Rétablir le vocabulaire adapté, il y a une différence de dire et d'entendre "charges sociales" à la place de "cotisations sociales". Rappeler les principes de notre solidarité issue du Conseil national de la Résistance, par exemple soumettre les allocations familiales aux revenus c'est attaquer le principe même des allocations familiales.
Laisser une part de choix dans la répartition des impôts pour chaque citoyen payeur, par exemple une proportion flexible vers diverses missions (ce que font certains pays du Nord de l'Europe), avec bien sûr un tronc commun intouchable. Arrêter de mettre en balance les "dépenses publiques" et la dette, c'est mettre en balance le court et le long terme.
On ne peut baisser les impôts et maintenir le niveau de service public. En revanche une forme d'exemplarité est nécessaire à la compréhension de notre système : aligner les revenus des serviteurs de l'Etat, à la fois élus et hauts fonctionnaires sur nos voisins du Nord, lutter réellement contre ce qu'on appelle pudiquement "l'optimisation fiscale", des cabinets prospères, d'experts comptables et de juristes, travaillent chaque jour à cette fuite de rentrée fiscale, appliquer les propositions d'OXFAM, d'ATTAC, les taxes sur les transactions financières.
lutter contre "l'optimisation fiscale", mot pudique pour tout ce qui est une version légale de la fraude
aucune aide sociale n'est à baisser, c'est justement cela l'enjeu actuel. Arrêter de faire croire que ce sont les pauvres qui coûtent cher, voir le rapport annuel d'ATD -Quart-Monde et d'Emmaüs.
l'accueil digne des migrants, leur permettre une intégration en ayant le droit de travailler dans l'attente du traitement de leurs dossiers, voir les propositions de la CIMADE ; la protection de l'enfance, que l'enfant soit français ou étranger. Assouplir la possibilité de travailler pour les allocataires du RSA sans effet de seuil qui démobilise.
Remettre l'éducation au cœur des priorités de notre démocratie, avec des effectifs plus légers dans tous les établissements (pas seulement les zones prioritaires), permettre à la culture d'irriguer à nouveau tout le territoire.
Permettre à chacun de savoir où vont "ses" impôts c'est permettre de comprendre le système, la clarté des politiques fiscales est la base de la compréhension de la redistribution. La suppression de l'ISF est néfaste pour cela et a déclenché un sentiment d'injustice , de plus toutes les associations l'ont prédit et le constatent, c'est catastrophique pour les ONG et les fondations.
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Oui
les associations reconnues d'utilité publique, les associations cultuelles, les organisation syndicales pour les dossiers de leur domaine de compétence, comme le sont les syndicats dans les instances paritaires.
Expliquer les domaines de compétence de chaque institution, revenir à l'histoire de nos institutions (Constitution, Sécurité Sociale et Conseil National de la Résistance), faire des journées pour les adultes (comme on fait faire la JAPD aux jeunes) où des formateurs compétents expliqueraient le fonctionnement de nos institutions, leurs origines, etc. par exemple un jour tous les dix ans, sur le temps de travail. Ce serait aussi l'occasion pour que les élus y soient présents et participent à des rencontres.
Une mauvaise chose
Des élus de proximité apprennent la "res publica", la chose publique, et sont ensuite compétents dans les ministères. Cela pourrait éviter une trop grande sensibilité aux lobbies industriels de Ministres ou de Député.e.s issu.e.s de la "société civile"
Introduire une part de proportionnel dans les élections législatives
Non
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rendre le vote obligatoire comme en Belgique
Oui
dans les suffrages exprimés, et donc les intégrer pour le calcul des pourcentages attribués à chaque liste ou candidat.
Système de membres tirés au sort sur les listes électorales pour collaborer avec les élus, comme en Islande.
Je ne sais pas
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Sur la déclaration de revenus, faire une proposition de ventilation vers des domaines spécifiques, au choix, grâce à une part flexible.
Arrêter de faire passer des lois par ordonnance, expliquer les fonctions et les missions par voie de presse.
Non
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La Loi de 1905 est efficace. En revanche, des cours d'histoires des religions sont nécessaires au collège, au lycée et même dans nombre d'institutions comme les conseils municipaux qui instrumentalisent des faits divers, et aussi dans les administrations, les CHSCT, etc.
