La perte de connaissance et de bienveillance
Libérer les contraintes et obligations sur les semenciers. Les graines sont notre patrimoine local inaliénable. Nous devons retrouver un régionalisme dans ce que nous mangeons
Non
Ma mauvaise conscience, soigneusement entretenue pas les médias. Si j’ecoute tout, je suis là plus excecrable personne que porte la terre: je voyage, je consomme, je me déplace, je vis dans beaucoup de m2.
Oui
Je trie, je vis près de mon travail, je consomme en centre ville. Dans mon métier je plante, je préserve, je répare, je conseille, mais les décisionnaires sont trop frileux, trop démocratique....
Je le fais déjà. Ce qui pourrait me faire abandonner la voiture sur mes déplacements hebdomadaires sur Nice, ce serait une offre ferroviaire FIABLE (horaire, grève, panne....)
L’effort collectif, pas seulement le mien. Je me considère déjà comme la vache à lait des vieux, des fous, des fatigués, des malades, des fonctionnaires, des riches et des pauvres, de mes salariés, de l’urssaf, de la TVA, des impôts...
Non
Je suis au gaz de ville et bien exposée, pas de dépense excessive
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
Des trottoirs confortables sans crottes de chien ?
Je fais déjà tout ça, notamment l’auto partage. Ce n’est pas développé suffisamment. Sur Marseille, nous avons Citiz. C’est génial pour une boîte de 10 personnes qui se déplacent tous comme la mienne. Mais sur les villes comme NICE par exemple, ce n’est pas le cas, c’est très dommage
Les villes et leurs organes de décision, notamment d’une même région, a fortiori celles qui échangent des travailleurs nombreux, doivent laisser leur bisbilles de côté et se mettre à notre service pour nous faciliter la vie, car nous nous épuisons à travailler pour les nourrir tous. La région par exemple, doit raisonner mobilité avec les métropoles de manière autoritaire et rapide une fois les cibles définies. Et on n’a pas 100 ans pour réfléchir
Pas la peine de se fatiguer avec les autres. Notre exemple doit emporter les septiques .Ne pas attendre, se démarquer s’il le faut. Les pesticides sont un bon exemple récent manqué ; ne sommes nous pas tous fiers d’avoir refusé la guerre en Irak envers et contre le monde entier? Et n’avions nous pas 1000 fois raison ?
Il y a tant à faire! Tant de petites actions locales ! Par exemple tous les toits de toutes les villes devraient être libérés des règlements pour devenir soit des toits végétaux, cultivés ou non, ou en panneaux solaires, thermiques ou photovoltaïques. Même à peu de distance d’un monument (il n’y a que ça dans les villes ! Ça bloque toute action collective) du bleu et du vert ça change du rouge des toits mais est-ce plus vilain ? Et les productions utilisées et consommées sur place, par le producteur et ses voisins, à l’echelle des copropriétés : moins de transport, pas d’exposioption à des ruptures d’approvisionnement. Et pour les centres anciens qui se meurent, la possibilité de faire des toits terrasses pour profiter de la lumière et du soleil. Apprenons de nos voisins de l’autre rive d RLA Mediterranée !!! Arrêtez de nous scléroser nos moindres envies, soyez à notre écoute et à notre service, laissez-nous plus libres à l’échelle locale, nous ne sommes pas plus idiots que vous.
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