Cette information est souvent déjà faite - mais les citoyens ne s'y intéressent guère... Il y a un gros effort de communication à faire avec l'aide de spécialistes (de la comm.) Et plus encore là où cette information est aujourd'hui manquante. Il faut aussi informer les citoyens sur la réalité du système fiscal français, l'un des plus égalitaires et redistributifs qui soient, alors que nombreux sont ceux qui croient que "les riches" (= ceux qui gagnent sensiblement plus qu'eux) ne payent pas ou pas assez d'impôts. Certains restent sans voix quand on leur montre des exemples chiffrés...
Il faut surtout, comme l'on fait les pays à modèle solidaire, préférer les impôts à large base et à taux modéré. Renoncer à la règle idiote qui veut que le meilleur impôt soit celui... qui est payé par les autres !
La TVA sur les taxes, à supprimer purement et simplement ! Symbole risible et coûteux de la créativité de nos savants Cosinus fiscaux... Dans le même esprit, la CSG doit être intégralement déductible du revenu imposable. Supprimer les impôts touchant les successions et donations. Nous sommes fiscalisés à longueur de vie et même après notre mort ! Il y a tout de même un principe de liberté qui doit nous autoriser à laisser le fruit de notre travail à nos enfants ou à qui nous voulons.
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Lutter contre l'absentéisme injustifié, surtout dans le secteur public.
Certaines aides sociales (chômage et RSA notamment) pourraient avoir une contrepartie. Lorsque la solidarité sociale permet à une famille ou à une personne d'atteindre un niveau de vie comparable à celui de ceux qui ne l'obtiennent que par le travail, il ne semble pas choquant de demander au bénéficiaire, si c'est possible, de remercier la société et tous ceux qui financent cette solidarité, par une contribution sous forme de participation gratuite à telles ou telles actions locales ou associatives. Sans gêner bien sûr une recherche d'emploi le cas échéant.
Nous sommes déjà l'un des pays où la protection sociale est le plus développée. Il s'agit surtout de vérifier et renforcer si nécessaire son efficacité - par une amélioration de la gestion, sans coûts supplémentaires ! Comme les entreprises privées arrivent à faire... Pourquoi pas le public ?
Aucune ! En revanche je suis prêt à féliciter les responsables publics qui parviennent à réduire les dépenses dont ils sont responsables sans réduction du service. Il y en a !
Retraites : rétablir l'équité public / privé. Mettre fin aux régimes spéciaux et à leurs privilèges largement financés par les contribuables. Mettre fin au siphonnage des caisses du secteur privé par le secteur public. Faire un vrai inventaire critique des niches fiscales. Certaines sont utiles, d'autres incompréhensibles, il est temps de faire le ménage. Nous avons des impôts à taux élevés compensés par tout un système d'exemptions et d'exceptions. Il faut préférer l'impôt à large base et taux modéré et d'application simple. Baisser les impôts par la baisse des dépenses publiques, en commençant par appliquer vraiment les rapports de la Cour des Comptes. Renforcer les pouvoirs de la Cour des Comptes en lui donnant un pouvoir de décision contraignant et un pouvoir de sanction les responsables fautifs. Mettre en place un Collège Citoyen Consultatif (voir ma contribution dans Démocratie et citoyenneté) à côté de chaque autorité publique ayant un pouvoir de dépense. Stabiliser le système : l'instabilité et l'activisme fiscaux sont les pires ennemis d'une gestion efficace de nos entreprises et donc du développement économique. Nous ne sommes pas dans une économie fermée ! Nos concurrents rient aux éclats chaque fois que des responsables politiques relancent le concours Lépine des taxes et impôts... Lutter contre l'absentéisme injustifié, dont les chiffres montrent qu'il est bien plus répandu dans le public que dans le privé (voir les collectivités locales notamment !) où certains parviennent à doubler leurs vacances avec des certificats médicaux bidons (je ne risque pas de me faire licencier !) Il y a là un sérieux gisement d'économies... Fraude fiscale et fraude sociale : il y a là aussi de gros gisements d'économies. Mettre en place de vrais contrôles. Dans le domaine fiscal il y a de vrais progrès, tant mieux, mais nous avons du retard dans la lutte contre la fraude sociale, vraie plaie qui nuit à tous les bénéficiaires légitimes. Abandonner définitivement l'ISF (et l'IFI) - comme tous les autres pays développés. Ou il ne faudra pas s'étonner de voir partir ceux qui ont les moyens d'investir dans notre économie. Et de perdre ainsi bien plus d'argent que ce que rapportait cet impôt. Le réalisme doit primer sur la jalousie, même compréhensible... Supprimer la taxe d'habitation ou lui redonner son sens originel de participation aux coût des services que nous rend la commune où nous habitons. Alors qu'aujourd'hui vous payez plus cher si vous avez une résidence secondaire (donc consommant moins de services publics communaux) que si vous êtes résident permanent ! Et maintenant certains ne paient plus rien. Incompréhensible, incohérent.
