Date de publication : 2019-03-02
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les collectivités locales

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Les syndicats français représentent plus la France des années 1950 et 1960 que celle de 2020. Dans les entreprises, rares sont les gens qui se reconnaissent dans les syndicats. Quand je compare à ce qui existe en Allemagne, les syndicats français apparaissent inefficaces et obsolètes. En Bretagne, les associations loi de 1901 ont un très grand rôle et contribuent largement à la démocratie.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Avoir une probité des élus aussi importante que dans le monde scandinave.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Les élus doivent se concentrer sur une mission et non se disperser.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Instaurer une dose de proportionnelle.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

A mon avis une division par 2 des élus ne devrait pas être difficile à mettre en place, ce qui apporterait de substantielles économies.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Il faudrait que les élus respectent leurs engagement. Regardez Churchill "Je vous promets du sang, de la sueur et des larmes". Cà c'est du courage, plutôt que de faire des promesses intenables et toujours plus dispendieuses.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Mettre un seuil : si plus de 20 % de votes blancs, refaire l'élection en interdisant aux candidats présents de se représenter.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Utiliser internet. Pourquoi le monde politique serait-il en dehors de la révolution numérique ?

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

En étendant le nombre des sujets susceptibles de faire l'objet d'un vote.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Aujourd'hui, l'argent public est mal utilisé : beaucoup de dépenses inefficaces. Ne pas oublier que ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Il faudrait qu'elles représentent vraiment les territoires plutôt que les intérêts de ceux qui y siègent.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Par exemple, le Sénat devrait être une assemblé des régions élue au suffrage universel direct. Chaque région aurait un nombre de représentant au prorata de sa population.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La laïcité tend à devenir une christianophobie en France (cf. la lamentable histoire de la statue de Jean-Paul II à Ploërmel). Les autres pays européens respectent leurs religions traditionnelles alors-que la France cherche à les ridiculiser.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

En interdisant le voile islamique dans l'espace public. Je reviens de Rome où j'ai beaucoup parcouru la ville. J'ai vu une seule femme voilée en 5 jours.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Dans les régions ayant une culture propre comme la Bretagne, l'Alsace, la Corse, ... permettre l'utilisation de la langue régionale dans l'espace public.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Toutes les incivilités dans les moyens de transport. Il y a 45 ans, il y avait de vieux trains sur la ligne de Paris à St Cloud : pas un seul n'était tagué, pas un seul siège abimé. Tout le monde avait du respect pour le bien public. Regardez ce qu'il en est aujourd'hui. Quand je pense à la propreté du métro à New-York ou dans les villes d'Europe du Nord, il y a certainement moyen de revenir à une situation saine.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Il faudrait sévèrement punir ces incivilités dans les transports publics qui donnent un sentiment d'insécurité.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Dénoncer les incivilités auprès des forces de l'ordre.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Un certain nombre de jour de travail. Par exemple, plutôt que d'utiliser des désherbants chimiques dont nous connaissons tous la nocivité, pourquoi ne pas utiliser des chômeurs pour ces travaux.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La situation est très préoccupante car la France est incapable d'intégrer les nouveaux venus.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui, c'est indispensable d'établir des quotas annuels.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Il faudrait mettre en place une immigration choisie comme beaucoup d'autres pays (faire venir des personnes occupant des professions pour lesquelles il existe une pénurie en France).

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Lutter contre l'islamisme. Il faut être honnête : cette religion, dans sa forme actuelle, est incompatible avec la démocratie.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

