" des politiciens. L'électeur n'a en effet aucune vision sur le bon accomplissement de la mission qu'il a confiée à l'élu concerné • enfin, il est hallucinant d'imaginer que nos élus fixent leur propre indemnité ! Il devrait exister une instance type Cour des Comptes pour ce faire (en notant au passage qu'il est non moins hallucinant de constater que les rapports annuels de cette instance ne sont pas contraignants !)

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

• Sans doute de la proportionnelle, sans toutefois retomber dans la IVème République ! • il faudrait également faire en sorte que la démocratie "à la française" soit une vraie démocratie et ne soit pas verrouillée par les grands partis et ceux qui en sont issus. Le coût d'une campagne présidentielle est tel par exemple que les petits candidats sont totalement inaudibles alors qu'ils ont, pour certains, des choses intéressantes à dire. Par ailleurs, il faut arrêter de nous amuser avec le temps de parole mesuré au moment des élections. Chacun sait que l'essentiel de l'image et de la notoriété se fait au quotidien et, de ce point de vue, on voit toujours les mêmes. Les médias participent largement à cette "déformation" et devraient être rappelés à l'ordre (il est notamment anormal que les opinions politiques de tel animateur puissent rejaillir sur son choix des invités)

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

• Il faut arrêter de multiplier à l'infini les strates et subséquemment le nombre d'élus : municipalité, intercommunalité, département, région, parlements français et européen. Avons-nous les moyens de financer tout cela et, au delà, tout cela est-il vraiment nécessaire ? • S'il s'agit d'optimiser les moyens et les dépenses, il faut conserver les régions et supprimer les conseils généraux. • Il faut également arrêter d'alimenter les commissions et organismes improductifs et qui ne servent qu'à rémunérer les élus qui y siègent... • Il faut enfin arrêter le corporatisme en politique, en incluant dans ce qualificatif les hauts fonctionnaires qui continuent par exemple de "pantoufler" alors qu'ils ont été condamnés par la justice pour abus de biens sociaux !

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

• La désaffection des citoyens vis à vis des élections résulte de leur défiance vis à vis des politiciens traditionnels et sans doute du manque d'alternatives en termes de candidats hors "caste", le système étant complètement verrouillé par ceux qui en profitent. Il faut donc commencer par instaurer une vraie démocratie de ce point de vue

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

• En invalidant l'élection au delà d'un certain pourcentage de votes blancs • Mais les votes blancs rejoignent peu ou prou le pourcentage d'abstentions et je crois plus à l'assainissement du système politique et électoral ; cela fait des années qu'on évoque le vote blanc et le taux d'abstention ; des décisions ont-elles été prises pour autant ? Non bien sûr et ce simple fait témoigne de la "mise sous cocon" du système par les élus installés

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

• Redonner la parole au peuple sur les grands choix de société, par l'intermédiaire du référendum trop peu utilisé et des thèmes pour lesquels le référendum serait obligatoire. Mais il ne faut pas renouveler la triste expérience du référendum sur la constitution européenne...

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

• Il faudrait d'abord commencer par le faire connaître du plus grand nombre. • Cependant, ce texte a plusieurs écueils majeurs : il ne permet pas d'empêcher le vote d'une loi, la période de recueil des soutiens est beaucoup trop longue pour que le système soit réactif (ceci explique sans doute cela...) et il ne s'applique qu'aux citoyens disposant d'internet, ce qui élimine de facto toute une tranche de population qui devrait pourtant pouvoir s'exprimer. Si ces points étaient améliorés, le RIC prôné par les "gilets jaunes" n'aurait aucun intérêt car il ne s'agit pas, une fois encore, de donner au peuple le pouvoir de destituer ceux qu'il a élus quelques mois auparavant ; il faut avoir le courage de ses opinions...

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

• La question, un peu comme la précédente, est trop restrictive. Il ne s'agit pas seulement de s'intéresser aux dépenses, mais le peuple souverain doit avoir le pouvoir de bloquer telle ou telle disposition contraire aux aspirations de sa majorité. Le système ne peut donc être uniquement descendant. • Pour consulter les français sur l'objet de la question, il faut commencer par leur fournir des informations précises et transparentes ; par exemple : quel est le coût mensuel des opérations militaires hors du territoire national ? • Il faut aussi être capable de traiter tous les sujets sans tabou ou "bien-pensance politique" (cf. par exemple les conditions d'attribution des allocations familiales qui sont à mon sens un vrai scandale !) • il faut également fournir au peuple une vision globale "état + collectivités locales" pour pouvoir juger de l'évolution des charges de tous ordres et ne pas se cacher derrière la décentralisation des responsabilités sans les budgets associés

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

• Il faudrait que tous ces élus ou personnes désignées passent plus de temps à écouter les citoyens qu'à préparer leur réélection...

