Je ne sais pas et l'information, à proprement parler, n'est pas ma véritable préoccupation. Mes véritables préoccupations sont de deux ordres : - Le sentiment, en tant que famille de la classe moyenne, de subir, depuis quelques années, une perte significative de mon pouvoir d'achat et un déclassement progressif dus à une augmentation du coût de la vie conjuguée une imposition, des prélèvements et des taxes toujours plus importants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai soutenu le mouvement des gilets jaunes à ses débuts et ses revendications relatives à la taxe écologique. - La propension qu'ont les élus, à tous les niveaux, à utiliser, de façon parfois indécente, l'argent du contribuable sans tenir compte du caractère superflu, ostentatoire de certaines dépenses...Le sentiment d'un gaspillage de l'argent public (part trop importante apportée au soutien de pays étrangers ou d'ONG, dépassements budgétaires des chantiers publics, dépenses de fonctionnement des institutions, etc.) alors même que notre dette est au niveau qu'on connaît et que tant de Français sont en souffrance...
Vraisemblablement, affiner davantage les tranches fiscales...Faire en sorte que la fiscalité tienne compte des difficultés et des dépenses accrues pour les Français vivant dans les départements ruraux (déplacements pour l'accès aux soins, à l'éducation, à l'enseignement supérieur, à la culture, par exemple)...Faire en sorte que les classes moyennes n'aient pas le sentiment, comme celui que je ressens clairement désormais, de devoir toujours payer davantage au nom d'une certaine conception de la solidarité, sans avoir le droit à quelque aide que ce soit, alors même que les bénéficiaires d'aides vivent parfois, du fait d'un effet cumulatif jamais pris en considération, semble-t-il, de façon plus confortable et, au final, ont un train de vie que les classes moyennes ne peuvent plus se permettre...
La question est très technique. Ce genre de questions démontre les limites de l'exercice...Dans mon cas, je dirais la CSG et la taxe foncière...
La question est biaisée. Elle suggère que la fiscalité ne sert qu'à couvrir les dépenses sociales...Vu le poids de celles-ci, il importe de les réduire....A titre d'exemple, je suis partisan d'une réflexion sur la poursuite de l'interventionnisme partout dans le monde, tel que, depuis de nombreuses décennies, nos gouvernements engagent le pays, trop souvent, avec une participation symbolique des autres nations européennes.
D'abord, commençons par l'aide médicale d'État dont bénéficient les étrangers en situation irrégulière et dont la part ne cesse de croître...
Je ne sais pas.
Dans le but de garantir aux jeunes une véritable égalité des chances, une réforme ambitieuse de l'Éducation nationale visant à moderniser la gestion du personnel enseignant de ce ministère (mobilité obligatoire), les moyens, les rémunérations, les méthodes et à faire en sorte que la fréquentation des collèges et des lycées en dehors des grandes villes et notamment, dans les départements ruraux, ne continue pas d'être synonyme de handicap pour démarrer dans la vie...Chaque enfant a le droit de pouvoir accéder à une qualité d'enseignement digne de celui dispense dans les établissements de renom (Henri IV, Louis le Grand, Fermat, Montaigne, Eiffel, etc.)....Et je ne suis pas un enseignant...
1. J'insiste sur l'importance que j'accorde à la remise en question, à la renonciation, de façon iconoclaste peut-être, de dépenses qui ne seraient pas indispensables et qui relève du seul prestige, au développement d'une culture de la lutte contre les gaspillages ; 2. Je précise que je suis convaincu, par ailleurs, que la suppression de l'ISF aurait des conséquences contre-productives...Je vois dans cette revendication que je ne partage une réaction viscérale ; 3. J'aimerais que nos dirigeants politiques, de quelque orientation politique qu'ils soient, cesse d'agir et de dépenser, comme si nous étions encore une grande puissance. J'entends bien le discours sur le rayonnement de la France, la patrie des droits de l'Homme, etc., etc. Mais, le sentiment prévaut que les Français paient cher cette affirmation de puissance, alors même que le poids de la dette et notre dépendance vis-à-vis des marchés financiers et, peut-être, de puissances étrangères le démentent et devraient nous inciter, de mon point de vue, à une plus grande modestie et à nous recentrer sur le pays et les Français.
Je ne peux pas répondre précisément et citer un niveau de représentation, en particulier. J'attache davantage d'importance à la confiance que m'inspire telle ou telle personne, aux actes et aux décisions de tel(le) ou tel(le) élu(e). Le niveau de représentation national me semble parfois critiqué avec une sévérité à laquelle échappent les niveaux départementaux, régionaux ou locaux où, pourtant, se maintiennent durant des carrières complètes des personnages perçus comme des mandarins ou autres potentats et où règnent un clientélisme et un entre-soi inacceptables en démocratie.
