Date de publication : 2019-03-02
Code postal : 18000

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

None

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

None

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

None

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

None

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

None

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

aux associations d'aide sociale. Une association qui viendra en aide aux défavorisés par vocation sera plus efficace que l'Etat qui le fait par devoir.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

La défiance envers les politiques découle en grande partie des avantages, réels ou fantasmés, dont bénéficient les élus. Afin de clarifier la situation des élus, créons un statut de l'élu définissant les conditions d'exercice, la rémunération, les avantages des élus. Pour que ce statut soit transparent et accepté, il doit être adopté par référendum et n'être modifiable que par cette voie. Le référendum assure également que ce soit les employeurs des élus (ie les citoyens) qui déterminent les conditions de travail de leurs employés. Il est en effet étrange que les élus définissent leurs conditions de travail ; aucun ouvrier salarié ne décide lui-même de son salaire et de ses conditions de travail.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Je ne sais pas

6. Pourquoi ?

l'ancrage local d'un élu national peut lui permettre de rester conscient des problématiques concrètes de ses électeurs.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

simplifier le mille-feuille de responsabilités : communes / intercommunalités / départements / régions avec à chaque échelon des responsabilités, des élus et des fonctionnaires pouvant mener à des politiques contradictoires et une perte d'efficacité.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

None

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

en le considérant comme un suffrage exprimé et donc en présentant les résultats comme si le vote blanc était un candidat.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

des consultations annuelles sur de grandes orientations, mais pas sur un texte législatif finalisé (combien d'électeurs ont réellement lu et compris le traité pour une constitution européenne avant de voter ?)

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

None

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

None

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

None

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

apprentissage de la langue française intégration par le travail participation à la vie associative

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

la surconsommation énergétique

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Constat : Les prix de l’immobilier sont d’environ 3500 €/m² alors que le coût de la construction est compris entre 1500 et 2000 €/m². Le prix d’un bien immobilier comprend donc une part significative de spéculation foncière, sans lien avec la qualité du bâtiment (prix du foncier supérieur à 50 % du prix d’acquisition, et bien pire dans le cas d’un bien ancien dont le bâti, loin des normes actuelles vaut bien moins que le coût de la construction). Cette situation a pour conséquence la nécessité pour les acquéreurs de s’endetter sur un temps long (60 % de prêts supérieurs à 20 ans et plus d’un quart supérieurs à 25 ans). De plus, les salaires progressant faiblement, la charge que constitue les mensualités reste élevée pendant de nombreuses années. Il est donc difficile pour les propriétaires de dégager les fonds nécessaires à la réalisation de travaux, en particulier de rénovation énergétique de leur logement (isolation, changement du mode de chauffage…). Le niveau élevé des prix immobiliers a également comme conséquence l’éloignement des travailleurs de leur lieu de travail, entraînant des coûts de déplacement et un impact environnemental significatifs. Objectif : Faire baisser les prix de l’immobilier afin de dégager les moyens pour les propriétaires d’effectuer des travaux d’amélioration de l’habitat. La part spéculative liée au foncier (non représentative d’une valeur intrinsèque) étant importante, cette baisse peut être réalisée sans dégradation de la qualité du bâti et sans dépense publique. Evaluation des conséquences : Afin d’éviter que des vendeurs se retrouvent avec un capital restant dû supérieur à la valeur de leur logement, la baisse devra être progressive. Méthodes envisagées : 2 solutions possibles : - fixation des prix immobiliers par les pouvoirs publics : solution rigide et difficile à mettre en place pour prendre en compte la situation particulière de chaque bien immobilier (qualité, emplacement…). Solution non satisfaisante. - faire baisser la durée des prêts immobiliers : 1) par une augmentation des taux d’intérêt : les prêts longs deviennent ainsi inintéressants. Une hausse des taux d’intérêt est lié à une hausse de l’inflation, aux conséquences économiques dépassant le secteur de l’immobilier. Solution non satisfaisante. 2) par une une limitation de la durée maximale des prêts : cette mesure simple à prendre permet de limiter les effets au secteur immobilier. Afin de contrôler la baisse des prix et éviter un krach, la limitation de la durée des prêts peut être progressive (par exemple : durée max de 25 ans en 2020 puis de 24 ans en 2021 et ainsi de suite jusqu’à une limitation à 15 ans des prêts immobiliers en 2030). Solution proposée. Conséquences de la solution proposée : Une limitation de la durée maximum des prêts immobiliers permet de dégager des possibilités pour les propriétaires pour réaliser des travaux d’amélioration de l’habitat. Afin de tenir leurs objectifs d’en-cours de crédits, les banques seront incités à prêter aux entreprises, contribuant ainsi au développement économique plutôt qu’au financement d’une spéculation foncière.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

modifications météorologiques : hivers moins froids, sécheresses plus marquées

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

tri des déchets, maitrise de la consommation énergétique

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

None

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

None

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None