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

• Pour le CESE, faut-il autant de monde pour des finalités qui sont quasiment inconnues du grand public ? S'agissant du Sénat, il faudrait introduire une dose de proportionnelle à l'Assemblée Nationale, ce qui aurait deux conséquences positives : ne plus avoir une Assemblée "à la botte" du gouvernement et permettre en conséquence de supprimer le Sénat. Ceci permettrait enfin de finir les "guéguerres" permanentes auxquelles seuls les protagonistes font mine de croire et qui nous coûtent des millions d'euros • De façon plus générale, je crois profondément que le système politique de la Vème République n'est plus adapté aux enjeux et à la classe politique actuels. Il me paraît nécessaire de redonner du pouvoir au peuple et de rendre les élus plus comptables de leurs décisions devant ce peuple, en un mot de passer à la VIème République...

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

• Interdire tout affichage ostentatoire de sa religion dans l'espace public, notamment vestimentaire (à part les dignitaires religieux eux-mêmes). On ne peut pas se dire laïc et en même temps considérer normaux les symboles très visibles de certaines religions ; la religion doit rester un sujet privé et chacun a le droit de pratiquer ses rites dans l'espace privé • Interdire les abattages rituels qui sont des pratiques du moyen-âge à une époque où le bien-être animal sort enfin du ghetto • pour autant, on ne doit pas renier les racines chrétiennes de la France et la polémique sur les crèches, par exemple, est ridicule. Ce qui est surtout ridicule, c'est que la société française s'adapte aux cultures importées alors qu'il devrait en être l'inverse. C'est le même problème que pour le partage des mêmes valeurs de la République ; pour certains, les textes religieux priment largement sur le code civil !

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

• s'assurer que, chez les nouveaux arrivants mais aussi rétroactivement pour les populations entrées en France ces dernières années, la loi française prime sur les livres religieux. Cet engagement devrait être formalisé sous serment lors de la naturalisation • une autre difficulté, actuellement, vient du fait que beaucoup d'immigrants (légaux ou illégaux) sont très peu cultivés et donc formatés par leur culture religieuse, souvent en écart profond avec les valeurs de la République Française. Il faudrait donc mener des actions sur ce thème pour les personnes qui vont rester chez nous

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

• Arrêter d'opposer les différentes couches de la société pour asseoir sa doctrine politique et se faire élire • s'assurer de l'adhésion de tous les habitants (et pas seulement des seuls français) aux valeurs de la République (cf. supra) • présenter aux yeux des habitants une République exemplaire, notamment dans le comportement de sa classe politique • Encourager l'adhésion aux associations (hors religion ou politique) • Enseigner la vraie morale dans les établissements scolaires

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

• le respect de l'autre et de son patrimoine • la politesse (la vie en société commence par là...) • l'accomplissement de ses devoirs de citoyen au lieu de ne parler que des droits !

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

• l'Ecole constitue la première marche et les parents la seconde ; il faut sanctionner les parents qui démissionnent de leurs responsabilités. Ce sont les toutes premières années qui déterminent le comportement futur, mais également les fréquentations à l'adolescence. Pour cela, il faut renforcer le contrôle par les services sociaux et établir une connexion avec la police et la justice • s'assurer que les valeurs de la République sont partagées par tous (cf. supra) • rétablir un vrai service militaire • sanctionner sévèrement les écarts et, en premier lieu, appliquer la loi (trop de textes ne servent que d'épouvantail inefficace)

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Donner aux associations une surface médiatique plus importante. Mais il faut, là aussi, que le débat s'établisse et il ne faut donc pas "orienter" la mise en valeur de certaines associations plus que d'autres

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

La création même du mot "incivilité" est un aveu d'échec de la puissance publique incapable de faire respecter les valeurs de base, en particulier le respect de l'autre, et qui cherche à minimiser ces faits en dissuadant les victimes de porter plainte. Aucun problème ne se règlera tant que certains appliqueront leur propre loi et n'en seront pas dissuadés par un Etat courageux.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Assumer leurs responsabilités de protection des citoyens victimes au quotidien de comportements inadmissibles dans une société dite civilisée S'assurer (voir plus haut) que les valeurs de base sont partagées par tous !

