Date de publication : 2019-01-23
Code postal : 81100

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Un site dédié, consultable avec son numéro de contribuable, où toutes les informations sont regroupées et où il est possible de faire des comparatifs par villes, institutions, dates, nombre d'administrés, projets, décisions, etc. Notamment, davantage de détails sur l'usage des deniers publics dans les institutions dont l'Elysée, le Parlement, le Sénat,...

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

- S'attaquer véritablement à l'évasion fiscale ! Et mieux gérer les deniers publics. Mais aussi reconsidérer les priorités et répartitions des enveloppes entre les différents postes et ministères. - Établir une politique des prix progressive en lien avec la transition écologique : dissuasion ou incitation selon les produits (première nécessité ou accessoire, hautement polluant ou biodégradable, naturel ou artificiel, de proximité ou lointain, ... avec des critères à établir). - Renforcer le contrôle des services fiscaux. En général, l'Etat a un rôle de contrôleur-régulateur primordial pour assurer ses valeurs et la justice sociale.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Il ne s'agit pas d'impôts mais de certaines taxes sur certains types d'entreprises ou d'associations. D'ailleurs en termes de taxation la considération n'est pas assez différenciée entre les structures lucratives et non-lucratives d'utilité sociale.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Lutter contre le gaspillage des deniers publics et contre l'évasion fiscale. Développer un esprit d'autonomie des collectivités locales et des citoyens.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Ce ne sont pas tellement ces conditions qu'il faut revoir mais l'attractivité à s'en passer en revalorisant le travail. Notamment la valeur indiciaire du point dans beaucoup de filières.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

L'accompagnement du parent au foyer qui a charge d'enfant. En termes de formation à l'éducation et de soutien moral, social et humain. Mais aussi par un sensible allongement du congés maternité post-natal. De même pour les personnes vivant avec des personnes en situation d'handicap ou dépendantes. Notamment au niveau des aides à domicile.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

- La prise en charge des personnes dites "vulnérables" : personnes âgées isolées et dépendantes, personnes handicapées, personnes en dés-errance, mineurs en précarité ou en danger, etc. - Les initiations et sensibilisations à l'écologie et au bien-vivre solidaire. - Le renforcement des contrôles des fraudes.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Les impôts ne sont pas la réponse à tout. Le modèle économique doit être revu à l'aune d'une nouvelle vision sociétale, qui manque cruellement à moyen et à long terme ! Cela rejoint "la transition écologique". Notamment quelles dispositions écologiques peuvent mener à des économies durables...

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

- Les associations citoyenne en général - Souvent beaucoup de déception de la part des élus (maire, député, ... ) qui sont peu à l'écoute et ne représentent que leur propres intérêts

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

-Défenses de consommateurs, -Défense des citoyens, -Défense de l'Environnement Leur rôle : rappeler et surveiller l'Etat sur son rôle de contrôleur et de protecteur des citoyens (sécurité, santé, économie, etc...)

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Etre exemplaires... Nous ne sommes plus du tout dans la confiance mais dans la défiance ! Dans la réalité les élus ne rendent pas des comptes, même s'ils ont été lamentables !

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Il y a assez à faire dans chaque représentation et ceux qui ont cumulé les mandats n'ont pas donné davantage satisfaction.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Casser les moules. Lors des élections, il y a toujours des profondes insatisfactions car les candidats sont quasiment toujours choisi par défaut pour éviter pire, et non pas par conviction. Il faudrait d'abord voter pour des idées avant de voter pour les candidats qui présenteraient leur manière de les mettre en application.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

Non, mais plutôt sur leur efficacité et indépendance. Les sénateurs contrôlent-ils vraiment le Gouvernement ? Proposent-ils vraiment des lois au bénéfice des français ? Les députés sont-ils vraiment libres de défendre les français et notamment les minorités ?