Confiance aux élus. Les élus sont par principe les seuls représentants légitimes. Ils sont dépositaires de missions ou de pouvoirs délégués par les citoyens, qui les ont choisis. Mais ils pourraient être assistés par des instances consultatives dont les membres pourraient tirés au sort (voir plus loin).
Oui
Les organisations syndicales et les associations exerçant une activité d'intérêt public, avec un rôle consultatif ou de négociation (syndicats).
Développer des instances consultatives avec membres tirés au sort. Développer des sites permettant aux citoyens et aux élus de communiquer plus facilement. Rappeler aux citoyens qu'ils doivent être actifs dans cette relation !
Une mauvaise chose
Il s'avère que les parlementaires sont du fait du non-cumul moins proches du terrain, des citoyens. Et que le gouvernement perd de ce fait des relais d'opinion indispensables. Et les citoyens aussi ! Il ne faut sans doute pas annuler le non-cumul mais certainement l'aménager pour rétablir la communication perdue.
Introduire un peu de proportionnelle dans les élection législatives, mais pas plus de 15%. Il faut pouvoir dégager des majorités donnant des vraies orientations de gouvernement. Pas question de revenir, sous prétexte de représenter le plus fidèlement le pays, au régime des partis dans lequel arrangements et coalitions aboutissent (quand elles y arrivent) à des orientations de gouvernement qui n'ont plus rien à voir avec le choix des électeurs.
Oui
La France comporte autant de communes que tout le reste de l'Europe. De vrais regroupements de communes permettent de créer des communes plus fortes ayant plus de moyens (tout en préservant une vie locale ou de "quartier" bien sûr). Alors qu'aujourd'hui des milliers de trop petites communes souffrent sans l'admettre des frustrations résultant de leur impuissance...
L'abstentionnisme est une plaie civique et le réduire sera une oeuvre de longue haleine, à poursuivre sans relâche grâce : - à l'éducation civique à l'école, dans laquelle on inclura, en plus de la pédagogie sur les institutions et le civisme, des actions collectives d'intérêt public local pour développer le sens de l'intérêt général (actions écologiques, solidarité...) - à la création d'institutions consultatives (voir ci-dessous) - à la volonté déterminée des élus et des médias (je n'en doute pas...) d'être exemplaires dans leur rôle, dans leur déontologie, dans la qualité et l'honnêteté de l'information donnée aux citoyens. Sans cette volonté, l'échec est assuré.
Non
Le vote blanc relève pour moi d'une forme d'irresponsabilité. On vote pour faire un choix, éventuellement le moins mauvais mais on ne se défausse pas sur les autres de sa responsabilité de citoyen. Si les choix qu'on me propose ne me plaisent pas, je n'ai qu'à m'engager en politique. Comme il faut bien que le vote débouche sur un choix majoritaire, le vote blanc pourrait peut-être fonctionner si le vote était obligatoire ? Trop risqué, donc pas de vote blanc ! Ni de vote obligatoire.