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Ne pas répondre aux provocateurs, mais encore faudrait-il que la puissance publique prenne le relais de façon efficace...

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Le harcèlement des femmes

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Que tous les habitants de notre pays partagent les mêmes valeurs et commencent par respecter la loi. On dépense des milliards d'euros pour éduquer les populations concernées, sans beaucoup de succès ; la tolérance est-elle donc une clé de réussite d'une politique ?

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

• Les droits ne sont que la contrepartie des devoirs. Non seulement il faut instaurer des contreparties (par exemple supprimer - et non pas suspendre - les allocations familiales en cas de manque d'assiduité à l'école), mais il faut également s'interroger sur les conditions d'attribution de toutes ces allocations ; par exemple et s'agissant encore des allocations familiales, faut-il les verser à toutes les personnes arrivant avec armes et bagages sur notre territoire alors qu'elles n'ont jamais cotisé ? • Pour les personnes n'exerçant pas d'emploi, ces allocations devraient être versées en contrepartie d'heures de bénévolat au service des collectivités locales

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

• mettre en place une immigration choisie, sur le modèle américain et ne garder le droit d'asile que pour de réels cas (guerres, excision...), en veillant à ne pas cultiver la "repentance coloniale" lors de l'accord des titres de séjour • par ailleurs, les quotas d'immigration légale sont beaucoup trop importants, sachant qu'ils cachent une immigration illégale non anecdotique... • raccourcir les délais d'instruction des demandes d'asile et reconduire rapidement dans leur pays tous ceux dont l'asile a été refusé ; la France, même patrie des droits de l'homme, n'a pas vocation à accueillir toute la misère du monde alors que certains retraités n'ont même pas une pension décente ! • arrêter les appels d'air à l'immigration, par une réglementation en phase avec le monde moderne ; par exemple, que penser du nombre croissant de "mineurs isolés" qui arrivent en France par des filières clandestines, en ayant bien évidemment perdu leurs papiers d'identité... ? • aider les pays en voie de développement sur place, en s'assurant que l'aide apportée ne tombe pas dans la poche de la "nomenklatura" locale ! • arrêter d'importer de la main d'oeuvre au prétexte que les français ne veulent pas effectuer certaines tâches ; il y a plus d'un million d'emplois non pourvus alors qu'on verse des allocations chômage à des personnes sans aucun diplôme mais exigeantes sur le type d'emploi à occuper...

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

• Oui : immigration choisie et expulsion des clandestins (voir ci-dessus) • Pour nos obligations d'asile, prioriser le réel danger physique ou politique (par exemple pour ceux qui fuient les combats dans des régions où les occidentaux ont mis le feu, comme l'Irak, la Syrie ou la Lybie...) mais exclure le motif économique à traiter directement dans les pays concernés et conjointement avec les autres pays occidentaux

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

• En résumé : aider sur place les pays en voie de développement en veillant à ce que cette aide aille au bon endroit, arrêter l'immigration "de complaisance" à l'égard de nos anciennes colonies, limiter les quotas d'immigration choisie et durcir les conditions d'asile • Arrêter de vouloir jouer "aux américains" en matière de gendarmes du monde et se préoccuper plutôt du sort des français en situation de précarité. Par exemple, l'arrêt de la guerre au Mali permettrait de nourrir bien des bouches en France !

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

• En premier lieu, ne garder que les personnes qui partagent les valeurs de la République et acceptent d'adopter le mode de vie français. Pour les autres, l'aide éventuelle doit se faire dans les pays d'origine aux conditions évoquées plus haut • La naturalisation doit être demandée et pas acquise automatiquement ; par ailleurs, le droit du sol devrait s'appliquer à la deuxième génération installée en France comme cela se pratique dans d'autres pays

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

• Faire en sorte que l'Etat surveille les acquisitions d'entreprises françaises par des capitaux étrangers, notamment pour celles qui sont stratégiques. Par exemple, il est totalement anormal de constater que les turbo-alternateurs des centrales nucléaires ou des pièces essentielles du porte-avions Charles de Gaulle sont fabriqués par une entreprise française passée sous pavillon américain ! • Faire en sorte que le retour à l'emploi n'entraîne pas une diminution du revenu net. Dit autrement, décourager le chômage "chronique" et traquer le travail dissimulé, avec de lourdes peines (réellement accomplies !) pour les pourvoyeurs d'emplois au noir.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Beaucoup trop de lourdeur partout. Toutefois et heureusement, le système fonctionne quand même...