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La réponse est ci-dessus : voter d'abord pour des idées puis pour les candidats qui se positionneront pour les défendre. Le nouveau mode électif du chef de l'Etat pourrait être : -1- Recueil des thèmes et doléances des français (associations, ong, entreprises, citoyens,instances...)par le CESE qui sera ensuite soumis aux chambres du Parlement. -2- Positionnement des candidats vis à vis de ses thèmes et demandes (programme, modalité d'application, financement, personnalité, constitution d'équipe...). Les critères d’éligibilité seraient examinés par le Sénat. L'élection se porterait sur une équipe d'au moins 3 personnes (un président élu de manière inamovible sur le mandat et au moins 2 ministres phares sur une période sûre d'un an) -3- Sénat : présentation des candidats éligibles et rappel des respect des engagements électoraux et des valeurs républicaines. -4- Campagne électorale. -5-Election 1er tour. -6- Election 2ème tour entre 3 candidats, élection du président et de sa base gouvernementale à au moins 35% des voix, vote blancs inclus, sinon 3ème tour. (-7- Election 3ème tour entre 2 candidats du 2ème tours ayants reçus le plus de suffrages ou si les votes blancs ont été égal ou supérieur à 50% alors nouvelle élection à caractère obligatoire et sans votes blancs pris en compte, sur les 5 derniers candidats remis en liste avec nouvelles (adaptations) propositions des programmes et élargissement de la base gouvernementale (présentation et précision des membres de l'équipe) suivi d'une élection à la simple majorité des voix).

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Modalités à étudier. Voir ci-dessus.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

-Dans la suite de l'idée ci-dessus, le Sénat et des organisations citoyennes, veilleraient à ce que le candidat élu pour mettre en oeuvre les politiques plébiscitées le fasse. Une sanction de non éligibilité de sa personne et de son parti selon plusieurs critères objectifs permettrait d'être plus exigent. - Le CESE aurait un rôle de compiler les idées, propositions, argumentions et doléances citoyennes tous azimuts. Les classerait par thèmes, établirait un baromètre, les publierait en ligne. Ce "matériaux" pourrait servir à la construction de programme/actions politiques qui servirait de support aux propositions de candidats se présentant aux élections.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

- D'abord de la transparence mensuelle sur l'utilisation; -Ensuite, des bilans annuel commentés; -Enfin, une estimation chiffrée donnée lors de la présentation du candidat pour mettre en oeuvre les applications politiques. Le rôle de l'Etat devrait être avant tout : -1- régulateur-contrôleur -2-Défenseur des intérêts des citoyens et des valeurs républicaines.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

- L'Assemblée nationale, le Sénat et le CESE sont essentiels. Mais également les départements et les municipalités. Le problème n'est pas tant structurel qu'un problème de sérieux et d'honnêteté des personnes : d'intérêts personnel ou d'appareils. Nous ne nous sentons pas représentés parce que le travail de représentation des territoires et de la société civile est aléatoire, peu rigoureux, incontrôlé, trop filtré et non-fiable.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Juste par plus de traçabilité et de contrôle d'organisations légitimes et indépendantes.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La laïcité est vraiment un bon principe. Mais pourquoi le renforcer ? Les valeurs républicaines et les lois qui en découlent doivent être garantes du respect de la laïcité et préserver des éventuels "débordements" des religions. A la place d'un "renforcement" ce serait plutôt, auprès de toutes les religions, un rappel des valeurs de la République et de la laïcité qui permettent le vivre ensemble et la manifestation de chacune dans ce cadre "sacré".

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Il y a quelque chose d'étrange dans cette question... Ce qui pourrait être pertinent c'est de voir en chaque domaine, et en chaque question de la vie publique, de quelle façon est concerné et se déploie "la fraternité", "la liberté" et "l'égalité". Ce devrait être notre grille de lecture.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Est-ce vraiment un désir de l'Etat et des politiques ? Vraiment ? Si ça l'était la question ne se poserait pas... L'envie de s'impliquer, les moyens facilitant pour le faire et les résultats possibles à la hauteur de l'engagement sont les clefs, et l'éducation à cette envie aussi.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Ils sont nombreux. La question est plutôt quelles non-valeurs sont promues dans notre société et sont à l'origine de la défiance et de la frustration ? Pourquoi attendre mieux des citoyens alors que leur environnement ne les y porte pas ? La réponse est vraiment politique et morale.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Cela passe par l'exemple et par l'éducation. Forcément une vision de la société cohérente avec le réel et non pas juste fantasmée.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

