Date de publication : 2019-01-28
Code postal : 30840

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Aux élus locaux, maire, conseiller régional et député régional. Le citoyen peut faire remonter ses doléances par le canal des élus.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Des réunions de citoyens, à fréquence trimestrielles au moins, doivent se tenir dans les mairies, avec la présence de tous les élus.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Une bonne chose, à condition que tous les élus participent aux débats locaux. afin de faire remonter les problèmes au plus haut niveau. Le cumul des mandats concentrait trop de pouvoir entre les mains du député ou sénateur.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Lorsque le pays est très divisé politiquement et c'est le cas actuellement, une proportionnelle intégrale conduirait à des dysfonctionnement grave du parlement et du sénat ( Ex : sous la 4e République). Sénat et parlement devraient étudier la possibilité d'une dose de proportionnelle qui prenne davantage en compte les résultats des élections au delà des règles actuelles où 30% d'électeurs peuvent avoir une majorité absolue au Parlement.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Les élus régionaux à l'exception des Maires qui doivent être les piliers de la citoyenneté.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La participation des citoyens est essentielle dans une démocratie. Les débats locaux, avec présence de tous les élus locaux, inciteraient les citoyens à participer aux élections.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Le vote au niveau national doit être obligatoire. L'élection est annulée si le vote blanc représente la majorité absolue.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Le référendum sur des problèmes importants qui divisent les Français ( Ex : Traités sur l'immigration, l'Europe).

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

A étudier par nos assemblées.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

A étudier par nos assemblées.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

A étudier par nos assemblées.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Réduire le nombre d'élus et aligner les salaires, primes et retraites sur ceux de la fonction publique.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La laïcité ne peut être appliquée dans certains territoires de la République. La laïcité est acceptée par toute les religions sans problème à l'exception de la religion musulmane pour laquelle elle pose problème. Les règles de la laïcité vont souvent à l'encontre des règles coraniques. Le non respect de la laïcité est permanent dans les quartiers qui ne sont plus sous le contrôle de l'état Républicain et où demeurent des populations majoritairement musulmane. Ces quartiers étant sous contrôle de groupes islamistes financés par les aides sociales et le commerce de la drogue, les élus locaux et l'état ont depuis des décennies appliqués la politique du "pas de vague", ce qui a induit une autonomie communautaire de ces quartiers où les lois de la République sont de plus en plus remplacées par la loi islamique, la Charia. Cette analyse de la situation étant déniée par nos gouvernants successifs, le plus vraisemblable sera la libanisation de la France façon puzzle. Un point important pour retarder le plus possible cette libanisation, est de ne pas accepter la moindre modification des principes de la laïcité, dans le but de faire accepter l'Islam de France aux musulmans, ce qui sera un échec, car l'Islam de France ne sera jamais reconnu par les mouvances islamistes. Il faudrait organiser les états généraux des représentants de toutes les religions, avec signature par tous d'une même chartre de la laïcité.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Cette garantie ne peut être donnée par les mouvances islamistes de la religion musulmane ( Frères Musulmans, Salafistes, Wahabites...etc..), parce qu'elles sont contraires à la charia qui gère leur vie. De plus le développement des écoles Coraniques dans ces quartiers éloigne cette garantie. Les valeurs intangibles de la République ont disparues de ces quartiers et sont remplacées par la charia. Il faudra impérativement que les représentants de toutes les religions viennent preter serment devant l'Assemblée Nationale, de faire respecter les valeurs intangibles de la République.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

La citoyenneté doit être enseignée : . en cours de scolarité primaire et secondaire ; . lors de réunions locales organisées par le Maire ; . lors de la participation à un service civil mixte obligatoire des jeunes de 16 ans, d'une durée d'au moins 1 mois, pendant les vacances scolaires.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Le respect mutuel entre tous les citoyens par delà leur confession et leur origine.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Le cursus scolaire et l'engagement des familles doivent favoriser ce comportement. Un service civil mixte obligatoire, d'une durée d'au moins un mois, pendant les vacances scolaires, des jeunes à l'âge de 16 ans.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Militer dans des associations citoyennes gérées par les Mairies.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

L'éducation scolaire et familiale sont à la base de la lutte contre les incivilités.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Ce serait le rôle de la police municipale ou de proximité ; mais que pourraient-ils faire dans ces quartiers perdus de la République ? Rien, tant que la politique du "pas de vague", sous-traite l'ordre public aux polices locales, des meurs et du commerce de la drogue. Le précédent ministre de l'intérieur, en quittant son poste, a bien résumé la situation actuelle : “Aujourd’hui, les quartiers sont soumis à la loi du plus fort, qui n’est plus la nôtre.” “Nous vivons côte à côte, je crains que demain nous ne vivions face à face.”

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

L'intervention personnelle n'est pas forcément la bonne solution et elle peut parfois être mal interprétée et se retourner contre elle.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Je n'en vois pas dans mon village.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Avoir une société où chacun à l'impression d'être utile. Hors actuellement nous sommes dans une société fracturée dans laquelle certains ne trouvent pas leur place, pour des raisons multiples ( ex : personnelles, pauvreté, chômage, discrimination raciale ..etc..).

