Trop complexe, trop tatillonne. Les différentes administrations devraient être connectées pour se transmettre les mêmes informations.
Oui
La gestion du territoire en matière routière et ferroviaire.
Oui
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Non
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Un ou plusieurs accompagnants dans chaque commune pour aider les personnes qui ne maîtrisent pas internet.
Pôle emploi,
Sécurité Sociale, préfecture, Caf
Oui
Non
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Oui
Plus de connexion entre les divers services.
Oui
Plus de compétences pour tous les agents .
Tenir compte des avis de la population par l’intermédiaire de ces élus et associatifs
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Voir courrier ci-joint
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Dans notre population française de ce début de 21ème siècle, il est une quantité non négligeable, particulièrement silencieuse, de gens qui souffrent : des enfants aux séniors, qu’on appelle « les handicapés » Faudra-t-il attendre son 20ème anniversaire pour que la loi de 2005 relative au handicap, soit appliquée dans son intégralité? à force de dates limites repoussées, on en arrive à l’oublier. C’est criant en matière par exemple de logement : de l’accessibilité, à l’adaptation du logement. pourquoi les bailleurs, surtout ceux dits « sociaux » ne se sont-ils pas encore mis en conformité avec la loi ? La M.D.P.H. Ses missions, son fonctionnement, ses moyens ne sont plus du tout adaptés aux réalités d’aujourd’hui : quand il y a plusieurs centaines de dossiers soumis à décision dans chaque séance, même avec les « miracles » de l’informatique, il n’est pas possible aux décideurs, d’être objectifs, compétents, efficaces – sans parler (sur Valenciennes) des dossiers pas à jour depuis 2016 – des dossiers perdus… Pourquoi, si le handicap survient à plus de 60 ans, la MDPH « ne peut rien pour vous » alors, que doit-on faire ? où s’adresser ? Pourquoi en cas de déménagement dans une autre région, faut-il recommencer tous les examens, pour reconstituer exactement le même dossier ? Transferts impossibles ? Pourquoi ? Pourquoi tant de divergences entre le tribunal administratif de Lille qui refuse la demande, et la cour d’appel nationale d’Amiens, qui accepte la même demande ? L’Allocation Adulte Handicapé : A - Son attribution : Sur quoi se base-t-on pour déterminer la durée du droit à l’allocation (3 – 5 ou 10 ans) : lorsque le handicap est malheureusement irréversible, pourquoi faut-il toujours et encore redemander son renouvellement, ce qui allègerait grandement la surcharge des services et éviterait de tomber dans le « grand n’importe quoi » survenu en 1998, à une personne alors âgée de 30 ans, qui s’est vue attribuer une autorisation « pour station debout pénible » jusqu’en 2098 !!! B - Son taux : 80 % si la personne vit en famille : elle peut donc compter sur son entourage dans une aide au quotidien pour faire face à ses difficultés Entre 50 et 79 % si elle vit seule : elle n’a donc personne autour d’elle pour l’aider, et doit alors faire appel à des personnes extérieures, contre rémunération, bien sûr - de quelle logique s’agit-il ? C - les amputations : Pourquoi, quand un adulte handicapé a le courage, l’envie, l’opportunité de travailler à temps partiel (2 H/jour) son allocation est-elle amputée du montant de son salaire ? Pourquoi l’insertion dans la vie ordinaire est-elle aussi méprisée, par rapport à la marginalisation quasi institutionnalisée ? Même amputation, lorsqu’un engagement électif donne droit à une indemnité « de représentation » pour compenser les frais occasionnés par l’exécution du mandat électif – cette indemnité s’ajoute au salaire ou à la retraite Pourquoi, lorsque l’élu est titulaire de l’AAH, cette indemnité diminue d’autant le montant de son allocation ? En direction des enfants et des jeunes : Il serait grandement nécessaire que les parents assumant les soins et l’éducation d’un enfant handicapé, bénéficient d’un accompagnement de professionnels aussi longtemps qu’ils ne sont pas en capacité de faire face aux exigences de la prise en charge nécessaire Développer et valoriser le dispositif d’Aide à la Vie Scolaire pour tous les enfants handicapés Comment répondre au désarroi des parents d’un jeune arrivant à 20 ans, qui n’a plus sa place dans l’institution qui l’a pris en charge jusque là et se retrouve face à un « désert » ? A.P – D.L. – M.P.
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