-

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

"Tu aimes la France ou tu la quittes!" disait quelqu'un. Eh bien je dirais : "Tu veux profiter de la France, alors tu paies tes impôts ou tu la quittes !" La pire des incivilités est celle des cols blancs.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Dans la suite de la réponse ci-dessus : Arrêtez de les justifier en prétendant que "les fortunes, les cerveaux et les compétences" fuiraient à l'étranger à cause des impôts et des taxes! La France, outre son prestige, restera un territoire attractif que dans la logique commerciale personne ne voudra laisser à un autre, et qu'en bien même il se trouvera toujours quelqu'un de compétent, d'ingénieux et d'honnête pour reprendre le flambeau. Il y a trop de compromission et de complaisance sur ce sujet : l'Etat français devrait être bien plus exigent envers ceux qui veulent faire affaire sur les intérêts français. Par exemple : Quelle "fortune" dans le monde refuserait de s'offrir une résidence en France à cause des impôts fonciers ?

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

-

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Le handicap, l'accessibilité à certains lieux.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Vis à vis du handicap mental, l'association de l'Arche de Jean VANIER est un modèle à suivre.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Ça dépend lesquelles. Mais ce serait sous forme d'ateliers, en vue de sortir de l'isolement (et du communautarisme), d'informer et de former, de sensibiliser, de créer des espaces d'échanges sur des thèmes divers comme l'éducation par exemple.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Nous pouvons accueillir bien davantage de personnes et surtout de manière plus digne ! Limiter l'immigration c'est oublier notre histoire ! Cependant il faut le faire dans un cadre qui est de donner les clefs et les exigences d'une bonne insertion en partant du principe que les immigrés viennent d'eux même sur un territoire qui a une autre culture. Les critères d'entrée doivent être très larges mais les critères pour rester bien définis et consiste au respect des lois et des valeurs républicaines dont la laïcité. Un suivi est nécessaire avec des modalités souples à définir. "Donner sa chance à l'autre" doit être une valeur française.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Tracer et tenir les comptes bien sûr. Mais pas fixer de quotas mais un suivi du respect des valeurs républicaines.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Établir dans les pays (ou pays limitrophes) et continents d'où partent principalement les immigrés des "Maisons françaises" véritables ambassades où se dit la France et ses exigences en tant qu'accueil et devoir pour y demeurer. De là peut se faire une préparation à l'inculturation et un contrôle en terme de risques et de flux. L'immigration est une chance. Nous rayonnons dans le Monde aussi grâce à notre faculté à accueillir. Et demain quand nous aurons besoin d'aide peut-être se trouvera-t-il des personnes qui s'en souviendront ?

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L'éducation populaire, l'invitation à des événements festifs avec partage des cultures, l'invitation à la vie associative et civique, le travail salarié, et les jumelages avec des villes de ces pays.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Jean-Jacques ROUSSEAU propose que selon la taille du territoire correspond un mode de gouvernance, car on ne gouverne pas de la même manière un village, une métropole, une région, un pays, une fédération... Son observation est à considérer. Le problème actuel est que la démocratie est partielle. Elle ne se manifeste que dans la durée limitée des mandats et dans l'instant des élections. En dehors de cela, un candidat élu, même s'il a été choisi entre la peste et le choléra, pourra se targuer d'être le meilleur et d'avoir été accrédité pour appliquer son programme. Or, nous le savons tous : certains sont élus de justesse, leurs programmes ne font certainement pas l'unanimité, même chez ceux qui ont voté pour eux par conviction, et ce n'est pas un chèque en blanc qui leur est signé. Pour éviter cela, je renvoie alors à une réponse donnée plus haut.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Les administrations françaises vont en s'améliorant en termes d'organisation et de simplification et de pédagogie.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

L'évaluation APA par des travailleurs sociaux spécialement formés et rattachés aux CCAS. Transfert du Département aux municipalités.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

- Des crèches ouvertes toute l'année pour les personnes travaillant toute l'année.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

- En plus des allocations CAF connues, la mise en place d'un "contrat parental" libre qui permettrait un versement de 450 euros Brut (dont cotisation retraite) au parent qui resterait au domicile pour élever son enfant jusqu'à 5 ans en échange d'engagement social collectif et de formation à la parentalité, et éventuellement une prime supplémentaire de 50 euros par mois plus salaire horaire pour une intervention (plafonnée à 3h/j. ) comme intervenant à domicile (en tant que personnel de ménage ou qu'auxiliaire de vie), supervisé par un SAAD, chez une personne âgée ou handicapée vivant à proximité (après une formation qualifiante qui permet une intégration plus facile par après dans le monde du travail) . Voir projet déposé auprès du député LREM Jean TERLIER.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Oui

