Date de publication : 2019-02-13
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Il y a des élus qui a travers leur engagement font un travail qui mérite d'être salué. Ceux-là ont de ce fait cette légitimité à représenter les citoyens par qui ils ont été élus. D'autres, sont bien plus motivés par leur image dans les médias que par faire avancer les politiques publiques. Ceux là manque en plus souvent cruellement de vision politique. Bref, ce qui doit primer chez un élus c'est son exemplarité, sa motivation à se mettre au service du citoyen, sa simplicité et son sens du respect des principes du service public (la continuité, l'égalité d'accès et de traitement, l'adaptabilité, l'accessibilité).

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Il s'agit en priorité des association d'utilitée publique ou des administrations au servive de l'intérêt général.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Pour renouer le lien avec le citoyen, il faut qu'il y ait un rapport de confiance avec lui. Ce rapport a été mis à mal avec toutes les affaires de corruption relatées par les médias et autres. Un élu doit être exemplaire dans la pratique de son mandat. Il doit défendre les intérêt des concitoyens et non servir ses intérêts propres et ceux de lobbys. Il faudrait le repéter plus souvent !

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

On ne peux pas être au four et au moulin. Pour que le travail soit de qualité, il n'y a pas de secret, il faut être disponible pour s'approprier les sujets et les faire avancer.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Il faut que les médias puissent faire leur travail d'investigation et de journalisme. Il faut dont protéger la liberté d'expression des médias et surtout leur permettre d'être indépendant.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

On parle beaucoup du mille feuilles mais aucun gouvernement n'a fait avancer ce chantier de manière satisfaisante. On a tendance à rajouter mais sans jamais rien supprimer. Il faut s'attacher à diminuer le nombre de communes et revoir l'intercommunalité qui, se généralise, un échelon que l'on a rajouté et qui reste très opaque pour les citoyens. La taille de ces intercommunalité devenues souvent énormes pose un problème pour le maintien du lien entre citoyens et ces structures. On peut se poser la question si le développement des métropoles va se traduire par l'abandon des villes moyennes et des communes rurales. L'échelon à préserver est celui de la commune, qui est un lien privilégié de proximité mais 36 000 communes qui se rajoutent aux structures intercommunales c'est de trop. On s'y perd !

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Le vote devrait être un devoir faisant partie du pacte d'engagement du citoyen envers la collectivité qu'il faudrait mettre au point (lien à faire avec la proposition du pacte d'engagement des personnes sur le volet de la transition écologique).

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Si le vote blanc dépasse le seuil de 50%, il faudrait repasser devant le bureau de vote. A l'élection suivante, les candidats de l'élection précédente devront être exclus.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

La création d'une assemblée de citoyens tirés au sort et à qui est laissée la possibilité de réviser la constitution ou d'apporter des modifications aux lois ou des inflexions de telles ou telles politique publiques, etc.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Il faut déjà introduire une transparence totale des prélèvements obligatoires. Cette transparence n'est aujourd'hui pas atteinte car notre système fiscal est trop compliqué et qu'un sentiment d'injustice plane du fait des entreprises et des ménages les plus aisés qui recourent à des stratégie d'évitement de l'impot. Alors que l'on est est pays qui a le système de protection le plus abouti, il y a des personnes qui continuent de crtiquer et en étant dans la contestation. Il y a donc un souci de lisibilité. Il faut ques les gens sachent à quoi va servir leur impôt. Il faut une mise à plat.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Il faut rajeunir les assemblée du Sénat et du CESER.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Il faut continuer à dialoguer avec elles.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

