• Donner des informations régulières sur les budgets primitifs et réels (Etat et collectivités locales) ainsi que sur les réductions de dépenses opérées au fil des années.
• Il faut instaurer un plafond sur les augmentations des parts communales, intercommunales et au delà sur les diverses taxes (tant que ces dernières existent) • rendre contraignantes les conclusions de la cour des comptes pour ce qui concerne les dépenses publiques • afin de relancer l'économie, diminuer la pression fiscale pour les particuliers et les entreprises. En contrepartie, revoir le train de vie de l'Etat et la générosité de l'Etat Providence • ne pas rétablir l'ISF, impôts dogmatique de gauche. En contrepartie, rendre impossibles les mécanismes "d'optimisation fiscale" ; ce ne sont pas ceux qui utilisent ces mécanismes légaux qui sont coupables, mais ceux qui les permettent. A ce titre, faire en sorte que l'Europe harmonise ses taux de prélèvements en ne perdant pas de vue que la politique française (et donc les dépenses associées) n'est pas le centre de l'UE... • Faire en sorte que tous les foyers fiscaux soient redevables de l'impôt sur le revenu, qui constitue un devoir de citoyen • faire en sorte que toutes les entreprises réalisant des plus-values en France paient leur impôt à due concurrence en France • arrêter de prendre les retraités pour des "vaches à lait" ! - traquer la dissimulation de revenus ; on pourrait embaucher pas mal de contrôleurs avec l'argent récupéré...
Les impôts sur le revenu
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|• avant de s'interroger sur le financement de la protection sociale, il faudrait poser la question des contours de cette protection et de ses conditions d'attribution ; il y a sûrement des économies à faire, mais pas toujours sur le dos des "plus aisés" ! Faire prendre conscience à chacun que la protection sociale doit être financée par tous (et pas seulement, comme on l'entend, par les "riches" qui sont de toute façon déjà partis de France). Il faut revoir les choses en profondeur et casser la situation actuelle, conséquence des décisions politiques depuis des dizaines d'années, qui fait qu'il existe durablement une majorité d'allocataires et une minorité de financeurs, ces derniers étant de plus stigmatisés alors qu'ils ont fait plus d'efforts que les autres pour vivre décemment
• toutes celles qui créent l'appel d'air à l'immigration clandestine
• le domaine de la santé doit faire partie des priorités, mais ce n'est pas toujours une question d'argent. Comment, par exemple, accepter le financement par le contribuable des études de médecine à des étudiants qui, leur diplôme obtenu, s'installent tous en ville alors qu'il existent des déserts médicaux et qu'il faut "importer" des médecins étrangers dans ce contexte ?
• Je suis prêt à payer plus d'impôts si chaque foyer fiscal en fait de même et si j'ai un droit de regard sur la façon dont mes impôts sont utilisés. Alors, on pourra regarder dans quels domaines faire un effort... • Je crois surtout qu'il y a une mauvaise répartition des masses budgétaires à l'heure actuelle. Les gouvernements successifs n'ont fait qu'augmenter la pression fiscale en nous faisant croire que les économies allaient suivre... Mais, lorsque cela s'est produit, ce sont les collectivités locales qui ont fait exploser leurs propres prélèvements pour compenser ! Au final, personne ne s'intéresse vraiment aux économies... Comme disait F. Hollande : "ça ne coûte rien, c'est l'Etat qui paie". Tout est dit !
• supprimer l'indexation des allocations familiales sur les revenus, ce qui laisse sous entendre qu'un enfant de ménage aisé est moins important qu'un enfant de ménage défavorisé. Il faut rappeler en effet que cette allocation, créée par Michel Debré, avait pour but initial d'encourager la natalité de tous les français... • interdire aux membres du gouvernement, mais également à tous les élus, de générer des frais de transport payés par les contribuables en allant soutenir tel ou tel candidat en campagne !
• Moi-même, car c'est la seule personne en qui j'ai confiance par défaut ! Le problème commence lorsque la réglementation empêche de se représenter directement...