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Oui

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

-Une simplification des recherches de services publics, d'inscription et d'orientation par des guichets uniques. -Une souplesse dans les critères d'attributions d'aide par les CAF pour des situations jugées complexes mais devant être adaptées pour répondre à des difficultés familiales et sociales.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Les démarches en ligne au niveau état civil, carte grise, etc.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

- L'éducation nationale, en termes d'effectif par classe, de qualité d'orientation des élèves, d'équipement de certains établissements et de méthodes d'instruction et d'accompagnement des élèves. - Les hôpitaux et les EHPAD en termes d'effectif et de tarification.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le problème est d'abord de l'ordre du financement ! Que ce soit à tous les niveaux : écoles, hôpitaux, services médico-sociaux, prisons, etc. Auprès des organismes professionnels comme parfois des particuliers comme par exemple la fameuse "prime à la conversion" qui n'est toujours pas versée depuis des mois alors que le Gouvernement vante le dispositif et prévoit de la doubler !!! Il y a un problème d'usage et de gestion des deniers publics, de répartition mais surtout de fiscalité.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La gestion des déchets, et des ressources naturelles (poissons, gaz, pétrole, etc.), l'accès et la qualité de l'eau, la biodiversité et la disparition de certaines espèces, l'énergie propre

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Des initiatives personnelles et familiales existent, mais aussi de nombreuses associations et organismes, au plan national et international, livrent déjà leurs diagnostics et propositions, il suffit de les consulter et de construire un véritable plan écologique. Pousser la Recherche dans la résolution des points susmentionnés.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Notre famille limite ses déchets ménagers, achète le plus possible directement aux producteurs locaux, et bio de préférence. Les déplacements professionnels se font le plus souvent en transport en commun (inter-villes dans le Tarn). Nous réduisons l'achat de cadeaux inutiles et surabondants pour les remplacer par des événements à partager. Nous pourrions faire plus et nous travaillons à ça !

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Voir ci-dessus. Mais une politique écologique nationale engagée et sans équivoque nous motiverait bien plus encore ! Ce qui est important, c'est une éducation des enfants et des adultes à la conscience écologique. Ecologie = maison, vivre ensemble, protection de la nature.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

- Faire une fiscalité incitative pour les produits (réellement) respectueux de l'environnement et dissuasive pour l'inverse. Surtout les produits alimentaires, vestimentaires, mobiliers et matériaux de construction. - Inciter au regroupement des producteurs pour réduire les surcoûts des intermédiaires (coopératives de vente).

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

En ce qui concerne ma famille, nous sommes satisfaits du gaz de ville mais nous savons qu'il s'agit d'une ressource épuisable. Nous aimerions nous équiper d'un poêle de masse mais l'installation reste très onéreuse et les aides ne concernent pas, sauf erreur de notre part, les locataires.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Nous le faisons très souvent (covoiturage, transport en commun, vélo, marche) . Mais c'est plus compliqué pour les courses en grande quantité. L'idéal serait de développer un carburant propre et/ou de revenir à plus de commerces de proximité.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Le vélo|Le transport à la demande|Le covoiturage|Les transports en commun|et pourquoi pas l'hippomobile dans les transports en commun ?

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Certaines relèves du particulier, d'autres de la Région, du Département ou de la Commune.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Montrer l'exemple, imiter ou innover, essayer d'abord.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

- La transition écologique est vue comme quelque chose de coûteux alors qu'au contraire elle peut amener à d'importantes économies et richesses. - La question de la réduction et des traitements des déchets devraient être capitale. - La création d'un grenier à graines des espèces nationales et internationales serait à créer. - La protection du vivant et l'opposition à son brevetage devrait être une valeur républicaine. - Le contrôle en matière sanitaire sur l'alimentaire devrait être renforcé, cela va de pair avec une politique de la protection des citoyens sur la constitution des produits alimentaires et la préservation de la santé de la population.