L'école doit jouer un rôle important dans le respect de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République. L'Ecole un lieu de connaissance avant tout est à mon sens pas assez un lieu de vie, de projet et d'apprentissage du collectif (faire ensemble). Elle est trop focalisée sur l'évaluation, la compétition et l'exellence. Une anecdote vécue personnellement : quand un jeune est assis par terre dans son lycée ; lorsque le chef d'établisssment passe et le voit il lui demande immédiatement de se lever et de rejoindre le CDI ou l'étude.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Passer un pacte d'engagement avec les citoyens dans lequel toute personne s'engage à donner de son temps à la collectivité. Mais lorsque l'on travaille toute la semaine, c'est difficile. Nous avons déjà pour certain de l'ARTT qu'il faudrait développer pour aboutir à une journée par semaine qu'il s'agirait de consacrer au milieu associatif ou à ses enfants.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Surtout le respect des autres et de la nature.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Respecter les consignes de tri des déchets, veiller à laisser l'espace public propre, utiliser le vélo ou les transports en communs pour les déplacements courts, etc.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Reconnaitre l'engagement citoyen dans un CV par les recruteurs.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les incivilités les plus pénibles : les personnes qui laissent des détritus sur leur passage dans l'espace public comme dans la nature, les jeunes qui crachent (en sérieuse augmentation), les personnes qui laissent leur moteur allumé en stationnement devant un magasin, celles qui continuent à faire crotter leur chien sur les trottoirs etc. L'école devraient permettrent de rémédier à ces incivilités lorsque les parents sont défaillants. Le mode projet est un bon moyen pour développer les savoir-être. Il ya aussi les entreprises et les ménages les plus aisés qui recourent à des stratégie d'évitement de l'impôt. Pour moi c'est aussi une incivilité car cette pratique est contraire aux valeurs de la République.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Il faudrait peut être aussi davantage impliquer les jeunes et les adultes. Je m'explique : aujourd'hui les agents de la propreté de la ville ont des consignes telles que le moindre papier qui traine sur la voie publique soit ramassé. Si bien que certaines personnes finissent par se dire que laisser un papier gras dans la rue n'a aucune importance puisque de toute façon l'agent viendra le récupérer. D'ailleurs, il importe de préciser qu'il n'existe plus d'événement festif en ville sans que le par terre ne soit jongé de papiers, de canettes et de bouteilles en tout genre. Il faudrait stopper cela. On voit qu'en ville personne ne se préoccupe des trottoirs, tout le monde s'en "contre balence". La ville et Monsieur ou Madame le-a Maire s'en occuperont bien. D'ailleurs, ils se disent que l'impôt qu'ils payent doit bien servir à quelque chose. Introduire une expérimentation qui demanderait aux occupants de chaque maison ou collectif de prendre en charge l'entretien de l'espace public devant la maison, devrait être tenté. Le personnel de la ville pourrait à la place se mettre au service des écoles pour accompagner des sorties scolaires, ou être utilisé à un rôle de sensibilisation dans les rues et même de verbalisation, etc.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Lorsque je suis témoins d'incivilité, de plus en plus j'interviens et je tente d'expliquer et d'exprimer mon mécontentement.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Il y a encore un long chemin a faire sur l'égalité professionnelle. Tant que les hommes n'apporteront pas leur contribution dans les tâche d'organisation de la maison et de prise en charge des enfants, on partinera sur ce champs là. Certes des progrès on été fait mais trop souvent encore c'est la femme qui quitte le travail pour rejoindre l'enfant malade, réduit son temps de travail pour prendre en charge les enfants les mercredis, récupère les enfants le soir à la garderie, s'occupe du ménage et du repassage, des repas, etc.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Il faut faire évoluer l'école qui doit non seulement être un lieu d'apprentissage mais aussi un lieu de vie autour des valeurs de solidarité, d'entraide, de respects de l'autre, d'apprentissage du sens collectif. Pour ce faire, arrêter de faire subir à l'école une réforme à chaque changement de majorité présidentielle, faire confiance aux enseignants, les mettre en responsabilité, donner du pouvoir aux chefs d'établissement, créer des équipes d'enseignants qui échanges sur leur pratiques, faire émerger des projet pluridisciplinaires. Les jeunes doivent pouvoir poursuivre leur parccours en étant encouragé par les enseignants qui privilégient la bienveillance et les progrès à réaliser et ceux qui restent à faire plutôt que de miser sur la compétition, l'évaluation et l'excellence.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Oui si les personnes ont des potentionnalité pour se réinsérer professionnellement ou celles qui sont isolées et pour lequelle c'est un moyen de préserver du lien social. Je pense que c'est du cas par cas.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Pas assez de connaissances du sujet pour m'exprimer de manière pertinente.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Pas assez de connaissances du sujet pour m'exprimer de manière pertinente.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Pas assez de connaissances du sujet pour m'exprimer de manière pertinente.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Pas assez de connaissances du sujet pour m'exprimer de manière pertinente.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le Réferendul d'Initiatives Citoyenne (RIP) peut être dangereux car le risque est important que ce soit l'expression d'un vote contestataire. Faire un RIP tout simplement ne suffit pas, il faut aussi qu'il soit précédé d'un débat permettant l'expression d'avis pluriels. Il faut aussi définir quelques règles : nombre de signatures nécessaires à recueillir avant la procédure, est-ce que les signatures enclenche directement le référendum, poser plusieurs question pour éviter le vote contestataire ?).

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Les réponses proposées à cette question ne sont pas pertinentes car nos rejets en CO2 source de pollution atmosphérique sont aussi la cause essentielle des déréglement climatiques. Par conséquent, bien sûr que les déréglements climatiques autant que la pollution de l'air sont de réels problémes sur lesquels il nous faut agir en force pour sauver la planète et l'homme. L'érosion climatique et la disparition de certaine espéces sont une conséquence des déréglements climatiques. Dans la nature tout est lié, elle fait système ! En bref il faut rapidement renforcer notre action dans ce sens. Il y a urgence. C'est un beau projet pour l'Europe qui a du sens !

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

On constate de nouveaux phénomènes climatiques nettement plus fréquents que par le passé (vent plus violent et à plus grande fréquence, canicule avec sécheresse, grelon, etc.). Ces phénonomènes vont s'accentuer dans le futur avec des répercussion énorme sur notre quodien (agricuteurs et industries devront faire face à de forte pénurie en eau et de ce fait voir leurs revenus diminués en raison d'une chute de la production + coût énorme pour la collectivité et les drame humains que cela générera, etc.)

