Les élus locaux sont un gage de représentation, car ils sont bien plus à même de représenter les citoyens, étant plus proches de leurs situations et des problématiques de terrain.
Non
None
Pour beaucoup d'élus, il y a un vrai détachement entre leur mandat et ce qu'ils en font réellement. La Ve République est construite de sorte que les députés (par exemple) votent selon les instructions des partis (tous partis confondus, de l'extrême gauche à l'extrême droite). Pour ma part, ma députée appartient à un parti de l'opposition, vote très peu pour des lois importantes, et privilégie son mandat partisan à son mandat de député. Je ne me sens pas représentée.
Une bonne chose
Le rôle de lien entre les institutions et le citoyen se fait par les parlementaires, censés représenté le peuple (ou les collectivités territoriales). Il parait peu adéquat que ces derniers puissent gérer correctement différents types de dossiers, la fin du cumul des mandats a permit de rencentrer la mission des parlementaires qui font de la politique leur métier.
L'instauration d'une part de proportionnelle au sein, au moins, de l'Assemblée Nationale, qui permettra une plus juste répartition des sensbilités politiques, et qui, de plus, permettra l'éclosion d'une réelle opposition, entrainant ainsi un débat beaucoup plus qualitatif et donc bien plus utile.
Non
None
La participation des citoyens est primordiale dans un Etat de droit. Aujourd'hui, beaucoup se sentent déconnectés. Il faut adapter la démocratie (sans pour autant la réformer de long en large) aux attentes des citoyens. L'on voit que les élections législatives (tant au niveau du calendrier que de la manière d'attribution des sièges) entraine nécessairement une large majorité pour le pouvoir exécutif, les gens ne se sentent plus représentés d'aucune manière. Le fait de pouvoir permettre la représentation des diverses pluralités d'opinion permettront en soi d'intéresser les citoyens.
Non
None
Pour les décisions de la plus grande importance, le referendum semble être une solution à envisager de manière plus récurrente. Pour autant, toutes les décisions ne peuvent être soumises au peuple (nous aurions, dans cette hypothèse, toujours la peine de mort en France). Pour autant, quand un vote est proclamé, il doit être respecté par les pouvoirs (nationaux ou locaux), comme le projet de Notre-Dame-des-Landes, qui a été avorté alors même que le referendum local avait obtenu l'assentiment d'une majorité de la population.
Oui
Il faudrait déjà que les élus arrêtent de penser à leur prochaine rééléction et prennent les risques de proposer aux citoyens. Le RIP est une excellente idée, mais est inaccessible. D'une part, seul les membres du parlement en ont l'initiative (ce qui est donc problématique), mais surtout, le seuil de signatures de citoyens nécéssaire pour qu'il aboutisse est bien trop élevé. Il faudrait le réduire d'un tiers au moins.
Afin de permettre la bonne compréhension de tous les citoyens de l'utilisation de l'argent publique, une fois par an, il serait bon de vulgariser l'affectation du budget au moyens de schémas, afin de permettre une compréhension globale facilitée des finances publiques qui est une matière complexe. Une fois cela fait, les élus locaux pourraient servir de lien entre l'exécutif et les citoyens et feraient remonter les informations, comme c'est actuellement le cas avec les cahiers de doléance.
Moins de politique et plus de réelles préoccupations. On s'inquiète plus de son mandat que des réelles attentes des français.
Oui
Aujourd'hui, quelle est la réelle fonction du CESE? Il rend des avis et beaucoup de citoyens ignorent son existence. Il faut plus de proximité, beaucoup plus de visiblité pour des institutions qui ont le mérite d'être un minimum représentatives.
Une laïcité totale, plus aucun diner avec les membres de telle ou telle association religieuse.
L'éducation. C'est aujourd'hui la seule manière d'y parvenir.
Il faut arrêter les grands discours stériles, remplis de mots sans aucune signification qui veulent tout et rien dire.
Il faut très largement promouvoir la participation aux associations qui oeuvrent pour l'égalité, la liberté.
Il faudrait une plus grande aide à ces associations, et obliger les jeunes à participer soit au Service National, soit à la participation au sein de ses associations, pour une même durée de temps.
La remise d'une médaille.
Les dégradations de tout type (détritus jetés dans la rue, tag..). Il faut appliquer des amendes plus lourdes et pourquoi pas des TIG avec les services propreté de la ville.
Une verbalisation systématique en cas de flagrant délit.
L'intervention de chaque citoyen qui constate. Pour une majorité de cas, cela peut aider à faire avancer les choses.
J'évolue dans un milieu où il y a peu de discrimination, si ce n'est le sexisme, qui est de plus en plus en recul. Les communautés LGBT souffrent également d'une discrimination importante.
D'une part, il faut éduquer les enfants à la tolérance, mais ce travail doit se partager entre l'Etat et les familles.
Oui
Pour les allocations familiales, il parait normal qu'un enfant qui soit scolarisé mais souvent absent entraine la réduction voir la révocation des allocations, tout comme la condamnation à un délit grave pour un mineur. Les allocations chômage sont un réel tremplin pour les personnes qui cherchent réellement un travail. Pour autant, une infime partie de bénéficiaire profite du système, et il faudrait donc un moyen de contrôle plus important.
L'immigration représente un problème en France dans le sens où l'on accueille des personnes mais qu'on ne dispose pas de moyens logistiques suffisants pour leur permettre de vivre dans des conditions décentes. Aujourd'hui, bon nombre d'immigrés sans papiers vivent dans des conditions de vie indécentes, alors qu'ils ont une réelle envie de s'en sortir. Le rapprochement familial me pose problème dès lors qu'il ne permet pas une intégration pleine dans la société, d'autant plus qu'on fini par se rendre compte que ces communautés se retrouvent en zone péri-urbaines dans un "entre-soi", il faut mettre en place des services permettant leur entière intégration. Pour définir la politique migratoire, il faut bien évidemment mettre un point d'honneur à accueillir en priorité les réfugiés politiques, de guerre, quitte à abaisser le nombre d'autorisation de territoire pour les rapprochements familiaux dès lors qu'ils ne sont pas nécéssaire.
Oui, une fixation annuelle permettrait ainsi un contrôle citoyen plus fort, mais aussi une flexibilité quant aux situations économiques que la France serait amenée à rencontrer.
Une réponse européenne serait la bienvenue, avec une répartition plus égale et juste des immigrants (toutes raisons confondues),
La promotion des associations qui visent à promouvoir la culture française avec des cours de langue, d'histoire... Ces associations sont un réel plus pour l'intégration.
None
Votre message a bien été envoyé.