Des organismes de formation à diverses méthodes de communication assertive, non violentes, de transformation des conflits, etc, sont compétents pour avoir des délégations dans les établissements scolaires, dans les entreprises et les administrations, dans les associations de quartier qui en font la demande, sur un temps LONG. Former des citoyens qui peuvent être des relais dans leur quartier. Débloquer aussi des budgets pour former les policiers, les agents de sécurité et les personnels municipaux (ASVP, contrôleurs dans les transports en commun). Faire des campagnes d'information par affiche, spots TV, spots sur le net.
Montrer qu'on écoute les propositions qui émanent des citoyens.
L e respect de chacun, ne plus diviser pour "régner" surtout des hommes/femmes politiques : ne pas montrer du doigt une profession, une religion, un groupe de personnes ( par exemple "les jeunes"... les "gitans"..) dès qu'il y a un fait divers. Pour les personnes au pouvoir, éviter les "lois" par effet d'annonces dès qu'il y a un fait divers. La solidarité : par exemple "je cotise pour moi et pour les autres". L'ouverture aux autres : le dérèglement climatique et la violence économique mondialisée touchent surtout les pays pauvres : on accueille les migrants, qu'ils soient réfugiés politiques ou climatiques, ou migrants pour des raisons économiques, on ne peut distinguer et séparer le bon grain de l'ivraie, on n'est pas Dieu. On arrête de désigner des boucs émissaires.
Favoriser l'entraide (gestes quotidiens ou solidarité organisée) : arrêter le discours de la peur. Respecter la Déclaration universelle des Droits humains.
Revaloriser financièrement les jeunes en service civique. Permettre à chacun de faire un an de pause dans sa vie professionnelle pour se mettre au service des ONG avec un maintien de salaire.
Le non-respect de l'espace public : déchets jetés n'importe où, déjections canines, hommes qui urinent en pleine rue ou dans les couloirs de métro, dégradation des mobiliers urbains. Proposer des TIG aux personnes en flagrant délit, inciter en communiquant sur le coût du service de nettoyage urbain ou de la remise en état.
Inciter les ASVP à verbaliser les incivilités (plutôt que de mettre des P.V. aux véhicules sans ticket de stationnement). Dans certaines villes, il y a des "anges gardiens" ou "médiateurs de rue", donc généraliser la présence de ces personnes formées sur tout le territoire urbain aussi bien dans les rues, que dans les transports en commun.
Apprendre à dire simplement les choses quand on est témoin, comment communiquer de manière assertive, non violente et efficace.
Discriminations vis-à-vis des personnes sans domiciles qui sont chassées des gares, des centres commerciaux, qui n'ont pas de bancs pour s'allonger, qui sont à même le trottoir, même des familles avec des jeunes enfants, la nuit ! Souvent des personnes qui semblent venir d'Europe centrale ou du Moyen-Orient.
Avoir confiance en l'autre, apprendre à travailler en groupe dans notre éducation à l'école, apprendre le respect de l'autre : un adulte parle avec respect à un enfant, un homme ne bat pas sa femme, ne bat pas son enfant. Un riche ne vole pas un pauvre, même s'il est Africain. Ecouter cela aux JT, lire ça dans les journaux.
Non
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Notre pays a une politique honteuse, les migrants sont traités comme des criminels : les centres de rétention sont une honte. Les dossiers sont traités avec retard. La politique migratoire est absurde, la règlementation de Dublin est inefficace et pernicieuse. Les migrants en Méditerranée prennent des risques graves et le minimum est de les accueillir correctement et d'étudier dignement leurs demandes. Pareil entre la France et l'Italie, par Vintimille.Ce sont des gens jeunes, éduqués, motivés prêts à perdre la vie, c'est absurde de les incarcérer et de les empêcher de travailler ou de les refouler. Les historiens savent mettre cela en perspective, pourquoi ne pas écouter les chercheurs ? "on ne peut pas accueillir toute la misère du monde mais on doit en prendre notre part." Michel Rocard
Des objectifs d'intégration ? Oui : permettre l'ouverture de classes Français Langue Etrangère (FLE) pour les adultes, les femmes au foyer, les enfants évidemment. Alors qu'actuellement leur nombre diminue dans les collèges !
Arrêter de confier à la Lybie ou à la Tunisie ou au Maroc, le contrôle de nos frontières. Permettre aux migrants qui veulent aller en G.B. de s'y rendre et s'assurer que les autorités britanniques vont les traiter dignement et étudier leurs demandes. Accueillir les familles des personnes étrangères domiciliées en France afin de stabiliser leur vie ici. Jouer la carte de l'intégration. refuser que de nombreux clandestins servent de variable d'ajustement pour des entreprises de BTP, de restauration, d'hôtellerie de nettoyage et leur donner un statut juridique digne.