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Respect des consigne en faveur du tri des déchets. Action au sein de la copropriété en qualité de syndic bénévol pour sensibiliser aux économie d'énergie et responsabiliser les propriétaires. Pour se rendre au travail et effrectuer les déplacements courts, utilisation du vélo et des transports en commun.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Nous vivons en ville et nous n'avons donc pas de jardin. Mais pourquoi cela ne serait pas possible ? Des exépriences existent et sont très positives. Pourquoi ne pas les mutiplier. Aujourd'hui en ville l'essentiel de l'espace est réservé à la voiture et les désagrément qu'elle produit. On étouffe ! Il serait tout à fait possible de requalifier des espaces et d'en faire des jardins collectifs avec des poules, ce qui permettrait aux adultes et aux enfants des quartiers de se rencontrer, se reconnecter avec la nature, comprendre ce qu'est une chaine alimentaire, se familiariser avec des méthodes de cultures alternative, etc. Objectif : un jardin par quartier !

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Les incitations financières font partie d'une politique en faveur le changement climatique. Ce qui manque aujourd'hui c'est un sursaut qui met tout le monde en mouvement. Pour cela, il faut qu'il y ait des signaux forts du gouvernement dans ce sens avec un projet qui donne du sens à l'action de chacun dans son quotidien. Ce signe fort doit toucher l'agriculture biologique, les objectifs de production d'électricité qu'il s'agit de rendre cohérent, les normes de qualité de l'eau et de l'air qui devront faire l'objet de sanction lorsqu'il y a dépassement, les travaux de rénovation énergétique à contraintre au moment des mutations, etc.). Il faut que tout le monde s'y mettent sans exception, chacun avec ses moyens et à son niveau !

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Pour l'instant, nous sommes chauffés au fuel en collectif. La chaudière étant ancienne, on peut s'attendre à devoir la changer très prochainement. Ce qu'il nous faudra c'est une information de la part de professionnels pour faire le bon choix d'achat prenant en compte les critères suivants : qualité, prix et produit le plus propre possible, entretien, implication dans le fonctionnement).

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Il faudrait fortement encourager toutes les personnes qui peuvent se rendre à leur travail à utiliser le vélo, à pied ou en transports en commun. Il faudrait faire un pacte avec les personnes dans lequel elles s'engagent à respecter les engagements pris (tri des déchet, propreté des villes et de la nature, déplacement propres, culture du jardin en utilisant des engrais non chimiques, etc.). En effet, il faut passer à la vitesse supérieure, en impliquant, responsabilisant et mobilisant les gens. Les gens sont trop nombreux à être éloignés de la vie démocratique et citoyenne. Il faut y remédier ! Les action citoyennes en faveur de la planète sont une belle opportunité pour les mettre à flot. Il faut pour cela avoir du temps. Quand on travaille toute la semaine, il reste peu de temps. Il faut donc nous donner la possibilité de pouvoir libérer du temps sans perte de salaire. On a déjà pour certain 1/2 journée d'ARTT par semaine, il suffirait de rajouter 1/2 journée supplémentaire. Si on se donnait les moyens à tous pour se consacrer une journée / semaine à des associations d'utilitée publique ou administrations au service de l'intérêt général ou bien prendre du temp avec ses enfants tout simplement, le bénéfice que cela opporterait en niveau social et écologique serait déjà énorme.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Location d'une voiture pour éviter d'acheter une voiture en ville et qui de plus stationne toute la semaine dans la rue.

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Pour aller plus loin dans notre démarche, il faudrait que nous puissions nous passer de notre voiture. Pour ce faire, la location de voiture serait la solution. Un pas que nous n'avons pas encore franchi et qui pourrait se faire avec le développement des possibilités de location selon des modalité simples et pratiques.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Aujourd'hui l'Europe est en souvrance. Son projet politique manque de lisibilité auprès des citoyens européens. L'Europe a déjà fait beaucoup pour l'environnement, elle pourrait en faire davantage encore et en faire sa priorité N°1. Il faudrait que tous les pays membres se rallient autour d'un même projet visant à faie évoluer nos modes de production, de déplacement, de consommation, etc.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La fiscalité écologique est indispensable pour faire évoluer les comportements vers une situation tentant vers le zéro carbone. Trois principes doivent être réunies : compenser les ménages modestes, appliquer un principe d'égalité devant l'impôt et affecter les recettes à la transition écologique. Pour réussir cette transition vers la neutralité carbone, la taxe carbonne se suffira pas et donc il s'agira de faire des choix : d'augmenter les dépenses publiques ou bien prioriser certaine dépenses par rapport à d'autres. L'essentiel c'est que les choix soit compris car ces derniers ne pourront pas convenir à tous.