Non
• Non a priori ; il ne faut pas des actions de lobbying ou de contestation mais, enfin, des actions pour le bien de la France et menées par des élus désintéressés... • Par ailleurs, le peuple doit garder le contrôle ; il faut donc de la transparence, des instances indépendantes qui mesurent le fonctionnement de l'Etat et tout écart à la règle doit être sanctionné. • Toutefois, il faut respecter le verdict des urnes et le pouvoir ne doit pas être dans la rue en permanence. Mais il faut que la France devienne une vraie démocratie dans laquelle tous les candidats (même en dehors des partis traditionnels) ont la même surface médiatique et les mêmes moyens financiers (il faut donc, pour faire des économies puisqu'il faudra sans doute que l'Etat subventionne les petits candidats, qu'on abaisse fortement le plafond des dépenses pour les grands partis...) • Enfin, le référendum doit donner régulièrement la parole au peuple pour les grandes décisions de la société française. Mais il ne doit pas être un moyen de destituer ceux qui ont été élus précédemment.
• Assainir la vie politique et la rendre beaucoup plus transparente. • Faire des exemples dans les condamnations d'élus "indélicats" ; combien d'élus ont été jetés en prison jusqu'à présent pour ce type de délit ??? Le fonctionnement de la Cour de Justice de la République est emblématique de ce point de vue : "on ne crache pas dans la soupe !" • Interdire la possibilité de faire carrière en politique
Une bonne chose
• La défiance des citoyens vis à vis des politiciens est liée à l'affairisme de ces derniers, qui est hélas vite acquis en cas d'élection. Il suffit de regarder la réaction outrée de certains députés LREM, qui venaient pourtant juste d'être élus, vis à vis du contrôle de la réserve parlementaire pour s'en persuader ! Toutefois : • le non cumul des mandats est une très bonne chose mais hélas un trompe-l'oeil... Il faut interdire les participations rémunérées à des tas de commissions ou la mise en place "d'hommes de paille" qui gardent un siège au chaud en cas de retour de l'intéressé ! • Si, toutefois, on laisse ces possibilités, il faut réduire pro rata temporis les indemnités liées à chaque fonction exercée. Il est par exemple anormal de voir les bancs de l'Assemblée vides alors que les députés sont largement rémunérés (indemnité + avantages en nature). • Dans le même ordre d'idées, il conviendrait d'exercer un contrôle d'assiduité avec incidence sur l'indemnité • Il faut également interdire les mandats successifs (deux au plus) • Il faut créer une "IGPN" des politiciens. L'électeur n'a en effet aucune vision sur le bon accomplissement de la mission qu'il a confiée à l'élu concerné • enfin, il est hallucinant d'imaginer que nos élus fixent leur propre indemnité ! Il devrait exister une instance type Cour des Comptes pour ce faire (en notant au passage qu'il est non moins hallucinant de constater que les rapports annuels de cette instance ne sont pas contraignants !)
• Sans doute de la proportionnelle, sans toutefois retomber dans la IVème République ! • il faudrait également faire en sorte que la démocratie "à la française" soit une vraie démocratie et ne soit pas verrouillée par les grands partis et ceux qui en sont issus. Le coût d'une campagne présidentielle est tel par exemple que les petits candidats sont totalement inaudibles alors qu'ils ont, pour certains, des choses intéressantes à dire. Par ailleurs, il faut arrêter de nous amuser avec le temps de parole mesuré au moment des élections. Chacun sait que l'essentiel de l'image et de la notoriété se fait au quotidien et, de ce point de vue, on voit toujours les mêmes. Les médias participent largement à cette "déformation" et devraient être rappelés à l'ordre (il est notamment anormal que les opinions politiques de tel animateur puissent rejaillir sur son choix des invités)
Oui
• Il faut arrêter de multiplier à l'infini les strates et subséquemment le nombre d'élus : municipalité, intercommunalité, département, région, parlements français et européen. Avons-nous les moyens de financer tout cela et, au delà, tout cela est-il vraiment nécessaire ? • S'il s'agit d'optimiser les moyens et les dépenses, il faut conserver les régions et supprimer les conseils généraux. • Il faut également arrêter d'alimenter les commissions et organismes improductifs et qui ne servent qu'à rémunérer les élus qui y siègent... • Il faut enfin arrêter le corporatisme en politique, en incluant dans ce qualificatif les hauts fonctionnaires qui continuent par exemple de "pantoufler" alors qu'ils ont été condamnés par la justice pour abus de biens sociaux !