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

• de grâce, arrêtons les transferts de responsabilités qui se traduisent en général par des augmentations de pression fiscale et deviennent quelquefois des armes pour alimenter les "guerres" entre partis politiques

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Je considère la santé comme un service public ; de ce point de vue, il y a encore du travail à faire pour revenir à un niveau de satisfaction correct sur tout le territoire

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Toutes celles qui permettraient de ne pas attendre des heures pour obtenir un document, notamment dans les préfectures

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Le Trésor Public, pour son portail internet

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

L'éducation nationale !

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

• Toute la réglementation applicable aux propriétaires est à revoir : inutile pour une part, trop complexe et surtout à sens unique ! • d'une façon générale, des tas de règles sont trop complexes : urbanisme, fiscalité, consommation... Où est le choc de simplification administrative promis depuis des décennies ? Mais il est vrai que si on confie cette tâche aux énarques...

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

• Pourquoi pas, mais il faut que cette autonomie soit compensée par une responsabilisation accrue. Or, on connaît bien à ce propos le fonctionnement actuel de l'Administration au sens large du terme...

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

• Mener une analyse pour ne laisser le statut de fonctionnaire qu'aux emplois réellement nécessaires au fonctionnement de l'Etat. • Mener une vraie politique d'optimisation des effectifs en vérifiant en permanence l'adéquation entre les effectifs et la quantité réelle d'activité. Le coût de l'administration en France est aujourd'hui prohibitif • Faire en sorte que le taux d'absentéisme des collectivités territoriales se rapproche enfin de la moyenne nationale ! • Arrêter de créer de nouveaux emplois de fonctionnaires à chaque fois qu'on crée une nouvelle tranche de millefeuille administratif. Il est anormal de ne pas pouvoir transférer dans les nouvelles structures les effectifs que traitaient les sujets concernés dans l'ancienne structure ; un peu de courage politique ! • Arrêter de subventionner l'ENA pour sa capacité à fournir des wagons de politiciens décalés des réalités • Contrôler les effectifs des collectivités territoriales et empêcher les élus au pouvoir de faire du "clientélisme" en embauchant tel ou tel... Ce sont les contribuables qui financent ensuite ces "magouilles politiques"

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

En prenant des décisions courageuses (infrastructures financées par tous, management des déserts médicaux en instaurant un passage obligé des médecins en début de carrière en compensation des efforts du contribuable pour financer leurs études, ...). Au delà, le tissu industriel a sûrement une influence sur la notion de "territoire en difficulté" ; il faut donc créer de l'emploi en rendant nos entreprises compétitives au plan international

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Le principal point d'insatisfaction concerne le coût des prothèses, notamment oculaires. Les bonnes mutuelles remboursent mais adaptent leurs niveaux de cotisation. Comment trouver acceptable qu'en 2019 et dans un contexte de mondialisation, le prix moyen d'une monture se situe aux environs de 200€ et que, surtout, les opticiens sont tous dans ces niveaux de prix. Si certaines enseignes sont capables de fournir deux paires de lunettes pour le prix d'une, elle devraient pouvoir également en vendre une seule à moitié prix... Les pouvoirs publics devraient d'une part plafonner les prix au titre de l'obligation de service public (et pas seulement sur une seule monture dans chaque magasin comme c'est souvent le cas...) et, d'autre part, améliorer le taux de remboursement qui est complètement déconnecté de la réalité des prix. Enfin, il n'est pas normal que certaines mutuelles n'effectuent aucun remboursement complémentaire lorsque la Sécurité Sociale ne rembourse rien elle-même.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