Oui
Syndicales et professionnelles, probablement. Je ne m'estime pas compétent pour me prononcer sur le rôle exact...S'agissant des associations, il est difficile de faire une réponse globale car toutes les associations ne sont pas de même pied. Je privilégierais clairement les seules associations qui prolongent l'action des pouvoirs publics. D'une manière générale, je me défie de toutes ces associations qui attendent des subventions et vivent grâce à l'argent public. Il s'agit là d'un mode de fonctionnement avec lequel je ne suis pas d'accord parce qu'il favorise évidemment le clientélisme, notamment à un niveau local. Les dirigeants politiques sont, à la fois, prisonniers et complices d'un tel système. J'appelle de mes voeux une remise en cause complète du financement des associations par l'argent public.
Il s'agit là, de mon point de vue, d'un préalable qui s'impose : une remise à plat complète/ sincère et une transparence réelle quant aux rémunérations, avantages ou privilèges des élus, anciens élus, des autorités indépendantes, de la haute administration, des académiciens, etc. même si j'accepte l'argument de la nécessité de rémunérations attractives pour attirer des gens de valeur...Un examen sans complaisance et une réduction drastique de tous les comités Théodule...La fin du recasage dans des postes parfois prestigieux des élus battus aux élections, des amis, des relations (ex. : Jack Lang à l'institut du monde arabe)...La remise en question de ces fondations comme celle voulue par François Hollande après son quinquennat et qui voit l'existence grâce à l'argent public...La réduction drastique des dépenses de prestige ou perçues comme telles...La limitation drastique des cérémonies du type de celles organisées à l'occasion de la commémoration du Centenaire de 1914-18 dont le citoyen ne connaît pas bien le coût vraisemblablement exorbitant...
Je ne sais pas
Je comprends le discours selon lequel un député et un sénateur a aussi besoin d'une implantation locale. En même temps, je ne suis pas convaincu par les effets de la loi sur le non-cumul des mandats car, à un niveau local, on a le sentiment que, si tel député ou sénateur n'est certes plus maire, par exemple, il n'en continue pas moins de tirer les ficelles. La règle du non-cumul a été dévoyée, contribuant ainsi à entretenir cette défiance envers les élus...
Vaste sujet sur lequel je n'ai pas d'idées arrêtées. J'entends les propositions pour l'instauration du scrutin proportionnel, voire, le changement de République. Pour ma part, je m'interroge. J'ai tendance à considérer que cette question devrait déjà être traitée dans un climat apaisé, avec des représentants de toutes les familles politiques et l'appui de constitutionnalistes véritablement indépendants...Ce dont je suis sûr : je ne veux surtout pas revenir à l'instabilité gouvernementale de la IVe République (= ligne rouge) et je ne veux pas davantage du système en vigueur dans d'autres pays européens où le citoyen est exclu du troisième tour, celui au cours duquel les partis cherchent à former une coalition, négocient, quitte à revenir sur le programme et les propositions pour lesquelles les électeurs se sont prononcés. Si le scrutin proportionnel devait nous conduire à un tel système, je ne verrais alors vraiment pas où est l'avancée démocratique.
Oui
Oui, certainement, au niveau de la région et du département....Et je pense qu'on serait bien inspiré aussi de s'intéresser à la fonction publique territoriale...
Je ne suis pas d'accord avec les Français qui s'abstiennent de voter et, ensuite, contestent avec virulence le vote de celles et ceux qui se sont déplacé(e)s aux urnes. Ces gens-là ne sont pas des démocrates. Il faut avoir le courage de les renvoyer à leurs incohérences, quitte à imposer le vote obligatoire.
Non
None
Il faudrait déjà que les programmes de campagne ait une certaine valeur contractuelle et que rien ne puisse être entrepris/ décidé sans un retour vers les électeurs. Il me paraît en effet difficile de consulter les citoyens pour chaque décision importante à prendre. Le système n'est peut-être pas parfait mais, en démocratie, les citoyens sont représentés par des élus...Il serait bon aussi de le rappeler...
Oui
Mais, il faut cerner précisément le champ d'application, les sujets...Mais, en même temps, on sait ce qu'il en est du référendum en France. Quel que soit le gouvernement, j'aimerais être parfois consulté par référendum mais que celui-ci en soit véritablement un et non pas un plébiscite. Il faut aussi que les Français soient responsables et jouent le jeu de la démocratie.
Il faudrait qu'à tous les niveaux, ils existent des citoyens qui constituent une instance indépendante du pouvoir politique et qui ait la possibilité de se prononcer et de s'opposer à des dépenses publiques contestables.
Je ne sais pas.
Oui
La suppression du Sénat est régulièrement évoquée. Je n'y suis pas favorable...En revanche, j'aimerais que soit évoquée la remise en question du CESE perçue comme une instance où se pratique largement le recasage des amis ou, a contrario, de personnalités gênantes que la perspective d'un poste neutralise.