• La désaffection des citoyens vis à vis des élections résulte de leur défiance vis à vis des politiciens traditionnels et sans doute du manque d'alternatives en termes de candidats hors "caste", le système étant complètement verrouillé par ceux qui en profitent. Il faut donc commencer par instaurer une vraie démocratie de ce point de vue
Oui
• En invalidant l'élection au delà d'un certain pourcentage de votes blancs • Mais les votes blancs rejoignent peu ou prou le pourcentage d'abstentions et je crois plus à l'assainissement du système politique et électoral ; cela fait des années qu'on évoque le vote blanc et le taux d'abstention ; des décisions ont-elles été prises pour autant ? Non bien sûr et ce simple fait témoigne de la "mise sous cocon" du système par les élus installés
• Redonner la parole au peuple sur les grands choix de société, par l'intermédiaire du référendum trop peu utilisé et des thèmes pour lesquels le référendum serait obligatoire. Mais il ne faut pas renouveler la triste expérience du référendum sur la constitution européenne...
Oui
• Il faudrait d'abord commencer par le faire connaître du plus grand nombre. • Cependant, ce texte a plusieurs écueils majeurs : il ne permet pas d'empêcher le vote d'une loi, la période de recueil des soutiens est beaucoup trop longue pour que le système soit réactif (ceci explique sans doute cela...) et il ne s'applique qu'aux citoyens disposant d'internet, ce qui élimine de facto toute une tranche de population qui devrait pourtant pouvoir s'exprimer. Si ces points étaient améliorés, le RIC prôné par les "gilets jaunes" n'aurait aucun intérêt car il ne s'agit pas, une fois encore, de donner au peuple le pouvoir de destituer ceux qu'il a élus quelques mois auparavant ; il faut avoir le courage de ses opinions...
• La question, un peu comme la précédente, est trop restrictive. Il ne s'agit pas seulement de s'intéresser aux dépenses, mais le peuple souverain doit avoir le pouvoir de bloquer telle ou telle disposition contraire aux aspirations de sa majorité. Le système ne peut donc être uniquement descendant. • Pour consulter les français sur l'objet de la question, il faut commencer par leur fournir des informations précises et transparentes ; par exemple : quel est le coût mensuel des opérations militaires hors du territoire national ? • Il faut aussi être capable de traiter tous les sujets sans tabou ou "bien-pensance politique" (cf. par exemple les conditions d'attribution des allocations familiales qui sont à mon sens un vrai scandale !) • il faut également fournir au peuple une vision globale "état + collectivités locales" pour pouvoir juger de l'évolution des charges de tous ordres et ne pas se cacher derrière la décentralisation des responsabilités sans les budgets associés
• Il faudrait que tous ces élus ou personnes désignées passent plus de temps à écouter les citoyens qu'à préparer leur réélection...
Oui
• Pour le CESE, faut-il autant de monde pour des finalités qui sont quasiment inconnues du grand public ? S'agissant du Sénat, il faudrait introduire une dose de proportionnelle à l'Assemblée Nationale, ce qui aurait deux conséquences positives : ne plus avoir une Assemblée "à la botte" du gouvernement et permettre en conséquence de supprimer le Sénat. Ceci permettrait enfin de finir les "guéguerres" permanentes auxquelles seuls les protagonistes font mine de croire et qui nous coûtent des millions d'euros • De façon plus générale, je crois profondément que le système politique de la Vème République n'est plus adapté aux enjeux et à la classe politique actuels. Il me paraît nécessaire de redonner du pouvoir au peuple et de rendre les élus plus comptables de leurs décisions devant ce peuple, en un mot de passer à la VIème République...