Permettre aux gens de travailler pendant l'étude de leur statut, accéder rapidement aux administrations pour les bilans médicaux, les aides sociales, l'éducation des enfants et la formation des adultes, permettre une intégration aussi au niveau culturel et la connaissance de nos institutions. Refuser de renvoyer des enfants et des jeunes qui ont commencé une scolarité en France. Inciter les Préfets à appliquer la Loi, rien que la Loi, sans faire de zèle.
La France a les moyens de garder un rayonnement grâce à sa culture, à son histoire, au prestige du siècle des Lumières, des Droits de L'Homme et du Citoyen, en s'appuyant sur le réseau de ses centres culturels, de l'Alliance française, des antennes de RFI, sinon la langue française continuera à perdre du terrain face à l'Anglais, et les entreprises chinoises continueront à gagner les marchés en Afrique. Notre grandeur est désormais culturelle, et non plus économique. La venue d'étudiants étrangers est un atout majeur pour notre avenir, ne pas les surtaxer !
La RGPP a tué la proximité des services publics auprès des citoyens. Le numérique ne peut remplacer un accueil au guichet.
Non
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Oui
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aucune
Oui
Oui
une formation à l'accueil des personnes différentes : personnes en situation de handicap, personnes illettrées, personnes d'origine non francophone
les services municipaux
les services "centraux" de la Préfecture, du Trésor Public et de la Justice
Non
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Oui
meilleure formation.
Oui
management qui favorise l'autonomie, donner du sens et de la reconnaissance aux fonctionnaires. Inviter des associations de Défense des Droits Humains, des Migrants.
Proximité géographique, garder les antennes locales, en milieu rural et en milieu péri-urbain et en quartier.
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Pôle Emploi : j'ai apprécié d'avoir à nouveau un conseiller dont je connais le nom, l'adresse e-mail pour avoir une relation personnalisée. Par ailleurs, pourquoi le chômeur est suspecté de malhonnêteté dès qu'il y a un souci administratif ?
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Direction générale des Finances, mise en place du PAS : faire le nécessaire pour le SEPA et recevoir une injonction avec menace parce que le SEPA n'aurait pas été fait, ce qui était une erreur du service et non de l'association. Pourquoi une menace ? Pourquoi aurait-on toujours tort face aux Impôts ?
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Approche globale : ces problèmes sont reliés
Respecter les engagements pris lors des COP
Oui
alertes pollutions de l'air ; troubles endocriniens ; conflits internationaux mettant sur les routes des migrants qui dorment dans la rue presque devant chez moi
Oui
Trier des ordures ménagères, porter les déchets verts au composteur collectif, économiser l'énergie avec travaux d'isolation du logement, favoriser le vélo et le métro pour les trajets quotidiens, acheter des aliments issus de l'agriculture bio et locale, acheter des produits ménagers éco-responsables, réduire la consommation de viande et de poisson, économiser l'eau avec des équipements adaptés, choisir une destination de vacances proches, faire du co-voiturage pour les distances en voiture quand il n'y a pas de transport en commun.
Sentir une volonté générale au niveau du gouvernement et des industries polluantes par les respect des engagements et des déclarations. Observer l'amélioration des réseaux secondaires du train et la baisse des tarifs des TGV.
Baisser la TVA sur les produits respectueux de l'environnement, les produits sans pesticides, et sur les produits labellisés BIO et sur les énergies renouvelables. Appliquer les mesures d'économie d'énergie des administrations , y compris à l'Assemblée nationale, au Sénat, dans les Ministères et à l'Elysée. Arrêter de comparer les économies financières à court terme et les bénéfices écologique à long terme. Introduire -enfin- d'autres éléments que le PIB et le PNB dans l'analyse de l'économie.
Non
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Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Tenir ses promesses, valider ses engagements par des actes, accueillir les migrants "climatiques", garder une présence culturelle forte (cela reste son principal atout pour exister au plan international)
Le glyphosate, pourquoi encore reculer sur son interdiction ? Les portiques pour la taxe sur le transport routier transnational sont encore en place, pourquoi ne pas les utiliser comme prévu avant les manifestations des "bonnets rouges" ?
Votre message a bien été envoyé.