Toute assemblée à pouvoir décisionnel doit être ELUE. Et nos institutions en comportent suffisamment. Mais pourquoi ne pas créer à côté de chaque assemblée élue un COLLEGE CITOYEN CONSULTATIF dont les membres sont tirés au sort sur la liste électorale de ladite assemblée, pour un mandat de durée égale à celui de l'assemblée et qui serait consulté lors des décisions "importantes" (à lister pour chaque type d'assemblée). Nombre de membres : au maximum la moitié de celui des élus de l'assemblée. Le rôle des "tirés au sort" représentant une vraie charge, il ne seraient pas obligés de l'accepter (à la différence des jurés d'assises). Prévoir donc une liste de tirage au sort supérieure au nombre de postes.
Non
Si le RIP tel qu'il est actuellement prévu peut à la rigueur être conservé et peut-être facilité en réduisant les seuils actuels, les défauts du référendum sont tels qu'il faut l'utiliser le moins possible ou en limiter les sujets : - il simplifie à outrance les questions alors que les problèmes les plus importants se règlent par des compromis au delà des affrontements (vous imaginez un référendum sur la laïcité en 1905 ?) - son "simplisme" le rend très vulnérable à la démagogie et aux manipulations (cf 1992, 2005, le Brexit...) - il accentue les divisions en dressant deux camps l'un contre l'autre. - il ouvre le champ à l'émotion, à la colère (très à la mode), à la pensée sommaire, là où il faudrait culture politique et économique, dialogue, respect, délibération contradictoire, compromis, tout ce qui constitue la démocratie... - il s'amalgame avec le contexte politique, en sorte que beaucoup répondent à une autre question que celle qui est posée ! - si après le vote les choses ne tournent pas comme prévu, il n'y a personne pour rendre des comptes : on peut "dégager" les gouvernants, les députés, mais pas le peuple ! Voyez l'imbroglio britannique du Brexit...
Au niveau de l'Etat, la technicité du sujet oblige à faire confiance aux élus (parlementaires) pour les décisions... mais là encore, pourquoi pas assistés d'un Collège Citoyen Consultatif (voir plus haut) qui posera les questions de "Monsieur tout le monde" et à qui il faudra bien présenter les choses de façon compréhensible. Et en dotant le parlement de plus de moyens et d'autonomie. Idem au niveau régional ou départemental. Au niveau communal, on pourrait prévoir la possibilités de referendums d'initiative locale sur des projets locaux engageant un certain pourcentage du budget de la commune. Et des cahiers de "doléances et de propositions" (je tiens aux deux termes !) utilisables de façon permanente.
Le rôle du Sénat, représentant des citoyens et des "territoires" à travers les collectivités locales est indispensable et semble suffisamment clair. Peut-être faut-il améliorer l'information du public sur son rôle et sa "production". Le CESE pourrait être, comme il en est déjà question, transformé en "chambre de la société civile" dont la moitié des membres seraient choisis comme aujourd'hui parmi les instances sociales, syndicales et autres "forces vives" du pays et l'autre moitié par tirage au sort comme les Collèges Citoyens Consultatifs proposés plus haut. Rôle de cette chambre : consultatif. Pas d'augmentation du nombre total de membres par rapport à aujourd'hui !
Oui
Voir ci-dessus.
Respecter strictement et sans la modifier la loi de 1905 (si ce n'est "d'une main tremblante") et en enseigner les principes à l'école.
Commencer par la base : l'école et donc d'abord la formation des enseignants, qui ne semble pas avoir beaucoup développé ces thèmes depuis quelques décennies...
Favoriser davantage la vie associative et la vie locale.
Le respect d'autrui. Cette valeur fondamentale que la religion enseignait, il faut que les parents et les enseignants la reprennent à leur compte et la transmettent aujourd'hui La lutte contre les "petites pollutions" : cannettes de bière, crottes de chien, déchets abandonnés n'importe où... Le respect "routier" : respecter le code de la route, les autres usagers, les piétons...
Dans ma commune, chaque année les enfants des écoles partent ensemble ramasser tous les déchets abandonnés dans les bois, dans les rues... C'est à la fois une sensibilisation et une action utile. Des initiatives de ce genre devraient être développées partout.
Encourager, récompenser, montrer en exemple... Sujet à creuser.