• Interdire tout affichage ostentatoire de sa religion dans l'espace public, notamment vestimentaire (à part les dignitaires religieux eux-mêmes). On ne peut pas se dire laïc et en même temps considérer normaux les symboles très visibles de certaines religions ; la religion doit rester un sujet privé et chacun a le droit de pratiquer ses rites dans l'espace privé • Interdire les abattages rituels qui sont des pratiques du moyen-âge à une époque où le bien-être animal sort enfin du ghetto • pour autant, on ne doit pas renier les racines chrétiennes de la France et la polémique sur les crèches, par exemple, est ridicule. Ce qui est surtout ridicule, c'est que la société française s'adapte aux cultures importées alors qu'il devrait en être l'inverse. C'est le même problème que pour le partage des mêmes valeurs de la République ; pour certains, les textes religieux priment largement sur le code civil !
• s'assurer que, chez les nouveaux arrivants mais aussi rétroactivement pour les populations entrées en France ces dernières années, la loi française prime sur les livres religieux. Cet engagement devrait être formalisé sous serment lors de la naturalisation • une autre difficulté, actuellement, vient du fait que beaucoup d'immigrants (légaux ou illégaux) sont très peu cultivés et donc formatés par leur culture religieuse, souvent en écart profond avec les valeurs de la République Française. Il faudrait donc mener des actions sur ce thème pour les personnes qui vont rester chez nous
• Arrêter d'opposer les différentes couches de la société pour asseoir sa doctrine politique et se faire élire • s'assurer de l'adhésion de tous les habitants (et pas seulement des seuls français) aux valeurs de la République (cf. supra) • présenter aux yeux des habitants une République exemplaire, notamment dans le comportement de sa classe politique • Encourager l'adhésion aux associations (hors religion ou politique) • Enseigner la vraie morale dans les établissements scolaires
• le respect de l'autre et de son patrimoine • la politesse (la vie en société commence par là...) • l'accomplissement de ses devoirs de citoyen au lieu de ne parler que des droits !
• l'Ecole constitue la première marche et les parents la seconde ; il faut sanctionner les parents qui démissionnent de leurs responsabilités. Ce sont les toutes premières années qui déterminent le comportement futur, mais également les fréquentations à l'adolescence. Pour cela, il faut renforcer le contrôle par les services sociaux et établir une connexion avec la police et la justice • s'assurer que les valeurs de la République sont partagées par tous (cf. supra) • rétablir un vrai service militaire • sanctionner sévèrement les écarts et, en premier lieu, appliquer la loi (trop de textes ne servent que d'épouvantail inefficace)
Donner aux associations une surface médiatique plus importante. Mais il faut, là aussi, que le débat s'établisse et il ne faut donc pas "orienter" la mise en valeur de certaines associations plus que d'autres
La création même du mot "incivilité" est un aveu d'échec de la puissance publique incapable de faire respecter les valeurs de base, en particulier le respect de l'autre, et qui cherche à minimiser ces faits en dissuadant les victimes de porter plainte. Aucun problème ne se règlera tant que certains appliqueront leur propre loi et n'en seront pas dissuadés par un Etat courageux.
Assumer leurs responsabilités de protection des citoyens victimes au quotidien de comportements inadmissibles dans une société dite civilisée S'assurer (voir plus haut) que les valeurs de base sont partagées par tous !
Ne pas répondre aux provocateurs, mais encore faudrait-il que la puissance publique prenne le relais de façon efficace...
Le harcèlement des femmes
Que tous les habitants de notre pays partagent les mêmes valeurs et commencent par respecter la loi. On dépense des milliards d'euros pour éduquer les populations concernées, sans beaucoup de succès ; la tolérance est-elle donc une clé de réussite d'une politique ?