• Diviser au moins par deux le nombre de députés et sénateurs • interdire plus de deux mandats successifs pour toutes les fonctions électives ; de façon plus générale, rendre impossibles les carrières en politique • remettre de l'ordre dans le pays et faire en sorte que le verdict des urnes soit respecté et donc que le pouvoir ne soit pas en permanence dans la rue. En contrepartie, faire en sorte que la démocratie ne soit pas théorique comme actuellement, c'est-à-dire verrouillée par les grands partis ou ceux qui en sont issus ; il suffit de regarder les temps de paroles globaux sur les médias ou les coûts des campagnes présidentielles pour s'en persuader • rendre les responsables au pouvoir plus comptables des deniers des contribuables

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

• Il s'agit d'un problème économique, politique et sociétal. Il faudrait que tous les pays les plus pollueurs acceptent de tous produire dans les mêmes conditions vis à vis de l'environnement, que les citoyens arrêtent d'acheter des produits qui viennent du bout du monde et qu'ils acceptent de réduire en premier lieu leurs déplacements car la voiture électrique n'est qu'un leurre à ce jour. Mais il faudra sans doute attendre plusieurs générations avant d'arriver à ce résultat et il sera sans doute trop tard ! L'écologie est malheureusement un "gadget" de pays riche (très majoritairement occidental) et elle s'arrête là où commence l'économie ; CQFD... • il faut peut-être arrêter de produire à tout va et de jeter ensuite à la benne les produits finis pour ne pas faire chuter les cours ! Quand on y réfléchit bien, chacun est libre aujourd'hui de polluer comme il le veut. Par exemple, les statistiques montrent que le niveau de pollution par l'automobile augmente alors que les normes n'ont jamais été aussi drastiques, tout cela parce que les ménages achètent par effet de mode des véhicules de plus en plus gros ! Où est l'écologie dans tout cela et qu'en pensent les constructeurs automobiles ???

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Les catastrophes naturelles sont de plus en plus nombreuses et les étés de plus en pus chauds. Dans ce dernier cas, nombreux sont ceux qui s'équipent de ventilations ou climatisations électriques, contribuant ainsi un peu plus au réchauffement climatique puisqu'il faut bien produire l'électricité ! De ce point de vue et heureusement, la France a fait des bons choix par le passé pour une énergie décarbonée. Il est désolant de voir aujourd'hui ces principes remis en cause au nom du dogme et pour récupérer quelques voix d'électeurs... Commençons par réduire globalement la consommation d'énergie avant de s'occuper des moyens de production. Mais, dans ce domaine, il reste énormément de travail à faire, en commençant par agir sur les mentalités et les modes de vie.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

• J'ai quasiment renoncé à l'usage d'un véhicule personnel, mais je reconnais que je suis citadin, ce qui est plus facile. Toutefois, le débat sur les transports est faussé car de nombreux citadins "s'expatrient " à la campagne pour des motifs personnels et viennent ensuite pleurer car ils veulent continuer à vivre comme en ville ! Mais c'est vraiment l'histoire du colibri...

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

• la conscience écologique, mais j'ai l'impression de faire partie des troglodytes ! Pour faire de la vraie écologie, il faudrait presque revenir à l'époque de la bougie : qui est prêt à le faire ?

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

• il faudrait que l'effort soit réparti et commun. Il me paraît par exemple anormal (et j'en parle à l'aise car je ne suis pas concerné par cette situation) que l'effort financier d'amélioration de l'habitat soit supporté exclusivement par le propriétaire, sans que ce dernier ne puisse en répercuter une partie vers le locataire qui en profite directement (merci la loi Alur !)

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Je suis déjà passé du fioul au gaz. Il faudrait donc que le nouvel effort soit partagé par tous ; une fois encore, le masochisme a ses limites !

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

• Hélas, le pouvoir politique local actuel encourage l'usage des transports en commun en décourageant les automobilistes de pénétrer dans le centre ville alors qu'il faudrait d'abord proposer un système de transports en commun efficace et multimodal, qui puisse concurrencer en efficacité le recours à la voiture particulière. • Il faudrait aussi arrêter de faire des transports en commun une arme politique pour mettre au pas les maires récalcitrants !

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Des sociétés privées sous contrôle des collectivités territoriales. Il faut arrêter de multiplier à l'infini les emplois pour la vie payés par les contribuables.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Faire du chantage, comme Trump pour l'économie ; encore faudrait-il que la France pèse toujours quelque chose au plan international...

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

• Afin de réduire la pollution, développer pour partie l'apprentissage de la conduite sur simulateur dans les auto-écoles