Nous sommes actuellement représenté par une élite, qui a confisquer la démocratie. Les décisions ne sont prises, qu'à leur faveur. Il faut s'inspirer du système démocratique Suisse qui, par votation donne la parole à chaque citoyen. Pour preuve, tous les élus, des sénateurs aux députés, n'ont vu le mouvement des gilets jaune. Le débat qui nous présenté est complètement fermé, il part d'un préambule qu'il n'y a qu'une solution, l'élection représentative. Il ne remet pas en cause le système, qui génère les problèmes et dénoncés par les gilets jaune.
Oui
Les citoyens par votations, accompagnés d'experts, peuvent remplir le rôle actuel de nos politiques.
Réponse au dessus
Une bonne chose
Cqfd. Si la question est proposée, c'est qu'il a un problème de représentation. Dans une démocratie participative la question ne se pose pas.
Les politiques défendent leur chapelle. Ils n'ont pas pris connaissance du rejets des électeurs lors des dernières élections de mai 2017. Le président Macron a été élu par défaut et un an après, les électeurs sont dans la rue ou apportent leur soutient.
Oui
Suppression des sénateurs, et diminution des députés, représentation par les citoyens. Les sénateurs et les députés, votent les texte en fonction de leur étiquette politique, sans représenter la demande des citoyens. La gauche contre la droite et tous les 5 ans, on inverse la donne.
Vote obligatoire comme les 10 pays qui l'on adopté et des amendes importantes et proportionnelles contre les abstentionnistes.
Oui
C'est un débat. A quel niveau il faut mettre le curseur, pour annuler une élection et rejeter les prétendants.
J'adhère entièrement, il faut une démocratie par votation. Les modalités pour déclencher une votation sont à définir.
Oui
L'initiative ne doit pas venir du parlement, mais des citoyens.
Votation
Remettre à plat notre système, après suppression du sénat et du CESE. Qui, connait le mieux son département et son territoire, que les habitants. Exemple: les besoins des Parisiens (75) sont différents des Jurassiens (39)
Oui
Déjà répondu. Votation par département
Tous les signes de prosélytismes provoquent des conflits, qui vont jusqu'à la mort des pratiquants. C'est triste mais c'est un fait, la tolérance n'existe pas. Il faut donc un état ferme et interdire tous les signes ostentatoires dans l'espace public. C'est un problème dans les démocraties trop faibles.
L'école doit être le socle de nos valeurs.
Ce n'est pas en votant tous les 5 ans et donner les clefs de notre avenir aux élus politiques, que l'on engage les citoyens. On peut vérifier l'augmentation de l'abstention et les révoltes qui résultent de décisions hors-sol. Je ne suis pas dupe, l'abstention profite à une partie des citoyens. Il faut renforcer l'engagement du citoyen par la votation.
C'est difficile, car il faudrait réaliser un rétropédalage sur 40 ans. Il n'est jamais trop tard, quand je vois l'exemple de la Suisse ou de l'Alsace. Au départ, il faut passer par la contrainte et la surveillance.
Voir réponses au dessus et par la votation.
C'est la même réponse. La succession des questions posées ci-dessus, montrent que notre système est à bout de souffle.
J'ai vécu 62 ans dans la région parisienne, et avec ses 12 millions d'habitants, elle est devenue un monstre incontrôlable. Je vis actuellement dans une commune, Les Rousses dans le Jura, ou les adultes et les enfants se saluent en se croisant. Je retrouve des valeurs perdues, dans les mégapoles.
Notre système à voulu concentrer l'activité dans des mégapoles, au détriment de la ruralité. Une douzaine de métropoles rassemblent 46% des emplois, Paris 22%. C'est trop tard pour résoudre les problèmes. L'élite échappe aux incivilités en vivant entre soi, la classe moyenne reléguée dans les banlieues, les plus pauvres dans les communes dites sensibles, et les ruraux sont abandonnés par l'état.
Issu d'un milieu modeste, c'est l'éducation que j'ai reçu par mes parents ainsi que l'instruction par mes professeurs, qui m'ont donné les règles de vie en société.
Discrimination par la religion et par la classe sociale.
Toutes les solutions découlent des réponses ci-dessus
Oui
Si chaque citoyen était considéré dans un système économique de travail, avec un revenu à sa juste valeur, les allocations de solidarité seraient inutiles. Certains s'enrichissent et laissent l'état gérer par les impôts, les carences du système.
C'est un dossier qui est mondial, explosif à moyen et long terme. La solution devrait être réglée par tous les pays autour d'une table, mais le système néolibéralisme ne s'occupe que de s'enrichir. En France, nous ne pouvons même pas régler nos problèmes dans la ville et les banlieues.
Certains diront un quota, en fonction des besoins de la France. Nous avons déjà 12 à 18% de personnes, qui n'ont pas de travail. A terme, l'immigration climatique sera d'une telle ampleur, qu'aucun mur aux frontières, ne pourra contenir le flux des immigrés.
Si le système mondialisé ne se réforme pas dans la distribution des richesses, nous irons vers des conflits armés.
None
C'est plus un résumé. Nos sociétés sont à bout de souffle. Si le système autocratique ne change pas, ce n'est pas quelques rustines qui réglerons les problèmes. Il faut une société participative, mettre les citoyens au coeur des décisions, dans le choix de leur avenir. Ce n'est pas les élites, qui voudront abandonné leur pouvoir, ils ont trop d'intérêts. Le mouvement des gilets jaune est une alerte, avant des conflits plus graves. Il y a un rejet des politiques par beaucoup de citoyens, au niveau mondial. La France n'est pas la seule, pour exemple, le brexit Anglais, l'Italie, quelques pays de l'est européen, l'Algérie, la liste est longue. Les autres sujets sont très importants et doivent être étudiés dans un débat démocratique participatif. Je ne répondrais pas aux Questions à Choix Multiple (QCM), trop dirigées et en dehors des problèmes de fond.
Votre message a bien été envoyé.