Oui
• Les droits ne sont que la contrepartie des devoirs. Non seulement il faut instaurer des contreparties (par exemple supprimer - et non pas suspendre - les allocations familiales en cas de manque d'assiduité à l'école), mais il faut également s'interroger sur les conditions d'attribution de toutes ces allocations ; par exemple et s'agissant encore des allocations familiales, faut-il les verser à toutes les personnes arrivant avec armes et bagages sur notre territoire alors qu'elles n'ont jamais cotisé ? • Pour les personnes n'exerçant pas d'emploi, ces allocations devraient être versées en contrepartie d'heures de bénévolat au service des collectivités locales
• mettre en place une immigration choisie, sur le modèle américain et ne garder le droit d'asile que pour de réels cas (guerres, excision...), en veillant à ne pas cultiver la "repentance coloniale" lors de l'accord des titres de séjour • par ailleurs, les quotas d'immigration légale sont beaucoup trop importants, sachant qu'ils cachent une immigration illégale non anecdotique... • raccourcir les délais d'instruction des demandes d'asile et reconduire rapidement dans leur pays tous ceux dont l'asile a été refusé ; la France, même patrie des droits de l'homme, n'a pas vocation à accueillir toute la misère du monde alors que certains retraités n'ont même pas une pension décente ! • arrêter les appels d'air à l'immigration, par une réglementation en phase avec le monde moderne ; par exemple, que penser du nombre croissant de "mineurs isolés" qui arrivent en France par des filières clandestines, en ayant bien évidemment perdu leurs papiers d'identité... ? • aider les pays en voie de développement sur place, en s'assurant que l'aide apportée ne tombe pas dans la poche de la "nomenklatura" locale ! • arrêter d'importer de la main d'oeuvre au prétexte que les français ne veulent pas effectuer certaines tâches ; il y a plus d'un million d'emplois non pourvus alors qu'on verse des allocations chômage à des personnes sans aucun diplôme mais exigeantes sur le type d'emploi à occuper...
• Oui : immigration choisie et expulsion des clandestins (voir ci-dessus) • Pour nos obligations d'asile, prioriser le réel danger physique ou politique (par exemple pour ceux qui fuient les combats dans des régions où les occidentaux ont mis le feu, comme l'Irak, la Syrie ou la Lybie...) mais exclure le motif économique à traiter directement dans les pays concernés et conjointement avec les autres pays occidentaux
• En résumé : aider sur place les pays en voie de développement en veillant à ce que cette aide aille au bon endroit, arrêter l'immigration "de complaisance" à l'égard de nos anciennes colonies, limiter les quotas d'immigration choisie et durcir les conditions d'asile • Arrêter de vouloir jouer "aux américains" en matière de gendarmes du monde et se préoccuper plutôt du sort des français en situation de précarité. Par exemple, l'arrêt de la guerre au Mali permettrait de nourrir bien des bouches en France !
• En premier lieu, ne garder que les personnes qui partagent les valeurs de la République et acceptent d'adopter le mode de vie français. Pour les autres, l'aide éventuelle doit se faire dans les pays d'origine aux conditions évoquées plus haut • La naturalisation doit être demandée et pas acquise automatiquement ; par ailleurs, le droit du sol devrait s'appliquer à la deuxième génération installée en France comme cela se pratique dans d'autres pays
• Faire en sorte que l'Etat surveille les acquisitions d'entreprises françaises par des capitaux étrangers, notamment pour celles qui sont stratégiques. Par exemple, il est totalement anormal de constater que les turbo-alternateurs des centrales nucléaires ou des pièces essentielles du porte-avions Charles de Gaulle sont fabriqués par une entreprise française passée sous pavillon américain ! • Faire en sorte que le retour à l'emploi n'entraîne pas une diminution du revenu net. Dit autrement, décourager le chômage "chronique" et traquer le travail dissimulé, avec de lourdes peines (réellement accomplies !) pour les pourvoyeurs d'emplois au noir.
Beaucoup trop de lourdeur partout. Toutefois et heureusement, le système fonctionne quand même...