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

OUI, faire partie d'une association bénévole de village ou de quartier.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Les citoyens ont l'impression très nette que l'état est dépassé par le phénomène migratoire et que de plus, le sujet est tabou ( Le "Pacte de Marrakech" n'a pas été discuté au Parlement, ce qui est une faute grave contre la démocratie). Cette attitude du gouvernement est très inquiétante, d'autant plus que ce phénomène migratoire n'est qu'à son début et que la jeunesse Africaine sans avenir ( ils sont des millions actuellement et beaucoup plus dans les années à venir), rêve de se construire un avenir dans certains pays européens, dont la France en particulier, avec l'aide des gouvernements Africains. Les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire devraient être : . renvoyer dans leur pays les migrants économiques, seul 10% son renvoyés actuellement, en passant des accords avec ces pays ; . les problèmes économiques et sociaux du pays d'accueil sont essentiels. Par exemple, les chiffres de l'OCDE et de Pôle Emploi, indiquent que la France aurait 3 millions de jeunes de 16 à 34 ans, issus de l'immigration pour l'essentiel, qui sont sans emploi et sans formation. Comment peut-on continuer à augmenter cette population issue de l'immigration, avec la crise économique que subit la France ? C'est incompréhensible et inquiétant pour le citoyen lambda et cela participe à l'augmentation du vote extrême droite.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

L'assemblée Nationale établit des quotas d'immigrés légaux, hors ceux éligibles à l'asile politique.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

. Raccompagner les migrants recueillis en mer, dans le port le plus proche du pays d'où ils ont embarqué, en passant des accords avec ce pays. . Raccompagner tous les migrants qui ne passent pas par les voies officielles dans leur pays d'origine suite à des accords avec ces pays ; . Passer des accords de développement économique avec ces pays ; . Informer dans leur pays, les migrants économiques potentiels, qu'ils seront renvoyés dans leur pays d'origine.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Sans travail, l'intégration est impossible ; sachant que nous avons en France plus de 10% de la population au chômage, dont 3 millions inemployables, la non intégration est évidente pour la grande majorité des migrants légaux, lesquels vont ainsi alimenter la population des quartiers défavorisés et aggraver ainsi les problèmes inter communautaires. Avec 40 ans de pratique migratoire, nous connaissons bien le mécanisme de formation des quartiers défavorisés et pourtant nous nous dirigeons vers une cession communautaire inévitable. Le citoyen lambda ne comprend pas la cécité des politiques qui conduisent le pays depuis 40 ans et qui le conduisent à la catastrophe. Certains prônent la mixité ; cette notion de mixité est totalement utopique, elle n'a jamais fonctionné en France ( années 1970) ni dans n'importe quel autre pays du monde. Le regroupement de populations de même sensibilité culturelle est une réalité incontournable.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

NON

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Diminuer le plus possible l'utilisation des énergies fossiles (charbon, pétrole, fioul, gaz) que nous consommons : . pour produire de l'électricité ; . pour se déplacer à des fins personnelles ; . pour, avec des camions ( très consommateurs en carburants,) transporter des produits de consommation sur de longues distances ; . développer pour les véhicules de transport le moteur à hydrogène ; . consommer des produits alimentaires locaux ; . acheter des produits "made in France" fabriqués en France. La France est le pays au monde qui participe le moins aux émissions de gaz à effet de serre (moins de 1%) et cela grâce à la production d'électricité d'origine nucléaire (75% de la production électrique), en conséquence : . fermer les centrales nucléaires, comme certains le demandent, serait une grave erreur ; . ne pas vouloir être le modèle mondial de la transition énergétique, en appliquant aux Français des taxes pour imposer une transition énergétique qui apparait ainsi comme une écologie punitive ; . les pays les plus pollueurs (Chine, USA, Allemagne, ,Pologne…etc..), doivent être en priorité les plus concernés.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Par mon comportement de tous les jours en matière de consommation et de protection de la nature.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Mon comportement va dans le sens d'une transition écologique.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Aucune, halte à l'écologie punitive !... J'ai déjà dit que la solution était avant tout technique et qu'il fallait investir dans la recherche.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Mon mode de chauffage est le tout électrique.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Aucune ne correspond à mes besoins.

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

La France est le pays qui par tête d'habitants pollue le moins, du fait du choix nucléaire fait pendant les 30 glorieuses (1960-1990). Elle est donc un exemple à suivre et, compte tenu de son siège à l'ONU, elle devrait le crier plus fort au niveau international.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La transition écologique se fera par la technique ou ne se fera pas. Il ne faut surtout pas que les moyens utilisés apparaissent comme punitifs et détournés pour remplir les caisses de l'état à des fins autres que la transition écologique. Il est donc urgent que la recherche mondiale se concentre au plus tôt sur le remplacement de sources carbonées de production d'énergie.