Quelques exemples : Les "petites pollutions" (voir ci-dessus) Les pieds sur le fauteuil dans les transports en commun Le bruit La trottinette de location abandonnée au milieu du trottoir, sur laquelle l'aveugle va bientôt trébucher Le téléphone à haute voix (ou la musique) dans les transports La violence verbale ou physique, largement d'actualité. Que faire ? Avant tout enseigner le respect d'autrui, expliquer que la liberté de chacun a pour limite celle des autres. L'insulte ne peut pas remplacer l'argument. La civilisation, c'est quand on accepte de se respecter, de se parler, de s'écouter, d'échanger et de chercher comment vivre mieux ensemble, au lieu de se frapper...
Sanctionner systématiquement et très vite (la rapidité de la sanction est au moins aussi importante que son contenu). Une sanction qui intervient 6 mois après l'incivilité ne sert à rien. Et la sanction doit chaque fois que c'est possible réparer l'incivilité.
D'abord compter sur soi-même et non sur les autres. Il m'est arrivé de rappeler à quelqu'un qui dans un train posait ses pieds sur le fauteuil d'en face que ce n'était pas très sympa pour la personne qui allait s'asseoir là dans quelques minutes... Ou à un automobiliste garé sur un trottoir que les poussettes ne pouvaient plus passer... Nous pouvons tous, avec courtoisie bien sûr, aider à ces prises de conscience.
Par chance peut-être, j'ai rarement l'occasion d'observer des discriminations raciales, sexuelles etc. En revanche je vois des populations se discriminer elles-mêmes par rapport au reste de la société sur des critères ethno-religieux généralement arabo-musulmans. Il y a un grand chantier à lancer pour ouvrir et disperser les ghettos urbains et développer la mixité ethnique.
Education encore une fois, et connaissance de l'autre. Connaître l'autre, c'est bientôt l'apprécier. Accompagnement de familles immigrés par d'autres familles pour aider la démarche d'intégration.
Oui
Lorsque la solidarité sociale permet à une personne ou une famille, par une allocation ou un cumul d'allocations, d'atteindre un niveau de vie comparable à celui de ceux qui ne l'obtiennent que par le travail, il ne semble pas choquant de demander au bénéficiaire, si c'est possible, de remercier la société et donc tous ceux qui financent cette solidarité par une contribution sous forme de participation gratuite à telles ou telles actions locales ou associatives. Cela vaut surtout pour le chômage et le RSA. Sans gêner bien sûr une recherche d'emploi le cas échéant.
1) Les migrations ont toujours existé. Mais pour se faire dans la paix sociale et le respect des valeurs communes du pays "receveur", l'immigration doit rester lente et l'intégration se faire progressivement. Car l'assimilation - souhaitable, et qui finit généralement par se faire - demande plusieurs générations. Toute accélération du processus augmente le risque de rejet de l'étranger et de violence. 2) Laisser les pays "émetteurs de migrants" se vider de leurs meilleurs ressortissants est un très mauvais service à leur rendre. La politique migratoire doit donc reposer sur trois bases : - respect bien sûr du droit d'asile lorsqu'il est justifié, - pour les autres migrants, tout pays a le droit de décider qui il souhaite ou non voir s'installer chez lui. Et à quel rythme cette immigration essentiellement économique doit s'effectuer. En examinant les situations avec humanité bien sûr, mais souverainement. Ce droit que tous les pays se reconnaissent devrait-il être dénié à la France ? - l'aide au développement des pays d'émigration afin que chacun de leurs citoyens y vive suffisamment bien pour avoir envie d'y rester et de contribuer à leur développement.
Oui, ce serait logique.
Avant tout collaborer avec les pays "émetteurs de migrants" et aider leur développement afin que leurs ressortissants arrivent à vivre chez eux (ce n'est pas de gaité de coeur qu'ils émigrent !)
Un accompagnement commençant par l'enseignement de la langue française et de l'organisation et du fonctionnement du pays, et une aide à l'emploi et au logement - en évitant les effets de ghetto. Accompagnement par un nombre suffisant d'assistantes sociales.