Je voudrais qu'on écoute et entende ENFIN des personnalités comme Jeannette Bougrab, Zineb el Rhazoui, Célina Pina, Fatiha Boudjahlat, etc. et qu'on condamne les élus qui, ici et là, sont complaisants et font le lit des islamistes...Parce qu'il est évident que les principes de la laïcité sont menacés, d'abord et avant tout, par l'islam radical.
Je ne sais pas...Mais, je sais qu'il faut imposer le respect des valeurs de la République, le cas échéant, par la contrainte.
Je ne sais pas. Je n'y ai pas réfléchi et j'avoue qu'il ne s'agit pas là d'un sujet de préoccupation. En tout état de cause, d'autres sujets sont bien plus importants et prioritaires. Il est démagogique de laisser entendre que de tels sujets peuvent être traités par de simples mesures. Leur prise en compte relève de l'éducation et s'inscrit dans le temps long.
Revenons aux fondamentaux : la politesse, la courtoisie, l'honnêteté, le respect des autres, le respect des biens de la collectivité.
Ce n'est pas un sujet de préoccupation. En tout état de cause, d'autres sujets sont bien plus importants. Je pense que l'État ne peut pas tout régler et qu'il faut que chacun, chaque famille se sente concernée et responsable.
Idem ci-dessus.
Les dégradations de biens et de mobiliers publics, les personnes qui ne respectent pas les autres et sont agressifs, menaçants dans les transports en commun....De même que les incivilités et l'agressivité des gens du voyage qui semblent, en permanence, rechercher l'incident, l'affrontement.
Avoir une réponse pénale plus répressive ou, tout au moins, adaptée à chaque incivilité et n'en laisser passer aucune...Et surtout, avoir l'humilité de s'inspirer de méthodes en vigueur dans d'autres pays et qui ont fait leur preuve...
Commencer par être, soi-même, poli et courtois quel que soit la personne à laquelle on s'adresse et éduquer ses enfants en ce sens...Que cette personne ait ou non les mêmes origines sociales, culturelles, la même religion, etc.
Celle qui me révolte et m'affecte le plus car elle touche les enfants et compromet l'égalité des chances : la discrimination en matière d'enseignement. Il existe un rapport étroit qui me semble évident et souvent inavoué, passé sous silence entre la qualité de l'enseignement dont un enfant peut bénéficier ou pas et le lieu d'habitation étroitement lié aux revenus des parents, au coût de l'immobilier...Une discrimination dont sont victimes aussi les enfants dans les départementaux ruraux...
Vraisemblablement, une réforme ambitieuse de l'Éducation nationale (mobilité obligatoire des enseignants, avancement, rémunérations, etc.) pour qu'au final, les enseignants de grande valeur soient répartis de façon plus homogène sur le territoire et non pas concentrés dans les établissements réservés, du fait de la carte scolaire, aux classes sociales les plus favorisées et, trop souvent, dans les seules grandes villes...Vraisemblablement, des mesures dans le domaine de l'immobilier pour faire cesser cette hausse incessante des loyers qui rejettent les plus petits revenus toujours plus loin des grandes villes où, pourtant, se concentre l'emploi...Mettre en place des mécanismes de rééquilibrage entre les grandes métropoles et les zones rurales, car le fossé entre ces deux France ne cessent, me semble-t-il, de s'accroître.
Non
Un sujet délicat. Il faut trouver un consensus sur de tels sujets. Les bénéficiaires d'allocations de solidarité s'en passeraient volontiers, s'ils le pouvaient, je pense. N'est-ce pas les humilier que les astreindre à une contrepartie?...Je m'interroge et je ne prétends pas répondre à la question...
Je pense que l'immigration n'est pas contrôlée depuis de trop nombreuses décennies et qu'il est inacceptable de subir une pression fiscale toujours plus importante pour permettre (entre autres) à des gens qui n'y ont pas été autorisés/ conviés de vivre ou survivre dans le pays et ce, au détriment, parfois, de nos aînés, de nos SDF. De même, il est insupportable de voir des concitoyens et concitoyennes agressé(e)s, violées par ceux-là même qui y sont arrivés...Les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire sont l'estimation réelle de la capacité du pays à intégrer, la pression fiscale déjà exercée...
Je ne sais pas. Je voudrais surtout que nos dirigeants rendent notre pays beaucoup moins attractif avec les aides dont les immigrés peuvent bénéficier.
"Qui va durer"?...Cette présupposition est extraordinaire....Justement, il est demandé à nos dirigeants de tout mettre en oeuvre pour réduire, de façon drastique, l'accueil de nouveaux immigrants et d'expulser les clandestins.
Le travail...La capacité pour les personnes accueillis à prendre en main leur existence et à ne pas vivre d'aides sociales.
Non.
Votre message a bien été envoyé.