Non
• de grâce, arrêtons les transferts de responsabilités qui se traduisent en général par des augmentations de pression fiscale et deviennent quelquefois des armes pour alimenter les "guerres" entre partis politiques
Oui
Je considère la santé comme un service public ; de ce point de vue, il y a encore du travail à faire pour revenir à un niveau de satisfaction correct sur tout le territoire
Toutes celles qui permettraient de ne pas attendre des heures pour obtenir un document, notamment dans les préfectures
Non
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Le Trésor Public, pour son portail internet
L'éducation nationale !
Oui
Non
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• Toute la réglementation applicable aux propriétaires est à revoir : inutile pour une part, trop complexe et surtout à sens unique ! • d'une façon générale, des tas de règles sont trop complexes : urbanisme, fiscalité, consommation... Où est le choc de simplification administrative promis depuis des décennies ? Mais il est vrai que si on confie cette tâche aux énarques...
Oui
• Pourquoi pas, mais il faut que cette autonomie soit compensée par une responsabilisation accrue. Or, on connaît bien à ce propos le fonctionnement actuel de l'Administration au sens large du terme...
Oui
• Mener une analyse pour ne laisser le statut de fonctionnaire qu'aux emplois réellement nécessaires au fonctionnement de l'Etat. • Mener une vraie politique d'optimisation des effectifs en vérifiant en permanence l'adéquation entre les effectifs et la quantité réelle d'activité. Le coût de l'administration en France est aujourd'hui prohibitif • Faire en sorte que le taux d'absentéisme des collectivités territoriales se rapproche enfin de la moyenne nationale ! • Arrêter de créer de nouveaux emplois de fonctionnaires à chaque fois qu'on crée une nouvelle tranche de millefeuille administratif. Il est anormal de ne pas pouvoir transférer dans les nouvelles structures les effectifs que traitaient les sujets concernés dans l'ancienne structure ; un peu de courage politique ! • Arrêter de subventionner l'ENA pour sa capacité à fournir des wagons de politiciens décalés des réalités • Contrôler les effectifs des collectivités territoriales et empêcher les élus au pouvoir de faire du "clientélisme" en embauchant tel ou tel... Ce sont les contribuables qui financent ensuite ces "magouilles politiques"
En prenant des décisions courageuses (infrastructures financées par tous, management des déserts médicaux en instaurant un passage obligé des médecins en début de carrière en compensation des efforts du contribuable pour financer leurs études, ...). Au delà, le tissu industriel a sûrement une influence sur la notion de "territoire en difficulté" ; il faut donc créer de l'emploi en rendant nos entreprises compétitives au plan international
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Le principal point d'insatisfaction concerne le coût des prothèses, notamment oculaires. Les bonnes mutuelles remboursent mais adaptent leurs niveaux de cotisation. Comment trouver acceptable qu'en 2019 et dans un contexte de mondialisation, le prix moyen d'une monture se situe aux environs de 200€ et que, surtout, les opticiens sont tous dans ces niveaux de prix. Si certaines enseignes sont capables de fournir deux paires de lunettes pour le prix d'une, elle devraient pouvoir également en vendre une seule à moitié prix... Les pouvoirs publics devraient d'une part plafonner les prix au titre de l'obligation de service public (et pas seulement sur une seule monture dans chaque magasin comme c'est souvent le cas...) et, d'autre part, améliorer le taux de remboursement qui est complètement déconnecté de la réalité des prix. Enfin, il n'est pas normal que certaines mutuelles n'effectuent aucun remboursement complémentaire lorsque la Sécurité Sociale ne rembourse rien elle-même.