Bioéthique : NON à la "PMA pour toutes". Il faut promouvoir les droits de l'enfant. Renoncer à toute loi qui permettrait de les priver par avance d'un père ou d'une mère. Les situations où ils doivent supporter cette privation résultent d'accidents ou de difficultés de la vie, il n'y a pas lieu de les favoriser ou de les développer. Il ne serait pas acceptable de faire comme si un siècle et demi de recherche psychologique et psychanalytique n'avait pas mis en évidence l'importance pour l'enfant d'avoir père et mère pour se construire. Donc pas de "PMA sans père" et bien sûr pas de GPA, honteuse marchandisation d'être humains. Education économique : de nombreuses absurdités entendues ces temps-ci en économie résultent d'une grande ignorance des français dans ce domaine. Ce n'est pas leur faute : le peu de notions économiques qu'ils ont reçues (quand ils en ont reçu) leur a été délivré à contre-coeur par des enseignants trop souvent eux-mêmes largement ignorants dans ce domaine et pour le moins "méfiants" envers l'économie et l'entreprise - qu'ils ne connaissent pas : entrés enfants à l'école, ils n'en sont... jamais sortis ! Grand chantier à ouvrir pour que la formation des enseignants intègre l'enseignement de ces réalités fondamentales par des praticiens de l'économie plutôt que par des idéologues, avec évidemment des passages en entreprise, des échanges etc. Information : savoir s'informer, avoir la curiosité d'essayer de comprendre les événements, la société et son fonctionnement, le monde qui nous entoure... c'est un devoir civique. C'est bien plus important que d'exprimer sa "colère" à tout propos. Or bien souvent aujourd'hui chacun n'écoute que son réseau qui lui répète ce qu'il a envie d'entendre... L'école a sans doute encore un rôle à jouer ici. Retraites : rétablir l'équité public-privé. L'injustice que met en évidence la comparaison des systèmes de retraite nourrit un ressentiment souvent sous-estimé. Il est urgent de supprimer les régimes spéciaux - dont les privilèges sont largement financés par les contribuables - et de rétablir la justice dans ce domaine. A travail égal, à cotisation égale, retraite égale.
Vers plus de décentralisation, de responsabilisation des agents et plus de consultation des citoyens.
Non
Il faut surtout rationaliser l'attribution des missions aux collectivités territoriales en définissant précisant qui est responsable de quoi. Aujourd'hui des missions sont éclatées entre les différents niveaux de collectivités, engendrant confusion, pléthore de fonctionnaires en doublon, irresponsabilité et inefficacité. Il y a beaucoup à gagner en efficacité et en coûts.
Oui
None
None
Non
None
None
Ceux qui facilité l'accès par internet. Et il y en a heureusement déjà un certain nombre.
None
Oui
Non
None
Des règles non, mais des pratiques, comme celle du fonctionnaire qui, plutôt que de chercher dans ses fichiers ou sa base de données, préfère vous redemander des informations que vous avez déjà données plusieurs fois...
None
None
Oui
J'ai rencontré dans ma carrière des fonctionnaires exemplaires de dévouement à l'intérêt général. Mais aussi des profiteurs, des irresponsables et des paresseux s'abritant derrière leur statut et que leurs supérieurs devaient supporter faute de pouvoir s'en débarrasser. Le statut de la fonction publique doit être réservé aux responsables qu'il faut réellement protéger des pressions possibles. Sa généralisation excessive pour des raisons politiques et idéologiques a été en termes de coûts pour la collectivité une catastrophe que de nombreux pays se sont bien gardés d'imiter... Sa révision serait un chantier dont les contribuables français auraient toute raison de se réjouir.
D'abord en changeant de mentalité et en considérant l'interlocuteur comme un citoyen responsable et non comme un sujet, un subordonné auquel on fait la grâce de l'écouter et peut-être de prendre en compte ses demandes... Ce n'est bien sûr pas le cas de tous les fonctionnaires, mais il y a encore bien souvent là des "marges de progression"...
None
None
None
En raison de mon parcours professionnel, ma retraite de base relève de deux organismes : la CNAVTS et la Mutualité Sociale Agricole (MSA). Avec la CNAVTS, tout s'est bien passé ; en revanche avec la MSA il m'a fallu une intervention énergique à haut niveau pour obtenir, après 6 mois d'attente, le premier versement de ma retraite - alors que celle-ci ne posait strictement aucun problème. Depuis, heureusement, tout fonctionne correctement...