« La France s'est créée en détruisant cinq cultures : le Breton, l'Occitan, l'Alsacien, le Corse et le Flamand. "Nous sommes la seule nation européenne qui est la création militaire d'un État non homogène. Ceci fait la France difficilement gouvernable à ce jour. Ceci explique notre difficulté de reformer, notre lenteur. " Michel Rocard à l'ambassadeur des USA en 2005 (document Wikileaks 2010) KEVRE BREIZH dans le Grand Débat national et l'ANNÉE INTERNATIONALE 2019 DES LANGUES AUTOCHTONES La coordination des associations culturelles bretonnes Kevre Breizh a décidé d'exprimer ses attentes principales dans le cadre du débat national alors que le Président de la Région administrative de Bretagne a signé le 8 février 2019 un contrat régional pour l'action publique avec l'État, suite au Pacte d'avenir de la Bretagne (2013). Ce contrat comporte un volet culturel et linguistique minimal obtenu par la détermination des élu.e.s de Bretagne et des associations. Il faut rappeler que l'État a connu un lent processus de démocratisation. Au niveau régional, la Charte culturelle de Bretagne sur les 5 départements bretons (1977), fut « le premier acte de reconnaissance de la personnalité culturelle de la Bretagne ». Les lois de décentralisation de 1982, libèrent les collectivités territoriales de la tutelle des préfets ; la création des régions et l'élection des conseils régionaux au suffrage universel en 1986, leur permettent une prise en charge de leur propre développement. C'est par la mobilisation des associations et des élu.e.s des territoires que les écoles associatives bilingues par immersion puis les classes bilingues publiques et privées se sont développées ; que l'usage des langues régionales est autorisé, par exception, grâce à la loi Toubon de 1994 sur l'usage du français ; que les langues régionales sont entrées dans la Constitution en 2008 comme patrimoine de la France ; que l'enseignement bilingue français/langue régionale est reconnu dans la loi en 2013 ; que les droits culturels concernant explicitement les langues régionales apparaissent dans la loi NOTRe en 2015. On aurait pu attendre que la décentralisation initiale serait suivie de nouveaux progrès démocratiques sur le plan institutionnel, en conformité avec le droit international, les droits de l'homme et la pratique de la plupart des pays européens, rapprochant toujours le lieu de décision du citoyen, reconnu en tant qu'acteur à part entière de la gestion du territoire où il vit. Mais la mondialisation économique libérale comme les volontés recentralisatrices d'un État encore jacobin ne font que creuser les inégalités et les exclusions, interdisant au citoyen d'être l'acteur de son avenir, niant la réalité des territoires, de leurs langues, de leurs cultures. C'est pourquoi, en tant qu'organisations d'éducation populaire, défendant, avec la Déclaration universelle des droits de l'homme, la liberté et l'égalité en dignité et en droits de tous les êtres humains dans un esprit de fraternité, nous portons ces exigences essentielles : 1) LA DÉMOCRATIE : la question centrale est celle de la démocratie, la participation de tou.te.s à la vie de la cité. La crise actuelle résulte en grande partie du fait de la non-reconnaissance de la place de chacun.e dans la société, de la non reconnaissance des différentes composantes de cette société, de décisions imposées d’en haut dans tous les domaines : politique, économique, social et culturel. La classe dominante tient à garder ses privilèges, en France comme à l’échelle planétaire entraînant inégalités et exclusion d’une partie de l’humanité et générant différents conflits. 2) LA RÉUNIFICATION de la BRETAGNE dans un territoire européen qui a 12 siècles d'existence : la question de la réunification de la région administrative avec la Loire-Atlantique doit être la première application de ce principe démocratique : plus de 100 000 électeurs de Loire-Atlantique ont demandé à s’exprimer sur leur appartenance à la région de Bretagne. Il appartient donc aux habitants de Loire-Atlantique d’en décider, sans droit de veto des autres départements qui composent l'actuelle région – dite des pays de la Loire – décidée d'en haut sans consultation de la population. Les autres départements bretons doivent aussi être consultés démocratiquement. 3) LES BRETONNES ET LES BRETONS ONT LE DROIT DE DÉCIDER de l’avenir et de la place de leurs langues et cultures. La région réunifiée de Bretagne doit obtenir un statut spécifique avec des compétences et les moyens afférents, notamment l'autonomie fiscale et légale nécessaire, pour la transmission des langues de Bretagne, de l’histoire et de la culture dans l’enseignement, les médias et les différentes politiques publiques qu’elle met en oeuvre. 4) LA BRETAGNE EUROPÉENNE : La Bretagne fait aussi partie de l’Europe qui doit être construite sur ses principes de démocratie, de respect de la diversité notamment linguistique et culturelle, ainsi que sur les droits culturels et les droits des minorités affirmés tant par les Nations Unies que par le Conseil de l'Europe, instance créée en 1949 pour défendre la démocratie, les droits de l’homme et l’État de droit. L’Europe démocratique, celle des peuples, doit imposer aux États le respect des principes fondamentaux auxquels elle se réfère.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

La France est bien trop centralisée. L'organisation de l'Allemagne et de ses Länder est bien plus adaptée au monde moderne. Bien qu'ayant une démographie nettement moins favorable que la France, elle a bénéficié d'une croissance moyenne bien supérieure au cours des 20 dernières années.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Economie, Culture en particulier dans les régions qui disposent d'une culture originale comme la Bretagne.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Déclaration de revenus

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Demande de documents administratifs

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Non

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

None

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Par exemple en permettant l'utilisation des langues régionales.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Adapter le fonctionnement aux réalités locales : les besoins de Brest ne sont pas ceux de Marseille ! Plutôt que de créer des régions démesurées, il aurait mieux fallu constituer des régions de taille raisonnable : réunifier la Bretagne comme cela a été fait pour la Normandie, constituer une région Val de Loire qui aurait un potentiel touristique décuplé (comment expliquer que la région où se trouve la majorité des châteaux de la Loire est le Centre et non les Pays de La Loire qui ont interdit à la région Centre de s'appeler Val de Loire ? - Ubu n'est pas mort !).

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Il faudrait analyser les difficultés que rencontrent ces territoires : éloignement des services publics et des moyens de transport en particulier. Il suffit de regarder une carte des lignes de chemin de fer en 1930 et en 2019. Il y a des zones entières complètement abandonnées. Certains points se trouvent à plus de 80 km d'une gare. Il serait intéressant de faire des expérimentation en ce sens : rouvrir une ligne de chemin de fer et mesurer trois ans après l'impact économique.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faut revenir sur l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau secondaire. Cette mesure a été imposée sans concertation, après une expérimentation biaisée aux résultats peu probants, contre l’avis des Français. Cela pénalise injustement les conducteurs : temps de trajet rallongés, dépassements dangereux, camions collés aux voitures… Sans parler des radars qui flashent à tout va ! Le Gouvernement doit veiller à l’entretien des routes, au lieu d’y baisser la limitation de vitesse ! Le Gouvernement doit mettre la politique de sécurité routière au service des conducteurs, au lieu d’en faire une politique fiscale et un véritable racket par les radars ! Le Gouvernement doit traiter les conducteurs en citoyens responsables, acteurs indispensables de la sécurité routière : laissez-nous adapter notre vitesse aux conditions de circulation, au lieu de détourner notre attention de la route, en nous obligeant à rouler à une vitesse inutilement réduite, les yeux rivés sur le compteur !