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• Diviser au moins par deux le nombre de députés et sénateurs • interdire plus de deux mandats successifs pour toutes les fonctions électives ; de façon plus générale, rendre impossibles les carrières en politique • remettre de l'ordre dans le pays et faire en sorte que le verdict des urnes soit respecté et donc que le pouvoir ne soit pas en permanence dans la rue. En contrepartie, faire en sorte que la démocratie ne soit pas théorique comme actuellement, c'est-à-dire verrouillée par les grands partis ou ceux qui en sont issus ; il suffit de regarder les temps de paroles globaux sur les médias ou les coûts des campagnes présidentielles pour s'en persuader • rendre les responsables au pouvoir plus comptables des deniers des contribuables
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
• Il s'agit d'un problème économique, politique et sociétal. Il faudrait que tous les pays les plus pollueurs acceptent de tous produire dans les mêmes conditions vis à vis de l'environnement, que les citoyens arrêtent d'acheter des produits qui viennent du bout du monde et qu'ils acceptent de réduire en premier lieu leurs déplacements car la voiture électrique n'est qu'un leurre à ce jour. Mais il faudra sans doute attendre plusieurs générations avant d'arriver à ce résultat et il sera sans doute trop tard ! L'écologie est malheureusement un "gadget" de pays riche (très majoritairement occidental) et elle s'arrête là où commence l'économie ; CQFD... • il faut peut-être arrêter de produire à tout va et de jeter ensuite à la benne les produits finis pour ne pas faire chuter les cours ! Quand on y réfléchit bien, chacun est libre aujourd'hui de polluer comme il le veut. Par exemple, les statistiques montrent que le niveau de pollution par l'automobile augmente alors que les normes n'ont jamais été aussi drastiques, tout cela parce que les ménages achètent par effet de mode des véhicules de plus en plus gros ! Où est l'écologie dans tout cela et qu'en pensent les constructeurs automobiles ???
Oui
Les catastrophes naturelles sont de plus en plus nombreuses et les étés de plus en pus chauds. Dans ce dernier cas, nombreux sont ceux qui s'équipent de ventilations ou climatisations électriques, contribuant ainsi un peu plus au réchauffement climatique puisqu'il faut bien produire l'électricité ! De ce point de vue et heureusement, la France a fait des bons choix par le passé pour une énergie décarbonée. Il est désolant de voir aujourd'hui ces principes remis en cause au nom du dogme et pour récupérer quelques voix d'électeurs... Commençons par réduire globalement la consommation d'énergie avant de s'occuper des moyens de production. Mais, dans ce domaine, il reste énormément de travail à faire, en commençant par agir sur les mentalités et les modes de vie.
Oui
• J'ai quasiment renoncé à l'usage d'un véhicule personnel, mais je reconnais que je suis citadin, ce qui est plus facile. Toutefois, le débat sur les transports est faussé car de nombreux citadins "s'expatrient " à la campagne pour des motifs personnels et viennent ensuite pleurer car ils veulent continuer à vivre comme en ville ! Mais c'est vraiment l'histoire du colibri...
• la conscience écologique, mais j'ai l'impression de faire partie des troglodytes ! Pour faire de la vraie écologie, il faudrait presque revenir à l'époque de la bougie : qui est prêt à le faire ?
• il faudrait que l'effort soit réparti et commun. Il me paraît par exemple anormal (et j'en parle à l'aise car je ne suis pas concerné par cette situation) que l'effort financier d'amélioration de l'habitat soit supporté exclusivement par le propriétaire, sans que ce dernier ne puisse en répercuter une partie vers le locataire qui en profite directement (merci la loi Alur !)
Oui
Je suis déjà passé du fioul au gaz. Il faudrait donc que le nouvel effort soit partagé par tous ; une fois encore, le masochisme a ses limites !
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
• Hélas, le pouvoir politique local actuel encourage l'usage des transports en commun en décourageant les automobilistes de pénétrer dans le centre ville alors qu'il faudrait d'abord proposer un système de transports en commun efficace et multimodal, qui puisse concurrencer en efficacité le recours à la voiture particulière. • Il faudrait aussi arrêter de faire des transports en commun une arme politique pour mettre au pas les maires récalcitrants !
None
Des sociétés privées sous contrôle des collectivités territoriales. Il faut arrêter de multiplier à l'infini les emplois pour la vie payés par les contribuables.
Faire du chantage, comme Trump pour l'économie ; encore faudrait-il que la France pèse toujours quelque chose au plan international...
• Afin de réduire la pollution, développer pour partie l'apprentissage de la conduite sur simulateur dans les auto-écoles
Votre message a bien été envoyé.