Mes remboursements de soins de santé, qui dépendent de la CPAM 92, malgré un léger retard habituel, fonctionnent correctement.
None
None
None
None
None
None
None
Il faut réduire le recours au statut de la fonction publique. Très protecteur des agents, il a été créé pour garantir l'indépendance des responsables à l'égard des pressions diverses qu'ils pourraient subir dans un sens non conforme à l'intérêt général. Mais la généralisation dont il a fait l'objet n'a pas de sens et la protection excessive qu'il apporte à certains est génératrice d'irresponsabilité. Qu'est-ce qui justifie qu'une secrétaire de mairie bénéficie d'une protection supérieure à celle de la secrétaire qui travaille dans l'entreprise privée d'en face ? Pourquoi l'absentéisme des fonctionnaires des collectivités locales est-il 2 à 3 fois supérieur à celui des agents contractuels des mêmes collectivités ? Et encore bien plus à celui des salariés du privé ? Le tout aux frais du contribuable... Il y a là de considérables gisements d'économies à exploiter - et d'injustices à corriger. REVISONS LE STATUT DE LA FONCTION PUBLIQUE.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Arriver à mettre en place une politique mondiale de lutte sur tous les fronts contre les causes du dérèglement climatique. Mais il est à craindre que ne participent que les pays qui souffrent déjà directement des conséquences... Alors faire déjà notre part.
Oui
Même si notre vie quotidienne n'est pas encore très touchée dans son détail, nous voyons notre environnement et la nature se dégrader.
Oui
Je ne fais sûrement pas encore assez, mais j'essaie de modifier mes comportements et de "faire ma part" comme le colibri avec une goutte d'eau dans son bec pour éteindre l'incendie... Le moins possible de pollution, les transports en commun chaque fois que c'est possible, réduire la consommation d'énergie, consommer plus "intelligent", trier les déchets, recycler...
D'abord la pédagogie : chaque fois que l'on m'explique les conséquences de mes comportements, je suis plus porté à les modifier. Et avoir plutôt des aides, des incitations et des "récompenses" que des interdictions et des taxations - ou en tout cas un dosage des unes et des autres qui rende l'ensemble supportable. Donner envie d'adopter l'écologie.
Voir ci-dessus. La modulation du taux de la TVA entre les dépenses les plus anti-écologiques et les plus "vertes" peut être un levier non négligeable.
Oui
Le meilleur coût, bien sûr ! Soit à l'achat, soit dans l'utilisation (ou les deux !) Et l'absence d'effets négatifs (les pompes à chaleur par exemple peuvent générer de vraies nuisances sonores)
Oui
Rendre ces solutions très souples, très disponibles et très attractives, c'est-à dire rendant (à peu près) le même service avec (à peu près) la même rapidité que la voiture . Si leur utilisation me prend une heure pour arriver à destination alors qu'il me faudrait un quart d'heure en voiture, je prendrai sûrement la voiture... Je crois qu'on ne supprimera pas plus le transport individuel que l'eau courante à tous les étages, il répond à de vrais besoins ! Il faut seulement le rendre le moins polluant possible et limiter son utilisation chaque fois que des alternatives sérieuses (= sans perte de temps ni de confort) existent.
Les transports en commun|Le covoiturage|Le transport à la demande|Les mini-transports collectifs. L'informatique moderne devrait pouvoir les rendre très performants.
Tout le monde, le public comme le privé ! Le public pour ce qui est trop difficile ou trop long à rentabiliser et qui répond à des besoins collectifs significatifs, et le privé pour ce qui est plus proche de l'individuel, nécessitant souplesse et disponibilité.
Commencer par être exemplaire pour être crédible. Pénaliser les importations non "vertueuses" sur le plan écologique
La rénovation des logements pour en améliorer l'isolation, la création d'habitations autosuffisantes en énergie, sont des orientations à mon avis prioritaires. Le principe du pollueur - payeur est à appliquer chaque fois que possible, notamment dans les activités industrielles. Il semble que l'écologie soit enfin en train de se débarrasser du fatras idéologique qui pendant des décennies en a fait un repoussoir, c'est une bonne nouvelle.
Votre message a bien été envoyé.